24/10/2012
disparaître pour apparaître
09:28 Publié dans art, photographie, poésie, réflexion | Lien permanent | Commentaires (5) | Tags : art, photographie, identité, expression, poésie, partage, humain
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09:28 Publié dans art, photographie, poésie, réflexion | Lien permanent | Commentaires (5) | Tags : art, photographie, identité, expression, poésie, partage, humain
Commentaires
Et l'inverse est vrai aussi. Apparaître pour disparaître. C'est un mouvement que je connais tellement en fait, mais bon c'est comme les nids de poule, le fixe, le lisse n'est pas non plus la vie.
Écrit par : La Rouge | 24/10/2012
On est sans le vouloir une suite de masques, on se cherche, on se découvre, on se protège, parfois on est là, parfois juste on le pense, et souvent on est ailleurs, là-bas, loin, loin de nous-mêmes, dans les nuages, les limbes, les rêves...
Pourtant, c'est en étant là, vraiment là et là pour de bon qu'on peut se mesurer aux choses et surtout à nous-même. Et alors, le comble!, on se découvre et on s'aime et c'est bon...
Prendre le risque d'être, de s'exprimer et d'avoir son idée sur les choses même si elles peuvent parfois paraître décalées. Je trouve qu'il n'y a pas de temps à perdre, c'est court la vie même si ça paraît long. Toujours remettre à plus tard, à après...
Nan. C'est maintenant que ça se passe. Maintenant en nous, maintentant dans notre relation au monde et maintenant tout court, parce que l'instant qu'on vit si on arrive à le vivre en pleine conscience est délicieux. Se sentir vivant, vibrant et congruent, rien à mon sens n'a plus d'importance. Ni apparaître, ni disparaître, ni l'un avant l'autre, ni l'un avec l'autre, être. Etre au plus près de notre moi possible. Libre. Humain. Là.
Écrit par : helenablue | 24/10/2012
Je suis d'accord avec ton affirmation sauf peut-être dans un détail infime mais qui est hyper important pour moi. Rêver d'être toujours vivant, présent et jamais plus loin de nous est de l'ordre de l'absolu et c'est impossible à réaliser humainement. En fait c'est le mouvement de rentrer dans la coquille et en sortir qui est la vie en soi, un peu comme la respiration en fait. Je crois que d'aspirer à un toujours peut être très douloureux comme désir comme jamais n'y aspirer. C'est du même ordre en fait. J'aime bien l'idée de ta réponse mais en enlevant peut-être l'urgence mais j'entends bien que nous n'avons que très peu de temps pour expérimenter la vie humaine et pourtant certaine apprentissage en demande tellement. Merci de cet échange.
Écrit par : La Rouge | 25/10/2012
Je l'aime beaucoup cette image, ce matin.
Écrit par : Laure K. | 12/11/2012
:-)
Écrit par : helenablue | 12/11/2012
Les commentaires sont fermés.