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02/09/2010

Zorba

  

 

"- Ah! que reste-t-il d'une âme pour qui le monde était trop petit! Quelques vers d'un autre, épars et mutilés, pas même un quatrain entier! J'erre sur la terre, visite ceux qui m'étaient chers, mais leur coeur s'est fermé. Par où entrer? Comment me ranimer? je tourne en rond aux portes verrouillées. Ah! si je pouvais vivre libre, sans m'accrocher, comme un noyé, à vos corps chauds et vivants!"

- Nikos Kazantzaki -

 

 

 

00:31 Publié dans Livre | Lien permanent | Commentaires (13) | Tags : trop d'émotions...

Commentaires

J'ai beaucoup aimé le livre. Tu ne trouves pas ? un homme qui danse a toujours quelque chose de solaire......:)

Écrit par : anne des ocreries | 02/09/2010

@ Anne:

Oh! Moi, je le découvre, figures-toi que je ne l'avais jamais lu, et c'est un vrai régal!
Oui, un homme qui danse a quelque chose de solaire, oui...

Écrit par : helenablue | 02/09/2010

Le frisson, comme à chaque fois ... Merci !

Écrit par : Gine | 02/09/2010

Cette scène est magique, elle me fait gonfler le coeur à chaque fois également! J'ai le sentiment à l'avoir commencé que le livre va aussi m'emplir de frissons et davantage, quelle écriture...!!

Écrit par : helenablue | 02/09/2010

Je ne me souvenais oplus du tout des images mais j'avais rien oublié de la musique et d'anthony QUIN
C'est sympa de nous avoir remis la mémoire à jour !

Écrit par : alex | 02/09/2010

My pleasure, Alex...

Écrit par : helenablue | 02/09/2010

@Hélènablue
Merci de nous offrir un tel hymne à la liberté à travers ce splendide et cher Zorba
qui, je l'espère, incarnera, un jour, l'humanité entière débarrassée de toute étroitesse d'esprit, haine et rancoeur!
Quelle sublime danse dionysiaque exprimant un épanouissement extrême et un amour effréné de la vie!
Quelle maestria dans l'interprétation d'Antony Quinn à un tel point qu'on l'assimile
à Zorba!

Écrit par : Mokhtar EL Amraoui | 02/09/2010

Ah! Lorsqu'au passage l'huile d'olive aura bien enrobé tomates et aubergines, liant origan, laurier, fenouil autour du corsage de l'ail et d'un peu de fleur de sel comme unique couronne, s'arrêtant souvent devant flots d'Ouzo aux mil feux, là, pieds et genoux meurtris retrouveront aisance d'antan avec terre et mer, comme autant de mères, air et soleil, fidèles pères.

Écrit par : MakesmewonderHum! | 02/09/2010

@ Mokhtar:

Comme ce serait beau et merveilleux, c'est vrai une humaité à l'image de Zorba!
Bon, il reste à faire!!
Mais de mon tout petit bout d'espace j'y oeuvre ici, avec vous tous qui passez là, une toute petite pierre à l'édifice!?!
Cette danse est réjouissante, même assez orgasmique! Et Anthony Quinn la transcende! Je ne m'en lasse pas...

Écrit par : helenablue | 02/09/2010

@ MmwH!:

Miam!!

Écrit par : helenablue | 02/09/2010

Tiens, personne ne parle du grand acteur que fut Quinn. C'est qu'il a si bien fait, l'ami Antonio Rodolfo Oaxaca Quinn, qu'une majorité de gens croyaient à l'époque qu'il était vraiment grec et ce n'est pas bien plus tard sa personnification d'Onassis qui a arrangé ça. Certes, j'ai adoré les quelques films de Quinn que j'ai vus dans ma jeunesse, peu de chose sur ses 160 (dont pas mal d'alimentaires, mais aussi bien chef-d'oeuvres). Alors, j'ai beau savoir qu'il est né dans le Chihouahoua, non seulement je l'associe toujours dans mon esprit à Zorba, mais aussi à tout ce qui à trait au grec qu'il personnifia si souvent et, tenez-vous bien, a George Moustaki (pourtant à peine plus grec que Quinn) et son Métèque dont je me sens si proche.
C'est fou ce qu'à partir d'un certain âge tout cela s'associe, se mélange et rejaillit en géysers désordonnés sous le choc d'une mélodie quasi-oubliée!

Écrit par : giulio | 02/09/2010

@ giulio:

Ah! Cette chanson de Moustaki, elle me prend aux tripes, encore aujourd'hui!

Écrit par : helenablue | 02/09/2010

thé dansant ou café dansant ? dansons, ami, dansons encore autant, peu importe la tasse ...

Écrit par : laure K. | 03/09/2010

Les commentaires sont fermés.