helenablue

Une minute trente de poésie, on serait fous de ne pas cliquer ! L'expression du regard, c,est ce qui m'a le plus impressionné. Tous les muscles faciaux sont à l'oeuvre ! Ne nous oublie pas demain Héléha, la St-Jean Baptiste....j'dis ça j'dis rien :)

Écrit par : rainette | 24/06/2009

Oh oui, de pure poésie ! Merci de nous rappeler Marceau.

L'oiseau

Écrit par : Bluebird | 24/06/2009

Exprimer avec le corps , le visage, le mouvement une foule de sentiments et de situations il était génial dans ce domaine du mime poétique
belle journée à toi Héléna

Écrit par : lyse | 24/06/2009

Le mime...et Marceau: à la fois un regard qui shoote et un corps qui danse...

Écrit par : laurence | 24/06/2009

@ Rainette : Pas de risque que je vous oublie !!

Écrit par : helenablue | 24/06/2009

@ Blue bird : oui, un grand artiste...

Écrit par : helenablue | 24/06/2009

*Lyse, belle journée à toi aussi.


*Laurence, le regard, cette présence du regard...

Écrit par : helenablue | 24/06/2009

tout comme le silence...,le regard on dit souvent plus long que les mots...,cestains...gestes aussi d'ailleurs
Mais je ne vais pas vous épargner de la biographie du mime Marceau,né dans ma région,dans ma ville :-)

Écrit par : francis | 26/06/2009

tout comme le silence...,le regard En dit souvent plus long que les mots...,ceRtains...gestes aussi d'ailleurs
Mais je ne vais pas vous épargner de la biographie du mime Marceau,né dans ma région,dans ma ville :-)

" Marié trois fois et père de quatre enfants, Marcel Mangel passe son enfance à Strasbourg jusqu'à l'âge de 15 ans. Il a fait ses études au lycée Fustel de Coulanges, à côté de la cathédrale Notre-Dame de Strasbourg, où, selon son professeur de français[1], il était le meilleur élève en récitation. Sa famille d'origine juive polonaise est contrainte, après l'invasion allemande, de quitter son domicile pour Périgueux et il poursuit ses études au Lycée Gay-Lussac de Limoges. Son père, un boucher casher, est arrêté en 1944 par la Gestapo et assassiné à Auschwitz. Sous l'influence de son cousin germain Georges Loinger, Marcel rejoint la Résistance en 1942 à Limoges. C'est alors qu'il prend le pseudonyme de Marceau. Il raconte l'avoir « pris dans la Résistance à cause du vers de Victor Hugo, dans Les Châtiments : « Et Joubert sur l'Adige/ Et Marceau sur le Rhin. » J'étais né dans le Bas-Rhin et je voulais bouter les Allemands hors de France »[2]. Dans les Forces françaises libres, grâce à son excellente maîtrise de l'anglais, il devient agent de liaison avec l'armée du général Patton."

Écrit par : francis | 26/06/2009

Merci beaucoup Françis, j'ignorais tout ça. ne m'épargne jamais rien qui puisse m'apprendre, j'adore ça ...
Un sacré Monsieur, ce Marcel là .
A bientôt.
Hélèna.

Écrit par : helenablue | 26/06/2009