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22/06/2009

c'est l'été...

 

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12:43 Publié dans art de vivre | Lien permanent | Commentaires (8) | Tags : peinture, monet, art, voyage

Commentaires

Malgré l'ombre, je vois une envie de positiver, ma chère Blue !

Écrit par : Marie | 22/06/2009

moi aussi, un peu, positiver, mais peut-être pas pareil, je sais pas.
en tous cas, la dame, elle n'a pas l'air heureuse. a cause de son visage.
mais je l'aime bien. il me semble qu'elle me connait, et que moi aussi je la connais, parce qu'on a déjà parlé ensemble, même si je suis trop petit pour bien me rappeler. et elle ne me veut pas de mal. ça je le sais. et ça fait du bien de se sentir en sécurité. mais je crois qu'elle va partir bientôt. et moi, il va faloir que je rentre à la maison, je crois. je ne sais pas si elle reviendra un jour. il me semble qu'elle s'en va, toute seule, et que plus personne ne la reverra jamais. ça me rend un peu triste, mais je ne peux pas partir avec elle. parce qu'elle s'en va, mais toute seule. et on ne sait pas ou, ni même si elle va mourir. c'est bizarre de savoir qu'on ne peut rien pour elle, alors qu'elle est encore là, pourtant. mais c'est comme si elle était déjà très loin.

Écrit par : Minitroll | 22/06/2009

Bien vu ma chère Marie !!
:-)

Écrit par : helenablue | 22/06/2009

Je ne la ressens pas ainsi, Minitroll, je la sens plutôt dans l'expectative, comme à la croisée des chemins pas seule mais rêveuse, en mouvement oui.
Elle ne s'en va pas, elle laisse aller ses pas, elle déambule, et goûte.
Chacun projette ainsi ce qu'il a besoin d'exprimer, de ressentir.
Sans doute une autre personne y verra encore autre chose.
Moi, j'aime la couleur, la douceur et l'ensoleillement de cette oeuvre et la mélancolie, oui, on ne passe pas de la déprime profonde à l'euphorie, les choses sont graduelles, comme les sentiments, et s'installent step by step.
Sauf la passion qui tsunamise ou la douleur qui peut elle aussi complètement crucifier un individu.
Je sens le mouvement, et la douce chaleur, la lumière et les odeurs de l'été, sous l'ombrelle.

Pas non plus parce que c'est l'été sur le calendrier que c'est la franche rigolade! Mais les rayons qui percent me ravissent, j'avoue.

Écrit par : helenablue | 22/06/2009

pardon pour la tache.

Écrit par : Minitroll | 23/06/2009

Il y a dans ce tableau de Monet comme un parfum d'enfance, de vie antérieure, de bonheur enfui.
Comme si nous avions gâché ce soleil, cette ombre bleu, cet éblouissement des champs.
Pauvres de nous, devant cette haute silhouette de femme, de mère, d'amante !

Écrit par : Mimi Vaurien | 24/06/2009

hello Mimi, oui un parfum de nostalgie, de mélancolie mais de l'espoir , j'y ressens aussi de l'espoir.
Sans doute est-ce une projection de mes propres attentes, sans doute même.

Bises grand frére!
Hélèna

Écrit par : helenablue | 24/06/2009

ben c'est toujours le visage, même aujourd'hui, qui m'évoque solitude et tristesse. chuis revenu voir comme ça.
y'a plus la mort, mais elle continue à subir l'existence.
puis y'a plus ces racines qui sortent de terre en lui enlaçant les pieds non-plus.
elle reste figée, mais n'est plus aussi prisonnière.

Écrit par : jean-philippe | 11/08/2009

Les commentaires sont fermés.