23/02/2014
Un rebirth
- Max Ernst -
tombent les
ruines la poussière
dense tue le souffle
que de poèmes disparus
et la peur qui foudroie
pour qu’un seul homme
renaisse
il n’y aura jamais
assez d’amour
pour ce que
je me destine
à ne pas être
16:31 Publié dans poésie | Lien permanent | Commentaires (3) | Tags : peinture, poésie, état d'âme, cafard, émotion, partage, humain