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12/07/2010

surtout ne pas perdre pied...

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- Aquarelle de Nathalie Cortese -

 

Commentaires

oui parfois la posture donne le change mais impossible de passer à la vitesse supérieure
Ravie de faire partie d'un quatuor...

Écrit par : laurence | 12/07/2010

Très poétique: on suggère et on laisse faire.

Écrit par : Halagu | 12/07/2010

Blue, comment ne pas perdre pied
Quand affaibli et fatigué
Autant en emporte le vent,
On s’accroche à un cerf-volant.

Et comment ne pas perdre pied
Quand la tête dans les nuages
Tout est souvenirs, rien ne se crée
On s’accroche à un cerveau lent

Ici la robe ne descend pas ;
Pas besoin pour ça de l’accompagner.
Donc l’essentiel est déjà passé ;
Passée la rose, reste le lilas.

Écrit par : giulio | 12/07/2010

Chere Helenablue,
Suite a un bref passage chez Jalel El Gharbi, je decouvre avec bonheur votre page et votre style distingue.

Avec avidite dans la douleur et dans la joie j'ai lu quelques unes de vos notes que je trouve remarquables tant je m'y retrouve. Une honnete et une sensibilite qui me font rever.

J'envie votre talent.
Merci.

Écrit par : Autum | 12/07/2010

A bien les fixer, ces pieds sont deux cerbères aux yeux menaçants et protecteurs, à la fois, préfigurant/préparant une métamorphose lycanthropique
du grand Minuit des désirs hurleurs.
Une robe céleste diurne tombe pour céder la place à une torride nudité nocturne
habillée d'attente enflammée où les pieds ne sont pas pris mais prennent dans leur bleu incendie!
Ravageur?

Mokhtar El Amraoui

Écrit par : Mokhtar El Amraoui | 12/07/2010

C'est étrange j'aime surtout ces genoux tournés l'un vers l'autre et ces cuisses qui se frôlent. Les talons permettent sans doute de rendre plus flagrant, plus beau, ce mouvement du haut qui cache en ne faisant qu'inviter

Écrit par : Mik | 12/07/2010

hé bien !! que de vagues ... Cendrillon les avaient bleus aussi ! les talons -

Écrit par : laure K. | 13/07/2010

@ Giulio:

toujours un ravissement de te lire...
Et,j'ai bien noté chez Jalel, l'humour... Ne t'inquiète pas je ne l'oublie pas, d'ailleurs il est en partie partie prenante de la poésie de la vie! Et est plus que compatible avec l'essence même de la poésie, je trouve.
Passante.
Blue

Écrit par : helenablue | 13/07/2010

@ Autum:

Merci à vous de votre délicate sincérité qui me touche... Et ravie de pouvoir vous émouvoir et vous permettre de vous retrouver au travers de mes mots.

Au plaisir.
Blue

Écrit par : helenablue | 13/07/2010

@ Mokhtar El Amraoui:

Un peu les gardiens du temple ces chaussures aux pieds, non?
J'aime beaucoup cette ravageuse idée de robe céleste diurne couleur d'azur qui laisse place à une toride nudité nocturne enflammante et rayonnante...
Ton imagination et ton inspiration sont bien plus sensuelles que ce que je voulais transmettre de prime abord et c'est quelque chose que j'affectionne particulièrement quand on m'emméne au delà...

Tentateur?

Blue

Écrit par : helenablue | 13/07/2010

@Hélènablue

En fait, pour moi, les chaussures et les pieds ne font qu'un et le rythme de cette aquarelle est théâtralement scénique. C'est Eros (dans son temple ,en effet)
et ses inévitables, nécessaires et sublimes tentations!

Mokhtar El amraoui

Écrit par : Mokhtar El Amraoui | 13/07/2010

Hum, Mokhtar, il y a un je ne sais quoi dans le mouvement, nu vêtu dévêtu,et puis tout ce bleu... Avec une sorte d'espiéglerie aux pieds aussi... Tout ça m'a plu. Et puis le doute d'un début ou d'une fin, théâtralement scéniqe, oui, tout à fait, qui raconte à elle seule tellement d'histoires à en perdre pied...

Écrit par : helenablue | 13/07/2010

suite 604

Écrit par : laurence | 14/07/2010

;-)

Écrit par : helenablue | 14/07/2010

Les commentaires sont fermés.