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05/09/2010

notre besoin de consolation...

 

 

Une pensée pour Terrible, un merci à Louis-Paul...

Commentaires

Oui, on en a tous besoin et moi particulièrement ce matin.
Kiss, Blue.
Bird

Écrit par : Bird | 05/09/2010

@ Bird:

Oh! Que se passe-t-il donc? Un petit creux de vague?

Écrit par : helenablue | 05/09/2010

Etrange soliloque que ce morceau, qui ne parvient pas à toucher mon coeur.
Un sourire parfois parvient à faire circuler un rayon de cette lumière dont nous avons tous tant besoin.
En voici donc deux, du fond du coeur, un pour toi et un pour l'Oiseau
Fanfan

Écrit par : piedssurterre | 05/09/2010

Le texte me touche bien plus que cette interprétation , pour tout t'avouer, Fanfan, mais j'ai tout de même trouvé ça osé et pas complètement inintéressant !!
Bon, pas franchement gai ni optimiste, ça c'est sûr!
Merci pour ton rayon de lumière que je reçois en plein coeur et te renvois en miroir!
Bises.
Blue

Écrit par : helenablue | 05/09/2010

oui je suis d'accord, le texte ne passe pas dans cette interprétation... mais c'est intéressant, justement parce que ça ne passe pas... on se demande pourquoi : pas assez ressenti je pense et la scansion de la musique empêche de suivre le rythme du texte : le rythme et le sens sont intimement lié, en les séparant : on n'entend plus rien.

Écrit par : carole | 05/09/2010

par contre, du coup, je suis allée lire le texte ! merci pour cette découverte !

Écrit par : carole | 05/09/2010

Rien de grave, ma chère Blue, c'est passé déjà.
Kiss.
Bird

Écrit par : Bird | 06/09/2010

Le texte-manifeste de Stig Dagerman est fort et dense mais sa lecture est bien en de çà de ses exigences tonales ainsi que de l'envergure de son souffle et de son CRI!
J'aurais bien vu feu Léo Ferré le lisant.Hélas!
A l'heure où des micro-consolations nous sont vendus, débitées en petits ou gros sachets dans les supermarchés des grandes supercheries du tout publicitaire, lamentables miroirs aux alouettes, je préfère vivre intensément une fertile inconsolation radicale, sans euphémismes soporifiques qui, au moins , aura eu la chance de s'exprimer!
N'est-ce pas mon cher ami, Gérard de Nerval, toi ce si grand Inconsolé?

Écrit par : Mokhtar EL Amraoui | 06/09/2010

Dear friend Blue,
merci encore pour ce cadeau offert.

Je suis d'accord avec ceux qui ont des réserves
à propos de cette lecture musicale.
Les intentions du groupe sont louables et la diffusion
de ce texte magistral n'est jamais une perte mais ce cri
est d'une grandeur telle que tout enrobage supplémentaire
devient une nuisance à son appréciation profonde,
tel un voile devant un regard pénétrant.
Mieux vaut le chef-d'oeuvre nu
que drapé d'inutiles apparats à mon avis.

Va pour la lecture publique à laquelle je n'irais probablement
pas par orgueil, préférant être seul pour brailler
devant un chef-d'oeuvre du désespoir.

Écrit par : Yvan L | 06/09/2010

Intention louable en effet
mais effet désastreux....

Le texte perd sa force, celle qu'il contient intrinsèquement
sans nécessité du verbiage instrumental qui l'affaiblit...

Alors je suis partagé
C'est mieux que rien....
mais c'est en même temps pire que tout !

Écrit par : alainx | 06/09/2010

Ya bien pire que ça, come on!

Oui, le texte se suffit à lui-même tant il est fort,
rien à ajouter, mais une diffusion intégrale déguisée
vaut mieux qu'un silence dans les cas d'oeuvres majeures
en cette époque gouvernée par les multi-nationales
et leurs avocats prônant l'abêtissement, l'inculture
et la désinformation.

Il en a toujours été ainsi quant à moi sur cette terre
quand je lis notre histoire, mais je cracherai jamais
sur la volonté de diffuser une voix sensible et intelligente
même si elle est maladroite dans la manière.

Écrit par : Yvan L | 06/09/2010

Je n'ai pas peur de la mort puisque je suis mort de peur...bien mince consolation.

Écrit par : MakesmewonderHum! | 07/09/2010

Merci de "vulgariser" la connaissance de ce texte qui, aussi brutal, cru, crépusculaire qu'il est, n'en est pas moins d'anthologie et épate par cette force épaisse.
Pour ma part, fan des têtes raides, j'aime beaucoup cette interprétation. Déjà, il fallait l'oser. Ensuite, la musique est étonnante, presque en contretemps du texte scandé, dit, avec la pudeur de ceux qui se savent passerelle.

Écrit par : Didier | 23/09/2010

Les commentaires sont fermés.