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10/06/2013

Envolée

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- Toile  Valérie Vezzoso -

 

Commentaires

Du beau et du bleu...

Écrit par : Dominique Hasselmann | 10/06/2013

Une belle envolée… J'aime beaucoup ! :-)

Écrit par : Françoise | 10/06/2013

Ah, dynamique ! une pensée en éveil....

Écrit par : anne des ocreries | 10/06/2013

en penchant la tête sur la droite c'est bien aussi. Sans rire.
Bzzz...

Écrit par : le bourdon masqué | 10/06/2013

C'est beeeeeeeeeeau.

On dirait un big bang une journée de printemps. Mais c'est impossible, étant donné que le big bang est antérieur au printemps. Mais on dirait cela quand même.

La fusion entre les styles de La Rouge et du Plumitif :-)

Écrit par : Guillaume Lajeunesse | 10/06/2013

su-su-sublaïme !

Écrit par : Lorka | 10/06/2013

Le Big Bang, c'est le premier instant du premier printemps, non? La naissance du temps, de l'espace, de la matière et de la lumière! Fiat Lux, crisse! Let there be flotte, let there be terre, let there be plottes et rastaquouères, des athées pis des dévots, des fruits des légumes et plein d'animaux, des poètes et des brontosaures et des politiciens, et cetera, et cetera, said the Big Bad Bang, pour que nous vissions que cela était bon, et qu'on se repose le dimanche, hostie.

Écrit par : Christian Mistral | 11/06/2013

"Le passé est une légende. Le futur, une superstition. Et je n'ai foi qu'en cet instant si bref semblable à l'éclat zébré de la foudre.
je me souviens pourtant d'un chant de femme, l'été, par une nuit d'orage. d'un arc détendu, qui prétendra que sa flèche ne vole pas encore ?"
Hubert Haddad

Écrit par : christiane | 11/06/2013

Un sacré rigolo, ce Hubert. Me lasse jamais de déguster ses perles. Faut lui donner ça, il fournit en masse, plus vite que j'avale.

Un arc détendu. Débandé, qu'il veut dire mais qu'il veut pas écrire. L'éclat zébré de la foudre. L'éclat de la foudre peut zébrer le ciel jusqu'au sol, mais cet éclat en soi ne saurait être zébré, pas plus que l'éclat du tonnerre ne peut couvrir son propre son.

Z'avez lu son roman de Japon? Des heures et des heures de plaisir. Y en a comme ça de pleines pages, des perles, encore des perles, des tas et des tas de perles! On peut tant s'en gaver qu'on en chie dix colliers, et le chic de l'affaire, c'est qu'on a sous la main du papier à torcher.

Écrit par : Christian Mistral | 11/06/2013

Vous êtes ignoble et vaniteux , Christian Mistral ! Je préfère de beaucoup lire Hubert Haddadque vos pages ou commentaires pédants . Lamentable !

Écrit par : christiane | 11/06/2013

Ça prenait ce que ça prenait pour tirer de vous quelques mots bien de vous.

J'ai suivi vos interventions avec une rigueur, une attention et une concentration que vous ne croiriez pas. Depuis des mois, quand vous êtes apparue sur ces terres après que Blue se fut égarée chez votre guignol d'imposteur malsain, là, dont vous animiez le site et les commentaires à vous seule déguisée en dix voix. J'ai tout lu. Partout. Je suis remonté des années derrière. Imaginer que j'exagère serait bien sottement me méconnaître. And of course I told Blue, right away: c'te créature qui prétend dormir dans sa bibliothèque et sentir la culture lui sortir de partout comme la poésie du Léopold d'Uranus, elle ne publie que des citations, citations, citations, sans jamais un seul mot d'elle en guise de contextualisation!

Y a des machines on-line qui en font autant. Y en a qui écrivent même des haîkus, figurez-vous. On a déjà donné les liens. Ici. Chez-moi.

Ignoble, oui, je le suis s'il le faut, mais jamais sans noblesse, you know. Vaniteux, vous savez, c'est pas d'hier qu'on s'écrie ça à mon propos, mais je ne l'ai jamais été. Je suis prétentieux. Extérieurement, ça se ressemble comme la vérole et l'acné. Mais prétention et vanité diffèrent infiniment, et comme pour la vérole et l'acné, l'une est beaucoup plus grave, plus chronique, plus dangereuse que l'autre. Le prétentieux peut s'en tirer tant qu'il se montre à la hauteur de ses prétentions. Le vaniteux n'est jamais effleuré de toute sa vie par le cadet d'un tel souci.

C'est un imbécile patenté, votre Haddad, Christiane: croyez-moi marri que vous m'obligiez à le réitérer.

Écrit par : Christian Mistral | 11/06/2013

"... Blue se fut égarée chez votre guignol d'imposteur malsain, là, dont vous animiez le site et les commentaires à vous seule déguisée en dix voix (???). J'ai tout lu. Partout. Je suis remonté des années derrière. Imaginer que j'exagère serait bien sottement me méconnaître. And of course I told Blue, right away: c'te créature qui prétend dormir dans sa bibliothèque et sentir la culture lui sortir de partout comme la poésie du Léopold d'Uranus, elle ne publie que des citations, citations, citations, sans jamais un seul mot d'elle en guise de contextualisation! ..."
Mais de qui et de quoi parlez-vous ?
Vous délirez complètement.
Quant à Hubert Haddad, j'ai reçu ce livre, avant-hier au marché de la poésie. Ce fragment de poème m'a paru relier une très belle photo d'Helena, une sculpture représentant un tireur à l'arc et ces deux derniers post : celui-ci et le très beau texte d'hier. Pour moi, contrairement à vous, un arc débandé signifie seulement qu'une flèche a été tirée et ce poème imagine qu'elle continue de traverser l'espace.
Pour le reste, vous m'êtes dans cette hargne, complètement incompréhensible et rien n'explique votre vulgarité. Hubert Haddad a écrit de très beaux livres dont "Palestine", "Vent printanier", "L'Univers", "Julien Gracq, la forme d'une vie". Je ne connais pas les autres.
Qui êtes-vous pour juger les autres de telle façon ? Je plains vos amis...

Écrit par : christiane | 11/06/2013

Cette photo fut prise au Musée Bourdelle, par Laurence je crois: on y voit Blue intensément s'intéresser à Héraclès Archer, s'y intéresser comme à une chose vivante, intelligente et parlante, l'interroger... C'est ainsi qu'elle aborde l'art qui l'interpelle, un don très rare qui lui semble pourtant tout naturel.

L'arc d'Hercule est bandé à perpétuité, la flèche n'est pas encore décochée vers les oiseaux du lac de Stymphale: that's the whole fucking point of this famous sculpture: ni passé de légende, ni futur superstitieux, ni éclat de foudre zébrée!

Ché pas trop en quelle autre langue vous faire un dessin, saint ciboire. Vulgaire indeed.

Écrit par : Christian Mistral | 11/06/2013

Vous semblez penser que votre façon de penser exclut toute interprétation ou pensée différente de la vôtre. Très imbu de vous même !!!
oui, il s'agit de cette photo. Bourdelle vous a-t-il soufflé ve qu'il voulait que les autres voient dans son tireur à l'arc ? Votre interprétation est possible mais pas unique.
Que vous n'aimiez pas H.H à partir de la lecture d'un ouvrage, soit. Mais de là (sans connaître le reste de son œuvre qui lui a valu 5 prix littéraires) porter ce jugement et l'exprimer comme vous l'avez fait, est désolant. Cela donne une piètre image de vous et ne donne pas envie de vous connaître.
Quant au blog incriminé (Lelius, je crois) que j'ai découvert il y a seulement quelques mois par personne interposée, je n'y pose de commentaires (parfois) que sous ma seule signature ! et là encore vous êtes de courte vue. S'il lui plaît de faire de son blog un recueil de citations, et d'images, c'est son droit.
Comme vous êtes autoritaire, fermé aux autres, sûr de vous, étroit d'esprit et de jugement. Vous devez vivre dans une sacrée solitude puisqu'on ne peut pas échanger avec vous, puisque ceux qui sont différents de vous sont nuls ou, s'ils écrivent, bons à servir de papier toilette...
Hum, drôle de zèbre pas très attirant...
Bon, j'arrête là. J'étais venue poser ce fragment de poème pour une amie pas pour perdre mon temps avec un homme grossier et violent. Que la soirée vous soit douce... Vous devriez vous acheter un punching-ball, ça vous calmerait...

Écrit par : christiane | 11/06/2013

Savez, Christiane, depuis le temps que vous rôdez ici, faudrait pas faire semblant de pas me connaître. Les ingénues sexagénaires qui font mine de tomber des nues et réclament leurs sels, c'est l'adresse à côté, chez le vieux Bovary, ou le p'tit shack au bout du champ, ouske les bas-bleus du village ont ouvert un salon de thé, baptisé Le Cyanomètre en hommage à Byron: on y boit de l'eau chaude, on y croque des crumpets, des scones et des madeleines en papotant littérature.

Tous les goûts sont dans la nature, certes: c'est votre opinion, cela, celle qu'il vous semble impossible d'échanger avec moi? Mais je la partage! Faudrait être un foutu connard pour pas savoir que c'est bien vrai!

Sauf que, cela étant, les goûts ne s'équivalent pas du seul fait d'exister. Shakespeare est meilleur que Molière et Rimbaud est meilleur que Shelley et Hugo est meilleur que Balzac et Hubert Haddad est l'exemple agonisant de ce qui discrédite le métier d'écrivain en France, la saleté rayonnant depuis là jusqu'aux plus lointaines provinces, colonies et autres trous à béotiens créolisés tels que le Québec, mettons, right?

Ben oui, chu sûr de moi, crisse. Je m'amuserais pas à descendre en flammes un gars qui ne m'a jamais rien fait. Mais c'est pas le cas. Il prétend oeuvrer au même racket que moi, or il écrit comme un pied gauche et réfléchit comme une bottine, et qu'il soit ou non gentil garçon n'a rien à foutre dans l'équation!

Putain de crisse d'hostie, tu penses que j'ai passé ma vie à apprendre à écrire avec intégrité souci rigueur de l'esprit et du coeur et au prix de ce que tu te plais tant à imaginer, la solitude, ben oui, et au point de moi aussi plaindre mes amis, tu penses pas que tout ça depuis trente-cinq ans c'est pour aboutir ici à être poli envers un tâcheron à gages, insignifiant et promu par ce moyen si transparent, que t'as déjà usé avant?

Cinq Prix Littéraires. Misère. Tu dis lesquels ou ben c'est moi? J'en compte que quatre, remarque, mais il a dû s'en choper un cinquième avant-hier au marché de la poésie où vous en reçutes un exemplaire. Marché de la poésie: pas moyen d'être plus précis? C'est comme dire j'ai chopé des puces au Marché aux puces: on sait pas lequel éviter!

Écrit par : Christian Mistral | 11/06/2013

Hubert Haddad :

1983 : Prix Georges Bernanos, pour Les Effrois
1991 : Prix Maupassant, pour Le Secret de l'immortalité
1998 : Grand Prix SGDL du roman, pour La Condition magique
2008 : Prix des cinq continents de la francophonie, pour Palestine
2009 : Prix Renaudot du livre de poche, pour Palestine
2013 : Prix Louis Guilloux, pour Le Peintre d'éventail1
2013 : Grand Prix de littérature de la SGDL, pour l’ensemble de son œuvre, à l’occasion de la publication de Le Peintre d’éventail et Les Haïkus du peintre d’éventail

Et pour vous, une bonne psychanalyse serait de rigueur !

Écrit par : christiane | 11/06/2013

Sacraman, y est rendu à sept depuis ton comm de tout à l'heure! Y chôme pas, le polisson!

Les cinq continents de la Francophonie, hihi... Z'avez jamais honte?

Lemme tell you something, toots: si ce continent-ci, de la francophonie, avait voté pour octroyer ne serait-ce que le prix d'une pute rue Sainte-Apolline ou d'un souper sushis au Beni Hana Porte des Lilas, je l'aurais su.

Kestu penses que je fais, ici? Que j'coupe du bois? Que j'dépiaute des racoons? Que j'vide les spitteroons de Beigbeder quand y vient s'encanailler?

Bon, ça, oui, mais ça m'occupe pas à plein temps.

Écrit par : Christian Mistral | 11/06/2013

@christian : osti que t'es drôle

Écrit par : rainette (kamikaze) | 12/06/2013

OH MERCI MA GORNOUILLE!!!

Commençais à crère que j'avais perdu la twist, là, stie. Le four total. Comme le show de Ding et Dong à l'Olympia.

Écrit par : Christian Mistral | 12/06/2013

oh non tu l'as la twist baby, comme dit Marjo. T'es crampant, particulièrement cette partie de ton dernier com : "Que j'dépiaute des racoons? " J'imagine le portra....

Écrit par : rainette (kamikaze) | 12/06/2013

Ça fesse plusse dans le front que "dégarnir des ratons-laveurs", right? Pis me fallait une rime ek spitteroons qui s'en venait dans phrase d'après. Si on pense pas au moins deux phrases d'avance en écriture extrême, faut changer de sport, tsé, comme aux échecs: y en a qui seraient mieux de jouer aux dames.

Écrit par : Christian Mistral | 12/06/2013

la phrase suivante "Que j'vide les spitteroons de Beigbeder quand y vient s'encanailler" n'est pas piqué des vers non plus. À part Beigbeder, keske quelqu'unE de l'ot' bord pourra comprendre, je me le demande !

D'autre part, c'est sûr que jouer aux dames c'est assez basic, un enfant de 3 ans peut le faire.

Écrit par : rainette (kamikaze) | 12/06/2013

Ah non, ah non! Le jeu de dames n'est pas si con qu'il en a l'air! J'ai jamais pu en concevoir plus que les rudiments, mais aux échecs j'étais très fort à partir de sept ans. Faut s'être fait rincer par un grand-père aux dames, gloup-gloup-gloup-gloup-gloup d'un coup, au suivant il en avale trois autres, et du diable si on comprend comment, faut avoir la tête branchée comme ça. Pis bon, évidemment, c'est enrageant, paskon sait bien que c'est un jeu de con, au fond!

On s'en crisse-tu rendu là que quelqu'un de l'ot'bord comprenne pas? J'y ai expliqué trois fois en français de luxe, celui que je sers aux gens bons: j'aurais aussi bien fait de pisser dans un violon. So fuck it! Place au lexique incontinent de la francophonie!

Les frogs sont si structurellement sensibles aux sons et aux formes des mots, c'est leur talon d'Achille et réside entre leurs deux oreilles, bien évidemment, quand on se met le pied dans la gueule chaque fois qu'on l'ouvre depuis le temps de Louis XIII ça conditionne une culture, mais tu vois c'est leur hostie de problème qu'on les a trop longtemps laissés faire nôtre. Les frogs, ils écoutent pas les mots, ils les entendent; ils les pensent pas, ils les voient. Ils répondent pas, ils réagissent. Sont formés, déformés à parler tous en même temps et plus vite et plus fort que l'autre, et à viser le dernier mot. Ça fait que tu leur dropes, mettons, spitteroons en pleine tronche: ils comprennent, trust me, ils comprennent comme un caniche comprend quand tu le dresses à pas pisser dans le salon avec un journal roulé pour lui tapocher le museau. Y a pas besoin de savoir lire pour saisir le message.

Les Gornouilles ont évolué bien différemment des frogs, Darwin soit loué.

Écrit par : Christian Mistral | 12/06/2013

@ Christiane:

C'est absolument rarissime que j'efface un commentaire et tout le monde sait ici que je suis plutôt conciliante, voire parfois trop indulgente en tout cas ouverte à ce que les propos fusent et s'échangent même s'ils peuvent paraître parfois surréalistes... J'ai plutôt un tempérament d'artiste !

Je viens d'effacer votre dernier commentaire, Christiane, parce que je l'ai trouvé particulièrement désobligeant. Je parle de moi, là. Vous vous permettiez de conseiller dans votre phrase concise à Christian d'aller chez le psychiatre plutôt que chez un psy, l'air de dire qu'il était plus atteint encore que ce que votre esprit peut encaisser ou endiguer.

Que vous ayez l'impression qu'il vous ait manqué de respect et que vous vous en défendiez, comme vous l'avez fait en début de conversation, par déjà des mots bien torpillants, je comprends. Que connaissant Mistral il vous réponde comme il l'a fait, je n'en suis pas le moins du monde surprise, c'est d'ailleurs probablement l'inverse qui m'aurait étonnée, que vous n'ayez pas la subtilité de comprendre que déjà dans sa manière de faire il fabrique une matière bien à lui créative et drôle, je comprends aussi qu'elle ne soit pas facile d'accès, comme Rainette a pu en profiter... L'humour n'est pas le même pour tous, le sens de l'humour non plus d'ailleurs.

Mais au delà de ça, ce qui me surprend le plus, c'est que vous êtes chez moi. Et que je n'invite pas à ma table des sots, des malades non plus. Des fous, peut-être, je le suis un peu moi-même. Mais que surtout et plus que tout Christian est mon ami. Et qu'il ne s'est pas permis de s'attaquer directement à vous au premier abord mais à l'écrivain que vous citiez. Qu'il ait un autre avis sur cette littérature, et qu'il l'exprime à sa manière avec ses colliers de perles ( j'ai d'ailleurs pour ma part trouvé l'image savoureuse) vous ai piqué au vif, je peux l'accepter mais pas de le traiter d'individu "ignoble", ignoble c'est effrayant !

Des gens ignobles j'en ai connus, enfant, des monstres, des vrais, des qui vous découpent en mille morceaux, qui vous serrent entre leurs griffes velues, qui vous étranglent, qui vous empêchent de respirer, qui vous vampirisent, vous maltraitent, vous rendent dingues et j'en passe mais le choix de ce mot là " ignoble" concernant cet homme là est tout bonnement déjà pour moi insurmontable.

Mais bon, il l'a pris, grand seigneur, parce qu'au fond c'est ce qu'il est, je le sais, même s'il ne cherche pas trop à le montrer. C'est un pudique.

Ensuite vous parlez de sa vulgarité... Là, moi même je m'y suis trompée, mais à l'instar de vous, je suis plutôt humble et je reconnais mes erreurs de jugement, parfois à l'emporte pièce.

Pas de vulgarité possible quand il y a pureté des sentiments. C'est un mauvais jugement, un non-entendu, une incapacité à comprendre l'autre dans sa subtilité. C'est tellement plus facile de pointer du doigt que de voir sa faillibilité.

Grossiers, violents, nous le sommes tous, parfois sans même nous en rendre compte. Et on peut même l'être davantage sous déguisement, Peut-être même que c'est là que se niche la vulgarité, dans ce non-vouloir voir ce que nous sommes vraiment...

Alors j'ai effacé votre commentaire, oui. Parce que même s'il ne pense pas être bon pour ses amis, Christian l'est. Et je crois pouvoir parler au nom de tous ceux qui l'aiment, c'est un homme généreux, fidèle à lui-même, à ses convictions, à ses amours, un homme génial au plein sens du terme et de la solitude que ce génie implique et isole, un poète hors pair, un amoureux des mots et un exigeant des mots comme je n'en ai jamais rencontré depuis, et puis, un homme que j'aime.

Et ça, toute lâche que vous pensez que je sois, suite à cette initiative que je ne regrette pas un instant d'avoir prise, vous ne pourrez me l'enlever, ni de la tête, ni du coeur. Quand j'aime un jour, j'aime pour toujours. C'est là toute ma conception de l'amitié.

Mon ami est tel qu'il est. Et il m'aime telle que je suis. Je ne peux concevoir que ce soit autrement. C'est comme ça que je vis ce sentiment magnifique et stimulant.

Écrit par : helenablue | 12/06/2013

Trouvé dans le journal de J-L. Curtis :
« La femme très loquace, m’a tout de suite alertée : elle portait sa belle âme comme un blason. Le snobisme de la spiritualité : Proust y a-t-il songé ? Une Madame Verdurin des bons sentiments. C’est ce qu’il y a de pire. Et elle parlait, parlait, cette péronnelle, très douce, très édifiante, assez élégante aussi, et ne se doutant pas une seconde que le jeune monsieur (moi) assis en face d’elle, qui l’écoutait sagement, ne laissait rien perdre, et la jugeait, pour toujours. »
Au passage, mes amitiés à la très fine Liliane Breuning

Écrit par : christiane | 13/06/2013

There she goes again!

Christiane et Liliane sont une seule et même personne, qui n'existe pas.

M'en vas karcheriser ça. Un verbe que Blue m'a appris.

Écrit par : Christian Mistral | 14/06/2013

@Helenablue

Oui, quelle aventure !

Écrit par : Lorka | 14/06/2013

@Christiane

Vous arriviez ici en jugeant, proféssant le déclin de la bulle des amis blogueurs d' Hélénablue... c'était déjà mal barré selon moi. Vous repartez de même sous la même cape.

Écrit par : Lorka | 14/06/2013

@ Christiane:

:-)

Mes amitiés à la très fine Liliane Breuning !

Cette si fine Liliane Breuning qui m'a envoyé il y a de ça peut être une année une sorte d'injonction, me pensant tellement perdue qu'elle saurait pour moi, me pensant tellement offerte qu'elle saurait être tout pour moi, me pensant tellement avide d'écrire qu'elle saurait me guider et m'orienter vers un ouvrage de son choix: l'histoire de l'inceste. Comme si j'allais contribuer à ça ! Comme si j'en avais pas assez de ma propre histoire à moi !

Fine, vous dites, cette Liliane là !

Proust est utilisable à toutes les sauces, ses madeleines sont dans toutes les bouches et dans tous les esprits, il a fait fort. Mais je ne suis pas certaine, vu l'acuité de sa sensibilité et la finesse de son esprit qu'il aurait aimé qu'on utilise ses personnages à des fins inutiles et surtout incongrues, c'est lui faire offense !

Écrit par : helenablue | 15/06/2013

C'est tout ce que t'as trouvé? Tu t'es retenue toute la journée pour ça?

C'est qui qui signait le premier comm te traitant de Madame Verdurin y a six mois sur l'autre faux blog? C'est qui qui en a fait une maladie? Et c'est qui qui s'est tapé la totale durant deux jours et trois nuits pour découvrir la vérité et te la rapporter?

Tu continues à faire semblant que Liliane et Christiane sont deux personnes. Et à tordre ce commentaire bâtard se portant à la défense de Proust à qui offense est faite!

Marcel se passe assez bien de défense, et ne ressent pas d'offense. L'offensée, c'est censée être toi, à moins que je me sois mépris sur tous ces cris d'orfraie que tu ne m'épargnes pas chaque fois que revient ton nom dans la même phrase que Madame Verdurin!

Fuck that! Fuck your sick game et ces alias que tu inventes. Fuck ton propos sur Proust, que tu n'as jamais lu, rien de rien, a fallu que tu Googles Verdurin pour savoir qui c'était, et attention: avant de me contredire, consulte nos archives!

Je te laisserai pas me tenir un discours en privé et un autre en public. Jamais! J'en ai trop chié avec cet énième foutu psychodrame de ton invention!

Écrit par : Christian Mistral | 15/06/2013

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