Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

30/11/2009

élan

 

2499914091_ab276ca257.jpg

 

" Quand j'aime, mon sentiment est une inondation qui s'épanche tout à l'entour."

- Gustave Flaubert -

 

 

 

Commentaires

D'accord avec Gustave ! Tiens, si je relisais sa correspondance, d'ailleurs ?

Écrit par : anne des ocreries | 30/11/2009

Magnifique cette correspondance de Flaubert, cette phrase est tirée d'une lettre à Louise Colet, celle que je préfére de Gustave, celle à sa bien-aimée...

Écrit par : helenablue | 30/11/2009

Polyvalences ou "cut - paste"

"Quand je m'épanche, mon inondation est un sentiment qui aime tout à l'entour."

Écrit par : giulio | 30/11/2009

Et même maintenant je crie bravo quand j'aime avant je n'osais pas

Écrit par : laurence | 30/11/2009

faut savoir sortir de soi
c'est dangereux

aimer quand on est un fil de rasoir
prêt à donner tout
pour rien
avec confiance
sans rien à gagner sinon
ce miroir d'amour auquel on ne peut répondre
qu'avec une espèce de mort en soi qui gache tout
qui envoie tout vers le bas
défigure la beauté à l'acide
avec des pleurs dedans qui se lamentent sans cesse

parce que la misère immense du monde existe
et qu'on en est l'acteur
en jouissant
en souffrant
en regardant
impassible
frileux
péteux
fidèle
entier
démembré par le tout

la pluie fine tombe
te renvoie au catacombes

Écrit par : Michel Thor | 01/12/2009

serre-moi dans tes bras
comme un bébé
et qu'on en finisse

insuffle moi ta bienveillance quand je vois
le meurtre
l'agonie partout

dans ma main étalée sur le sable
qui ne se résigne pas à n'avoir plus de conscience
comme un lambeau qui pense

erre

Écrit par : michel thor | 01/12/2009

sur les chemins
les visages de femmes insoumises
qui luttent

je me vois
dans le gravas qui hante la scène
insoumis et mort
face à l'ignorance

la mélancolie absorbe toutes mes fibres

comment veux-tu inventer
face à ta plaie que je ne peux soigner

libre
tu parles de liberté
tu t'en gargarises

je ne vois que la soumission à tes ordres
dans ton ardeur humaniste

et je continue à souffrir

seul
avec le manque de
toi
et sachant que ça ne viendra jamais
l'osmose promise

Écrit par : michel thor | 01/12/2009

"Hélas les heures tristes paraissent longues"

Écrit par : laurence | 01/12/2009

Oui mais quand l'amour s'en va, c'est moi qui me noie dans mes propres larmes !
Jolie photo aux ailes de plumes ...
Amicalement.

Écrit par : Saravati | 01/12/2009

Les commentaires sont fermés.