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31/08/2009

Cher toi,

tu me manques et tu n'as pas idée à quel point, tes mots généreux et encourageants, ta prose si personelle et habile, vivante truculente et nourrissante, ton grand corps puissant et affable fort et tendre, et tes mains douces comme de la soie à la poigne bien ferme parfois, tu me manques, tout toi me manque, même tes cris tonitruants et tes excés, tes largesses douceurs et autres mets. Pourtant cela ne devrait pas n'est ce pas, même éloignés l'un de l'autre, l'amour l'amitié qui nous animent ne nous séparent jamais, les amants comme les amis sont pleins l'un de l'autre, mais c'est que parfois cette solitude me pése, seule en étant accompagnée c'est tout à fait étrange et déroutant... Et puis c'est bon aussi de se laisser conduire, de pouvoir poser la tête sur une épaule de confiance et permettre alors à son esprit de vagabonder, c'est bon aussi les bras qui enlacent réconfortants sentir couler ses larmes sur un torse odorant et mâle laisser filer les ténébreuses pensées laisser les tracasseries du jour s'évanouir dans le souffle de l'autre laisser faire se laisser faire en total abandon. Tu me manques et de l'écrire me rassasie. Je n'en finis pas de t'aimer...

 

Commentaires

"seule en étant accompagnée" je comprends très bien ! Qu'il serait bon de sortir du "vert tunnel" n'est-ce pas ? Une présence psysique, c'est un plus ! Mais au moins tu as tout le reste !

allé, viens t'en, kesse t'attends....:)

Écrit par : rainette | 31/08/2009

Ah ! cette absence et les mots qui l'apaisent. Un comblement d'amour qui ne s'épuise pas.

Écrit par : briigtte giraud | 31/08/2009

Quoi, quoi kesse j'attends, " Mais de quoi tu parles ?"

Écrit par : helenablue | 31/08/2009

Oui, Brigitte les mots sont des étoiles parfois aussi.

Écrit par : helenablue | 31/08/2009

.. The queen sat down and began to play the lute while her blue bird circled above her in the air as it always did when she played.
Wolfram, who watched the bird´s flight with a greedy hunter´s eyes, grew very restless.
The queen, who had turned her gaze upon him, said: " If this bird is shot down from its free domain it will turn into a dangerous scorpion when it touched the ground".

Wolfram and the Smith
Fairy-tale by Paul BühlerLteraischer Verlag 4143 Dornach , Suisse 1976
Le livre me trouve sur le museumsuferfest à francfort le WE derniér.
Bonne rentrée thomchan

Écrit par : thomchan | 01/09/2009

Belle lettre à lui, trés émouvante, caressante. J'imagine si une telle m'ait été écrite, je prendrais le premier avion, je courais vers elle et je l'enlacerais et je lui dirais des mots d'amour: ne me quitte pas, il faut oublier, oublier le temps des malentendus, et le temps perdu, ne me quitte pas , ne me quitte pas, ne me quitte paaaaas.

Écrit par : bizak | 17/03/2011

:-)

J'imagine que je ferais de même!

Écrit par : helenablue | 18/03/2011

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