Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

15/07/2008

Suspens

2493803173_392b9ea9e6_m.jpg

Ce prix quasi mortel
ne devais-je pas le payer
et ce grain de folie
n'était-il pas requis
pour que la sève recommence à circuler
et que l'arbre cendreux se couronne
d'une riche floraisons de grandes vacances ?

Michel Leiris

08:10 Publié dans poésie | Lien permanent | Commentaires (6) | Tags : poésie, photo, état d'ame

Commentaires

Très joli texte, je ne connais pas Michel Leiris, la photo est splendide aussi.
J'aime bien votre blog. Je le découvrirai calmement, avec plus de temps...
Je reviendrai, c'est sûr.

Merci

Écrit par : Lidia | 15/07/2008

J'aime que tu sois directe, Helena.
Ça me plait!
Oui , c'est une vraie fête, à partager...
Je découvre aussi ton blog avec plaisir, et merci pour ce beau texte de Michel Leiris.
A++

Écrit par : BOB L'INQUIET | 15/07/2008

De quel livre est extrait ce texte de Leiris se demande le personnage, perplexe.

Écrit par : PhilEt' | 16/07/2008

De quel livre est extrait ce texte de Leiris se demande le personnage, perplexe.

Écrit par : PhilEt' | 16/07/2008

Le personnage dément toute implication dans la multiplication des commentaires par erreur de manipulation de la part de son biographe.

Écrit par : PhilEt' | 16/07/2008

OK , le personnage n'a pas à s'inquiéter , cela arrive au meilleur d'entre nous , qu'il soit un peu indulgent avec son biographe ...

le livre de Michel Leiris en question est :
Haut Mal suivi de Autres Lancers ( Poésie /Gallimard ) edition 1969

et pour le plaisir , un autre extrait :

AU VIF

A corps et à cris.
A toutes brides.
A ras bord.
A tire d'ailes .

A bouche que veux-tu.
A poings fermés.
A pierre fendre.
A chaudes larmes .
A pleines voiles .

Écrit par : helenablue | 16/07/2008

Les commentaires sont fermés.