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19/11/2015

Florence Dussuyer

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31/08/2015

Sauver ton rêve

 

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"Ton devoir est de ne jamais te consumer dans le sacrifice. Ton devoir réel est de sauver ton rêve. La Beauté a, elle aussi, des droits douloureux, qui créent cependant les plus beaux efforts de l'âme. Tout obstacle franchi marque un accroissement de notre volonté, produit la rénovation nécessaire et progressive de notre aspiration. Aie le feu sacré (je le dis pour toi et pour moi) de tout ce qui peut exalter ton intelligence. Essaie de les provoquer, de les perpétuer, ces stimulants féconds, car seuls ils peuvent pousser l'intelligence à son pouvoir créateur maximum. C'est pour cela que nous devons lutter. Pouvons-nous nous renfermer dans le cercle d'une morale étroite ? Affirme-toi et dépasse-toi toujours."

- Amedeo Modigliani -

 

08/06/2015

Le poirier

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- Toile Virginie Roux-Cassé -

 

J’aime ça, me mettre à l’équerre, les pieds en l’air, mon grand corps installé  les jambes au mur et le dos au tapis. C’était un soir en Septembre, je devais avoir douze ans, il fallait que je me concentre et que je rentre en moi pour penser, je me suis mise en poirier. Le faire nue, m'a pris un certains nombres d’années, maintenant c’est devenu un moment privilégié, où je me retrouve et puise, dans mes réserves, mes délires, mes désirs. Je médite, je m’étire, je m’inspire… Parfois je pars loin, très loin, jusqu’à ne plus avoir de corps, jusqu’à n’être plus qu’un esprit de femme léger comme un parfum, ça me fait du bien. Alors tout m’est possible, plus de freins, plus d’entraves, plus de frontières, une sorte de plénitude rare et chère m’envahit et m’ouvre des paysages insoupçonnés. Plus je vieillis, plus les paysages sont riches et variés et plus je peux aller loin dans l’abandon, la découverte, le voyage. C’est drôle aussi, parfois je me vois de loin, à distance, je me vois nue, je vois mon corps, je le regarde avec tendresse, pas comme dans un miroir, autrement, sans jugement. Le regard dans le miroir est un regard plus cruel, moins libre, moins aimant.

J’aime ça, oui, me mettre à l’équerre, les pieds à l’air et le dos au tapis.

 

 

26/03/2015

Karel Teige

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13/02/2015

No Thing

 

 

21/12/2014

Rencontre

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- Blue Ingrid - Ashley Létan -

 

 

Certaines œuvres d’art sont de véritables rencontres… Comme une évidence, elles résonnent en nous, comme si une partie de soi jaillissait en miroir devant notre regard. C’est parfois très troublant. Je me souviens très bien de cette exposition de Françis Bacon au centre Pompidou en 1996, une grande rétrospective de son œuvre, l’émotion que j’ai ressentie alors fut tellement forte que je me suis évanouie. Avec le recul, je crois que j’y retrouvais trop ma part d’ombre et de souffrance et qu’à l’époque alors, je ne pouvais pas l’endiguer. Troublant aussi ce que j’ai éprouvé au Tate Modem, douze ans après devant la magnifique mise en scène des tableaux de Rothko, une sorte d’apaisement profond, un accès à ma spiritualité, une inspiration qui depuis ne m’a plus jamais quittée et qui est chaque fois réactivée quand je croise ou visionne un de ces tableaux. Ces deux exemples comme deux points d’orgue dans mon existence mais tant et tant, et toujours et encore, chaque fois renouvelée cette délicieuse sensation d’avancer, d’apprendre à me connaître, de découvrir, de communier, d’être en relation avec l’humanité tout entière, c’est très stimulant et renversant à la fois et j’ai besoin de ça. Alors je ne cesse de croiser sur mon chemin des toiles, des sculptures, des photographies, parfois même je me surprends à éprouver devant de l’inédit, de l’imparfait. Je ne sais pas parler de la peinture techniquement et à dire vrai ça m’est égal de savoir le pourquoi du comment, ce qui me plait c’est l’émotion que me procure ce genre de rencontre. Hier soir, c’était cette toile, d’Ashley Létan.

 

 

14/12/2014

Enki Bilal, le Louvre et Laurence Guez

 

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Entrer dans l'univers d'Enki Bilal, c'est être marqué à jamais pas sa vision mêlant apocalypse et espoir. Par son dessin, par ses obsessions, par son étonnant mélange entre pur romantisme et réalisme d'un monde dans sa décrépitude, Bilal est le créateur symbole d'un siècle répétant ses erreurs à l'infini.

Bilal au Louvre, c'est un choix de 23 oeuvres sur 400 prises en photo, tirages sur lesquels il peint à l'acrylique et au pastel... Personnages évanescents comme autant d'âmes errantes immortalisées dans un "faire apparaître" qui leur donnent une présence singulièrement forte. Tranche de vie.

Mises en abîme par un regard sur le regard, les photos de Laurence Guez donne à cette démarche un autre souffle comme pour nous maintenir en alerte, remués, attentifs...

 

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30/11/2014

Christine Tresca

Christine est une femme étonnante et attachante. On se connait depuis longtemps sans jamais avoir tellement eu de relations et depuis quelques temps, un peu comme si on pouvait rattraper le temps, nous nous découvrons l'une l'autre, c'est épatant ! Nous avons pas mal de goûts en commun, une sensibilité à une certaine forme de beauté, un sens de la convivialité et de l'amitié, un esprit curieux, aux aguets et une volonté de s'exprimer. Christine en plus d'exceller dans la langue de Shakespeare, à laquelle je m'intéresse de plus près en ce moment, peint et ce Vendredi, elle a ouvert son antre, l'atelier où elle sévit avec son acolyte la céramiste Virginie Besengez...

 

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C'est toujours un bonheur de pouvoir avoir accès à l'intérieur, sentir dans quelle atmosphère se crée les oeuvres, pourvoir s'approcher un peu plus de l'acte de créer, s'imprégner. J'ai le sentiment que lorsqu'on peut ainsi partager ça avec l'artiste, on comprend mieux son oeuvre. Il y a quelque chose de profondément intime dans ce partage, l'atelier d'un peintre, d'un sculpteur, le bureau d'un écrivain, l'instrument d'un musicien... C'est émouvant.

 

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Ensuite, bien sûr, il y a les oeuvres, le fruit du travail... Lors d'une exposition, c'est amusant d'entendre ce que chacun voit dans les toiles et à quel point les avis ne sont pas les mêmes. Toute la puissance de la toile qui invite chacun en lui-même. Chaque regard est unique, autant d'interprétation possible et pourtant au départ, une seule volonté, un seul être qui y a mis un bout de lui. C'est magique !

 

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Mes photos ne sont pas bien bonnes mais elles donnent tout de même une petite idée de la recherche de Christine qui longtemps a peint des pots, comme elle le dit elle-même: "mes pots" et qui cherche maintenant à en sortir, à donner le la liberté et de l'espace à son trait et à sa matière. J'ai trouvé dans son nouveau cheminement presque calligraphique une respiration et une volonté de s'ouvrir, alors que ses pots étaient eux, toujours un peu sombres, un peu sourds, intérieurs, comme si la lumière s'était invité de dehors et lui avait donné envie de prendre le large. 

 

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Et, j'ai été transportée par une oeuvre dans un coin de son atelier, une oeuvre à part, autre, tout à fait différente, qui m'a sans doute touchée par la réunion qu'elle opère de la peinture et de l'écriture. Une grande toile de bâche brute avec une sorte de poème de signes s'inscrivant sur toute sa longueur pour finir dans un charabia dansant de hiéroglyphes... J'ai pensé à la vie qui s'écoule, au temps qui passe, aux choses qui s'oublient et à celles qui font la matière que nous sommes. Il y a beaucoup de poésie et d'entre les lignes dans l'oeuvre de Christine...

 

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13:07 Publié dans art | Lien permanent | Commentaires (0)

23/11/2014

Christian Hetzel

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17/11/2014

Simafra Prosperi

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13/11/2014

Je me défends de toi

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- Auguste Rodin -

 

Je me défends de toi chaque fois que je veille,
J'interdis à mon vif regard, à mon oreille,
De visiter avec leur tumulte empressé
Ce cœur désordonné où tes yeux sont fixés.
J'erre hors de moi-même en négligeant la place
Où ton clair souvenir m'exalte et me terrasse.
Je refuse à ma vie un baume essentiel.
Je peux, pendant le jour, ne pas goûter au miel
Que ton rire et ta voix ont laissé dans mon âme,
Où la plaintive faim brusquement me réclame...
--Mais la nuit je n'ai pas de force contre toi,
Mon sommeil est ouvert, sans portes et sans toit.
Tu m'envahis ainsi que le vent prend la plaine.
Tu viens par mon regard, ma bouche, mon haleine
Par tout l'intérieur et par tout le dehors.
Tu entres sans débats dans mon esprit qui dort.
Comme Ulysse, pieds nus, débarquait sur la grève;
Et nous sommes tout seuls, enfermés dans mon rêve.
Nous avançons furtifs, confiants, hasardeux,
Dans un monde infini où l'on ne tient que deux.
Un mur prudent et fort nous sépare des hommes,
Rien d'humain ne pénètre aux doux lieux où nous sommes.
Les bonheurs, les malheurs n'ont plus de sens pour nous;
Je recherche la mort en pressant tes genoux,
Tant mon amour a hâte et soif d'un sort extrême,
Et tu n'existes plus pour mon cœur, tant je t'aime!
Mon vertige est scellé sur nous comme un tombeau.
--Ce terrible moment est si brûlant, si beau,
Que lorsque lentement l'aube teint ma fenêtre,
C'est en me réveillant que je crois cesser d'être...

 

- Anna de Noailles - 

 

07:23 Publié dans art | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : art, poésie, amour, émotion, partage, humain

09/11/2014

Nicola Samori

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" Voici ma signature : je veux qu'on me réponde.

Voici mon cri : quelle est l'oreille qui m'écoute?

Qui tourne autour de moi,

qui boit ma vie dans mon verre ? "

 

- Benjamin Fondane -

 

 

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" Je veux ma part de choses crées et incréés.

Ma part du bruit humain. Ma part de solitude.

Le sang répond du sang. Mes voix...Ô sources claires !

Ma part du roc. Ma part de rien. Ma part de Dieu! "

 

- Benjamin Fondane -

 

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" A force de rêver...

 

Je me voyais me voir

traverser en courant un grand nombre de vies."

 

 

- Benjamin Fondane -

 

 

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Nicola Samori est né en 1977 à Forli (Italie), il vit et travaille à Bagnacavallo (Italie).

La base de son travail est la peinture ancienne, de style baroque ou issue de la renaissance italienne. Les couleurs chaudes et sombres de cette période, agrémentées de clair obscur trouvent grâce aux yeux de l’artiste qui s’en inspire et qui en use pour confectionner ses œuvres. Il s’intéresse ainsi très particulièrement à l’Histoire de l’art, et la manipule tel un virtuose : créer une forme nouvelle à partir d’un sujet existant, tel est son but. La conclusion de ce travail montre des images sombres, caverneuses, où les formes et les personnages fusionnent avec des motifs engendrés par l’artiste.

Nicola Samori détruit, tord, colle, transforme la peinture, décolle, gratte à mains nues ou au couteau. Il fait ressurgir la noirceur profonde et inquiétante de ces personnages qu'il juge trop lisses. Il offre également la possibilité de réinventer, de construire une nouvelle histoire, d'effacer le passé pour laisser place à l'avenir.

 

 

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" Nos rides poussent dans la glace

nous vieillissons dans l'air, dans l'herbe

et le monde se refroidit dans notre sang..."

 

- Benjamin Fondane -

 

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07/11/2014

La folie des grandeurs

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- René Magritte -

 

26/10/2014

Jessica Rimondi

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15/10/2014

Niki au Grand Palais

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Même si j’aime ses nanas, son monde onirique, sa manière de tirer sur ses toiles à la carabine, ses mariées, son rejet des institutions, de l’église, le portrait au vitriol de son père qui a abusé d’elle, son jardin, sa vision en grand, son élégance, son raffinement, ce n’est pas ça qui me touche le plus chez Niki, c’est elle. Femme. Fière. Fragile. Forte. Féminine. Farouche. Féline.

Une femme qui s’exprime, une femme qui s’émancipe, une femme qui ose, une femme qui parle, qui fait, qui met au monde des enfants et des œuvres d’art, qui aime les hommes qu’elle aime et qui aime les femmes, une femme qui aime les humains, la beauté, le monde, l’énergie, une femme qui chemine, qui comprend, qui s’insurge, qui se rebiffe, une femme qui parle en son nom, qui fait ce qu’elle dit, qui voyage, qui se remue, qui s’ouvre l’esprit, qui découvre, qui s’aventure. Une femme qui souffre, une femme qui vit, une femme qui crée, qui s’invente. Une femme, une amante, une mère, une muse, une enfant, une artiste.

Je suis sortie de l’expo de Saint Phalle au Grand Palais, ragaillardie, énergisée, plus femelle encore qu’avant d’y être entrée, et fière d’être femme, avec une énergie décuplée, comme si il me poussait des ailes, comme si de l’avoir rencontrée me permettait de prendre le relai. Non que j’avais besoin d’aide mais sans doute besoin à ce moment de ma vie, d’un petit coup de pouce, d’une sorte d’impulsion, d’une petite joute, au cas où j’aurais eu des velléités à me coucher et m’endormir.

Merci Niki. Merci la vie. 

 

26/09/2014

Edoardo Tresoldi

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Edoardo Tresoldi est un sculpteur scénographe italien qui vit et travaille à Rome.
C’est avec une grande dextérité et un réel talent que l’artiste modèle ses personnages faits de grillage.

L’artiste fige ses oeuvres dans un mouvement, un passage, comme le ferait le photographe.
La transparence du grillage donne un sentiment mystérieux et étrange à ces personnages fantomatiques.

 

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La nature, qui met sur l'invisible le masque du visible, est une apparence corrigée par une transparence.

- Victor Hugo -

 

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19/07/2014

Jylian Gustlin's Sketchbook

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11/07/2014

Vladimir Kush

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03/07/2014

De l'art

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- Amedeo Modigliani -

 

 

" L'art peut sembler impliquer d'amples mouvements, de grands projets, de vastes plans. Mais c'est l'attention au détail qui demeure le lot quotidien ; l'image singulière, c'est ce qui nous hante et qui devient art."

- Julia Cameron -
 
 
 
 
 

10/05/2014

Dan Mc Caw

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art,peinture,découverte,émotion,partage,humain

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- Toiles de Dan Mc Caw -

 

 

" Échapper au soi solidifié. Le liquéfier, le gazéifier, le disperser aux milles vents."

- Felwine Sarr -