19/11/2009
pourquoi cette pluie...
- Idir - Deux rives, un rêve -
Ce matin, j'ai froid jusqu'à l'os.
10:37 Publié dans Musique | Lien permanent | Commentaires (15) | Tags : état d'âme, du rire au larmes, musique, ailleurs, froid de dans, tristesse, découragement, regard, humain, sentiment, autrement, possible, besoin de rêver
Commentaires
Alors prends un peu de mon soleil ici qui luit, prends un peu de ma chaleur, prends mon sourire en entier et sèches-les, tes larmes, si elles coulent. Que ce soit le vent doux de chez moi qui vienne frôler tes joues de loin....
Idir, j'adore ce chanteur. Je l'écoute depuis l'enfance, et toujours il m'a fait du bien. Ecoute le reste de l'album....
Amitiés.
Écrit par : anne des ocreries | 19/11/2009
Oui, tout l'album est superbe, je l'écoute à l'instant où je t'écris...
Merci pour le vent doux et tout le reste aussi...
Écrit par : helenablue | 19/11/2009
Je passais juste pour laisser un message : vous voulez connaître l'effet de Blue et Ray mélangés : essayez le Blu-ray ! hihi
J'espère que ça te réchauffera Blue !
xx
Écrit par : rainette | 19/11/2009
un seul remède... 1,2,3 soleil !
http://www.youtube.com/watch?v=vhPz7h3UOHo
Écrit par : francis | 19/11/2009
Oui francis, of course...
J'ai l'humeur triste mais ça va passer, on peut pas toujours être gai comme un pinson, n'est ce pas?
Écrit par : helenablue | 19/11/2009
Thanks Ray!
Écrit par : helenablue | 19/11/2009
Bon soir tout le monde! Saviez-vous que déjà en 1958 Domenico Modugno rêvait à Helenablue ? Question : avait-elle seulement déjà été planifiée à l’époque ? Un vrai magicien, que ce Domenico, plus encore que Nostradampus et les fameux grand-prêtres mayas! La preuve :
“Penso che un sogno così non ritorni mai più;
rivolgevo le mani e la faccia verso Helena blue,
poi d’improvviso venivo dal vento rapito
e incominciavo a volare nel cielo infinito…
Volare… oh, oh!…
Cantare… oh, oh, oh, oh!
Nel blu, di Helenablue,
felice di stare lassù.
E volavo, volavo felice più in alto del sole ed ancora più su,
mentre il mondo pian piano spariva lontano laggiù,
una musica dolce suonava soltanto per me…”
P.S. J'a bien pensé à consulter ma vieille amie Gigliola Cinguetti, mais, tout compte fait, ce n'est vraiment le jour pour "una lacrima sul viso..."
Écrit par : giulio | 19/11/2009
Je reçois tes tags comme un télégramme adressé à nos coeurs.
Et qui sait, chère Blue, si les pinsons ne chantent pas le coeur triste ? Au début, le coeur triste, et à force de chanter, s'ils se prenaient à chanter de joie ?
Ma mère me disait, quand j'étais triste, que je n'avais qu'à peser sur le piton pour changer de canal, comme sur un téléviseur ! Facile à dire ;-)
De l'exprimer aide, tu ne trouves pas, mais aide encore plus de se savoir entendu.
:-)
Écrit par : Venise | 19/11/2009
@ Venise:
de se permettre aide oui, se permettre d'être triste et désemparée parfois et à bout de souffle. Etre entendue, permet de franchir le cap! n'est ce pas au fond une des richesse de l'écriture, disons plutôt une de de ses ressources. Là le partage devient source , et pourquoi pas de joie et d'espérance, toujours aimé ce mot aérien...
Merci mon amie, merci d'être là.
Écrit par : helenablue | 19/11/2009
@ Guilio: le rêve, la réalité et cette frontière si mince...
Comment vous remercier de tant de grâce....
Écrit par : helenablue | 19/11/2009
oui il y a toujours de quoi nourrir son coeur de froideur, d' autant plus quand la pluie s'y mêle et dégouline bruyamment des colonnes intèrieures ... assourdissantes
As-tu retrouvé de la couleur Héléna?
Écrit par : laure K. | 20/11/2009
Le bleu revient et chasse le blues doucement, merci Laure!
T'embrasse.
Hélèna
Écrit par : helenablue | 20/11/2009
@giulio: Domenico Modugno égale God.
Écrit par : L...................uC | 20/11/2009
un peu de chaleur humaine alors ;-) :-) :-) et des sourires ... ah mais bon sang ! à force c'est frustrant. à quand de vrais sourires, de vrais fous rires, de vraies embrassades, une vraie RENCONTRE. je t'embrasse. Carole (encore un peu là pour les ami(e)s de toile que je ne peux pas quitter tout à fait.
Écrit par : carole | 20/11/2009
Quand tu veux Carole, si si, es-tu loin de Lille?
Et grand merci pour les sourires et la chaleur même au travers de ce prisme je la sens. ♥
Kiiiiiiiiiiiisss!!
Blue
Écrit par : helenablue | 20/11/2009
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