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16/11/2008

London , last day


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Si je devais habiter à Londres , ce serait certainement à Portobello , cette blue house , au hasard ... j'aime l'ambiance de ce quartier , l'odeur et le côté un peu "artiste " , poétique , suis passée devant la maison de George Orwell :
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Ce roman d'anticipation se déroule , à Londres, capitale de la première région aérienne de l’Océania, puissance mondiale avec Eurasia et Estasia. Ces trois empires sont constamment en guerre. Oceania a connu plusieurs révolutions depuis 30 ans et également un conflit atomique.

Océania vit sous une dictature. Le Parti unique est commandé par un chef invisible dont les portraits sont partout : Big Brother. Ce dernier surveille cependant les moindres faits et gestes de chacun, d'où le slogan « Big Brother is watching you !» (Big Brother vous regarde), qui symbolise le régime.

Trois slogans régissent cet univers : " La guerre c’est la paix ", " La liberté c’est l’esclavage ", " L’ignorance c’est la force " ; quatre ministères l’organisent – Vérité, Paix, Amour, Abondance -, et la population est répartie en trois classes – le Parti intérieur (les dirigeants), le Parti extérieur (les subalternes), les prolétaires (les ouvriers et les travailleurs vivant dans les taudis).

Winston Smith, le personnage principal du roman , travaille au ministère de la Vérité. Il a pour tâche de retoucher les journaux déjà parus pour corriger les erreurs du Parti ou de son leader, Big Brother. Car le Parti ne se trompe jamais. Une fois l'Histoire réécrite, les erreurs ayant été gommées, on a donc la certitude qu’elles n’ont jamais existé

Le roman se déroule en trois temps: la lente marginalisation de Winston, qui devient progressivement "criminel par la pensée", "rebelle aux politiques du Parti", son aventure amoureuse avec une jeune femme, Julia. Winston Smith et Julia tentent de s'aimer, mais cette forme de résistance se heurte à l'énigmatique O'Brien, l’un des espions du régime.

Finalement Winston est arrêté et torturé avant d’être remis en liberté, totalement brisé. « Dans cette contre-utopie cinglante, Orwell propose une réflexion sur la ruine de l’homme par la confiscation de la pensée et la prolifération de la technocratie ».

pas la peine de vous dire ce que j'en pense ...

enfin , Portobello est plein de surprise pour les yeux , les sens , l'imagination , la rêverie ...

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on y trouve mêmes des photos de héros en tout genre !!
Ensuite , je reprends le bus , un petit tour d'horizon de la ville d'Ouest en Est ... passage obligé par Trafalguar Square !
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jusqu'à la City ! pas du tout le coin que je préfére ... que des costumes cravates , attaché case et blackberry , belles chaussures et voitures de fonction avec chauffeur , mais bon , c'est londres aussi !
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De là , retour vers Covent garden , je sais , c'est plutôt un coin à touristes , mais le lieu est sympa avec ces structures métalliques , et puis une belle ambiance avec ce théâtre de rue , d'ailleurs il y avait un groupe de musiciens , 4 filles au violon et un homme à la contrebasse , péchu , qui ont mis le feu à la place en jouant à perdre haleine , je vous le donne en mille ! le french cancan !! quelle ambiance !!

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voilà , pour cette derniére journée à Londres , ensuite un peu de shopping , ballade , pour grapiller encore quelques sensations légères de-çi , de-là et retour à la gare et au shuttle !!
et là , rencontre , qu'on ne fait qu'à Londres d'une maniére si naturelle !
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The End





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PS : Alex , aux derniéres nouvelles , RODNEY file toujours le parfait amour avec son arrosoir female d'origine , il n'a rien voulu savoir , a bien essayé la gente de son espéce mais trop bavarde !!
En toute sagesse il s'abreuve toujours de la même eau silencieuse et fidéle et puis qui ne prend pas une ride , toujours pimpante et solide !! ( source AFP Nov. 2008 )

09:06 Publié dans Voyage | Lien permanent | Commentaires (35)

Commentaires

Je ne suis allé à Londres qu'une seule fois. Et on a beau me dire tout ce qu'on veut, je n'arrive ni à me motiver pour me donner l'envie d'y retourner, ni à comprendre pourquoi je n'y parviens pas.
Le seul début de réflexion, c'est que je colle à cette ville le mot "excentricité".
Et il est vrai qu'à part l'insouciance, c'est bien l'excentricité que j'aime le moins.
C'était par pour casser l'ambiance, Helena, c'était pour donner mon avis.

Écrit par : Claudio | 16/11/2008

Belle visite de Londres

Écrit par : Philippe | 16/11/2008

@ Claudio : je sais bien que du n'est pas du genre rabat joie !! et puis ton avis m'intéresse .. D'habitude je le partage , mais là , non ... un peu d'éxentricité , j'aime bien !! ça pimente un peu et puis ça oblige à ouvrir son regard ... mais je te rassure , enfin façon de parler ... moi je suis plutôt " fantasque " à mes heures !
ce mot là , tu en penses quoi ?

Écrit par : helenablue | 16/11/2008

@ Philippe : merci à vous .

Écrit par : helenablue | 16/11/2008

Très agréable séjour en votre compagnie virtuelle..."Toulouse Lautrec" est une merveille mais "French Cancan"aussi ...et moi qui aime la danse sous toutes ses formes...Merci

Écrit par : laurence | 16/11/2008

@ Laurence : merci à vous , oui j'aime aussi la danse sous toutes ses formes ... à regarder et à pratiquer , j'adore danser !!
à bientôt
helena

Écrit par : helenablue | 16/11/2008

Merci pour cette évocation de 1984. Vous donnez vraiment envie d'aller à Londres, de (re)découvrir la ville, d'en apprécier l'ambiance.

Écrit par : Léopold | 16/11/2008

@ Léopold : ce n'est pas tous les jours que l'on passe devant la maison d'Orwell ; c'est amusant à Londres toutes ces plaques qui indiquent ce qui ont vécu ici ou là ...
bon Dimanche à vous
Helena

Écrit par : helenablue | 16/11/2008

Fantasque ? Si c'est rechercher de l'originalité à comparer au conventionnel ou au classique, je prends. A condition que ce soit tempéré et discret et sans but.
Le "à mes heures" me plait moins. Il sous-entend qu'on s'éloigne de l'égalité d'humeur que je recherche ; c'est la tempérance appliquée à soi. Pour faire vite, je n'aime ce qui ressemble à une fuite même temporaire d'une réalité, à l'oubli même temporaire d'un problème, à tous les exutoires en général. Le divertissement en est un. Mais je m'éloigne peut-être. Je veux être gai, joyeux, heureux parce que la vie est gaie, joyeuse, heureuse, non que je la vois ou veux la voir ainsi mais parce qu'elle l'est par mon action. Donc je veux être... parce que la vie l'est pas parce qu'elle ne l'est pas.
Et en plus je sais être confus... La preuve.

Écrit par : Claudio | 16/11/2008

A propos d'Orwell…
As-tu lu, de lui, "La ferme des animaux" ? Dans le lignée de 1984, c'est une fort jolie fable.

Écrit par : Michel Cornillon | 16/11/2008

@ Claudio : oui , je regrette le "à mes heures " car en fait je le suis tout le temps , mais c'est plus ou moins visible , en fait . Tout est plutôt tempéré , subtil , assez discret , sans but forcément c'est un état d'être ...
"être" me parait une sage décision ; être en conscience ...
je préfére la notion de plaisir à celle de divertissement ...

merci pour ta réponse même si je ne comprends peut-être pas tout comme tu veux le dire !

Écrit par : helenablue | 16/11/2008

@ Michel : hello ! non je ne connais pas cette fable ...
je suppose qu'elle pourrait me plaire si tu m'en parles ?

Écrit par : helenablue | 16/11/2008

Quand je vivais à Londres-avant 1984- je précise…et bien et surtout à Portobelloroad…
« Les animaux n’avaient pas encore besoin de fermer leur gueule » Les volets n’étaient pas fermés, aucun « mosquito » en face des lampadaires, un trafic urbain normal, une queue (sans nitro-http://www.youtube.com/watch?v=tqF7kkhrmZk) normalement longue pour prendre le bus ou le métro…en revanche il fallait payer un penny
pour faire one pipi…c’était la première fois que je voyais des vespasiennes payantes.
Et Georges ne s’appelait pas Tony. J’ai rêvé si souvent avec son humour détresse.
Avec aussi Hemingway et Malraux…Décidément quand tu fais escale quelque part et plus loin…tu me fais une remontée dans le temps.

Écrit par : Sylvaine | 16/11/2008

@ Sylvaine : décidement tu me fais rêver ... avec des dîfférentes tranches de vie ...
et tes amours ...
à trés vite
Helena

Écrit par : helenablue | 16/11/2008

bon. deux choses.
On NE PEUT PAS se balader dans ce qui reste de l'empire britannique sans boire une mousse, donc rentrer dans un pub. ou alors l'imposture éclate et ton engagement dans la ligue anti-alcoolique dont nous sommes -inukshuk et moi- de féroces contempteurs. donc parle nous de tes boissons. je crois que l'on peut situer un personnage par ce qu'il boit aussi bien que par ce qu'il lit. et toc

Tu as bien fait de faire ce pèlerinage devant la maison d'Orwell. Tu n'ignores pas qu'éric Blair était socialiste, plutôt "anarchist tory" (anarchiste conservateur) et avant tout anti totalitaire (marxiste à certains égards mais anti staliniens et hétérodoxe au regard des partis communistes européens). 1984 fut immédiatement récupéré par les milieux conservateurs et anti communistes américains comme une œuvre à charge contre le communisme, ce qu'elle n'était pas, bien sur.
Miller qui rencontra brièvement Orwell à Paris durant sa période misérable (Dans la dèche à Paris et à Londres) ne compris jamais pourquoi ce dernier voulait s'engager dans le camp républicain espagnol.
La phrase clef du livre est d'Emmanuel Goldstein: "Buvons au passé, le passé est plus important"
bon dimanche

Écrit par : hoplite | 16/11/2008

Londres ?
Éclectisme, rigueur, excentricité, contrastes, tolérance, surveillance, royauté, révolutions, traditions, modernisme...
Magnifique capitale, mais... ... ... Je trouve leurs fenêtres trop petites.

Écrit par : Balmolok | 16/11/2008

@ Hoplite : Diable !! on ne peut rien te cacher ... mais bon , j'avais déjà parlé de la mousse et des pubs dans le London " first day " !! tu ne l'as pas lu ...
à Londres , j'ai bu de la biére , oui , Corona et Leffe !!
mais si tu veux que je te parle boisson de prédilection , je préfére le vin , rouge de préférence , bordeaux ou bourgogne , quoique le deuxiéme aurait tendance à me faire perdre la tête !
j'aime le champagne , mais modérément , une coupe bien frappée !
sinon , le rhum dans le tit punch( surtout celui de ma copine Stella , des îles !!) et la vodka gelée herbe de bison , voyons qu'aurais-je omis ...
un petit blanc , parfois , et la créme de cassis sur glace pillèe , oui un truc de blonde , je sais !!
j'aime trinquer , la bonne franquette , les diners entre amis , les bréves de comptoir , un petit capirinha ou un mojito à la tombée de la nuit sur la plage ...
un grand verre d'eau de source en cas de grande soif , un vin chaud à la neige , un jus de fruit frais le matin au réveil , si on me l'apporte au lit , encore meilleur !! un thé Earl Grey devant une flambée le Dimanche aprés-midi , un cognac en cas de choc et le lait frais , un grand verre en cas d'insomnie ...
bon , c'est un début Hoplite !!
je bois ...
je respire ...
je danse aussi !

Bon Dimanche à toi , too
kisses
helena

Écrit par : helenablue | 16/11/2008

@ Balmolok : ah oui , je suis d'accord ... un peu petites les fenêtres !!

Écrit par : helenablue | 16/11/2008

La ferme des animaux, c'est une satyre du pouvoir communiste en Russie. Chacun des personnages représenterait ceux qui étaient au pouvoir. Lecture jouissive et pleine d'humour noir. Je recommande.

hoplite, j'aime bien la ale (plus que la pilsener)...

En ce qui concerne la rencontre Miller-Orwell, selon le biographe Bernard Crick, elle a eu lieu à Paris à l'aube de la guerre civile d'Espagne. La période de la vache enragée (Dans la déche à Paris et à Londres - une autre belle lecture) remonte à plus loin, quelque part en 1828. Roman publié plus tard sous le titre "Down and out in Paris and London".

Écrit par : Inukshuk | 16/11/2008

Les fenêtres anglaises, " à guillotine ", oui, à guillotine, des ouvertures suffisantes pour un pays où la pluie n'est pas exceptionnelle.
Les Français ont utilisé le procédé pour se débarrasser de la tête de leur souverain, les Anglais ont préféré, pour cela, la hache. Un jour que je me prenais les doigts dans un fenêtre de Newmarket, ma logeuse me dit : french revolution, Hervé?
Un peu britannique mon commentaire? May be, may be.

Balthazar

P.S. Plus généralement, je confesse mon indigence, je n'ai rien lu ou presque d'Orwell et n'en ai conservé qu'un souvenir d'étudiant.

Écrit par : balthazar | 16/11/2008

Salut et merci pour cet article tout simplement passionnant!
Sinon, je tiens à rebondir sur 1984: un roman fabuleux et d'un très pessimisme!
Pour info, tu trouveras la chronique du film sur mon blog dsla catégorie anticipation.
Amitiés. Olivier

Écrit par : eelsoliver | 16/11/2008

@ Inukshuk : merci pour toutes ces précisions ...
@+

Écrit par : helenablue | 16/11/2008

@ baltha : oui , un peu british , dans le ton du jour !! mais pas seulement !!

Écrit par : helenablue | 16/11/2008

@ eelsoliver :merci Olivier ... j'irais voir chez toi !
amitiés
helena

Écrit par : helenablue | 16/11/2008

j'aime bcp ta note, par le dépaysement, les couleurs, les extravagances de ce peuple si singulier !
merci pour ce voyage !
a bientôt

Écrit par : Ibid Norio | 16/11/2008

Bonjour Helena,

Je viens ici suite aux échanges avec Balthazar.

J'ai beaucoup aimé votre post récent sur Bacon. Cet été, son tryptique exposé à la Modern Tate Gallery m'a fasciné. Rien ne vaut une peinture "en vrai", une photographie de cette même peinture ne procure pas les mêmes émotions.

C'est étonnant de voir que nos chemins ont parcouru des lieux similaires à quelques mois d'intervalle. La maison d'Orwell a fait partie de mes déambulations londoniennes. J'ai beaucoup d'admiration pour cet homme, tant pour son engagement (en particulier pendant la guerre d'Espagne), que pour la pertinence de ses analyses (il faut relire sa postface à 1984 sur la Novlangue, brilliante démonstration des liens entre la pensée et le langage, et les techniques pour brider l'une en appauvrissant l'autre).

A bientôt
Cousin Pierre

Écrit par : Paysage du Temps | 16/11/2008

Blou Helena, tu m'emmènerais à St-Peterschnok que j'en redemanderais.
Londres j'te raconte pas hé...Quelle belle ville à découvrir en ta compagnie et quelle générosité de ta part de nous la partager.
Excellent film adapté de M. Radford: "1984".
Dernière performance de l'acteur Richard Burton avant sa mort.

Écrit par : Yvan L. | 16/11/2008

@ Ibid Norio : rien de tel qu'un petit voyage pour s'aérer la tête !
à bientôt ... moi , je cale sur ta question de personnage ...!!

Écrit par : helenablue | 17/11/2008

@ Cousin Pierre : Bonjour et enchantée ,

Balthazar ne cesse de tarir d'éloge à votre sujet et vous apprécie beaucoup , c'est trés chouette ce que vous faites pour lui ...

merci d'apprécier ce post , cela me demnade un temps fou ! jamais la photographie d'une peinture ne peut complétement retranscrire l'émotion que l'on ressnt face à la peinture elle-même , c'est normal , mais la photographie en elle-même ouvre à des émotions qui lui sont propres , je trouve , c'est un art que je ne connais pas bien mais que j'apprécie ...
votre blog est vraiment beau , émotionnel et inspirant , j'en aime aussi l'ouverture : Paysage du temps ;

Oui les ponts entre les uns et les autres sont toujours assez fascinant , mais au fond il n'y a pas de hasard ...

merci de votre passage ici , j'espére vous revoir .
à bientôt

Helena

Écrit par : helenablue | 17/11/2008

@ Yvan L. : c'est avec plaisir qu'à l'occasion je t'emmenerais faire un tour à Londres !
OH ! ce ne sera peut-être pas aussi idylllique que tu l'imagines , mais cela ne fait pas de mal d'y croire ! pour moi également !
A ST Peterscnok !! cela oblige une rêverie plus approfondie , tout à imaginer ! mais pourquoi pas , l'exercice peut-être savoureux ...

tréve de plaisanterie , merci pour ton com. , Cher Yvan , tu es ici le bienvenu !
espére que ton moral va un peu mieux aprés ce petit détour !

bonne journée à toi
Helena

Écrit par : helenablue | 17/11/2008

Helen,
merci pour ces bonnes nouvelles de RODNEY! et pour ta fin de voyage en images, elles sont parlantes de beauté. Je vais à present m'atteler à la redécouverte de BACON , un autre moment ou comme dirait John Lenon on "Imagine"

Écrit par : alex | 17/11/2008

@ Alex : thank you Alex , you're welcome ... best regards . Helena

Écrit par : helenablue | 17/11/2008

Juste un petit mot perdu dans l'océan des commentaires. Le roman de Georges Orwell n'est à mon sens rien d'autre qu'un programme politique dont depuis la fin de la seconde guerre mondiale nous laissons se mettre en place les règles et dont nous sommes déjà les fébriles serviteurs. Fébrilité attisée par nos peurs ancestrales et donc consentant à tout, y compris comme à l'ordinaire, à confier à une élite le sort de notre absence totale d'imagination. Je vois que vous aussi vous êtes saisie par la folie Face book ! Folie !

Écrit par : Lephauste | 18/11/2008

@ Lephauste : Folie !! c'est exact ... et je m'interroge d'ailleurs ?

Écrit par : helenablue | 18/11/2008

> Lephauste,
Hé, humeur noirte, regarde devant toi, pas derrière, attarde-toi un peu sur la lady de The End.

Balthazar

Écrit par : BalthazaRte, pour Lephauste | 18/11/2008

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