helenablue

Amusant ces doubles dans la foule. vivre au coeur de l'absence, personnellement, je cherche un maximum la présence, j'ignore si l'absence permet de vivre.

Écrit par : Léopold | 17/01/2009

Emouvante, cette voix approximative qui ondule autour de la note que l'on croit connaître par coeur mieux qu'elle-même.
Emouvante, cette gloire reconquise comme si rien avait changé, toujours blond, toujours jeune, comme nous toutes et tous.
Emouvant, enfin, l'évocation de l'absence de l'autre, absence subie, que l'on croit avoir choisie, comme pour pour mieux l'aimer, comme pour mieux s'abandonner à soi.

Écrit par : Parkane | 17/01/2009

Quelle horreur !
J'ai tellement écouter cette chanson, il y a maintenant quelques années, que cette version nouvelle me dégoutte profondément. Polnareff aurait du arrêter lorsqu'il en était temps, il est actuellement si en absence totale de voix et de rythme que s'en est outrageant pour son ancien talent. Voila certainement une absence totale d'équité envers soi-même...lorsqu'on ne se reconnaît plus comme on est, qu'on persévère jusqu'au cauchemard néantissimesque.
Oh là...j'y ais été un peu fort là.
Ah ah ah ! =;o))

Écrit par : oh | 17/01/2009

Commenter pour ne rien dire, c'est bête. Alors je commente pour dire que j'ai ces temps-ci peu d'occasion de montrer mes passages. Alors je le dis, je passe quand même. Bises niçoises.

Écrit par : Claudio | 17/01/2009

Je t'apporte mon jeton de présence. On se fait une soirée un de ces jours?
Baltha

Écrit par : balthazar | 17/01/2009

L'absence est une présence Hélène, elle n'existe qu'à travers elle.
J'écoute...
et je souris.
Merci.
Je te serre.

Écrit par : lidia | 17/01/2009

Cette chanson m'a toujours fait venir les larmes aux yeux.

Tu habites Lille ?????????????? (c'est la ville de mes grands-parents, de ma mère, et celle où j'ai passé mes plus belles vacances dans l'enfance).

Une tiote bise alors,

Écrit par : Mû | 17/01/2009