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30/05/2011

Boucle d'or

amitié,art de vivre,maquillage,partage,histoire,famille,humain

 - Blue make-upée, bouclée et photographiée par Stella -

 

Dernières longueurs pour Boucle d'heures!

 


 

Commentaires

@Stella
merci beaucoup! Je ne savais pas du tout, au juste, quoi faire de ce qui me restait de ce Dimanche des Muguets et puis voilà que tu m'offres, là, à admirer, une ravissante princesse aux boucles d'or, chère Stella fée aux doigts d'or!

Dear Blue,
J'ai eu là une idée ; je ne sais pas ce que vous allez en penser chers toutes et tous DuBlue'sblog
Je propose qu'on écrive, tous ensemble, sans se concerter sur la trame narrative ni sur son contenu un conte sur la princesse Blue aux boucles d'or. Et après, Blue, regroupera les morceaux du puzzle selon le montage qu'elle aura choisi!
Qu'en pensez-vous?

Écrit par : Mokhtar EL Amraoui | 01/05/2011

perso je pense que Stella avais un "sujet" de 1er choix. Flagorneur moi jamais.
Bzzz... ;)

Écrit par : le bourdon masqué | 01/05/2011

Le conte sera ouvert comme un feuilleton décalé, où chacun y contribuera selon son inspiration et son désir; cependant, on fixera une date butoir pour la fin, dans un mois , par exemple.Je suis sûr qu'il y aura tant de suspense et d'inattendu, surtout qu'il y a tant de variétés et de boucles d'or dans chacun de nos styles, chacun à sa façon! Et c'est Blue qui donnera les phrases d'envoi! J'attends vos réponses, merci d'avance, chers amis!

Écrit par : Mokhtar EL Amraoui | 01/05/2011

@ le bourdon masqué:

Hummm!!!

Écrit par : helenablue | 01/05/2011

@ Mokhtar et à vous tous:

Cette idée me plaît, ce conte Blue ou Boucle d'or genre "cadavre exquis" qui promet plein de surprises en tout genre, j'aimerais beaucoup savoir ce qu'il peut donner en fin de compte!

Bon, disons qu'on se donne un mois, démarrage aujourd'hui le 1 er Mai et fin des inspirations le 1 er Juin, ensuite je ferais une mouture de tout ce qui aura été écrit ici. Techniquement pour pouvoir participer à n'importe quel moment il faudra revenir sur cette note du 1 er mai intitulée Boucle d'or, ça va peut-être être un peu compliqué mais ça vaut le coup je pense d'essayer! Je ferais un ou deux petits rappels de temps en temps, pour dire de réenclencher les plumes et les rêveries des uns et des autres!
Alors, à vos imaginaires et à vos claviers mes amis! C'est parti!

"Il était une fois ..."

Écrit par : helenablue | 01/05/2011

... un drôle de marin qui...


(Eh! pour une fois que je complimente...)
Bzzz...

Écrit par : le bourdon masqué | 01/05/2011

Je propose qu'on mette à chaque contribution pour le conte"suite au conte"afin de la distinguer des commentaires sur "Boucle d'or"


Suite au conte:
une ravissante princesse qui vivait avec son père , roi aimant passionnément la chasse aux papillons et quelques fois la guerre pour se dégourdir les chevaux et l'épée disait-il aux rois des contrées voisines qu'il terrorisait en dîmes! C'est pour ma chère Boucle d'or que je fais ça, elle le vaut bien ; je ferais tout , comme elle est mon unique, pour qu'elle ait la grâce des papillons et le courage d'une future reine adulée!" Tant que mes jambes porteront mon cou, tu ne manqueras de rien ma douce et si tendre Blue chérie!"

Écrit par : Mokhtar EL Amraoui | 01/05/2011

@Héléna
Avant d'entamer la suite du conte concocté par Mokh, je voudrai te dire que c'est un soleil que j'ai vu apparaitre à l'écran. Tellement il était lumineux, que je n'ai pas jugé utile d'allumer ma veilleuse, fin.
-Suite au conte:Donc, maintenant, qu'est ce que je vais raconter... non, je dois me concentrer, comprenez moi, c'est pas facile de remplir une page blanche, surtout que la princesse est blanche, non..plutôt blonde! c'est comme blanche neige, tout le monde l'aime, mais dis-don Mokh! On ne veut pas qu'elle fasse la guerre avec ses chevaux parce que des fois, qu'elle se mette sur ses quatre chevaux... et la suite lorsque je verrais Notre Chère Laure! sinon je fais grève ce 1er mai!

Écrit par : bizak | 01/05/2011

@Bizak
C'est un conte plutôt surréaliste, comme l'a rappelé Blue, il n'est donc pas linéaire; tu peux lui donner n'importe quelle direction!Personne n'est obligé de suivre le sens que lui donne un autre! Quant à Laure, nous sommes tous impatients de la revoir!

Écrit par : Mokhtar EL Amraoui | 01/05/2011

@Mokhtar
Ok! j'ai coooompriiiiiis!
Suite au conte: Le bucheron était accompagné d'une jolie poupée, qu'on croirait une princesse sortie tout droit d'un conte des mille et nuits; Son regard était sublime, chaud, envoutant, en contraste avec celui féroce du bucheron, sorti, lui des cavernes d'Ali baba et des quarante et un voleurs ( le quarante et unième, c'est le bucheron, lui même). Donc, pendant que j'étais subjugué par le regard de la princesse, j'ai appris qu'une certaine laurence a perdu son portable (je m'excuse, les portables n'existaient pas à l'époque des princes et des princesses, mais on me l'a sussuré à l'oreille)...et la suite viendra aprés: le clin d'oeil de Laure! Fin

Écrit par : bizak | 01/05/2011

@Bizak
C'était juste un rappel de la règle du jeu.

Écrit par : Mokhtar EL Amraoui | 01/05/2011

Suite au conte:

Blue Boucle se sentait bien seule en haut de sa tour d'ivoire, pourtant tout le monde à la ronde enviait sa douce blondeur et ses yeux rieurs, mais elle à l'intérieur, sentait toute la fragilité du monde et sa peur, sa peur si tenace que parfois elle se transformait en pleurs profonds et vivaces.

Écrit par : helenablue | 02/05/2011

Que tu es belle, ma Blue !!! et que ça fait plaisir de te voir en portrait, comme ça !

Tu rayonnes, j'aime ça ! :)

Écrit par : anne des ocreries | 02/05/2011

@ Mokhtar : d'accord pour le conte ! mais ça va pas être simple de caser ça dans mon timing bondé....:)

Écrit par : anne des ocreries | 02/05/2011

Bah! Anne tu as un bon mois pour trouver quelques instants, ça devrait pouvoir le faire! Non?

Écrit par : helenablue | 02/05/2011

Comme elle a raison, il fait bon de se redorer le blason et qui mieux que ta soeur de coeur pour s'occuper de ton extèrieur/intérieur. Régénération !
alors oui, rendez vous au Balcon les gars, les filles !
;-)

Écrit par : laure K. | 02/05/2011

Ho ! je n' avais pas lu vos commentaires...

euh, alors, Laure itou elle est d' accord pour le conte mais quand elle aura le temps et l'inspir... je vous suis avec mon tempo les garçons, merci !

Écrit par : laure K. | 02/05/2011

Suite du conte:
ses larmes firent fuser, sous ses yeux des fleurs parleuses. L'une d'elles, lui essuyant, ses larmes lui dit:"Ô chère Blue boucle d'or , accepte d'être notre reine!"
et nous te prtègerons; ne te trompe pas sur le compte de nos pouvoirs. Nous pouvons être plus que carnivores si on nous maltraite.Le bûcheron qui avait l'ouïe très fine capta ses mots et alla les rapporter à son cousin le marin qui était follement amoureux de ladite princesse!

Écrit par : Mokhtar EL Amraoui | 02/05/2011

suite du conte:

Elle avait entraperçu entre deux larmes un marin pas ordinaire, une sorte de voyageur solitaire, un peu bourru mais à l'allure altière et qui semblait avoir tant vécu!

Écrit par : helenablue | 02/05/2011

Suite au conte:

Brad pitt sursauta quand il vit dans sa glace, le visage épanoui d'une fée aux boucles d'or! Il se demandait où est ce qu'il avait déjà vu ce visage. Aprés un moment de reflexion, sur tous les films qu'il avait tournés, il se rappela cette charmante dame aux boucles d'or qu'on lui avait présentait pour un tournage d'un film sur une île deserte du coté du brésil où on consomme à longueur de journée de la mojito. Boucle d'or avait refusé de tourner dans une île deserte où il n'y avait pas âme bleue qui vive et lui Brad Pitt, lui, n'avait pas beaucoup insisté pour la persuader d'accepter et ...subitement le visage sur la glace, a disparu... La suite

Écrit par : bizak | 02/05/2011

suite du conte:

La musique et la danse étaient sont carburants, Ah! Zorba! Elle aimait tant les rythmes qu'elle en perdait parfois la tête au grand damne de son père le roi de nulle part! Elle c'était les voyages et les découvertes et les voiliers la tête au vent qui la faisaient vibrer et non les chasses à cour et les coffres emplis d'or digne des quarante voleurs. Elle se voyait peau d'âne un jour, cendrillon le lendemain, d'Artagnan, Dantes, Zorro, et Lupin, l'Arsène qui avait réussi à atteindre son coeur par je ne sais quel stratagème...

Écrit par : helenablue | 02/05/2011

Suite du conte:
Un petit flash back s'impose. Sa mère qui avait des ambitions politiques a voulu destituer le roi et s'emparer du pouvoir au profit de son père le logolof (Seigneur en langue plogolofa, communauté dont la reine est issue) d'une contrée voisine dont venait aussi le bûcheron péteur de service( vous comprendrez plus tard, chers lectrices et lecteurs).Vous êtes impatients? eh bien, je vous explique! La reine désirait fort le bûcheron péteur et lui, comprenant cela , n'y allait jamais de bois mort c'était de cette engeance de forte cogne; Alors , elle prétextait n'importe quelle maladie de ses chers arbres pour qu'elle le convoquât une dizaine de fois, l'insatiable, par jour;alors, chaque fois qu'il la ramonait, à la fin, au coït, il pétait et elle de lui demander: mais pourquoi? et lui de répondre, assouvi et encore demandeur libidinal: "Quand kiki content, cucul tam-tam!"Satisfaits, les lecteurs?
Le marin était aussi beau qu'un Brad Pitt bien maquillé, après une belle cuite aux mojitos brésiliens.
Son cousin le bûcheron, un jour, après dix séance d'hypermembru tamtameux, vola le slip de la princesse et l'offrit après l'avoir reniflé pendant une semaine, au marin transi!

Écrit par : Mokhtar EL Amraoui | 02/05/2011

Suite du conte:
Ma parole, c'était le slip des sept lieues! Le jeune marin avalait littéralement monts et vaux emporté par les voiles de sa solide mâture, qui, au moindre contact avec ce butin,s'érigeait, se gonflant aux vents , de plus belle!
Arrivé à sa cabane de solitaire volontaire se léguant à l'amour fidèle de la princesse
Blue boucle d'or!
Il inspira toute la réserve d'air qu'il avait emmagasiné pour y loger les senteurs de foutre et de pisse dorée de la sublime princesse.Repu, il prit, tout fébrile,tantôt sa longue- vue, tantôt sa loupe pour lire , décoder un quelconque signe lui révélant un secret aussi intime de sa bien-aimée! il cueillit quelques poils bien plus dorés que l'or des ors et les mit précautionneusement dans l'immense mouchoir de son trisaïeul. Au contact des poils le mouchoir se gonfla et comença à éternuer en voltigeant dans la cabane! ce n'est qu'après moult effort que ledit mouchoir s'assagit , peut-ête repu, qui sait; On attendra un SMS d'outre-tombe!
En cachant soigneusement le mouchoir, notre chère jeune premier qui se prenait pour le Brad Pitt du village. Admirait les reliefs formés sur le slip et allait dans une interminable rêverie! Ce qu'au début il avait pris pour des motifs brodés, s'avérèrent, en approchant sa loupe une carte du royaume avec des flèches traçant l'itinéraire d'une perfide attaque des plogolofa et signé de la main-même de a reine; ce slip allait être envoyé par la reine à son frère le Logolof!
C'était une lâche conspiration ourdie par la sale reine !

Écrit par : Mokhtar EL Amraoui | 02/05/2011

@anne des ocreries
Merci d'accepter notre jeu. Laisse-toi aller spontanément! Muguet et bisous.

Écrit par : Mokhtar EL Amraoui | 02/05/2011

suite au conte:
ce jeune marin aux allures de Simbad avait pour compagnon un de ces magnifique ara bleu acquis auprès d'un peintre reclus dans une des provinces de ce royaume ce volatile répondait au doux nom de Kiri. Selon les rumeurs il détenait un secret...

Écrit par : le bourdon masqué | 02/05/2011

Cet ara avait le pouvoir de faire communiquer des personnes qui habitaient loin les unes des autres. On murmurait un nom, en le regardant de face, là juste entre les deux yeux, et pfitt de retour déjà, il rapportait un message et la conversation s'installait.
Parfois la fatigue, le travail ou même le désir de solitude fesait que l'interlocuteur n'était pas disponible. Alors le bel oiseau bleu étendait ses ailes comme une sorte de voile et il en résutait une danse captivante qui magique, élixir d'oubli, signifiait "il faut tourner la page, chanter d'autres chansons" Le regard de l'oiseau prenait alors une couleur de lever du jour et indiquait, là au loin un autre chemin...

Écrit par : laurence | 02/05/2011

Suite au conte:
La princesse aux boucles d’or était amoureuse d’un jeune prince d’un conté habité par un peuple portant le nom de grosgros, qui est doté d’une force herculéenne, elle-même est issue d’un conté habité par un peuple nommé les quiquis, mais très chétif et court de taille. Ces deux contés étaient constamment en guerre, et chose bizarre c’étaient toujours les quiquis qui gagnaient à la guerre, malgré leur apparence physique qui ne se payait pas de mine. Un jour, la princesse, aux boucles d’or, voulut savoir, comment est ce que son peuple perdait souvent à la guerre ; Elle chargea un de ses hommes de main d’aller fureter du côté des quiquis, pour comprendre comment ils sont toujours les plus forts. Cet homme de main, du nom de gros con, s’est mis en contact avec le prince des quiquis, amoureux lui aussi de la jeune princesse aux boucles d’or et lui demanda pourquoi, eux les grosgros perdaient à la guerre alors qu’ils sont dotés d’une force physique incroyable. Le prince lui répondit : mais mon ami, gros con, nous, on a l’intelligence. Et qu’est ce que l’intelligence lui demanda-t-il ? L’intelligence, lui dit le prince, c’est…il vit un tronc d’arbre à proximité, il mit sa main dessus et demanda au grosgros de frapper avec son épée. Le grosgos est resté stupéfait par cette demande et frappa, le prince retira sa main rapidement et le coup a raté sa cible. Le prince lui dit alors, c’est ça l’intelligence ! Le grosgros, très content de sa découverte, courut à son conté pour annoncer sa découverte. Chef, Chef : On va gagner à la guerre ! On va gagner à la guerre ! Et le chef lui dit : imbécile, comment tu vas gagner à la guerre ? Et le grosgros lui répondit : j’ai l’intelligence ! Et c’est quoi l’intelligence lui demanda son chef ? Le grosgros chercha, aux alentours, un tronc d’arbre et comme il n’en trouva pas, il mit sa main sur sa tête et dit : chef, frappez !

Écrit par : bizak | 02/05/2011

Suite:
Le regard de l'oiseau lui indiquait le chemin, désormais la gitane aux cheveux de jais devait le suivre jour et nuit, plutôt la nuit parce que les argousins du roi la poursuivaient :elle avait allégé le poullailler d'un Grosgros galonné. Depuis que son bel amour l'avait quittée pour jouer les corsaires avec le capitaine Crochet ,elle était toute à sa mission lue dans la boule de cristal.Elle encouragea la mule qui trébuchait dans les cailloux et siffla le chien qui riait aux étoiles .La sienne ,la bleue à reflets d'or ,elle la suivrait jusqu'au bout pour éclairer Boucle d'Or sur son passé mais avant tout lui révéler son fabuleux avenir...

Écrit par : Manouche | 02/05/2011

Suite du conte: Alors, un geyser de sang tout noir de tant de conneries grogros forma un panache inextinguible qui arrosa le roi grosgros tout sec qui maudit cet énergumème qui lui fit rater sa Bd préférée"Le dernier caniveau des quiquis"! Il appela le couturier Dédeboue pour arrêter ce flux sanguin ou le boire , ce qui était fort habituel chez les grogrogros infraclasse des grogros car n'ayant pas trop de temps pour les classifications, ils se contentait d'ajouter gros pour se retrouver dans leurs filatures et marquages des suspects et même des suce-pets (notamment du charbonnier qui était fort prisé).
A ce moment-là , le beau marin amadouait sa mâture en reniflant, tel un saule pleureur, le fameux slip transformé en bouquet!"Doooooooonne- le au rooooooi! sauve ta teeeeerre" gueulait, de toutes ses plumes, l'ara kiri comme un bon karateka japonais lançant son fatal kiai en bouffant un sushi bien merguezé!
"Doooooonne ce sliiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiip et tu auras plus que des niiiippes , toutes ses succuuuuulentes liiiiiiippes tant du haut que du baaaaaaas! En entendant ce dernier mot, il éjacula si fort qu'il a failli faire tomber Kiri non de son perchoir mais enceint. Il n'a même pas eu le temps d'essuyer les dégâts causés sur l'ara que sa cabane était déjà encerclée par la soldatesque du roi père de Boucle ;le général gêné râla de sa tunique caca d'oie parce que cela rime avec loi .Il sortit de sa poche, laquelle? les historiens y travaillent encore, un clone de l'ara de cet espèce de Sindbad dinguamoureux. Notre Brad Pitt comprit! C'est son ara Kiri
qui transmit en direct, au moment où il fut aspergé par son maître, tous les détails sur le slip codé, du moment que c'était son pouvoir que celui de communiquer à toutes les distance quand son bec sonar n'était pas cloué et il y avait crise de clous au royaume;le marin argua de son patriotisme, huma le slip , ce qui gonfla ses voiles et en moins de quelques secondes , se retrouva agenouillé devant le trône auréolé de papillons. "Sire, voici la preuve d'un perfide coup d'état ourdi par vos ennemis et la reine!"Le roi demanda aux papillons de cesser de se raconter des histoires grivoises sur les fleurs et appela le chancelier chancelant car il boitait péniblement; seules les guerres le guérissaient.Ah! Martiales pulsions!

Écrit par : Mokhtar EL Amraoui | 02/05/2011

Suite au conte:
Une lègère rectification pour mon conte précédent : la princesse aux boucles d'or est issue du conté des grogros et le prince est issue de celui des quiquis.

Écrit par : bizak | 02/05/2011

SUITE AU COMTE
A CE TRAIN LA, DANS UN MOIS LE CONTE RESSEMBLERAIT A CELUI DES MILLES ET UNE NUIT ET DONNERAIT UN OUVRAGE DE 5000 PAGES.

Écrit par : bizak | 02/05/2011

Suite au conte
Urgent: cette histoire des grogros se situait aux environs de l'an 1450 et que un de leurs chefs était l'arrière,arrière..arrière...etc...................................grand père de Ben laden mort en l'an 2011 par les futurs yankées, peuple d'un continent qui sera découvert en l'an de 1492.

Écrit par : bizak | 02/05/2011

Suite du conte:
Un éléphant,plutôt éléphante, entra, dans la grande salle des audiences extrêmes, éventant les cinq mille pages des "Faits guerroyés" depuis moches lurettes;c'était le décompte des jours de guerres et disettes. Tous les autres étaient de belles lurettes."Approche, mon petit éléphant tout beau, tout chaud chaud; montre-moi, de ta trompe, le vrai", en lui tendant le slip crypté. Un barrissement tout rose faillit faire s'écrouler,voire s'écouler tout le palais.Comme il était télépattes d'éléphant(e), il informa le roi des catastrophes qu'il risquait s'il ne faisait pas bouger le cul de ces deux grands vizirs Illico et Presto.Ils vinrent sur-le-champ et promirent de former les bataillons. Les papillons regardaient effarés, ces humains baver de plaisir à préparer les guerres!

Écrit par : Mokhtar EL Amraoui | 02/05/2011

Suite au conte:
Pendant donc, que tout le monde guerroyait, notre douce princesse aux boucles d'or, se pavanait dans des sentiers battus, pour attraper des papillons à plusieurs colaures; Ces sentiers forment l'actuel boulevard des champs élysées où réside un certain petit bonhomme, grand chef de son Etat actuel.

Écrit par : bizak | 02/05/2011

Suite au conte:
La belle princesse aux boucles d'or, étant VEGETARIENNE, le prince des quiquis s'inquiétait à chaque fois qu'il a le dos tourné, que la princesse le quitte pour une GROSSE LEGUME.

Écrit par : bizak | 02/05/2011

Sublime, oui, mais tu facilites grandement le travail de Stella car tu les déjà au naturel.

Kiss, Blue.
Bird.

Écrit par : Bird | 02/05/2011

Suite:
Pour garder toutes ses chances et faire son petit persil le salsifi ri -quiqui avait pour l'occasion revêtu son caraco en karacul kaki.

Écrit par : Manouche | 02/05/2011

Suite au conte:
Brad Pitt Pat a toujours un plan dans sa poche: il demande à la princesse de faire une aventure avec lui dans les hautes mers et la princesse lui dit d'accord, mais à condition qu'il faut accoster au port de La Malaysie, son nom. De là, on fait voile jusqu'aux Iles Sous-le-Vent, et dès que nous sentons comme un parfum de poivre et de camphre, nous virons tribord toutes et nous continuons tout droit.Robinson Chrisuoé nous attend pour souper. Soyons pas en retard: son Pâté Chinois va refroidir.

Écrit par : bizak | 02/05/2011

Suite au conte:
Aprés le grand diner servi et bien arrosé à la mojita, Brad Pitt Pat, s'adressa à la princesse aux sourdes d'oreilles d'or ( veuillez excuser la confusion vu l'état d'ébriété, il fallait lire... aux boucles d'or!) en ces termes: les princesses partagent nos plaisirs, doublent nos touments et triplent nos dépenses. Alors, partez seule princesse avec votre robinson Christusoé (la mojita fait déjà son effet, comme hier à LAURE) et la suite du conte vous la saurez aprés mon sommeil profond et éthylico-comateux!

Écrit par : bizak | 02/05/2011

Suite du conte:
Frappant de plein fouet l'un des dangeureux iceberg fait de glace chaude le navire se titanisant éjecta par-dessus bord le Pitre des Braderies allant de ce vol rejoindre l'homme des Caprio. La pôvre Boucle d'or scotchée comme une figure de proue sans voix à l'avant du navire s'enfonca comme une argonaute mal préparée à ce suffocant destin de l'apesanteur océane.
Qui l'eu cru? Contre toutes attentes elle se réveilla régurgitant, eau, varech et quelques calmars avalés contre son gré. Un personnage tout droit sorti des tambours et trompettes la tenait dans ses bras, il était énorme et empestait le mauvais cigar.

__Qui êtes-vous, où suis-je? demanda t'elle.

__Je suis Bruno Coca Triste et vous avez échouée sur l'île des Auditions.
__Je suppose que vous savez danser et chanter un peu, ce matin se sont les auditions pour "Hair". Vos cheveux, petite,sont pas terribles allez voir, là-bas, Stella elle vous redressera la boule à bigoudis, bonne chance pour la suite...
__Et détachez-moi un peu ce chemisier, il faut les faire rêver un peu!

Écrit par : MakesmewonderHum! | 02/05/2011

Suite du conte:

"Ah! Si j'étais un homme, se disait Blue d'or, je serais romantique..."

Écrit par : helenablue | 02/05/2011

Suite au conte:
Hélas sur cette île point de sentiment pour ces hommes qui gardaient la geôle sise sous ce palais.
Tous ceux qui avait fait entorse aux lois de Coca Triste y étaient entassés. L'un deux un jeune potier habile interné en ce lieux s'y retrouva entravé, proie facile.
Son crime, dans une bousculade l'un des gens d'armes tomba ,deux de ses hommes crurent le potier responsable, ils le rouèrent de coups puis trainé dans cette cage aux barreaux verticaux. Il y passa deux jours et cette nuit d'effroi. Il eu préféré le cachot l'isolement, malgré ses cris étouffés, il ne chantera plus.
Il se jura d'alerter et de dénoncer mais à qui, la période n'était plus au dialogue les Gros gros désirant en découdre avec les Quiquis.
Le désespoir mêle de haine il voulait oublier. Peine perdue, Écoutant une conversation dans un estaminet c'est là qu'il entendit pour la première fois l'évocation de ce ara, mythe ou réalité il serait bientôt fixé...

Écrit par : le bourdon masqué | 02/05/2011

Suite du conte:
On apporta la grande ardoise non pur payer les dus mais pour la queue de l'oracle! Celle de l'éléphant qui avait le pouvoir de décrypter tous les codes et cela donna le texte suivant:"Les quiquis ont promis aux plogolofs de les aider à renverser le père de Boucle d'or qui leur imposait dîmes sur dîmes.Cela devenait intolérable!Le frère de la reine le logolof leur avait promis des concessions minières pour quatre siècles, qui constituait la dote de Boucle d'or! Comme un malheur ne vient jamais seul,Illico et Presto informèrent le roi de la disparition de la princesse et l'ara magique leur apprit qu'elle voguait sur un navire battant pavillon quiqui! On retourna les terres meubles et immeubles du royaume avec des pelleteuses Mc Cormick qui n'existaient pas encore! Walou! que nenni!Seules les oreilles de l'éléphant roses calmèrent le roi qui avait appris par le chancelier qui ne boitait plus depuis qu'il avait appris l'imminence de la guerre, que le sinistre BCT, à comprendre, de bien entendu, Bruno Coca Triste! Il demandait, le pestiféré une rançon!

Écrit par : Mokhtar EL Amraoui | 02/05/2011

Suite du conte
Une foule bigarée faisait cercle autour de l'ara perché sur l'épaule du cyclope nain aux oreiles de pachidermes qui ,d'un singulier ballotement, attièdissait l'air presqu'insupportable, qui se déposait comme une bruine fétide sur les toiles du chapiteau de cette kermesse digne de Bruegel.
On le questionnait le plumé beau-parleur comme on questionne l'oracle des lieux. D'abord son nom
__Kiri
sur le pourquoi du Kiri, et pourquoi pas "Qui rit" comme la Vache déifiée qui achevait de pourrir tout près en contribuant grandement à l'odeur des environs.
Le cyclope fulminait de voir son devin ainsi ridiculisé lorsque tout à coup...

Écrit par : MakesmewonderHum! | 02/05/2011

Time-out du conte!
Mokhtar je t'assure ne pas avoir lu ton post,p.c.q bien installé sur les ailes du Bourdon!

Écrit par : MakesmewonderHum! | 02/05/2011

Sans suite!...
MakesmewonderHum! rencontra Mokhtar EL Amraoui pour se concerter sur la situation Bizark d'un certain Bourdon masqué qui n'arrêtait pas d'enquiquiner le beau visage d'Hélénablue. En plus de son bourdonnement sonorisant et dés Laure qu'il tape sur le système nerveux de l'Anne des ocreries, Laurence intervint pour invoquer le Christ-ian en vue de soulever le Mistral et faire un Appels d'air dans cette maison de la dulcinée de Pat.

Écrit par : bizak | 02/05/2011

Suite du conte
@MakesmewonderHum!
Ce n'est pas grave , les maillons ne sont pas reliés , de toute façon, de manière logique. Vive l'imprévu de la liberté narrative. Le cadavre n'en sera que plus exquis!
(sic)

Tout se compliquait pour le roi!"Boucle d'or, ma chère fille, où es-tu donc?"se surprenait-il à délirer en plein rêve! Il se levait tout en sueur.Son éléphant rose l'éventait alors de ses interminables oreilles et le chatouillait de sa trompe souffleuse. Une idée de génie éclaira son esprit déprimé: utiliser le clone de l'ara!
On convoqua le général à l'uniforme caca d'oie; ce dernier mobilisa son ara-clone.Il vit le nain cyclope marchander avec Bruno Coca Triste et surtout localiser le bateau pirate.

Écrit par : Mokhtar EL Amraoui | 02/05/2011

Oué, bin le système nerveux de l'anne des ocreries, il en a pris un sacré coup à essayer de s'y retrouver ! Mayday ! mayday ! berrichonne en perdition cherche neurones frais pour greffe urgente, je suis complètement lourdéééééeeee !!!!
Dans un mois, ce sera pire !!!! :D

Écrit par : anne des ocreries | 03/05/2011

Suite au conte:
Aprés donc, le reveil dû à un sommeil profond sans somnifère, Brad Pitt Pat, consulta les étoiles du berger pour connaître les mouvements de la mer et regretta déjà d'avoir laisser partir la princesse aux boucs d'or sans bouée de sauvetage, risquant ainsi de se noyer. Craignant les vociférations du roi Dagobert pour le traitement indigne commis envers une princesse, Brad, pour les amis, décida de faire appel à Don Quichotte pour commettre un rigicide démocratique et populaire( quoique démocratie et populaire, c'est du pareil au même, mais bref...) Don Quichotte ayant une idée géniale, inventa une nouvelle stratégie, au lieu de s'attaquer aux moulins à vent, il préféra réquisitionner toutes les urnes et les bourrer à mourir, pas de mojito, bien sûr, mais de bulletins de votes secrets de polichinelle. L'histoire s'arrête là, c'est l'aube et il n'y a plus d'étoiles du berger, ni de boucs d'or pour se faire un méchoui tunisien.
D'ailleurs c'est le Ramadhan, on ne doit rien faire, jusqu'au coucher du soleil dormant.

Écrit par : bizak | 03/05/2011

Avoye, Anne, embarque on y'ira pas trop vite. 2 ou 3 Nausicalm pour la route et un p'tit pétard pour te "slacker" les neuronnes! Pis tu va vouères que... rien qu'à vouère on voit bin, qu'à noirceur on voit rien!

*Je crois qu'on frappe à la porte et qu'il y a deux hommes en sarrau blanc qui exigent de la crème au chocolat. Au secours, viens à mon aide!

Écrit par : MakesmewonderHum! | 03/05/2011

Suite du conte: intermède de la horde sauvage.

Pendant que tout ce beau monde se démenait corps et âmes aux quatre coins de la sphère pour retrouver La belle au..,euh hum! pardon, Boucle d'or, les uns se servaient d'aras le bec au sol comme détecteurs de particules de lingerie fine, les autres de gigots de boucs émissaire pour relever le couscous à servir au retour tant attendu de la gamine affamée. Sans compter les Del la Mancha étourdis et toutes ces bérrichonnes prêtent à se faire greffer quelques neuronnes à la plancha à défaut de tifs d'or, réservés, aux jouvencelles pucelles monégasques (bel oxymoron!).
À l'autre bout, dans le ciel de Pervenche un immense nuage de poussière et de sable fin se déplacait à grande vitesse, accompagné d'un roulement de tonnerre indescriptible. Venant à assombrir l'azur et l'horizon du même coup on distinguait un peu mieux la silouhette d'une immense horde de bisons ayant à leur tête, montée sur trois d'entre eux (un petit, un moyen et un gros) une cavalière familière, à première vue, vêtue de plaques, plastron et cotte de mailles assortie. On l'entendait très distinctement blasphèmer à tue-tête:

__Avoye, sacrament, bâtard de tabaslak, plus vite!
La Joan of Arc qui renait de ses cendres...

Écrit par : MakesmewonderHum! | 03/05/2011

suite au conte:
Au port d'Olympia le royaume de Coca Triste, notre marin débarquait du Bobino ancien navire d'un armateur adverse qui avait fait faillite en investissant la plus grande partie de sa fortune dans l'implantation de moulins à vent dans le Klondike. Son souverain Charlot 1er en avait mangé ses chaussures tellement la ressecesion qui en suivi eu été sévère. L'ara Kiri était sur ce raffio,une fine chainette d'or à la patte. Mais déjà dans l'ombre de inquiétants personnages attendaient le moment propice pour le dérobé, des espions du père de Boucle D'Or,oui c'était sûr, des Ch'tis (Comité Hétéroclite des Taupes Intérieurs à la Sécurité). Boucle d'Or entourée de ses dames de compagnie songeait au cadeau que son roi de père lui ferait pour son anniversaire.

Écrit par : le bourdon masqué | 03/05/2011

uite au conte:
La Joan of Arc, cette gitane à la crinière de jais qui, tenant, en étendard la boule bleue révélatrice de l'avenir de la Bluecle d'or qui cherchait elle de son côté tout en pensant à ce qu'allait lui offrir son père et toujours amoureuse de son marin disparu enfermée dans une cage immense grande comme un palais sa culotte préférée qui lui avait été dérobé celle avec les écritures façon papier journal et qui devait à l'heure qu'il est être précieusement entre les mains de son bien-aimé son seul et unique celui à l'ara bleu que son père convoitait pour elle, parcourait le grand Nord à la recherche de la Belle à qui elle avait tant à dire!

Écrit par : helenablue | 03/05/2011

Suite au conte:
La princesse aux boucles d'or, debout sur ses quatre chevaux, en bois d'ébène se mit à jurer par ses Grands Dieux que si son marin n'est pas retrouvé, dans les minutes qui suivent, elle irait le chercher, jusqu'au fin fond de l'océan, même s'il s'est noyé et bouffé par des requins, et si c'est le cas, pour ces requins, elle est capable d'assécher tout l'océan pour se venger de ces carnassiers géants de la mer, mal inspirés (vous imaginez: bouffer son amoureux, comme un pâté chinois mouillé, ça ne se pardonne pas! Il fallait peut être le rechauffer, ce pâté!).

Écrit par : bizak | 03/05/2011

Suite au conte:
Brad Pitre, comme son nom ne l'indique pas, qui était resté sur le bord du Quebec libre, pour cuver sa cuite de la veille, regrettait l'absence de sa princesse bleue aux boucles d'or, partie sans lui dire au revoir. Il se demandait, en pensant à la soeur de sa princesse, s'il ne va pas s'envoyer une Stella Artois au bar de l'ébèniste du coin, histoire d'être dans l'ambiance du moment à l'outre-mer.
Il n'imaginait pas, qu'il est peut être bouffé par des requins à mille lieux au dessous du niveau des mers et que sa dulcinée de princesse est partie à la recherche de sa dépouille transformée en pâté chinois et nichée au creux de l'estomac du carnassier d'eau douce, élevé dans un aquarium chinois.

Écrit par : bizak | 03/05/2011

Les comités hétéroclites ne purent rien faire jusqu'à maintenant . Ils voulurent tout laisser tomber mais c'était compter sans les UGLY SMELLERS des bouledogs humanoïdes qui peuvent renifler à des kilomètres à la ronde les bras d'un cul-de-jatte et vous dire dans quelle guerre il les perdus! Ils passèrent dans le Detectorium ouvert sur tous les continents et reniflèrent en haute concentration; l'un des Ugly s'écria "ça c'est du Bloucle d'or !", c'est près de La Malaisie ! C'est là-bas qu'elle est captive. Son boss voulut être rassuré."Comment en es-tu sûr? "Et l'ugly de rétorquer:"J'ai étudié avec elle et je ne faisais que me crosser sur l'odeur de sa peau qui est le meilleur parfum du monde!!!!!Je ne peux paaaaaas me troooommper!!!!!râla-t-il. "Sur d'autres peut-être, mais jamais, sur elle!!!!!ma belle! Bêla-t-il!

Écrit par : Mokhtar EL Amraoui | 03/05/2011

suite au conte:
Ce soir là, la princesse aux boucles d'or se préparait à un diner dansant et ne savait pas, sur quel pied danser tellement elle était nerveuse et inquiète de ne pas être prete et d'être en beauté pour son amoureux qui, je dois le rappeler, a été sauvé des griffes ou plutôt des dents du requin. Donc, ce soir, la princesse aux bd'o se demandait quelle robe allait-elle mettre? quel maquillage?... hop! Sa Soeur, oui sa soeur! C'est une grande maquilleuse, elle s'appelle Settela (alias Stella), elle a immédiatement pris son portable, tout en se disant, Mon Dieu, j'espère que j'ai toujours son numéro. A peine allait-elle former le numéro, qu'elle entendit des coups à la porte. Elle alla ouvrir et qui voit-elle? Non! ce n'est pas vrai! toi, là, maintenant! A-t-elle criait et elle tomba dans les pommes....la suite, prochainement.

Écrit par : bizak | 03/05/2011

suite du conte.
Joan of Arc s'apercoit qu'elle chevauche ("qu'elle bizoune" aurait été mal interprété!), avec sa horde de bisons, dans la mauvaise direction par l'odeur bien distincte, des Ugly-Smellers, laissée à l'Est de l'Éden. S'arrête, constate sa méprise et sa trop grande confiance aux GPS de l'époque, descend de ses monture torturée par une soudaine envie...Vous avez déjà pissé, vêtu d'une armure, d'une cotte de mailles et être femme en plus? Elle allonge la jambe gauche, droit devant elle par dessus le buisson, comme une manière de canniveau aérien, s'exécute en sifflotant "Figaro,figaro,figaro", secoue légèrement le canniveau, nommé d'office, remonte altière sur ses trois bêtes et reprend sa route.

Ti-galot, ti-galot, ti-galot, ti-galot, ti-galot, ti-galot, ti-galot, ti-galot,__ HI-ho Silver!

__Bluecle d'or, je viens à ta rescousse.- se disait-elle en se mordant la lèvre, inquiète du retard occasionné par son erreur de parcour et sur le... conte par le fait même.

Écrit par : Makesmewonderhum! | 03/05/2011

Suite du conte:
Elle en mangea quelques-unes après s'être réveillée puis mordit le sein de Stella qu'elle prit pour une pomme, ce qui la fit crier! Après moult excuses, elles se réembrassèrent comme deux gouttes d'eau et tout en se smakant , parvenaient à deviser de tout et rien.Une partie de ping-pong discursif s'installa, chacune allant de son "Raconte""Raconte""Raconte" et aucune ne disait quoi que ce fût! Après quelques sets, Bloucle d'or ( Merci pour le télescopage des deux mots Dear Blue, la grande linguiste!), fit part à la Stella de ses inquiétudes quant à la robe, le maquillage,etc. Stella explosa de rire , ce qui fit pleurer la blonde comme une cigarette sous la pluie! "Mais qu'as-tu donc, ma chère soeur?" en refermant sur elle ses luisants bras d'ébène. "Tu te moques de moi!" "Mais attends donc,O!O!O!
Mais tu délire, soeurette de mon coeur!
j'ai ri (sans Tom!) car il ne te manque qu'une ceinture!" "De chasteté? Mais je n'ai nullement l'intention de forniquer, avant mes justes noces!" dit -elle, offusquée! "Chérie, juste une ceinture pour te ceindre la taille!" "En tenue d'Eve?"
"Mais non, ta tenue sera faite de tes longs et blonds cheveux que je vais te tresser en sublimes rayons de soleil, à faire se lever , disons le plus vieux des fossilisés!" dit sa soeur comme jumelle! "Ah! Là, tu me rassures!"Rétorqua la sublime princesse , en prenant la main de sa fantastique sauveuse si sexy!

Écrit par : Mokhtar EL Amraoui | 03/05/2011

Suite au conte:
Bien que la toilette, la coiffure, et tous les préparatifs du bal eussent valu à la princesse beaucoup de soucis et de tracas, maintenant, elle entrait au bal avec aisance et avant même de saluer de sa jolie main les autres invités, son marin qui l'attendait, vint l'inviter à danser pour la valse. Il était ébahi par son charme fou à faire chavirer les plus endurcis des hommes.Des jeunes loups jetaient des regards d'envie vers ce couple qui mena une danse d'enfer. Pendant la danse, la princesse laissait voir ses belles épaules, qui semblaient taillées dans de l'ivoire, sa poitrine, ses bras ronds et ses fins poignets. Toute la salle n'avait de yeux que pour elle. La princesse aux bd'o, aprés une bonne heure de valse, entonna la chanson de Brel, en criant à tue tête:
Qu'une valse à trois temps
Une valse à vingt ans
Une valse à cent temps
Une valse à cent ans
Une valse ça s'entend
A chaque carrefour
Dans Paris que l'amour
Rafraîchit au printemps
Une valse à mille temps
Une valse à mille temps
Une valse a mis le temps
De patienter vingt ans
Pour que tu aies vingt ans
Et pour que j'aie vingt ans
Une valse à mille temps
Une valse à mille temps
Une valse à mille temps
Offre seule aux amants
Trois cent trente-trois fois le temps
De batir un roman

Écrit par : bizak | 03/05/2011

Suite du conte:
Heureusement que Stella était là, sublime, dans la salle du bal! En effet l'ugly-smeller déguisé en vielle dame voulait , par jalousie, tuer le couple; par un coup de ciseaux et quelques poudres multicolores, l'ugly n'y voyait plus rien! il éternua tant qu'il se transforma en tas de morve si gélatineuse que les dragons protecteurs crurent que c'était du collagène pour freiner leurs étirements;ils enflammèrent ce tas gélatineux , en veillant aux pas des danseurs en transe!

Écrit par : Mokhtar EL Amraoui | 03/05/2011

Suite du conte:
Heureusement que Stella était là, sublime, dans la salle du bal! En effet l'ugly-smeller déguisé en vielle dame voulait , par jalousie, tuer le couple; par un coup de ciseaux et quelques poudres multicolores, l'ugly n'y voyait plus rien! il éternua tant qu'il se transforma en tas de morve si gélatineuse que les dragons protecteurs crurent que c'était du collagène pour freiner leurs étirements;ils enflammèrent ce tas gélatineux , en veillant aux pas des danseurs en transe!

Écrit par : Mokhtar EL Amraoui | 03/05/2011

Suite au conte:
La commande semblait étrange mais pas impossible à réaliser. Un peu plus d'argile et le tour était joué. Toutefois cet énorme poterie que le potier devait exécuter avait une particularité, elle serait la gangue d'un oiseau de belle taille et celui-ci placé sur le plateau tournerait pendant que les doigts et les mains érigeraient la paroi du récipient,ensuite viendrait le problème de la cuisson.
Vraiment bizarre ce travail hors du commun son commanditaire était un ponte des ch'tis mais le potier l'ignorait.

Écrit par : le bourdon masqué | 03/05/2011

suite du conte

La valse était si chamanique que l'on y pû cuire un veau d'or en cérémonie officielle à la belle, en braillant au Diable et au Dieu d'aller se faire pendre, de se gargariser avec des lois divines et de les recracher d' une traite au fond du bénitier comme on vomit dans de la dentelle;

Boucle s'en fout. Maintenant, elle dort. Elle devient un aspégic géant, effervescent et indolore. Pschiiit .

"N'allume pas la lampe, n'allume pas la lampe" dit une petite voix du fond du creux de la nuit. Les feux des phares balayent le plafond comme autant de signaux distinctifs du réel écrasant. Boucle d'or sent que le jour va poindre, le cri aqueux des oiseaux de mer. Serait-ce une chambre d'hôtel du bout du monde ? Elle ne sait pas bien, son corps s'enfonce dans la chair des draps de nuit. Des notes sourdes résonnent sous son crâne et l' immersion à l'état de veille prend un temps infini à se mettre en place.
Le bateau, la côte, les nausées, la vague, les membres d'équipage, tous bien réel ou bien ? Boucle d'or ne sait plus ni qui elle est, ni d'où elle vient.
Un mouvement venant de sa gauche lui fait soudainement prendre conscience de son dos, de sa main, ses bras, son sexe, ses hanches... et d'une infinie jouissance d'être en vie, sa nudité étendue sous le drap. Il doit faire chaud.

Écrit par : laure K. | 03/05/2011

Suite du conte:
Son index voyageait, tout brûlant sur les courbes diaphanes de ce corps si félin et chaud; là , offert, sentant encore les vapeurs du rêve. Le même doigt, tel celui d'un potier expert préparant le vase pour les comités hétéroclites, se hasarda vers des régions plus forestières , appelant à la rescousse les quatre autres doigts rassurés par le silence de la princesse qui semblait être une invitation à plus loin. "Maudit sois-tu! Ne pousse pas plus loin!Qu'as-tu donc à offenser un con si royal?"
Le marin bafouilla ne sachant plus articuler la moindre excuse! Il érigea de plus belle et explosa tout laiteux sur la face matinale de la sublime "Aïe, s'écria-t-elle, petit maladroit, va!"La deuxième explosion éjecta l'ara Kiri sur les fleurs parleuses qui faillirent le dévorer!

Écrit par : Mokhtar EL Amraoui | 04/05/2011

fuite et poursuite du conte
La J of A:
__Je crois qu'il vaut mieux ne pas m'arrêter devant ce lupanar!
Ti-galot, ti-galot, ti-galot, ti-galot, ti-galot, ti-galot, ti-galot, ti-galot, ti-galot

Écrit par : MakesmewonderHum! | 04/05/2011

suite au conte.
Les ch'tis concertés se répartirent les besognes deux d'entre eux iront subtiliser l'ara deux de leurs collègues se chargeront d'évoquer le séjour carcéral auprès du potier afin d"en avoir le contrôle et surtout qu'il se taise sur cette commande si particulière.
Pour le reste de "l'équipe" la logistique sera leur objectif.
Le problème de la cuisson était réglé, elle se ferait "à froid" comme en cuisine, au jus de citron, l'ara supportera-t-il ?

Écrit par : le bourdon masqué | 04/05/2011

Suite du conte:
"Spermettez-moi de vous essuailler, noble princesse de mes insomnies érectiles!"
Ecarte-toi donc de moi!Tu auras à me prouver tout autrement ton amour.Il se fabrique , aujourd'hui , une gangue pour ton ara par d'experts potiers . Si tu m'aimes, apporte-la- moi vite avant que ne s'en emparent les comités hétéroclites!
Oui, ça c'est du défi,on ne convole pas facilement avec moi , mon petit biteux à lait!"Il voulut lui expliquer que ce n'était pas du lait mais se résolut à se taire!
L'intrépide marin malin accepta avec fierté et orgueil la mission et après force courbette, se retira.
Le ciel était d'un inénarrable glauque. Au lupanar, il tira un coup, la chasse et sa montre puis sortit vers le grand atelier de poterie. Des escouades de Comités Hétéroclites l'encerclaient. Il eut une géniale intuition: il alla chez la grimeuse Stella qui sut le déguiser en barde ivre chantant la bravoure de Comités Hétéroclites! Tout enlyré, il chantait avec une voix suave" Ti-galot, tigalot, tigalot, au galop mon papagalo, avant que tu ne deviennes mamagalo!"
Il parcou

Écrit par : Mokhtar EL Amraoui | 04/05/2011

Pour rire:Un petit billet d'un humoriste sur un quotidien algerien que je lis chaque jour-
Quoi ? Ben Laden est mort ? Vite !
Attribuez-lui un numéro d’ISBN ! (numéro d'enregistrement pour l'edition d'un livre en Algerie)

Par Hakim Laâlam le 04/05/11
Email : laalamh@yahoo.fr
Etrange phénomène observé en haute mer par des scientifiques,
ces dernières heures. La prolifération d’une nouvelle race de poisson.
Le poisson à barbe !

Écrit par : bizak | 04/05/2011

Excusez ma précipitation!
Suite du conte:
Il parcourut plusieurs kilomètres feignant l'ivresse et tournoyant comme un bourdon masqué . Les soldats des comités hétéroclites égayés, se mirent à chantouiller après lui. Il a feint un hoquet quasi-mortel et c'est pour cela qu'on le laissa entrer dans l'immense atelier. Il repéra Tête d'argile le plus vieux et le plus expert de la guide !
"Mon pote t'y es", chuchota le marin à ses neurones tout érigés de désir pour Bluecle d'or. Il donna un coup de lyre à Tête d'argile qui perdit son nord fait d'étoiles gazouillantes. Chancelant, le malin marin prit la gangue et salua le gang des Hétéroclitorisés par les chansons ; il les laissa ti-galotiser et enfourcha la première jument escampette qu'il trouva sans épousseter sa poudre!

Écrit par : Mokhtar EL Amraoui | 04/05/2011

Suite du conte:
Quand le général des Hétéroclites entra dans l'atelier, il trouva le vieux de la guilde bavant , sans connaissance à part celles relatives à la poterie.il le réveilla d'un tonitruant "schnell!" qui fit s'enfuir les fourmis les plus audacieuses qui se tapaient un petit bain d'argile si des fois les cigales faisaiet les intéressantes!"schnell et ganz schnell!" vieux potiron mal dégrossi! où est schnell(il était monomaniaque du schnell) la gangue de l'ara. Le vieillard encore tout sonner reprit latour, tout éberlué; ce n'est qu'après le coup de pied de Ganz schnell qu'il comprit dansquel sale pétrin il s'était foutu! Les fourmis éclatèrent de rire. Il feignit de ne pas les avoir entendus. Les" Ganz schnell" pleuvaient sur lui comme dans "Singing in the rain"plus les coups de pieds et les insupportables fourmillantes moqueries!

Écrit par : Mokhtar EL Amraoui | 04/05/2011

Suite au conte:
Le voilier, pendant ce temps là, continuait à tanguer au large du pacifique. Boucles d'or qui venait de se reveiller, ne savait pas qu'elle était en plein océan pacifique. C'était le mouvement venant de gauche qui l'avait réveiller en sursaut, qui l'avait découverte dans toute sa nudité de la vièrge Marie et étendue sur les draps. Il faisait une chaleur torride, ce jour là. Maya Lorca, Maya Lorka! où es tu? héla-t-elle: "ramènes ta caméra, viens me filmer dans ma tenue d'Eve, veux tu? Yes! ma syster, lui répondit de loin, Maya Lorca- (Maya qui était une cinéaste et amie intime de la princesse aux Bd'or, tournait un documentaire sur la vie des requins en océan, mais de temps à autre elle aimait filmer son amie, pour des souvenirs.). Brusquement, une vague déferlante, telle un tsunami des côtes japonaises, fit basculer le voilier, entrainant dans son mouvement Maya Lorca dans les bras de Boucles d'or et se retrouvèrent ainsi, nez à nez et les yeux écarquillés de stupeur, mettant un bon bout de temps avant de réaliser ce qui leur arrivait. A ce moment là, le Marin d'eau douce( l'amant de Lady) qui était aussi le capitaine du bateau, fit son entrée et resta surpris par la pose mitigée des deux z'amies, collées comme deux chattes siamoises et restèrent bouches bées devant l'incursion fracassante du Malotru de capitaine qui rentrait sans frapper....(La suite par celui qui veut..

Écrit par : bizak | 04/05/2011

@bizak Pause informative.

Tu m'expliques comment il se peut que pendant une déferlante aussi terrible que tu le mentionnes, jetant, sans discernement de l'état psychologique réel des concernées, jetant, écris-je,avec violence les deux passagères dans les bras et les jambes de l'une zé de l'autre, et qu'en même temps ton machin-truc de marin malhabile puisse,lui, comme-ça, marcher bien tranquilement dans le corridor du voilier, jusqu'à la porte de la cabine de celles-ci, l'ouvrir et dire: __Voilà, je constate de visu votre imposture positionnelle!

JE N'Y CROIS PAS! , c'est cousu de fil blanc votre cinéma. J'veux bien vous démerder avec la suite, lui donner un peu de crédibilité mais nettoyer un peu, enfin!

Écrit par : MakesmewonderHum! | 04/05/2011

Pour info: un petit break de ma part pour presser les citrons et je reviens.
Bzzz...

Écrit par : le bourdon masqué | 04/05/2011

@Makswonder... et à mes lecteurs et lectrices assidus.
J'ai oublié de preciser que l'amant de Chaterley 'est un Marin habitué des hautes mers, en plus d'être un funambule de cirque Amar des années de plomb. D'ailleurs, la princesse aux boucles d'or exige de ses amants d'être non seulement de bons marins aux mains expertes en eaux profondes, mais aussi un funambule invétéré qui se déplace sur des cordes raides du voilier et la boucle d'or est bouclée.

Écrit par : bizak | 04/05/2011

@Makswonderhum!
Votre analyse logicoaffabuLAURE
Comment Dieu vous avez été étonné que mon marin-capitaine ait réussi à franchir la porte de la loge P2 de la princesse et de sa muse, pendant que le bateau chavirait, alors que vous n'aviez rien vu quand MOKHTAR, pour ne pas le citer, ce poète, a reussi à "Spermetter" aux yeux et aux sus de la smala sans parler de la confusion de la boucle d'or entre "mordre le sein de Stella et croquer une pomme"; Alors dites moi comment vous n'avez pas remarqué ce cousu fil sans fil blanc au contraire de mon généreux funambule galant de son état et ne faisant de mal à aucune mouche qui l'a piqué.

Écrit par : bizak | 04/05/2011

Bon, va pour les explications un peu tirées par les cheveux tellement que même Stella, avec trois cafés au bout du peigne, n'arriverait même pas à démêler. Des boucles d'or, pour ajouter à la difficulté!

On repart, suite du conte:

Pendant que Joan of the Lost Arc occupée en d'autres contrés par ses multiples Croisades tantôt contre dogues déguisés à l'antropomorphisme inversé par des individus d'un sous-groupe d'humains qui patauge allègrement dans l'immoralité presque papale bien que palpable pour l'aveugle non-voyant moyen, ouf! Autre tantôt, (pas nécessairement en même temps sans en exclure la possibilité non plus, ubiquité transmise de Dieu à sa plus fidèle pucelle oblige) contre les Draft Dodgers de New York qui finiront, plus tard, deuxième dans la série Viet-Nam et finalement l'ennemie de toujours, Croisade presqu'impossible à gagner,sa vessie un peu relâchée par tant de cavalcades échevelées en armure. Ti-galot, ti-galot...

Au même moment à l'autre bout de la terre qui, nonobstant la recherche infructueuse sur la quadrature du cercle, ne signifie pas revenir au même point mais à une distance d'au moins 10,000 km dans son premier quadrant, la petite Bluecle d'or enfin débarassée de toute ambivalence à son sujet et à la nature de son tourment s'installa confortablement dans son humble "home" devant son métier à tisser avec l'espoir d'y confectionner le plus beau tissu de mensonges pour expliquer au promis de coeur ses douteuses virginales étourderies. Aidé dans cette difficile tâche pour effacer ses taches par une experte en la matière, la Mygale aux amygdales en spirale...

Écrit par : MakesmewonderHum! | 04/05/2011

@bizak
Me sacrifierais-tu donc pour sauver la peau de ta trame narrative? J'espère que je n'ai eu que des hallucinations, en lisant tes mots qui ont voulu me conduire à l'échafaud !
Suite du conte:
De spirale en spirale ,la Mygale subjuguait Bluecle d'or pour l'emprisonner dans sa toile invisible . Seuls les Ugly Smellers auraient pu la renifler ou l'ara kiri la computer; Bref, c'était reparti pour un nouvel enlèvement garantissant toutes les tachycardies et rebondissements. L'affreuse Mygale aspira littéralement Bluecle d'or
dans l'aire asphyxiante de sa toile. On ne voyait plus la princesse! Sa nurse venue l'appeler pour son bain crut qu'elle était sortie se promener; Une battue à grands cors fut vaine et n'ameuta que des loups espiègles! Le brave marin fut reconvoqué pour cette mission qui semblait impossible. Il avait peur pour sa bien-aimée!

Écrit par : Mokhtar EL Amraoui | 05/05/2011

suiet du con-te

Buclud'ur ajoutant un fil de laiton à l'éberluante tapisserie de mensonges marmonnait dans sa burbe " alors repostionnons les L et les M et les B, un à l'horizontal, l'autre à la vertical, entrecroise, demultiplexe, entrecroise, demultiplexe, géniflex et ex, ex ex..." la Pénélope aux doigts de féline tissaient des ut et contre ut si cacophoniques qu'elle finit par lui donner le vertige des grands soirs, comme ces grands soirées organisées au Lupanar Paradis, la boîte à la mode au pays de Jadis. Là bas où tous les rêves sont permissent.

Écrit par : laure K. | 05/05/2011

@bizak, en réponse à votre plus que pointu questionnement de jaloux à la puissance au cube, il m'arrive parfois de ne pas être infaillible et de laisser traîner des détails grotesques pour juger de votre attention, toujours maladive, de les trouver et de me les rapporter comme un bon chien fidèle. Et puis j'ai des préjugés favorables pour certains, défavorables pour d'autres et pas toujours dans cet ordre. Cela vous convient-il comme réponse, sir, ou devrais-je encore vous gifler de mon clavier ganté de velour mais articulé d'une main d'homme à tout faire?

Écrit par : MakesmewonderHum! | 05/05/2011

Notre héros se rendit au Lupanar Paradis, prit un jus de pamplegousse et répétait , sans cesse" Aïe, Aïe! Je l'ai perdue, ma chère, mon amour , celle pour qui je consentirai à tous les sacrifices et heureusement, elle le sent, elle le sait, même si je ne lui ai pas parlé des flammes d'amour qui me consument rien qu'à penser à elle. Comme elle est si fine et si intelligente , elle comprend toujours mes messages,même les plus tacites, elle qui est si forte en ut et contre-ut. Où es-tu donc?Réponds- moi; sans toi, je ne suis plus bon que pour le dernier des requins!Je t'aime, je t'aime( Lara Fabian, viens m'aider!), même si je ne te l'ai pas encore franchement déclaré! Mais tu dois l'avoir compris!!!"
La concombrette, grande détective, vint le consoler, en lui offrant son épaule, chose qu'il ne pouvait faire pour la princesse à cause de la grande distance qui les séparait, maintenant, après son enlèvement! Consolé, elle lui proposa de tout reprendre à zéro. Ils retournèrent sur les lieux de l'enlèvement, à la recherche de quelques indices.

Écrit par : Mokhtar EL Amraoui | 05/05/2011

@Makswonder:
Oui, makes il est libre! et les ferrailleurs aussi,Y'en a même qui disent qu'ils l'ont vu voler, j'ai déjà entendu ça, mais que veux tu, Max? il faut savoir se défendre quelque fois, tirer dans tous les sens. Aprés tout, ce sont les consignes données par les propriétaires des droits d'auteures avec la marque déposée: boucles d'or, qui ne s'usent que si l'on sert pas et laisser l'imagination se fertiliser et cela mène forcément à un cadavre...exquis! Aprés tout, les oeufs, il faut les casser pour faire des omelettes!
@Mokhtar
Je suis navré d'avoir été contraint de me rabattre sur des exemples édifiants qui sautent aux yeux d'un aveugle à qui on danse la valse à mille temps! Pour l'échafaud, il faut un ascenseur pour un crime parfait!!

Écrit par : bizak | 05/05/2011

@bizak
Il ne manque plus que Miles Davis!
Cela ne fait rien , sacrifie -moi sur l'autel de ta plaidoirie, pourvu que ton omelette soit délicieuse.
Suite du conte:
La concombrete , tout attentive repéra quelques fis d'araignée. Au labo flikiâtre on leur donna la fiche de la Mygale transpondeuse de l'invisible. Le technichien cracha son tabac à chiquer cinabre et ravalant sa salive acide dit:" C'est la centième kidnappée par cette foutue rançonneuse de connasse de Mygale. Elle a une espèce de barboteuse radioactive tueuse et surtout invisible.La concombrette tapa fort sur sa cuisse tout en os qui faillit se fracturer et gueula:" Pardi! C'est de la barbotueuse que tu parles, le technichien?" Il acquiesça, tout en ramassant son tabac à chiquer après l'avoir laissé gigoter dans ce bain de bactéries. Il prétendait que c'était aphrodisiaque.

Écrit par : Mokhtar EL Amraoui | 05/05/2011

Suite au conte:
En quittant le Lupanar Paradis où il s'etait passé ce qui se passe d'habitude dans ces lieux là, La lady Mimosa, cousine germaine de la princesse aux Bd'or, remarqua un groupe de hétaires ou de sybarites qui apparement ne s'adonnaient qu'au stupre. Elle s'étonna que des gens puissent mener une vie de patachon et de luxure (vous avez remarqué, chers lecteurs, cheres lectrices que mon jargon commence à être graveleux, car à l'époque de l'histoire, les gens, grâce à l'imagination fertile de leur contemporain Jules Verne,commençaient à penser à mai 68, à la liberté sexuelle), la Lady décida donc, de quitter ces lieux de concupiscence, histoire de ne pas donner l'occasion aux futurs romanciers, de se trémousser de volupté pour décrire les scènes lascives, qui de toute manière vont être flagelées et auto-censurées.Fin de cette épisode lubrique!

Écrit par : bizak | 05/05/2011

@Mesdames et mesdames:
Nous ne sommes qu'au quatrième jour de mai et c'est déjà le 84 épisode de l'histoire de la princesse aux boucles d'or. Alors! Ou vous rangez vos stylos et je ronge le mien, ou on continue ce marathon, mais il nous faut beaucoup d'encre, de salive et d'oeufs, car il faut faire des omelettes!

Écrit par : bizak | 05/05/2011

suite au conte:
Le "Bobino" mouillait depuis 4 jours dans le port déjà et une partie de l'équipage était de sortie dans "la Cité"la rumeur s'était étalée en ce lieu. L'inévitable se produirait les matafs et les ch'tis allait "se fritter".Pendant ce temps là notre potier attendant l'ara répétait ses gestes afin de faciliter l'érection de cette masse d'argile humide. La motte abrasive lui adoucissait les doigts et les paumes. Le visage maculé de cette terre lui offrait son masque de beauté seule sa langue rose tranchait sur ce visage craquelé...

Écrit par : le bourdon masqué | 05/05/2011

@bm Tu t'arrêtes un peu avec l'argile, le temps que je compte jusqu'à trois. Suis presqu'à demi-moore et le teint fantomatique.

1,2,3 ok c'est reparti!

Écrit par : MakesmewonderHum! | 05/05/2011

je déclare forfait avant même d'avoir essayé, c'est trop long, trop abondant, je suis noyée dans ce fil je n'y arrive pas ; et puis.....j'ai jamais été très douée pour les machins collectifs.....:/ j'arrive à faire ma partie dans quelque chose comme "hôtels" où chacun jouait sa note, mais s'insérer dans un tel foisonnement collectif, c'est hors de ma portée.

à mon très grand regret. Navrée.

Écrit par : anne des ocreries | 05/05/2011

@ anne:

Je reconnais que ce n'est pas facile à suivre, mais tu peux participer en inventant une aventure à bluecle d'or indépendamment de ce qui lui arrive déjà et qui n'est pas piqué des hannetons! je me demande quand elle souffle, quand elle mange, quand elle se lave et prend son bain , cette princesse là!!!
:-)
Je me demande aussi quel va être la mouture définitive quand je vais reprendre tous ces éléments pour en faire un met délicat , raffiné, truculent et épicé! oups!

C'est une expérience tout à fait stimulante, essaie encore.... please!
Tu peux le faire!

Bises
Blue

Écrit par : helenablue | 05/05/2011

@Anne des ocreries

Allez vas-y lance toi, je t' attendais !
Donne-moi du fil, Anne !! qu' on dépelote Boucle d'or des tisserans et des ports et autre réglements de conte... prends quelques grandes lignes (de pêche) pour tracer la route et je m'en vais dégoter un rafiot ! je t' attends sur le port à minuit pile !
Pareil pour Laurence, on embarque !!

Écrit par : laure K. | 05/05/2011

alors, ligotez nos trois phénomènes , là, les Lucky Luke de la plume, pasque sans quoi j'vais m'noyeeeeeeeeer ! :))))))

Écrit par : anne des ocreries | 05/05/2011

parce que, pour ma vue, je suis obligée de copier/coller chaque contribution pour pouvoir réussir à lire sans que ce soit douloureux pour mes yeux - ça fait trop mal sinon - , et c'est tout un boulot ! et je suis perdue dans le truc, j'ai pas encore une vue d'ensemble, et pas trop de temps en ce moment, ce qui fait que quand je pourrais me poser pour ingérer tout le plat, y a déjà le rab qui arrive et j'ai tout à recommencer !!!

Écrit par : anne des ocreries | 05/05/2011

woué, pause ... on arrive !!

Écrit par : laure K. | 05/05/2011

@Anne des Ocreries:
Bonjorno, avec tout ce que tu viens d'allonger comme écrit, tu aurais dû tout simplement le précéder d'un "suite au conte" et la vis est vissée , tu remplacerais seulement les "Je" par la blueck d'or. En outre, si tu crois que je me rappelle tout ce que j'ai deversé comme fil à retordre, ça en fait, déjà, une belle petit pelote et notre Blue, la Vraie, la Réelle, celle qu'on aime vraiment,se chargerait de déméler l'écheveau.

Écrit par : bizak | 05/05/2011

OUi et bien on va surtout songer à la désenclaver de son rôle de Pénelope !... enfin moi je dis ça, je dis rien. J'attends @nne... rendez vous au port.

Écrit par : laure K. | 05/05/2011

@Laure K
... Au port d'Amsterdam;Y a des marins qui chantent;Les rêves qui les hantent;

Écrit par : bizak | 05/05/2011

@Blue
Dis moi Blue, tu pourrais mettre ton grain de sel ds le conte
pr que ca ne parte pas ds tous les sens ?
Au moins que chacun reprenne la suite de la derniere phrase
du commentaire precedent qu'on s'y retrouve !! Ca va devenir mechamment difficile de participer sinon
Et tu pourrais aussi intervenir un peu pour donner de la voix a cette boucle d'or
Merdre alors ! Trop facile !

Écrit par : laure K | 05/05/2011

@ Laure K:

OK! On fait ça , on reprend la dernière phrase du commentaire qui précéde et on extrapole!

suite au conte:

"Merde alors! Trop facile!" Elle est bien bonne celle-là, avec tout ce que je suis entrain de vivre en ce moment et toutes les folies qu'on fait faire à mon corps!
" Foi de Boucle d'or", il faut que ça change, que je me remue et que je dise aux uns et aux autres ce que je pense mais voyons, par quel bout commencer... Le lupanar paradis... ce lieu de tous les possibles! J'ai bien envie de reprendre la mer, moi, maintenant et de faire gonfler mes voiles vers d'autres horizons laissant à leurs désirs fous cette bande de sbires scribes et m'isoler quelque part sur une île pour révasser et écrire tout en pensant à mon bien-aimé perdu je ne sais dans quelles lignes ni quelles contrées!

Écrit par : helenablue | 05/05/2011

Suite au conte:
@Héléna
Tu peux commencer la saga ainsi: Maya de lorca s'amena avec le documentaire tourné au triangle des bermudes pour visionner la séquence où notre marin a failli être transformé en saucisson et dévoré, comme un pâté froid mouillé, par un carnassier sauvage de requin scie et marteau à la fois. La princesse aux boucles d'or, pendant le visionnage, se tordant le boyau de rire...........etc

Écrit par : bizak | 05/05/2011

Euh, Bizak, tousse-tousse, on a dit reprendre la dernière phrase du commentaire qui précéde par récrire le conte à chaque fois, tu piges!
:-)

Quant au commencement de la saga, je ferais ce qui me plaît, plaît, plaît!!! C'est pas ça qui devrait de déplaire, non?



Suite au conte:

La princessse aux boucles d'or, pendant le visionnage, se tordant le boyau de rire à la vue des images qui tournoyaient dans sa tête de tout ce qu'elle avait pu déjà vivre, s'imaginer et produire, s'était alongée, alanguie, son long corps caressé par la vague dans une sorte de douce étreinte, se laissant prendre à ses plus douces folies et à ses désirs les plus inattendus...

Écrit par : helenablue | 05/05/2011

@Laurca
C'est bien quand ça part dans tous les sens et que ça donnerait: un cadavre exquis ou...L’Amiral flottant (The Floating Admiral, 1931)

Écrit par : bizak | 05/05/2011

__Quelle ligne nickel z'te contréebasse jé voize.
__Ah! Non,non mon p'tit Miguël, ça va pas du tout. D'abord on dit: Quelle belle ligne, cette contrebasse que je vois!
D'abord parce que je viens tout juste de créé ce merveilleux instrument, approche-toi un peu et pause ta main, glisse sur ses courbes, hume son vernis, pause ton oreille et laisse moi te la sonner de mon arch...mais d'où m'est venu l'idée de cette forme et ces matériaux, ce crin à la colophane, aide-moi à le bâptiser cette tige de bois souple comme la flèche de Jeanne, mon arrière-aïeule et..
__Glaïeul?
__Non aïeule Miguel, aïeule où en étais-je? Ah! Oui, regarde un peu cette douce ligne comme l'horizon lorsque tu es en haut de ta vigie, et que là bas au loin cette..
__Archet?
Archet, oui,oui c'est bien, c'est le mot que je cherchais

Écrit par : MakesmewonderHum! | 05/05/2011

@Héléna:
Moi héléna! Je pensais juste au pauvre malheureux marin qui devait souffrir le martyre au fin fond de l'océan et qui risquait de garnir l'estomac du requin. Il fallait juste débobiner la bobine pour éviter peut être le massacre!.... Il faudrait aussi, penser à Maya Lorca qui ne se retrouve plus avec toutes les bobines de films san fin...

Écrit par : bizak | 05/05/2011

Oh! Moi je ne me fais pas trop de souci pour lui, il a une force herculéene et va avoir aucune peine à rejoindre sa belle sur l'île enchantée où Boucle se la boucle en se la coulant tout en l'espèrant...

Écrit par : helenablue | 05/05/2011

@Laure K
Lorca! Pour désenclaver la blue de son rôle de Pénélope, il faudrait attendre tout d'abord le retour du grand Ulysse parti guerroyer au loin!

Écrit par : bizak | 05/05/2011

Que nenni Bizak !! On n'attend plus les marins a la bourre pour je ne sais quelle mauvaise
Excuse. Guerre ou pas guerre ! Ecole ou pas ecole !
Maya Lorca (ah!) Et autres sauvageonnes vont s'occuper de la princesse aux boucles
De Stella lunaire... Et avec tout ca oui, quand est ce qu'on mange dans cette
Histoire ?

Écrit par : maya lorca | 05/05/2011

ouais, j'ai la dalle, moi, merde ! en plus c'est l'heure de l'apéro, si je ne m'abuse......
Bon, Laure, j'attaque ! livraison, heuuuu....dès que !
Qui aurait des crakers ?, j'ai méchamment faim, là, carburer le ventre creux ça le fait pas !

Écrit par : anne des ocreries | 05/05/2011

Moi!moi!moi, j'ai des crakers plein mon coffre au trésor, des mojitos pour Laure et un jus de pomme des plus rare pour toi, anne, ma soeur anne!

Écrit par : helenablue | 05/05/2011

Ce matin du coup, j'comprends mieux les gouvernements. Tu prends deux ou trois marins qui écrivent, soit pendant de sérieuse crise d'épilepsie( lorsqu'il ne s'agit pas d'éjaculateurs précoces!), soit dans l'illusion qu'il se rapprochent de Dieu par pucelles(on repassera) interposées, soit en diagonale de Linné, rubrique entomo,
deux mètres cubes d'argile à ne plus savoir quoi en faire vous mêlez à cela une chaloupe pleine d'amazones toutes tendances qui vous disent:

__Ah je commencerais par tout balayer du revers de ma plume puis les ducons n'ont qu'à reprendre là où je n'ai même pas commencer, quand c'est pas la vue mal ajustée de l'autre qui baigne dans la crème au chocolat jusqu'à la taille, juste à coté de celle qui nous brandit le gourdin pour que l'on se transexcise le mâchin-truc-chépus. Vivement un gouvernement qui se donne La Pen!

Écrit par : MakesmewonderHum! | 05/05/2011

Cool Ya plus qu'a... ! Rdv a minuit.

Écrit par : Maya Lorca | 05/05/2011

Suite du conte:
La Mygale tenta de gifler la princesse mais cette dernière lui assenna un coup de nunchaku bien nippon et commença à flotter sur les fils de la toile, vu qu'elle ne pouvait se voir elle-même! Seul un miroir pouvait la sauver car dans le tourbillon mygalien, rien n'était perceptible. C'était ne pas compter avec la force de redressement (pas fiscal du tout) de la Mygale. La tricoteuse atomique enserrait à qui mieux-mieux les fibres de sa vindicte. La pauvre Bluecle d'or avançait vers l'inconnu! Miracle !"Slip à terre", le gardien célibataire malgré lui de la centrale atomique mit le miroir des vérifications extrêmes en face de la princesse qui s'y retrouva car le planetarium s'y reflétait; La base Miguel de la Mygale se trouvait sur un atoll du pacifique!

Écrit par : Mcommença à flotter au pif dans la toile, cookhtar EL Amraoui | 05/05/2011

j'adore ce genre "j'me donne un air populo" mais alors c'est par où la bonne direction.
Merci :)

Écrit par : le bourdon masqué | 05/05/2011

ha, non, pas de jus de pomme, ni de raisin, ananas ou agrumes pour moi !!! merci !

Bon, j'ai tout lu, à peu près suivi, j'attaque. j'ai tout sur mon ordi, corrigé et "remis sur pied" plus ou moins !!!

Écrit par : anne des ocreries | 05/05/2011

suite du conte : la pauvre Boucle d'Or était donc sur un atoll du Pacifique, aux mains de la redoutable Mygale, et le monde entier la cherchait assidûment, soit pour de bonnes, soit pour de mauvaises raisons.

Or, un mystérieux navire croisait dans les eaux adjacentes, monté par d'intrépides Amazones, gouverné conjointement par une double capitainerie borgne ; car en effet, chacune des Amazones dirigeant l'esquif , ayant des pouvoirs divinatoires surnaturels, avait un œil pour ce monde, un œil pour l'au-delà, et devaient donc se compléter pour fournir dans chaque monde un regard complet.

Leur magie les avaient prévenues de l'enlèvement de la princesse et des nombreuses exactions de la mygale. Celle-ci avait beau se dissimuler dans ses pouvoirs, elle ne pouvait échapper à l'acuité de leur vision qui perçait tout à jour.
- " nous récupèrerons la Princesse Boucle d'Or", se dirent-elle, lui retrouverons son prince charmant, et déjouerons le complot de la sale Reine et toutes ces embrouilles au sein desquels elle se trouve entraînée par la malignité des Destins".

Et elle firent voiles, pleine toile, grâce à de favorables vents, vers l'atoll où la Mygale commençait à faire la tronche, car elle savait que contre les Amazones, elle y perdrait son fil et sa toile. C'étaient de fieffées guerrières, de farouches soldates, redoutées sur les sept mers.

Écrit par : anne des ocreries | 05/05/2011

...C'étaient de fieffées guerrières, de farouches soldates, redoutées sur les sept mers. Elles s'étaient pourtant cassées les dents en tentant d'arraisonner le Bobino car l'ara bleu et son don avait pu déjouer les plans "d'ammoniac" des femmes mono mamellaires. Les Amazones songeait à s'allier avec l'équipage de ce navire.

Écrit par : le bourdon masqué | 05/05/2011

Au bourdon masqué
De rien.

Suite du conte:
La Mygale explosa de rire en voyant que le narrateur lui-même était complètement
désorienté, vu qu'il s'est trompé de case pour bien inscrire ses nom et prénom mais elle s'aperçut bien trop tard que c'était un code en fait qu'il lança transtemporellement à Bluecle d'or !Cookhtar c'était son pseudo de cuisinier de la Mygale sur le maudit atoll de l'âne à cinq pattes. Et c'était lui qui de concert avec "slip à terre" tendit le miroir à ce soleil de Bluecle d'or!

Écrit par : Mokhtar EL Amraoui | 05/05/2011

Suite du conte :

Sur le navire des Amazones, on échaffaudait un plan machiavélique pour sortir Boucle d'Or de cette histoire ahurissante, mais comme les combats demandent de l'énergie, on pensait aussi une collation sérieuse, histoire de ne pas se battre le ventre vide, ce qui leur occasionnerait des vapeurs ; Tout en mastiquant de roboratifs sandouiches pamplemousse-jambon-sec, elles fourbissaient leurs sabres au Miror.

Sur l'Atoll, la Mygale commençait à sentir le roussi, et Boucle d'Or eut un sursaut d'espoir, dans lequel elle manqua de justesse de se fouler la cheville.

Écrit par : anne des ocreries | 05/05/2011

Bien connu que les boucles respirent par les pieds, ils nous manquent quand même dans cette affaire quel q'une qui les ait bien sur terre!

Écrit par : helenablue | 05/05/2011

Suite du conte : de son côté, crevée comme une employée à temps plein de chez Mc Do, Joan of Arc, exténuée, le fondement perturbé par tant de "ti-galot, ti-galot, ti-galot", s'octroyait une pause méritée, cigare au bec, et tapait la belote avec son troupeau de bisons, même pas futés puisqu'elle gagnait tout le temps.

Écrit par : anne des ocreries | 05/05/2011

Suite du conte
"ô Prinprinprincesse adorée" lui répétait , tout timide , "Slip à terre" surnommé ainsi parce que , de bien entendu, célibataire ,"Auriez-vous mal à votre cheville, Laissez-moi vous masser. En effet, il était expert en la matière; il massait tout ce qui lui tombait sous la main pour conjurer son triste destin. Même la hideuse Mygale avait parfois besoin de ses services . Cookhtar prit la princesse et s'envola avec elle sur la plage! Les Amazones leur envoyèrent une vedette avant la letre car la lettre pouvait attendre.

Écrit par : Mokhtar EL Amraoui | 05/05/2011

Sans doute est-ce pour ça qu'on en a fait une sainte! Même quand tu perds, tu gagnes! Facile quand tu belotes avec une bande de bisons, points de suspension...
Peut-être moins aisé quand comme Boucle d'orée tu t'attaques à tes pairs et que tu bats les cartes avec des haltères-ego non démuni de répondant et d'atout durable et tendu!

Écrit par : helenablue | 05/05/2011

Ah! quel pied que de se faire masser...
Cookhtar avait-il d'autres cordes à son arc?

Écrit par : helenablue | 05/05/2011

Suite du conte:
C'était la sublime Bluecle d'or qui délirait après tout ce qu'elle avait subi.Elle vit dans son rêve le marin qui la pleurait en secret pour que ses amis aussi machos que des bisons en rut ne se moquassent(sic) point de lui; Il la chialait et saignait de tout son coeur de ne pouvoir la sauver alors qu'il était près à se sacrifier pour elle. Son ara Kiri, tout ému, devant tant de roméotitude transmit en direct ce film sentimental sincère! Il en a fallu des chats pitres à la princesse pour comprendre que le marin ne la désirait pas seulement mais était carrément ou plutot triangulairement foldingue d'elle, elle, elle , elle et rien qu'ELLE et elle comprendra et admettra, puisqu'elle est si intelligente! En se réveillant, elle éprouva des remords d'avoir parfois négligé ce parfait amoureux. Subitement , elle sentit comme une coulée de lave mielleuse envahir son coeur. Un moineau lui dit "C'est cela l'amour, ma princesse; c'est un miel doux mais qui brûle tant et tant. Vous ne pourrez plus vous en défaire!"

Écrit par : Masseokhtar EL Amraoui | 05/05/2011

La Mygale ne s'en laissait plus conter! Elle comprit que le narrateur usait de son einsteineur pour envoyer des codes transtemporelles à la princesse afin de l'aider à se libérer et que tous ses pseudos qu'il utilisait n'étaient que des messages cryptés!
Elle essaya en vain de les comprendre! Les Amazones bombardèrent sa barbotueuse atomique et l'atoll partit en champignon!

Écrit par : Mokhtar EL Amraoui | 05/05/2011

Elle le savait au fond d'elle depuis longtemps mais n'en avait point mesuré l'importance ni l'effervescence... ce que cet amour reçu et offert sans détour et sans arrière-pensée, cet amour noble et pur et étoilé avait tant compté pour son propre épanouissement.
Alors la torture vînt et tout son lot coupable et culpabilisant!
Cet homme, ce marin bravant ciel et terre pour la rejoindre, juste parce qu'il était un des rares à entendre les battements de son coeur!
Oui l'amour est ce miel brûlant comme une lave et doux comme une caresse légère et profonde!
Mais l'amour peut-il se vivre aux travers des mots, n'est-il pas à consommer, à étreindre, à réaliser de chair et d'os, de sucs et de salives, d'étreintes de corps à corps!
Boucle Blue d'Or est-elle condamné à vivre à la Shakespeare ce qu'elle aimerait tant vivre à l'Henri Miller ou à l'Anais Nin?

Écrit par : helenablue | 05/05/2011

Chaloupe à babord! Chaloupe à babord! cria le matelot de bord. Blueck d'or, énervée par tant de boucan admonesta le matelot crieur de bord, en lui faisant remarquer que pendant le visionnage de sa bobine, personne ne doit la déranger: il y va des os de mon amant de marin chéri qui a failli laisser sa peau, dit-elle! La chaloupe ennemie (car tout embarcation inconnue est énnemie) approchait dans leur direction, avec à son bord, reconnue, grâce à la longue vue, une flibustière des mers , maitresse des océans. On parlait à cette époque d'une certaine pirate du nom De Anne-aux- creux de la vague! personnage sanguine-aire, masacrant tous les pirates de sexe masculin, qu'elle croisait sur ses routes vagues, épargnant seulement les femmes de sexe de femme vierge et mariée de préférence. Aprés l'accostage, De Anne-aux-creux de la vague monta à bord du bateau des boucles d'or. A peine l'a-t-elle apperçue, de Anne-aux-creux...cria de joie: oh! quel agréable surprise de te voir ma chère boucle d'or, quesque tu es entrain de visionner sans moi ton amie de Anne-aux-creux de...que tu connasses, viens me donner un bisou et dis moi ce que tu fais dans les parages, dans ces lieux infestés de machibouzouks. Sais tu que j'ai croisé ton amant de Marin d'eau douce, sur une île deserte, en tenue d'Adam sans eve! Il courait aprés des papillons bariolés qu'il devait te ramener, pour se faire pardonner ses déperditions océanniques et t'en envoyer en juste noce, au clair de la lune de miel. La boucle d'or, la fusilla d'un regard, car personne ne doit insinuer quoique ce soit sur Son marin doux et d'eau douce et même plus si affinité...ouf je termierai aprés, je commence à avoir un mal de mer: "beuargh!

Écrit par : bizak | 05/05/2011

PFiuuu ! siffla de sous la câle Maya Lorka, ou mama Lorka qu n'en finissait pas d' empiler des tonneaux en guise de rationnement pour la longue traversée qui s' annonçait périlleuse. Pendant que son amirale amie dissertait le bout de gras avec une rencontre opportune.

Écrit par : laure K. | 05/05/2011

Suite du conte:
Les Amazones vinrent lui faire prendre une douce de leurs monoseins qu'elles gonflaient comme bon leur semblait! Leur lait sur sa peau diaphane coulait à la faitre frémir de toutes ses terminaisons et sentit , en rougissant, le marin à ses côtés qui commençait à la masser- caresser?- elle ne pouvait plus faire la différence tant elle se sentait si solaire, en extase! Les Amazones, l'ayant comprise, l'aspergèrent de plus belle! Ses yeux étaient révulsés et elle frissonnait et semblait grelotter de plaisir. Une Amazone qui la désirait ardemment s'approcha d'elle et lui offrit sa dose ultime de lait, c'était dans leur langue un synonyme de suicide.Bluecle d'or, ne voulant pas sans tactique l'offenser, se laissa embrasser par l'amoureuse. Son échine a failli exploser de suave plaisir! Sa libido allait -elle s'amazoniser?

Écrit par : Mokhtar EL Amraoui | 05/05/2011

@FaismoileWonderHum
On ne joue plus dans la cour ? sous prétexte que les filles ont ramenées leur billes et demande un tant soit peu à comment on joue ?
boaf !

Écrit par : laure K. | 05/05/2011

suite du conte :

Tiens, gerbe en paix, ami, t'as un bastingage, là....

Boucle d'Or cependant ne put rester fâchée longtemps après celle qui, de concert avec sa co-capitaine, lui venait en secours depuis si loin, elle une solide accolade scella leurs retrouvailles.
" Viens-t-en sur mon rafiot, ma belle" !, s'écria la vaillante flibustière, "allons faire bombance pour fêter ça !"

"Alors", demanda la Princesse, curieuse, "il paraît que tu émascules pour passer le temps ?"
- "Peuh ! des ragots ! en fait, je cultive sur un terrain privé de la Bromura Calamita, tu sais, une sorte de plante aux effets heureusements passagers, mais qui transforme instantanément n'importe quelle rigidité salvatrice masculine en guenille pendouillante ; c'est bien pratique à l'occasion, ça permet d'avoir la paix cinq minutes, et puis, ça calme un peu ces élans guerriers de nos braves co-vivants........" et elle éclata d'un rire franc.
" Vraiment, c'est provisoire, l'effet ? " s'assura Boucle d'Or ?
" Ouioui, t'inquiètes, le reste, c'est rien que de la légende ! "
Et bras dessus, bras dessous, elles rejoignirent la nef pirate des Amazones en se racontant des tas de potins, histoire de rattrapper le temps perdu.

Écrit par : anne des ocreries | 05/05/2011

Fuite du conte Jeanne d'Arc te répond que ça vient Laura!

Ne pouvant plus attendre, mon arrière petit-fils, merveilleux luthier, dû se résigner à laisser partir son jeune visiteur catalan. Il l'embrassa tendrement sur la rade, tel un Geppetto se séparant de son Pinocchio. Miguël, beau gosse aux yeux de charbons ardents et aux dents rutillantes comme des Rolls, s'installa à la vigie de son trois mâts à voilure géométrie variable assistée et télécommandée depuis les capteurs éoliens de type Betha3 tout cela en cas de panne majeure puisque l'armateur avait équipée sa nouvelle flotille des tous nouveaux réacteurs Fukushima à alvéoles Tomatron. On entendit le coup du pistolet de départ marquant cette folle aventure vers cette île située à plus de...2km de la terre ferme, juste assez mais pas trop éloigné de ce qui semblait être l'épave de la Bobinette soeur jumelle de...

Écrit par : MakesmewonderHum! | 05/05/2011

suite du conte
"L'amour c'est comme du bon lait, ça se partage" songeait maya Lorka
Tout en se désaltérant d'un grand verre d'Ovide de mer, et recapuchonnant ses mitrailles, Maya lorka faillit vomir à la vue d'un poltron de marin d'eau douce accroché au bastingage et essayait de s'en dépètrer tant bien que mal pour rejoindre la flibustièr et Bluecd'or, désormais toute ragaillardie à l'idée de mettre les voiles en bonne compagnie.

Écrit par : laure K. | 05/05/2011

vitesse de croisière atteinte attention aux lames scélérates

Écrit par : le bourdon masqué | 05/05/2011

suite du conte

Alors Capitaine Borgnesse, où est ce qu 'on jette l' ancre au prochain acte ?
ce n'est pa sque je susi en rade, mais l' allaitement m' a épuisée et mon cerveau peine à feindre une idée de géniale course au trésor.
N'y avait-il pas un marin en perdition sur ce globe ?

Écrit par : laure K. | 05/05/2011

Faudrait un marin au long court...

Écrit par : helenablue | 05/05/2011

L'embarcation sur laquelle elle avait atterri semblait un raffiot vu de loin et paraissait faite de peu de choses mais elle n' en flottait pas moins, et à son rythme, accoutumée à la voile plutôt qu' à mille sabordages par minutes comptées.
Boucle d' or à l'oreille fine, et il suffisait d'une vague de fond pour faire résonner l' appel silencieux du marin perdu. Aussi, plongeant le nez sur une vieille carte, elle pointa la côte et dessina un cercle d'un diamètre précis autour d'une île. Cap au sud, sud Ouest, puis remontée vers le Nord.

Écrit par : laure K. | 06/05/2011

Le Noooooooord! Ne jamais perdre le Nord!

Écrit par : helenablue | 06/05/2011

Suite du conte:
Elle se ravisa et comprit qu'il s'agissait bien du nord. Le parfum du baiser fougueux de l'Amazone ne voulait pas libérer ses lèvres . Serait-elle tombée amoureuse d'elle? "L'essentiel c'était de retrouver son marin soupirant", soupira-t-elle; "Il n'aura qu'à redresser ma barre libidinale, s'il le veut mais, moi, je saurais faire l'équilibre entre mes deux ailes du désir comme le dira, un jour un certain Wenders, comme me l'a dit l'oracle!

Écrit par : Mokhtar EL Amraoui | 06/05/2011

" Mes amies, nous avons un cap, et nous avons une voile !" s'écria-t-elle, alors GO !

Aquilon, qui n'attendait que ça pour se bouger les fesses, gonfla ses poumons et envoya un brave petit vent bien gaillard emplir les toiles ; la Nef des Amazones , levant ses ancres, tout le monde à son poste, s'engagea au large dans la direction indiquée. Sa co-capitaine à la barre, le flibustière berrichonne s'en fut rejoindre sa couchette, laissant Boucle d'Or rêver à la proue du vaisseau.

"Capitaine, Ô mon Capitaine" ! s'écria-t-elle, bras tendus dans une belle envolée lyrique - et l'Etoile du Berger, Vénus la bien nommée, brillait au firmament droit devant sur l'horizon.

Écrit par : anne des ocreries | 06/05/2011

Suite du conte:
"Capitaine, ô capitaine éloigne-moi donc des croquemitaines et de leurs chaînes! Mon bien-aimé me fait tant de peine !Je le ferai roi, je serai reine! Vénus, toute complice lui souriait et promit de la sauver. Elle comprit ce message stellaire et s'en alla dormir, sereine telle une future grande souveraine!

Écrit par : Mokhtar EL Amraoui | 06/05/2011

Le cap ayant été mis vers le sud est, les deux capitaineries et Boucle d'or ne distinguaient plus que des navires sans queue ni tête, qui avaient tenté de les rattraper par divers sabordages ou simplement en maugréant quelques injures à tribord que le vent avait eut vite fait de répandre.
"Merdre qu' est ce qu' ils vont s 'ennuyer sans toi !"
"Ho, diablesse, je n' en puis plus et un petit voyage outre-terre me fera le plus grand bien. Comment ça se déroule à bord, vous avez le sauna ?"

Les têtes d' Anne Borgen qui ne voyait que de l'oeil droit et Maya Lorka de l'oeil gauche la fixèrent d'un seul regard un moment, hébérluée par la question d' outre-époque. Boucle d 'or leur décocha un rire foudroyant et tourna les talons en direction du pont qui se transformait quelques minutes plus tard en platforme de remise en forme, sous le soleil. Exactement. Juste en dessous.

Écrit par : laure K. | 06/05/2011

Suite du conte:
Elle n'y alla pas de boucles mortes; elle s'assit sur le transat et commença à se farder quelque peut et ppensait au jour béni où elle poserait sa belle tête sur l'épaule de sa bien-aimée. Lui aussi rêvait de la même chose mais avait des réticences à le lui dire, ayant peur de sa réaction; pourtant, elle comprenait qu'il la désirait tant. La Mygale et sesfolies était bien loin d'elle maintenant!

Écrit par : Mokhtar EL Amraoui | 06/05/2011

Ele eut une grande peur car elle se surprit en se ramppelant qu'elle avait dit sa bien-aimée! Voulait-elle inconsciemment réaliser le rêve de cette amazone qui la désirait tant au point de s'être sacrifiée pour elle? Elle se ravisa; non, elle ne voulait, en fait que l'épaule de son marin chérie. Elle tenait à en faire un roi!

Écrit par : Mokhtar EL Amraoui | 06/05/2011

Heuuuuu....hum, hem, dites.....c'est pas parce qu'elles sont dans un bateau qu'elles sont à voiles et à vapeur, hein, les Amazones !? j'dis ça, j'dis rien, mais holàààà ! tout doux les fantasmes ! Lesbos, c'est dans les îles Grecques, pas dans la Mer du Nord....:)))))

Écrit par : anne des ocreries | 06/05/2011

C'était juste parce qu'elle n'avait encore aucun préjugé , la belle.Elle se découvrait au fur et à mesure des rencontres! C'était la fougue de l'amazone qui a fait socquer son coeur et de la voir se sacrifier pour elle , en lui offrant sa dernière giclée de lait
lui donnait des remords mais en même temps, elle comprit qu'il fallait accepter un amour sincère d'où qu'il vînt. Elle s'endormit finalement et rêva de son bien-aimé!

Écrit par : Mokhtar EL Amraoui | 06/05/2011

Suite au conte
"En aparté, il y'a lieu de parler d'un fait nouveau, signalé pour cette période,par certains historiens de pacotille, que les océans commençaient à être dominés par la gente féminine maritime, disons qu'elle occupaient la mer pour ne pas dire le terrain, à titre d'exemple, les marins du nom de: Mokhoko, maksmaritim, bizaquarium etc.. ont cédé du terrain ou plutôt de l'océan devant les capitaines du nom feministe qui n'est pas un euphémisme:laurquistador, Annemarine, boucle d'or de la mer rouge etc. Depuis maintenant quelques lunes, les hommes ont laché du lest. Et tout cela en raison d'un complot ourdi en haute mer, par les vraies maîtres ou plutôt maîtresses surcoufiènnes. il avait donc été décidé d'organiser un congrés mondial océannique pour revoir de fond de mer en comble, cette histoire sans queue de poisson ni tête de nombril...

Écrit par : bizak | 06/05/2011

Suite du conte:
Cette affaire -là de conspiration ultra-féministe pour reprendre la mer se confirmait de jour en jour. Les vaillants marins qui effrayaient les pirates-mêmes se trouvaient ridiculisés par de simples clones de sirènes. Les grands chantres de la réhabilitation masculine sur les flots décidèrent de tenir leur sommet ou ce qui en restait à l'île des Lotophages Jerba la douce. Cette idée venait de Mokhoko , grand dompteur de requins et de sardines. Après moult conciliabules bien arrosés, il décida, avec ses compères maksmaritim et bizaqarium de jouer non la carte de la guerre mais celle de la séduction et de l'amour vis-à-vis du fameux Triumvirat "qui dit Vagues dit Elles" Comme leur point faible à elles était le parfum et le diamant , ils ne lésinèrent pas sur les offrandes! Des bateaux entier furent offerts au triumvirat féministe coupeur de zizigotos. Allaient-elles se ramollir face à tous ces présents?

Écrit par : Mokhtar EL Amraoui | 06/05/2011

suite du conte : Que nenni ! Outragées même qu'on puisse les penser vénales et corruptibles, elles en conçurent un tel courroux que les marins jugèrent plus prudent de rejoindre l'eau douce jusqu'à une meilleure idée.

Pendant ce temps, des flotilles de navires de toute formes et de toutes tailles se construisaient à grands renforts de charpentiers dans tous les ports possibles, et peu à peu, montés par d'intrépides femelles qui voyaient là l'opportunité d'enfin s'enfuir du morne quotidien, il advint que la gent féminine déserta de plus en plus les terres, les abandonnant à la soif de conquêtes territoriales des hommes, qui commençaient à se sentir bien seuls - surtout devant leurs éviers pleins, leur linge pas propre et leurs sols crottés.
"Ha !", soupiraient-ils, "mais.....à côté de quoi sommes-nous donc passés pour avoir ainsi causé cet exode massif, cette désertion de nos compagnes ? Qu'avons-nous donc omis ???" et ils soupiraient tristement, mélancoliques, devant leur absinthe vespérale, vidée de tout bonheur.

Écrit par : anne des ocreries | 06/05/2011

Il faut dire que nos deux pirates borgnent avaient essuyé une bonne centaines d'abordages, une vingtaine de chavirement causées plus souvent par la mer que par les excès des marins braillants et débraillés.
Tenter de les acheter avec bijoux et breloques leur rappelaient ce mauvais souvenir d' abordages où elles y laissèrent bien plus que leurs guenilles, abusées qu 'elles furent par les éclats de mille merveilles. Elles y perdirent bien plus que leurs plumages et avaient sacrifiées leur beau regard pour se tirer d'affaire, en éclatant quelques bouteilles de rhums sur les marins en rut. Depuis, on ne les y reprendaient plus !

Écrit par : laure K. | 06/05/2011

Au petit matin, Maya Lorka tenait la barre à défaut de l'open bar qui n'était plus vraiment de circonstances une fois le sabordage de la pleine lune achevé par la tonitruante déclamation de sa co-capitaine. Blucle d'or quant à elle, s'était endormi presque rapidement éreintée par les débordements des marins, des mamelles amies et autres simagrées propre au grand large. Elle s'était réveillée en pleine nuit, prise d'une angoisse indicible en rêvant de son marin qu 'elle avait vu attaché au pieu d'un mât, résistant comme un diable à l' appel de sirènes maudites qui l' encourageaient à sauter du pont pour les y rejoindre. Elle sortie de dessous la câle et sa silhouette nacrée apparut à Maya Lorka telle la déesse qu'elle était, sous les éclats bleuté irradiants de dessous la pleine lune. Elle en avait été follement amoureuse, mais rien de concret en ce sens n'avait été consumée, les amazones de grand large ne chevauchent pas les déesses, il en est ainsi dans l'ordre des lois tacites de ses grands océans.
Scruptant d'un oeil sa démarche assurée sur le pont endormi, Bluecle d'or semblait défier les lois de la gravité, elle avait parfois cette belle assurance fantômatique que Maya lui connaissait depuis leur toute première rencontre au abords des côtes froides d'un pays nordique. Il y a très longtemps jadis, lorsque son marin était encore avec sa promise et que tout deux défiaient les terres ombragées d 'une histoire sans fin. Bluecle d'or s' approcha de la barre en manquant de chuter sur l' autre capitaine plus ou moins couchée à l' horizontale et dont le rêve était emplit d 'une horde de navires femelles en mal de liberté et de sacrifices. Buecle d' or e rattrapa au bras de son amie amazone, et Maya se retrouva à quelques centimètres des lèvres de la princesse. Et si ce n'était rien en somme que de lui donnée le sein pour recourir aux besoins princiés, les lèvres d'une déesse inconsolable n 'en étaient pas moins d' une chasteté évidente. Un émoi sans fond lui traversa l' échine et elle déposa chastement un baiser sur le front de Bluecle d 'or qui se remit à la verticale un peu désarçonnée. Elles rièrent de bon coeur en scruptant l' horizon prometteur de ce jour sans fin.

Écrit par : laure K. | 06/05/2011

Boucle d'or avait toujours en tête ce rêve troublant de son marin hurlant, elle se faisait des kilomètres de bobines de films sur le où pouvait-il bien être et dans quel état errait-il? Elle supposait aussi et suputait en secret une grande trêve entre mâles et femelles, elle ne pouvait concevoir déesse de l'amour et princesse humaniste qu'on continue ainsi à gerroyer, à faire prendre des sustances aux uns pour qu'il ramolissent du pénis et à offrir des cailloux ou autres trésors aux autres pour qu'elles s'adoucisssent du vagin. Pour elle l'amour était la raison de vivre et il faudrait bien qu'elle remette de l'ordre dans tout cela avant qu'il n'y ait plus sur terre que des hommes et sur mer que des femmes qui finiront comme on le sait par se créper le chignon si elles ne peuvent libérer comme elles le veulent leurs énergies sexuelles et leurs besoins naturels.
Elle ne croyait pas non plus au congrés d'aucune sorte, ces genres d'endroit où on faisait plus de bla-bla que de résultat, elle avait une nature empirique, elle croyait fermement à la puissance de l'exemple et c'est là que son soupir tellement profond envoya un souffle tel que le navire l'emportant elle et ses douces et vaillantes amies amazones d'un bond de l'autre côté du globe. Il fallait qu'elle retrouve son marin, qu'elle l'épouse et qu'elle et lui montre à la face du monde qu'une femme et un homme peuvent vivre en harmonie en toute liberté et dans une confiance et un partage absolu et créatif. C'était la solution la plus réaliste, pensait-elle, pour que les choses reprennent leur place et que chacun puisse vivre selon son bon vouloir quelque soit son sexe, son âge, sa race, ses délires les plus fous et ses fantasmes les plus libidineux. Le lait de Maya Lorca lui avait redonné une sève et un appétit de vie dépassant l'entendement, les massages de slip à terre avit requinqué son architecture et son corps était plein de la lumière de toutes les attentions recues, princière elle songeait à faire une grande fête où tous seraient reçus avec grand honneur ce qui mettrait fortement en colère sa mère qui n'aimait guère ce genre de compagnie, préférant des individus sans sel et sans saveur qu'elle aimait corvéable à merci!
Mokhoko, Maksmaritim et bizaquarium lui plaiaient bien aussi, elle leur trouvait fougue et audace même si parfois il avait un peu de mal à comprendre ses amies les amazones, ne sachant pas par quel bout les prendre, et puis elle repensait à cet ara bleu, si bleu...

Écrit par : helenablue | 06/05/2011

suite du conte

"CLONG", "psst, psst"... ihYA ! ... SHLACK!"
"Hein ?!! qu 'est ce que ?" Anne Brogen se réveilla d 'un bond irritée par le bruit sec qui siffla aux abords des ses oreilles. Son unique oeil fît la mise au point sur ce que l' on pouvait appelé une mini-ancre qui aurait pû lui fendre le ciboulot en deux. Tout en maugréant "kùqc'ezt qu' ctafaire!", elle se plia violement en deux au dessus du bastingage prête à en découdre et aperçu l' une des leurs sur un radeau de fortune, qui tenait la corde d'un air circonscrit: "J' peux monter?" lança timidement Zerlurance.
"Mais sacré nom d'tabernak !! T' aurais pû m' en fiche un coup, t' rend pas compte ! qu 'est c'qui t' amène dit ?"
Zerlurance chuta tant bien que mal sur le pont, gisante sur le dos, les os trempés jusqu' à la moëlle elle tentait de reprendre son souffle pour répondre à la capitaine. " HooOooo, je, (touss, touss).. j'ai échoué sur une coque après que... après que mon GPS soit parti en fumé... c'est pas de veine, je t'assure, j'comprends pas". Juste avant (touss, touss) ... je vous avais repéré mais ma route n'était pas la vôtre, pis me voilà ! j'suis sacrèment contente de te voir Borgen!"
"Tssss !" lança Anne et elle siffla ses amies du nouvel arrivage.

Écrit par : laure K. | 06/05/2011

Boucle d'or, si heureuse de retrouver Zerlurance l'a prise contre son coeur pour lui donner son énergie solaire et pour la réchauffer de tous ces déboires.
Elle lui proposa un chocolat chaud au lait d'amazones parfumé de cannelle et l'enjoigna à se détendre et à se raconter...

Écrit par : helenablue | 06/05/2011

Le verre bu, Zerlurance se sentit d'aplomb et se mit à narrer ses tribulations d'Ulyssette égarée attendue par Pénélopon qui lui tissait , tout triste et rabougri un beau filet de chasse car du côté de chez Zerlurance le système social est matriarcal.Anne n'était pas crédule et scrutait la requinquée, en voulant savoir si, des fois, elle n'était pas à la solde de la guilde machiste, non qu'elle adhérât au parti
des redoutables Zizicoupeuses mais elle préférait être prudende. Elle lança son fameux"Niente" qui réconforta toutes la nanasphère qui se relaxa, tout rigolante et devisante. Zerlurance parla d'un marin foldingue amoureux d'une certaine Bluecle d'or et fit le récit de sa quasi-folie due à l'absence de sa bien-aimée. Anne Borgen pinça ses sublimes lèvres espagnoles en suspension si sexy et comprit que l'idylle qu'elle allait vivre avec la tout-en-boucles était radicalement ruinée . Elle se repinça les splendides lèvres et regarda l'horizon glauque. Que lui offrait-il, encore? De la scoumoune?

Écrit par : Mokhtar EL Amraoui | 06/05/2011

Tout cela Mokhokho était du à la mouche indomptée qui avait piqué et même foré Cette Anne_aux creux de la vague mais qui n'était pas du tout aux creux aprés et qui avait montré des poilues et des pas bêtes l'animal marin ameutant le restant du triumvirat, Laurquistador et la compagne de robinson perdu sur une île, ( surnommée la boucle d'or est bouclée, tel est pris qui croyait prendre) Je pensais qu'elle dormait bien sur les oreilles de ses chatons matés et bottés, mais voilà je m'étais trompé dans l'eau de Mer Caspiènne. La solution qui m'était venu était d'attaquer un bateau par les pirates somaliens et de deverser dans la mer le chargement de pétrole, de foutre une allumette et voilà la flotte des flibustières par terre!...Euh! par mer! entrain de crâmer comme un joli feu de bois.... Zut! Notre flotte allait crâmer aussi, mais c'était trop tard, le vin était tiré, il fallait le boire (il était succulent ce vin, c'était un millésime, aprés tout)
Pendant que le feu prenait dans toute la flotte, n'épargnant aucune barque, les flibustières et les flibustiers avaient réussi à gagner une terre qui leur était proche... lA SUITE ( il paraît d'aprés quelques historiens... Que toute la smala s'était retrouvée sur cette terre qui était une île. Les deux camps ignoraient, qu'ils étaient sur la même île...

Écrit par : bizak | 06/05/2011

Paxaland était le nom de cette nouvelle terre de toutes les recompositions.Le Peniclitburo était la haute instance de toutes les circulations libidinales et le premier article de sa charte rédigée, entre autres, par Mokhokho et ses deux compères stipulaien que Paxalant ne ferait plus dans les ostracismes sexoséculaires. C'était la nouvelle ère de toutes les tolérances!

Écrit par : Mokhtar EL Amraoui | 06/05/2011

AHa, Paxaland !! terre promise, soeurs et frères libérés du joug des casteries de l'autre monde. Maya Lorka sentit qu' enfin elle pourrait s'en payer une tranche. De pastèques, d'oranges, de rouges sanguines, de blondes soja, de brunes elfes euh Leffes, et commencer à jouir pleinement de l'appétit vorace de vivre que Bluecl' dor plantait ici et là chez toutes celles et ceux qui avait croisé sa route. Elle était le messager vers ses autres rives promises, un espoir de jouissance, une follitude qui s'ancrait en chacun des marins et amazones en mal d'amour.

Écrit par : laure K. | 06/05/2011

Maya Lorka s'épanouissait à l'air vivifiant , dans tous les sens, se sentait débbarrassée de toutes ses craintes; elle se servait des fruits terrestres et humains comme elle l'entendait! Finis les préjugés et diktats phallo ou ultrazizicoupeurs!
Elle travaillait au Peniclitburo et commençait à tomber amoureuse de quelqu'un qu'elle s'était promise de taire le nom; c'était son collègue aussi ; lui-même a dû longtemps réfléchir , avant de lui déclarer sa fougue et de lui offrir le Havre de son épaule. Ils s'aimèrent sans le savoir puis tout ce qui bourgeonnait dans leur coeur vint au soleil et d'un seul mot, ils se comprirent!Ilsétaient faits l'un pour l'autre; lui aussi aimait tant l'épaule qu'elle lui offrait de bon coeur.Personne , au Peniclitburo, n'aura vent de leur idylle qu'ils voulaient pour eux seuls loin des miasmes médiatiques des curiosités pipole. Ils s'aimaient pour eux-mêmes! Point barre!

Écrit par : Mokhtar EL Amraoui | 06/05/2011

@Moktar
Dommage c'était pourtant l'épisode où Maya Lorka se lâchait et tu la cadenace dans un bureau, avec un bellâtre ennuyeux et ils eurent beaucoup d'enfants et... basta cosi ! Maya était pourtant mûre pour de délicieuses aventures, mais tant pis... trop taaaard...

Écrit par : laure K. | 06/05/2011

c'était sans compter sur Bluecle d'or qui elle ne voyait pas du tout Maya dans un bureau mais bien à l'air libre sachant qu'elle avait là tout son potentiel à exprimer, elle décida de la remplacer par une abeille plus laborieuse , aimant l'informatique plus que les délices de la nature qu'offrait à chaque coin de rues cette île! Le collègue en souffrit un peu mais pas longtemps car grande princesse devant l'éternel la bouclée lui fit faire des travaux de paysage pour donner de la poésie à cet endroit déjà si enchanteur!

Écrit par : helenablue | 06/05/2011

@Laure K
C'était juste pour le rebondissement qui allait suivre! Il fallait lui faire essayer cette idylle; moi, je n'allais pas continuer sur un mièvre mariage; alors là, du tout!
Suite du conte:

Après quelques jours à peine, Maya comprit qu'elle n'était pas du tout faite pour les bureaux. Elle enleva ses gants, arrêta le manomètre des régulations libidinales et envoya tout en l'air, rejoignant sa chère liberté, son seul véritable amant de toujours. Elle vit Bluecle d'or en train de ramasser quelques fleurs parleuses de Paxaland. Elle courut vers elle, sans soutien ,ses tétons allumés de cette nouvelle liberté reconquise. La princesse lui dit: "Je savais qu'une telle vie t'aurait étouffée comme les soutiens que tu abhorres! Viens, ma petite, allons explorer Paxaland et nous-même; on a tant à nous dire.

Écrit par : Mokhtar EL Amraoui | 06/05/2011

Ayant, donc, atterri sur cette terre inconue de mes ancetres les gaulois, je me mettais à farfouiller dans les espaces forestiers qui se présentaient à moi. J'étais déjà dans la peau et l'esprit de Rubinson crusoé, il n'y avait pas âme soeur qui vive; Je me mettais à ramasser des jeunes pousses et des racines pour apaiser la faim qui torturait mes boyaux! ça avait duré un certain temps. Je marchais, continuellement pour découvrir les lieux, toujours avec l'estomac dans les talons d'achille. A un moment donné, pendant que je marchais desespéré, je m'adressais à Dieu et ses seins( excusez moi j'avais des mirages pour les seins, que Dieu me pardonne!): Dieu, n'ai-je pas assez souffert avec les pirates de l'air et de mer pour finir entrain de ramasser des racines pour me nourrir. Sans le savoir derrière moi une ombre me suivait, ramassant pour se nourrir, le reste des racines que je jetais en marchant. C'était Mokhokho! complètement deguenillé et amaigris, mais debout comme un pin maritime. Biz-bizaquarium-! Quelle joie de te rencontrer sur cette île maudite, me dit-il. Il commença à me seriner l'histoire de la flotte qui avait pris feu, il me disait que se devait être le trio des flibustières avec la complicité des pirates somaliens à qui déjà dans le passé, elles leur proposaient un troc : des poissons et des flibustiers avec en échanges des ésclaves soumis pour faire les garde chiournes et plus si ...

Écrit par : bizak | 06/05/2011

Mokhokho ramassait les racines jetées par Bizaquarium car , écologiste devant l'éternel, il tenait à la propreté de l'île! Il demanda au naufragé de le suivre et l'invita à manger avec lui les succulents plats qu'il avait concoctés; C'était des lapins farcis à l'ananas , des tajins de cobras superlongs, des soufflés de rougets de poches,des loukoums de vertèbres , bref un régal pour les boyaux.Bizaquarium n'en revenait pas , puisqu'il n'en était jamais parti! "Bravo pour l'ingéniosité, cher ami!" lui dit-l , en rotant si discrètement que le seul éléphant rescapé péta de frayeur. Les deux compères demadèrent, après le thé aux concombres, des nouvelles de leur ami, en souhaitant que rien de malheureux ne lui fût arrivé!

Écrit par : Mokhtar EL Amraoui | 06/05/2011

Le soir au coucher du soleil et à la tombée de la nuit, nous partimes moi et cordon bleu pétrole, à la recherche d'autres rescapés surtout des rescapées flibustières (vous imaginez, vivre sans femme, même flibustière, c'est inimaginable, selon les predictions de la bible, c'est même impardonnable).Pour notre compère, le S-maksmaritim, apparement, les requins l'ont bouffé sans le farcir. J'avais demandé à Momokh s'il connaissait un moyen , de signaler notre présence à d'éventuels iliens égarés, est ce qu'il avait toujours le n° de portables des flibustières, laurkistador ou la bluek d'or (Momokh a surement reussi à sauver la seule chose à laquelle il tient: son portable!). Momokh! Mon bon ami Momokh, essaye de joindre nos deux flibustières, qu'on aime déjà.On commence à regretter de les avoir defier, alors qu'il fallait les déifier,les diviniser, les adorer; On est prêt à tout oublier, on va même se faire hara-kiri( virtuellement bien sûr).... la suite, Momokh tu la continues, je commence à avoir sommeil, réveilles moi aprés...

Écrit par : bizak | 06/05/2011

Momokh apprit qu'elles se trouvaient sur Paxaland à quelques encablures. Il laissa Bizak dormir et rêver de beaux lendemains. Il le regarda sourire, en rêvant et eut une grande et tendre affection pour cet éternel enfant toujours assoiffé d'amour et d'amitié! "Au boulot Momokh!"Il alla rafistoler le radeau qu'Anne lui avait offert après la trêve libidinale conclue avec les Amazones, en signe de reconnaissance pour toutes ses navettes diplomatiques! Quelle dame, cette Anne! Toujours dévouée à la paix. A Paxaland, on ne cessait d'enseigner ses théories qui influenceront des siècles plus tard une grande âme surnommée Mahatma !

Écrit par : Mokhtar EL Amraoui | 06/05/2011

-"Je ne sais pas si je saurais. Je veux dire... je n' ai jamais fait ça."
- Alors pourquoi ne pas essayer?
- ... ! ça demande du doigté, tu vois, je ne sais pas si je sentirais quand et à quel moment il faut...
-Laisse toi allez à ton feeling, à ce que tu veux faire naître et tout ira dans ce sens.
-C'est un métier, quoi, une passion que je n'ai pas. Je n'ai pas la main verte Bluecl'dor. Enfin, tout dépendant de la plantureuse...hum !
- mais si, bien sûr que tu sauras le faire Je vais t' enseigner quelques trucs de base et après au feeling Maryling! D' autant que mon marin d'époux m'en a enseigné bien plus en le regardant faire qu'en ouvrant des livres. Fais-toi confiance, je suis certaine que tu, nous, allons réussir à réveiller cet espace de toute sa beauté. Allez je te laisse, je vais me râfraichir un brin."
Et hop, elle disparut derrières les fourrées de jungle improvisée.
Mais maya Lorka n' était pas folle au point de moisir à regarder l'inextricable enchevêtrement de lianes emmêlées qui n' avaient aucuns effets d'inspirations divinatoires. De plus ça ne mangeait pas de pain, enfin ni herbes, ni collations rationnellement. Elle s' en alla plutôt chercher branches et cordages naturels pour tisser arcs, Hug ! et flèches empoissonnées.
Au loin là-bas pouvait-on entendre les fredonnements de la divine Bluecld'or plongée dans un étang visiblement infesté mais que sa magique énergie de doute façon rendait inoffensif . Maya lorka qui avait un don de visualisation assez poussé l'imaginais nue et barbotante dans toute sa crasse, pardon, dans toute sa grâce anatomique et pulpeuse, ce qui faillit la dérouter de sa quête mais elle ne succomberait jamais à ce chant. Foi de maya Lorka. De plus l'oracle ne l'avait pas prédit ainsi.
Pénétrant dans la jungle de plus en plus lointaine et inquiétante, Maya se retrouva à l'entrée d'une sorte de caverne. elle s' arcquebouta pour laisser passer ses flèches et son nouveau carquois, longea à quatre pattes un tunnel boueux pour finir en rampant jusqu' à une petite alcôve souterraine d'où émanait un étrange parfum. Là, stupeur et tremblement, toute une tribu de femmes en habit d' Eve et leurs enfants galopaient dans un espace tout à fait inédit. Maya lorka chuta malencontreusement sur le sol et perdit connaissance au pays des merveilles.

Écrit par : laure K. | 06/05/2011

suite au conte:
Ailleurs ici où là dans ce port au où le compte harbour ...
Les ch'tis étaient fins prêt une partie du groupe rabattait les marins en goguette dans cet friterie réputée où "les gros doigts invitent", quand au reste l'enlèvement du ara, son convoyage à la poterie, sera sa seule préoccupation.
L'opération maintes et maintes fois répétée fut torchée en deux coups de cuiller à pot (normal pour un potier). "Il" était là arrivé sans encombres ni concombres sans décombres en pénombre. Le potier fur sidéré par ce bleu "poudré" si doux au regard, le bec d'or lui sembla moins accrocheur et pourtant...
Une bague et son moignon de chaîne restait à l'une des pattes griffues.
Maintenant le décompte était lancé, l'anniversaire de Boucle d'Or et son roi de père avait mis le paquet (cadeau of course) pour que l'évènement soit...

Écrit par : le bourdon masqué | 06/05/2011

Elle illumina la caverne de sa laiteuse beauté; ses arcs et flèches étaient éparpillés. Le chef eut le coup de foutre, maudit clavier! de foudre pour elle. Il la porta lui-même sur son lit de palmes et caressa ses cheveux si lisses, si lisses et ses cuisses si brillantes et si douces! Maya revint à elle et cria en apercevant le chef qui la caressait pourtant si tendrement. Effrayé, il recula et lui dit dans sa langue:" kamutchéloukoumboumkawabloh!" ce qui voulait dire"Bienvenue!"

Écrit par : Mokhtar EL Amraoui | 06/05/2011

@Héléna
C'est quand même bizarre,depuis le déclenchement du marathon au stylo, idée d'El Mokh. un certain 1er mai, fête des travailleurs, une journée de repos! on n'a jamais autant fait que les "nègres"de stylo.

Écrit par : bizak | 06/05/2011

Maya dévisagea "le"visage du chef de la tribu dont les sourcils ébouriffés dissimulaient à peine la beauté de son regard bleuté. Alors qu' elle n' avait aperçu que femmes et enfants, elle comprit vite que cet homme là était le seul à l'origine de tant de fécondations éprouvées. Elle fut pris de sympathie pour lui et se laissa caresser par ses pattes félines. Derrière, une bande de femelles la dévisageaient comme une intrue à flinguer ou à admirer. Le chef la prit entre ses cuisses et en réponse au message particulièrement explicite de bienvenue, Maya le lui rendit bien. Elle finit par basculer l' animal dans le sens des aiguilles d'une montre en soulevant sa croûpe au rythme des halètements féminins alentours, sur le totem transis.
Maya soulagée d'une telle jouissance pût enfin entreprendre un semblant de conversation transversale et singulière avec le Chef. Les femmes de la tribue l' approchèrent comme s'ils elle étaient l'une des élues et la caressèrent pour reconnaître en elle la chair jouissante de l'extérieure de ce monde. Maya lorka se laissa faire, tout encore en émoi, mais son regard de cyclope s' échappait au loin pour tenter de comprendre où elle était tombée et surtout, comment allait -elle pouvoir en sortir.

Écrit par : laure K. | 06/05/2011

he bé dis donc tous ces coammentaires + 170 ! difficile de tout lire, bon courage
ça prouve que quand ça interresse les blogeurs ne comptent pas
Difficile d'entrevoir une fin a ce conte chapeau!

Écrit par : alex | 06/05/2011

Puisque le chef avait bel et bien joui intensément, toutes les femmes de la tribu vinrent caresser le con ébouriffé et écumant de la ravissante Maya ; certaines téméraires l'embrassèrent même mielleux et quelque peu acide. On la baptisa" La déesse aux seins de mangue".Il y avait là , heureusement un Labrune(équivalent du Larousse dans ces contrées) qui lui permit de traduire cette nouvelle identité!
On lui fit croquer les deux grains de riz du mariage symbolique avec le chef qui ne cessait de chasser les mouches qui voulaient lui butiner les couilles fermes et pleines de fertile et craquelante semence." Dans son avatar profane ,c'est-à-dire chaque fois que le chef la reprenait, on l'appelait "seins de mangues". A quoi pouvait-elle rêver de plus? Adulée, satisfaite haut, bas et fort., elle voulut que sa complice Bluecle d'or en profitât. Comme elle l'aimait! Elle ne voulait pas cette zobaine pour elle seule!

Écrit par : Mokhtar EL Amraoui | 06/05/2011

Maya alla s' échouer quelque part entre deux elfes, dans l' attente inespérée de recouvrer assez d'énergie pour sortir de ce lupanar exotique. Mais pour le moment, elle allait roupiller un peu loin de cette corne d' abondance utérine.

Écrit par : Laure K. | 06/05/2011

Suite du conte
Quand il y'en a pour une, il y'en a pour deux! , ainsi a répondu le fils ainée du chef de la tribu des Quiquis, car il s'agissait bien de la fameuse tribu des quiquis. Le fils ainée du nom de Bazocanardeur, éxigea immediatement réparation, car selon les Dieux de la tribu, une certaine une deesse du nom de Mayacool devait descendre du ciel, accompagnée de son ange gardien la Bluekcool. Et il était écrit qu'elle, Mayacool devait tomber directement dans les bras de Bazo!
Sur ce fait incorrigible, Bazo, appella ses sbires et arrêta le chef pour usurpation de cueilleur de fée et le mit dans un puits sans fond de culotte, jusqu'à ce qu'il demande pardon pour avoir offenser les Dieux. Mayacool, devant ce malentendu, s'approcha de Bazo et lui fit part de ses regrets et lui dit que s'il y'en a pour un il doit bien y en avoir pour deux et même plus s'il le désire,
elle lui ferait la danse du ventre. Bazo, la remercia pour sa gentillesse et accepta ses regrets et lui demanda de lui présenter les anges qui l'ont accompagnées et principalement la plus croquante, la plus sublime, la blucool .... l'histoire n'est pas encore terminé, mais le clavier commence à donner des signes de faiblesse...

Écrit par : bizak | 06/05/2011

Subitement, elle eut peur! Allait-elle devenir une insatiable car personne avant le chef ne l'avait aussi bien remplie, eue. Elle le remerciait du plus profond de ses entrailles toujours de plus en plus assoiffées! Elle eut quelques secondes d'hésitation égoïste: avoir le chef à elle seule! cette hypothèse la fit chanceler, en l'enivrant. Se ravisant, après avoir mouillé tel un bateau sécurisé, elle appela Bluecle d'or qui la recherchait. Elle lui raconta tout dans le détail. La princesse était en flammes; les attributs que Maya avait décrits lui rappelaient ceux de l'âne préférée de sa mère la vendue aux plogolofs! Elle sourit puis se reprit, en arguant du fait qu'elle voulait rester chaste jusqu'au mariage, et offrir sa virginité à l'élu de son coeur!"HA! ha! ha!"explosa Maya, face à de tels propos illogiques!"Tu vas faire confiance à ce puceau, à ce renifleur de slips pour qu'il te martaeupique le nombril, le prenant pour ton sublime con de tous les temps!
Viens, viens et débarrasse-toi de ces faux scrupules. Carpe diem, ma belle, avant qu'il ne soit tard!"

Écrit par : Mokhtar EL Amraoui | 06/05/2011

Elle me manque dans mes fioles cette Boucle d'or là, il me la faut! Comment l'extirper de ce noyau dur de marins, de sirènes, d'amazones en furie et d'aventuriers ayant roulés leurs bosses, aguéris au art de la guerre Sun tzuien? c'est elle que je veux toute entière, son odeur est ma quête et le tout le sens de ma vie!
Voyons quel est donc le meilleur des appâts si ce n'est ce marin que partout elle recherche?

Écrit par : Jean-Baptiste Grenouille | 06/05/2011

Euh! Hum! JB, avant que tu ne me mettes en carafe, je préfère tant qu'à faire perdre ma virginité et gôuter au plaisir de la concupiscence avnt de mourir étuvée, fornication, impureté, débauche, idolâtrie, haines, discorde, jalousie, emportements, disputes, dissensions, scissions, sentiment d’envie, orgies, ripailles, au fond je veux goûter à tout, au plaisir et à l'audace, et plus que tout encore à l'amour partagé, j'en ai marre d'être pure et parfaite! Laisse-moi s'il te plait, juste un petit peu de temps, ma chair n'en aura qu'une odeur plus familère, suave et féminine, elle sera mûre comme le meilleur des fruits que tu ne pourrais même dans ta plus sombre folie un jour imaginer!

Écrit par : Bluecle d'or | 06/05/2011

Comme c'était "Le jour du gland" dans la tribu de" Seins de mangues" alias Maya la splendide car elle satisfaisait le mieux le chef si membru, on devait offrir une pubère au chef. Qu'elle ne fut la joie de la great smala, en voyant débarquer cette pulpeuse blonde aux cheveux solaires toute new new. Maya, tout en la réconfortant la conduisit chez les Prépareuses qui devaient l'épiler car le chef, avant de la déflorer devait manger sa toison , en la remerciant de lui offrir sa fleur des fleurs , son hymen! Il entama sa suave prière chargée d'une sorte de plainte de reconbaissance:"Kaplinosspluxyayatoztozplixuppotrouzedemflemplaf!"ça voulait dire, dans leur longue langue"Merci"

Écrit par : Mokhtar EL Amraoui | 06/05/2011

D'accord, d'accord chère Boucle d'or, je vais attendre, mais j'avoue avoir grande hâte néanmoins de te mettre en flacon!

Écrit par : Jean-Baptiste Grenouille | 06/05/2011

La pulpeuse blonde n'etait autre que Anne Brogen deguise en platine
Buccolique. Elle avait entendu la corne d'abondance resonne, dont maya avait trouve
L'orifice cache pour y emettre ce son secret que seules peuvent percevoir les borgnes et cyclopes
Ayant développes un degre de perception du spectre auditif inconnu aux tetes a 2 yeux.
La flibustiere fit son entree pas tres sereine de ce qui l'attendait et maya manqua de pouffer de rire devant le deguisement
Passablement ridicule. La pirate masquee lui lanca un regard de tueuse. Car elle n'avait pas
Du tout prevu cette porte d'entree dans un tel accoutrement.

Écrit par : Maya | 06/05/2011

@JB
Et oh ! Sein graal ou pas faut ramer un peu pour l'atteindre la Cleublue... !
Et sinon au pays. des cueilleurs de lierres y s'passent quoi ?

Écrit par : laure k | 06/05/2011

@ laure k:

Ramer, je sais pas faire, j'emploierais des plus gros moyens: du genre par les airs, au pays du lierre on sait faire!

Écrit par : Jean-Baptiste Grenouille | 06/05/2011

AH NAN ! pas bloooooooonde ! je revendique haut et fort ma brunité !!!! 'tain, heureusement que personne m'a vue "en vrai"...!!!!!!!!! Ouch !

Écrit par : anne des ocreries | 06/05/2011

Hey! les brunes ne comptent pas pour des prunes, t'as bien raison de revendiquer ta brunité !!

Écrit par : helenablue | 06/05/2011

"Ah je ne peux roupiller tranquillemt alors que ma flibustiere d' Anne risque
la defloraison pas que printaniere!"... Brrr j'en ai froid dans l'estomak
Surtout que ce chef ambitieux n'y va pas de main morte ! Elle se rappela alors la fiole de
"Bromura calamita" que la capitaine Brogen portait toujours a sa ceinture. Ce petit pastis
Bien plaisant en bouche et qui faisait debander les taureaux royaux. .Maya exigea une entrevue
En salle d'epilation avec la belle blonde ! Ce qui etait considere pourtant comme scrilege d'entrer en ces
Lieux de prepartion. Mais elle s'agenouilla d'une telle facon aux pieds du roi que le pasage lui fut ouvert.
"-La guigne ! Tu m a fichue dans un des petrains ma vieille Maya ! On a intérêt de deguerpir d'ici fissa
Ou je m en vais l'emasculer avec les dents sacrezbleu !
-woue,wouen j'sais... Dis tu as toujours ton elixir au ceinturon ?
-be oui ma cochonne que je l'ai ! Qu'avec toi dans les parages vaut mieux etre equipee, tin !
- bon ca va, ca va, chacun son truc ! Vas y donne la moi on va en offrir une goute an chef Touzizimut
Et ensuite on leve le camp. Dis,T as pas vu Bluecd or des fois ? Qu'est ce qu'elle fiche ?
encore sous la douche aux moustiques ?"

Écrit par : Maya | 06/05/2011

suite du conte :

"Bah, répondit Anne Brogen, Bluecle d'Or nous retrouvera toujours ! donnons sa gou-goutte au roi et trissons !"
Ainsi fut fait, et le roi, débarrassé momentanément de sa concupiscense, avant le "sacrifice" prévu, alla s'étendre pour un petit roupillon réparateur. Nos deux flibustières s'esbignèrent alors à l'anglaise, en faisant un crochet pour récupérer leur amie la Princesse sous sa douche aux moustiques.

Écrit par : anne des ocreries | 06/05/2011

Bluecle d'or criaillait , toute de plus en plus rouge à cause de l'épilation faite par une cire qui était , à chaque geste , de la Bibig prépareuse en chef un véritable incendie. Une fois à poil et sans poil, la princesse offrait un con qui semblait, de par sa nouvelle mine un pitbull à zéro abasourdi. Le chef n'en pouvait plus d'attendre. Il fulminait de la tronche tant laBluecle lui offrait une assiettée libidinale inespérée. Toutes les nanas de la mégasmala tenaient la queue et la lui embrassant/embrasant. C'est à ce moment qu'il aperçut Maya qui lui souriait de façon si espiègle, les jambes si sexy et écartés. Il voulut se la taper une autre fois avant le cadeau qu'on lui épluchait. La Maya susnommée n'y alla pas de lèvres mortes pour une fatidique sucette qui allait en faire l'impotent de toutes les moqueries. Après quelques coups de pompe expertes, la Maya lui tendit la fiole de la légendaire Bromura calamita. Ne sachant pas lui dire "Deux gouttes seulement" dans sa langue et comme la sienne était tout occupée à d'autres services, le connard la but tout entière et laMaya de se retrouver à suceter le vide comme un poisson sans aquarium! D'après certains anthropologues des plus crédibles, le fossile l'ex -âne n'était plus qu'une quiquette bleuâtre ne pouvant satisfaire la dernière des blattes. Le chef fut immédiatement détrôné et grimé en femme tant il y avait des clitos bien plus consistants que son zizon dard d'apis.
La Maya essuya ses lèvres pulpeuses , enveloppa la Bluecle d'or de larges palmes, jeta un dernier regard nostalgique à la grotte de ses anciennes délices, caressa son con affectueusement, il miaula ! Elle appela Anne qui était tout effarée et toutes trois purent quitter l'endroit sans problèmes car il y avait vacance de pouvor vu que seul le plus étalon des étalons pouvait régner!

Écrit par : Mokhtar EL Amraoui | 06/05/2011

suite au conte:
Sur le plateau l'oiseau trônait les deux pattes dans l'argile, Eugêne le potier (j'ai cogité ferme) as de la révolution sur ce tour en avait plus d'un dans son sac.
Comment amadouer l'ara pour qu'il soit plus serein (ouarf). Oserait-il une berceuse. Les yeux du volatil croisèrent (s'amuse) son regard et a ce moment précis un prénom lui revint en mémoire, non pas Catherine devant l'ara un plus doux qui se termine la langue frôlant le palais.
Pan sur la flûte,le palais, Boucle d'Or pour lequel un fromage fût dédié le jour de sa naissance,le Boule d'Or mimolette des contrées septentrionales (pub) voilà la forme du cocon que citronnerait l'argileux compagnon.
Certes la forme serait moins sphérique plus ovoïdale pour évité que le dessus ne s'affaisse...

Écrit par : le bourdon masqué | 07/05/2011

tiens, le flux ralentit ! c'est le week-end ou c'est l'effet de la bromura calamita ? :))))

Écrit par : anne des ocreries | 07/05/2011

Les deux mon capitaine!

Écrit par : helenablue | 07/05/2011

Anne tout doux crescendo on naît pas pressé ce n'est pas un sprint. Enfin chacun sa cadence et sa décadence on file toujours vers un trou. A+ ? Moi c'est AB+
Bzzz...

Écrit par : le bourdon masqué | 07/05/2011

AB+ ? moi-z-aussi ! :)
week-end, je mets les voiles pour la journée, youpiiie !!!

Écrit par : anne des ocreries | 07/05/2011

@anne des ocreries
Non, Anne! ne te presse pas de partir , il n'ya que les citrons qui sont pressés!

Écrit par : bizak | 07/05/2011

Plus tard dans la jungle...

Anne Brogen, éminente spécialiste des herbes, racines et autres cucurbitacées d'usage utilisés pour les potions, avait réussit à collecter de ci delà quelques plantes aromatiques et parfois juteuses pour se les mettre sous la dent et nourrir ses amies après cette aventure extrême, où, dans l' épisode précèdent, Bluec' d'or et La flibustière Borgen avaient faillit finir empapaouter par le chef de la tribu des Femmes. Seule, Maya s' en était gorgée pour son argent, la bougresse.
Toutes trois exténuées ne pipaient mot et machouillaient trnaquilement dans le silence criant de la faune sauvage.
Blucled 'or ne se remettait pas bien de l'escapade vécue et Maya le sentait bien.
Au fond, ce n'était pas tant d' avoir été dépoilée et offerte en pâture appétissante qui la chagrinait mais plutôt que Maya lui ait empêché de vivre elle aussi la grande jouissance du chef au royal membre.
Elle ne disait rien et évitait de croiser le regard des deux conquistadores. Tout en mastiquant un brin de rien elle s 'éloigna peu à peu du campement.
Maya l' observa longuement, elle sentait comme un malaise. puis décida après un temps d' aller discuter.
"- ça va pas ?
- Ben si !
- Ben non ! je vois bien que ça va pas, je vois bien que t 'as pas l' air enchantée...
J' suis désolée de vous avoir entrainer là-dedans... hum
-Tais-toi, tu veux bien ! Tout ceci m' a révélé bien des choses, vois-tu, et... à l' avenir ne t' avises pas de te mettre en travers de mon palisir, sinon je te casse la gueule !
-...oups... mais, mais on t ' a tiré d'un mauvais coup quand même !
- Ah ! tu es bien mal placé pour dire que c'était un mauvais coup, garce !
Qu 'est-ce que ça peut vous foutre ce que j' endure si je n' ai pas le droit de jouir ?
Vous allez me foutre la paix à la fin avec vos protections rapprochées, pidestals et autres ceintures de chasteté ! j' en ai vu bien d' autres ma chère, et pas vraiment dans la même jouissance, alors les piratessses des ailes elles sont bien gentilles mais elles me laissent mon désir en place et heure ! T' façon je vais retrouver mon marin d'homme, le seul digne de ce pouvoir ! allez ciao, la compagnie des femelles !"
Anne Brogen qui n' y était décidément pou rien, se leva d' un bond et courut au bras de Bluec'd'or pour l' accompagner dans sa marche.
Maya aux seins de mangue se retrouva comme deux ronds de flanc, épuisée par toutes ces histoires elle s'allongea sous une feuile de palme fraîche , décidée à laisser passer l'orage.

C'est alors que Momokh et Bizakarium croisèrent la route des deux rescapées.

Écrit par : laure K. | 07/05/2011

suite au conte:
A Olympia le façonnage avait commencé, mais Eugêne las, où il n'y pas de plaisir, se sentait l'âme lointaine au fur et à mesure que la gangue montait autour du blue bird. Les ch'tis présents se montraient de plus en plus bavard. Ce n'était pourtant pas dans leurs habitudes mais les moules noyées dans la mousse de l'estaminet (à prononcer à l'auvergnate) déliait leurs langues au point de marcher sur celle du collègue. Les quolibets et les menaces envers le potier fusaient, mais rien n'y faisait il songeait à son insu, l'air perdu. La masse tournait l'ara en transes itou itou renaît.
Les ondes communicatives de Kiri firent s'enlacer les cht'tis qui s'entortillaient les papilles, les pupilles, les papouilles au papayes qui frétillent et les yeux s'écarquillent. De la salives au solives la poterie devenait un lieu que la morale et l'amiral m'interdisent de citer ici. Quoi que...

Écrit par : le bourdon masqué | 07/05/2011

Pour Maya déesse aux seins de mangue, succulence royale et, heureusement, elle commençait à venir à son foutroyable-maudit clavier! foudroyable- foudroyant corps, érigé déjà en totem vivant, la vie n'était qu'une grosse motte d'argile comme savait les malaxer le grand Eugène le potier! oui , une argilité tout éphémère mais c'est ce qui faisait son charme , tout comme une lumière qui dessinerait le monde!
Intuitif comme elle était, elle ne savait pas qu'elle venait d'inventer la photographie et ses ondes novatrices parviendront bien plus tard aux humains!
Son sublime con se retrouvant dans ses éléments substantiels et essentiels en pleine forêt, miaula fort. Elle lui répondit en doses sereines mais expertes de caresses à rendre sa raison à un fou! Elle sentait dans ses rêves que l'esprit d'un amoureux venait toujours la supplier de l'aimer.Etait-ce le chef? A quoi lui servirait-il encore maintenant avec son micro-zizon-dard d'apis! "Non, non,non!" se dit-elle, ça doit être quelqu'un d'autre; il se révélera tôt ou tard! Néanmoins, elle avait sa petite idée et cela l'excitait

Écrit par : Mokhtar EL Amraoui | 07/05/2011

Mais Bluecle d'or avait beaucoup trop de tendresse pour sa Maya et fit rebrousse chemin, allant la cueillir sous sa feuille de palme fraîche.
- Allons, allons, nous n'avons pas traversé toutes ces péripéties pour nous regarder maintenant en chien de faïence, l'amitié et l'amour sont d'un même acabit et je ne peux continuer cette route sans toi. Laissons donc derrière nous toutes ces histoires de plaisir, et puis tant mieux si tu as pu les vivre! Moi, me voilà à poil sans poil pour mon bien-aimé, viens aide moi donc à le retrouver!
Le temps qu'on y arrive, tout aura repoussé et lui sera peut-être noyé sous une barbe telle que je n'arriverais pas à le reconnaître!

Anne Brogen acquiesca et reconnaissait bien la l'âme souveraine de la Blue doré, encouragea sa complice à les suivre et elles repartirent toutes trois fières et à nouveau unies vers d'autres aventures aux mille délices...

Écrit par : helenablue | 07/05/2011

@Mokthar
NAN !
Laisse-la dormir.
Tu l' a eu ta scène érotique, peut-on peut avancer dans la dramaturgie ... ?

Écrit par : laure K. | 07/05/2011

@Helena
HO, THaaank You !

Écrit par : laure K. | 07/05/2011

@Helena
"fit rebrousse chemin" ou "rebroussa chemin à poil" ? j'aime bien, c'est très imagé
:-))

Écrit par : laure K. | 07/05/2011

A Laure K
Je t'assure c'est un passage obligé; en plus , ça crée un peu de sucepense, maudit clavier! de suspense!
Elles tombèrent toutes les trois dans les bras les unes des autres, chialèrent un peu pour cette sublime grappe qu'elles reformaient , sorte de trois sublimes Parques allant de nouveau réinventer les boucles du monde, voire du cosmos avec tout le potentiel vibratoire qu'elles avaient.Bluecle d'or comprit que sa peau épilée était à même d'orienter, de s'orienter dans la nuit la plus panthérine! Elle leur indiqua la direction de la plage la plus proche. Quelques serpents , singes et crocodiles plus tard, elles parvinrent près de cet espèce de port improvisé. Elles prirent la plus grande des pirogues , s'y installèrent, les seins quelque peu tendus de nervosité et beaucoup d'excitation pour les aventures intenses qu'elles vivaient , loin des routines mortelles des pantoufleslands auxquels leurs familles respectives les avaient préparées!

Écrit par : Mokhtar EL Amraoui | 07/05/2011

Pendant tout ce temps (un temps presque regrettablement oublié), Momokh et Bizakarium embrassaient de leurs bras des gerbes de pétoncules, racines, feuilles caduques, pas caduques, on s 'en fout, toutes éspèces végétales qu 'ils avaient pû chiner dans la jungle. Il étaient très heureux de cette aventure. Un truc formidable, mais qui au fond manquait de fond et de fond philosophique comme Anne Borgen aimait à le rappeler du haut de sa proue " C'est pas un conte là, c'est une saga !"

Écrit par : laure K. | 07/05/2011

Bizakarium, comme si une mouche l'avait piqué se demandait ce qui lui était arrivé, il avait l'impression d'être sous l'effet d'hypnose, Mokhokho alias je m'en foutre, avait été à l'origine du sommeil de bizakarim alias bazocanard , quand ils s'étaient retrouvés dans l'île perdue et Mokhokho méchant avait concocté une recette de brahmapoutre pour endomir son compère le flibustier mais sauveur, puisqu'il lui a permis de survivre grace aux restes des racines. Sur ces entrefaites, Bizakarium fait semblant ne pas avoir découvert le pot aux roses machiavélique du flibustiard mokhokho. et s'approcha de bluekd'or et de Broguen et leur demanda de ne pas s'inquiéter en déclinant son identité et celle de son compère, en leur racontant toute l'histoire malheureuse de la flotte brulée, des coups bas portés et de tout le reste et leur demanda pardon pour tout et d'entamer une reconciliation , car des dangers les attendent sur cette île . S'agissant de Maya, bizakarium leur a appris qu'elle est aussi sous l'effet d'hypnose et certainement qu'elle est passé à la casserole, puisque le chef de tribut usurpatre, le Mokhokho flibustiard ne rate aucune occasion de monter même ses chèvres, il faut dire que lui aussi, était sous l'effet de drogue faite de mixture d'hallucinogène, mais sinon c'est un vrai et doux bébé-saint quand il est normal;. Bref, le plus important maintenant c'est d'aider à recouvrer les esprits à Maya et de reprende ensemble la route . Comme il commence à faire nuit, il faut construire une cabane , nous éloigner de cette grotte lupanardiènne... (et à demain la suite, car Bizakarium est toujours étourdi par le breuvage ingurgité à son insu et désire qu'on lui donne un peu de temps)

Écrit par : bizak | 07/05/2011

Car Anne Borgen, qui planait plus ou moins toujours à côté de ses pantoufles, avait pourtant un bon vieux sens commun (assez rare). Elle cherchait à improviser un mât de fortune pour leur pirogue avec une vieille paire de rames hors d'usage, et une voile en tissant des varechs récoltés dans ce amas flottant inextricable quasi assimilable à une sargasse, les anguilles en moins, sur lequel elles voguaient. Elle se faisait un peu de souci, car sa fiole de Bromura Calamita ayant été sacrifiée, il lui faudrait en retrouver d'ici peu pour recomposer cet élixir salvateur qui les avait tant de fois tirées d'affaire.

Écrit par : anne des ocreries | 07/05/2011

En écoutant le mot "saga", Maya aux seins de mangue se surprit à se répéter, pour elle-même, au début , puis à scander aux autres "saga africa"; savait-elle que ça allait être un succès médiatique , bien plus tard? Intuitive qu'elle était, elle ne s'en souciait guère. Elle avait tellement de visions et de prémonitions que ça lui était comme une tunique de Nessus! Emportées par ce rythme si frénétique , elles se promirent d'aller un jour visiter cette Africa tant chantée. Anne, ravissante et étincelante sous le soleil qui enlevait son pyjama, cria:" Momoookh, Bizaaaaaakariuuuum!"Les deux énergumènes dont ltout le visage était barbouillé de racines , d'herbes, de glands , répondirent à cette voix si suave et envoûtante. Bizakarium arrêta net l'élan assoiffé de Momokh qui n'avait aucune once de soupçon envers ces trois filles et qui préférait mourir des mains de ces trois fées!"Qu'une main féminine soit la dernière qui me touche, avant mon trépas même si c'est elle qui me le donne!" C'était sa philosophie; il courait vers la pirogue qui s'approchait de plus en plus de lui. Il attendait les trois naïades les bras confiants et ouverts. Il ne fut pas déçu! Il prit place dans l'embarcation. Bizakarium, rassuré courut vers son salut.

Écrit par : Mokhtar EL Amraoui | 07/05/2011

zut, ma suite juste postée s'intercale après le "c'est plus un conte c'est une saga" ! Bizak a posté pendant que j'écrivais à la suite.....

Écrit par : anne des ocreries | 07/05/2011

@Anne
Ne t'en fais pas, le service narratologique arrangera la chose! L'essentiel c'est de rester sur son élan!

Écrit par : Mokhtar EL Amraoui | 07/05/2011

Ce dont personne ne se doutait, c'est que ce brave Momokh, autrefois, avait eu une épouse, qu'il avait souvent délaissée pour le motif de ses affaires, (alibi facile), quand il voulait un peu s'aérer le conjigo en allant draguer la gazelle. Cette brave matrone finit par découvrir le pot-aux-roses, et en conçut un courroux léonin - et légitime ; elle fila chez une vieille sorcière du coin et lui demanda, moyennant un mois de nourriture, de l'aider à retrouver son époux, et d'avoir un moyen de savoir ce qu'il faisait.

La sorcière usa de quelques incantations bien senties, et envoya à Momokh une carpette volante espionner tous ses faits et gestes. La carpette erra quelque peu dans cette histoire, et finit par retrouver sa cible néanmoins, tandis que Bizakarium embarquait dans la pirogue en compagnie de la princesse et de ses deux flibustières de garde.

Désormais, ce pauvre Momokh sera, tel Caïn, escorté dans tout le reste de l'histoire de cette encombrante carpette-espionne, dans laquelle il ne cessera de se prendre les babouches, à son plus grand dam - car telle était la malédiction lancée sur lui par la sorcière, sur l'instante prière de son épouse bafouée.

Écrit par : anne des ocreries | 08/05/2011

@ Anne des ocreries
ahahaa la carpette, trop bon Anne... je sais pas si ceux qui lisent sans écrire se fende la poire, mais moi oui !

Écrit par : laure K. | 08/05/2011

ma foi, c'est tout le mal que je leur souhaite ! j'espère que notre ami me pardonnera cette facétie innocente....:)))))

Écrit par : anne des ocreries | 08/05/2011

Les trois chavirantes naïades ne crurent pas un mot de ce que leur chantait Bizakarium. Elles mirent cela sur le compte d'une possible pulsion polygame qui le rendait possessif et par trop jaloux. Il était loin d'être bon partageur. Il voulait tout le harem pour lui seul! C'est pour cela que Momokho se mit au milieu des Naïades, afin d'éviter d'être jeté dans le fleuve par le haremophile. Les eaux étaient infestées de crocodealers et il n'avait même pas d'argent pour les payer! Avec le vieux nocher du styx, ç'aurait été mille fois plus facile!
Bizakarium somnolait de plus belle.

Écrit par : Mokhtar EL Amraoui | 08/05/2011

"Ah! Belles! regardez donc cette carpette qui nous fait de l'ombre, elle est bien rafraîchissante!" Il ne soupçonnait guère qu'elle était truffée de caméras bio et de détecteurs de libido!La seule chose à laquelle il pensa était que la dimension de la carpette était égale à la circonférence du fessier de sa femme qu'il avait quittée depuis le jour où elle lui fit un chantage sexuel en lui demandant de lui écrire ses palmiers sinon, il ne goûterait plus à ses intimes sucs! Et la grève de chair injuste dura des mois qui furent des millénaires de frustration pour cette victime de la grosse cupide. Un jour qu'il en avait marre de se crosser, il vlana la porte et vlan! rejoignit son compère Bizarkium qui voulait tâter l'aventure. La pirogue était emporté par le courant . La carpette les protégeait.

Écrit par : Mokhtar EL Amraoui | 08/05/2011

@Mokhokho:
Avant de lire ce que tu viens d'écrire sur le harem, j'étais entrain de me dire que dans un conte ou un roman, on peut tuer qui on veut, créer des princes, des princesses, des salauds, des flibustiers et ensuite les triturer, les bastonner ,les niquer...bref, on fait ce qu'on veut et n'est ce pas merveilleux? On peut, aussi, te transformer en carpette! et nous on fuit à trois ou à quatre, que tu appelles un harem et tu ne peux rien faire car: on va t'enlever tes virgules, tes points et c'est terriblement difficile d'affronter trois flibustières et un flibustier dans leur harem et toi comme cain et en plus ensorcelé.
Et je termine par une citation de John le Carré:
"Ecrire, c'est à peu près, comme se trouver dans une maison vide et guetter l'apparition de fantômes."

Écrit par : bizak | 08/05/2011

@Bizakarium
C'est ce qu'il y a de beau dans un conte ! Tout y est possible et surtout inattendu!

Écrit par : Mokhtar EL Amraoui | 08/05/2011

Alors que Momokh regardait la carpette volante, les naïades lui demandèrent de leur chanter une chanson. Il n'hésita pas une seconde:"Tant que l'aventure dure, les fruiiits seront bien mûûûûûûres, les coeurs siiiii puuuuures".A ce moment -là , un crocodealer jaillit des eaux et tira le chantonnant de son bras. Il le dévora en une seconde. On ne le revit plus jamais et c'est ainsi que la mission de la carpette volante prit fin. Le quatuor le pleura si fort que toute la jungle en trembla surtout les arbres qu'il avait plantés avec les restes des racines jetées par Bizarkium et qu'il n'avait jamais mangés.
Bluecle d'or bronza si bien que le narrateur avait du mal à lui trouver une quelconque doricité. Elle enroulait ses cheveux autour de son index et était devenue allergique aux habits ; du moins , dans la jungle.Pourtant, Maya ne cessait de la recouvrir, avec le consentemant d'Anne qui la préférait toute blonde.Le deuil de Momokh fut consommé. La jungle, des deux rives , offrait sa magie!
N.B. Un zeste de discipline narrative doit être respecté quant aux événements qui ont eu lieu, afin de pouvoir avancer, comme l'ont précédemment souligné les trois naïades.

Écrit par : Mokhtar EL Amraoui | 08/05/2011

Eugène le potier regardait la gangue qu'il avait potelée. Pour lui, c'était pour sûr un chef-d'oeuvre, sa meilleure oeuvre de maturité. Il apprit par la jactance de quelques oiseaux migrateurs la mort de son pote qui rit Momokh. Il le revit en train de rire , danser et chanter !Quelle fin tragique être dévoré par un crocodealer alors qu'il venait de tomber amoureux d'une certaine?! Les perroquets ne le dirent pas ou n'est-ce qu'oubli sénile? Il crut les entendre parler de mangue et de pompe mais il ne comprit rien à rien ou ça devait être un quelconque forage de la compagnie des taupes-less.
Le marin , n'en croyant pas ses yeux vit La pirogue! Il se mit à courir et agiter tout ce qui, pouvait bouger dans son corps! La belle princesse qui recomptait les poils qui lui renaissait-c'était son nouveau hobby- l'aperçut! Elle réveilla la smala du trio qui roupillait après avoir pleuré leur bien-aimé Momokh !
Le marin fut embarqué sur la pirogue. La princesse , faisant la sainte- nitouche se cacha avec les palmes. Le fiancé étant toujours le dernier servi comme l'ont si bien montré les Harlequin du romanesque. Elle ne le laissa même pas l'embrasser, elle, qui brûlait , pourtant, du désir de le faire!Elle autorisa un furtif baise-main!

Écrit par : Mokhtar EL Amraoui | 08/05/2011

@Mokhtar
... vite fait, mal fait ces retrouvailles ! envie de tourner la page ?

Écrit par : laure K. | 08/05/2011

@Laure k
c'était juste pour revenir au marin et à Bluecle d'or!

Écrit par : Mokhtar EL Amraoui | 08/05/2011

Suite au conte:( avertissement)
Bizakarium étant en voyage, ne peut donc accepter tout ce que nargue Mokhokho et par conséquent tout ce qui sera dit, pourra être retenu contre lui!
Ce que je sais c'est qu'avant de partir, la sorcière qui a lancé le mauvais sort et sortilège et transformé ce momokhe en carpette, est avec Moi, elle m'accompagne ou plutôt je l'accompagne, car j'étais obligé d'accepté pour libérer notre momokhe de son sort. Cette sorcière fera quelque chose à mon retour si je suis vivant et aussi si je lui fais bise-bise dans une jungle abandonnée. Priez pour moi et mon sort, être entre les griffes d'une..........

Écrit par : bizak | 08/05/2011

@bizak
Mais Momokh est en passe de devenir le personnage principal! C'est pour cela que je l'ai fait tuer par un crocodealer pour revenir plus substantiellement à Bluecle d'or et sa belle histoire d"amour avec le marin! C'et une pure affaire de dosage narratif!

Écrit par : Mokhtar EL Amraoui | 08/05/2011

Maya aux seins de mangue soupira profondément en pensant à feu momokho puis fit un clin d'oeil à la sublime Bluecle d'or question de l'encourager à faire sortir les vers poétiques du nez de son damoiseau qui tremblait d'amour comme un oiseau!Il leur raconta ses péripéties et déboires et leur dit les avoir retrouvés grâce à son ara Kiri qu'il préféra laisser en lieu sûr sur l'île à laquelle il les conviait. En regardant Maya, cette dernière comprit qu'il savait tout du chef et de son ex-statut de déesse dans cette tribu-là. Elle lui offrit un sourire qui ne plut pas à Bluecle d'or qui avait peur que Maya ne le lui prît! C'est pour cela qu'elle fut supervigilante avec cette irrésistible femelle qu'était Maya!Comme il obéissait au doigt et à l'oeil de Bluecle, il la rejoignit quand elle lui avait lancé son "ici"!

Écrit par : Mokhtar EL Amraoui | 08/05/2011

C'est vrai que gourmande et ayant pris goût à des plaisirs insoupçonnés d'elle jusqu'alors, Maya avait l'appétit aiguisé et Bluecle avait bien raison, au fond, de lui rappeler qui était la princesse et l'élue de ce coeur de marin. Elle n'allait pas ainsi se le faire prendre par une oeillade inspirée! Quoiqu'en en dise, ça n'était pas du tout une sainte-nitouche, elle avait beaucoup lu et s'y entendait dans l'art de courtiser et de rendre fou les hommes. Elle avait une botte secrète qu'aucune de ces deux amies amazones ne connaissait...
Et puis elle avait hâte sans que cela se voit d'un iota ce qui la rendait d'autant plus désirable d'enfin prendre son marin pour époux! Pour cela il y avait encore quelques étapes à franchir et elle avait pour ça besoin de l'aide de tous ceux qui l'aimaient...

Écrit par : helenablue | 08/05/2011

Le marin aimait trop la princesse. Il lui parla de son coeur déchiqueté en la voyant sur l'écran de l'ara, crier à en mourir, quand écartelée, la prépareuse l'épluchait de ses poils pour la préparer au chef auquel elle aurait aimé goûter mais c'est du passé!
Le marin n'avait pas vu ses yeux pour deviner l'intense désir qu'elle avait pour vivre
le nirvana de la chère Maya!
Bluecle d'or demanda au marin des nouvelles de son cher père; il lui apprit que le roi sortit vainqueur de "la campagne du slip" et que la partie conquise avait désormais pour chef son fiancé. La toute bouclée explosa de joie et en sautant vit ses seins aux tétons tout roses applaudir à cette nouvelle! "Ouwaou! Hip Hop hourra pour mon cher prince!"

Écrit par : Mokhtar EL Amraoui | 08/05/2011

Bluec d'or semblait enfin reprendre du poil de la bete ...
Au main de son marin avec qui, on s'en doutait bien elle
Se libererait tôt ou tard entierment.
Maya la belle, toute echaudee qu'elle etait d'apprendre l'extermination definitive de Momokh
Se laissa couler dans un bain de glaise a l'arriere de la pirogue, si inconfortablement
Mais delicieusement regenerant. Elle ne se rappelait plus de quoi etait faite cette aventure puisque
Tout plaisir en etait chasse.
Mais elle suivrait de toute facon Bluec d'or jusqu a epuisement bien plus fidelement
Qu'un amant de chair.

Écrit par : lorka | 08/05/2011

Bluecle d'or ressentait amèrement le chagrin de Maya qui se retrouvait, depuis, dans une affreuse solitude mais l'esprit même de cette glaise la calma et lui fit consommer le si lourd deuil! La princesse tendit une des fleurs que lui avait offertes le damoiseau. Elle comprit le message et le beau symbole! Elles se sourirent et leurs soupirs ouvrirent toutes larges les portes de leurs futures complicités!
La pirogue poursuivait son chemin . Anne se réveilla, bâilla , regarda le ciel remplis d'oiseaux qui chantaient le printemps. Elle remercia la vie et se rendormit, ne trouvant rien à manger!

Écrit par : Mokhtar EL Amraoui | 08/05/2011

En effet, qui dort dîne, mais enfin, elle rêvait de festins, et son estomac la tiraillait tant et si bien qu'elle se réveilla tout à fait.
- "foutraille !", s'écria-t-elle," c'est bien joli vos roucoulements les perdreaux, mais quand est-ce qu'on graille" ?
Cherchant dans la pirogue, elle tomba sur une sagaie qui lui parut suffisante pour l'usage qu'elle en voulait faire, et se mit en devoir d'attacher un de ses longs cheveux à une extrémité. Après quoi, elle courba une des épingles qui retenait l'ourlet de son corsaire à hauteur de mollet, et en fit un hameçon qu'elle accrocha au bout libre du long cheveu.
" bon, c'est pas tout ça, il me faudrait un appât maintenant ! nous n'avons ni ver ni asticot, il va falloir ruser - que vais-je bien pouvoir utiliser pour pêcher ?"
Une inspiration lui vint.
" Bizakarium ! il faut toujours qu'il y ait quelqu'un pour se sacrifier pour le bien de la communauté ! la nourriture manque dans la pirogue, mais pas dessous ! il me faut un appât pour prendre le poisson ! file-moi ton prépuce, ça sert pas à grand-chose, ça guérira vite et tu seras le sauveur de toute la compagnie !"
Ce disant, elle avait tiré son poignard de dans sa ceinture.
Bizakarium blêmit, puis gémit :
"Heuuuuu.....oui mais heuuuu, enfin, c'est-à-dire.....je m'en sers pour jouer du trombonne à coulisse le dimanche après Vêpres, çanva pas être possible, là, heuuu....je crois....."
Anne Borgen jura comme un corps de garde, et rangea son poignard.
" nom de dieu de merde de putain de chiottes de bordel à cul ! comment qu'on va grailler, bordel ?!!! faut bien qu'y en ait un qui se dévoue !"
C'est alors que Maya Lorca, rompue de longue date aux arts de la guerre, eut une brillante idée :
"Il faut un leurre ! Avec un leurre nous prendrons des tas de poiscailles !!!" On chercha deux ou trois babioles de pacotille dans les fonds de poche, on fabriqua le leurre, et Anne Borgen se mit en fin à pêcher, avec l'espoir de quelque prise. Bizakarium, soulagé, sauvait son prépuce, et en fut extrêmement reconnaissant à Maya Lorca, de qui il embrassait les genoux éperdumment.

Écrit par : anne des ocreries | 08/05/2011

Suite au con-te
En longeant le sentier dégagé avec un coutelas, dans la jungle infestée de serpents à sornettes, Bizakarium qui a écchappé à la vigilance endormie de la sorcière mal aimée, tomba sur un bucheron. Celui ci, surpris de cette intrusion, demanda ce qu'il faisait dans cette jungle , Bizakarium lui répondit, qu'il était poursuivi par une sorcière qui avait jeté un jour, un sort, à son compagnon d'infortune un certain momokh. Le bucheron, lui demanda comment se nommait-elle cette sorcière, il lui répondit, qu'il pense avoir entendu qu'elle portait un nom difficile à se rappeler. Oui, je sais, lui répondit le bucheron ,il s'agit certainement de la graineleusevampirette, surnommée ainsi, parcequ'elle elle boit le sang de l'âme de ses victimes et elle les laisse errer comme des égarés dans le desert.
Seulement, vu que je suis un derwich( sorcier lui aussi), je peux te dire que ton ami doit être dévoré en ce moment par un animal du genre aligatorien, mais il peut être ressuscité, car c'est un faux aligator, c'est seulement son esprit qui a été enlevé et le corps de votre ami a été recraché par l'aligator sur une plage d'une île australienne du nom de Kiwi. Je peux vous aider, mais à condition que vous me donniez un peu des fameuses racines que vous ramassiez sur l'île où vous avez été abandonné lors de votre naufrage. Bizakarium regarda dans sa besace, s'il en restait encore, et reussit à trouver une petite quantité et l'offrit avec plaisir au bucheron-sorcier.En un tour de main, ce dernir disparut, non sans avoir lancer: votre compagnon sera retrouvé grâce à vos autres compagnes, les flibustières qui sont déja sur la direction de l'île de Kiwi. Bizakarium tout heureux, se disait qu'il allait trs vit reprendre la route ou pltôt la mer et essayer d'intercepter ses amies flibustières, pour retrouver ce coco de Momokh en espérant que son corps, n'a pas été complètement abimé, surtout sa quequette à laquelle il tient plus qu'a ses yeux. Mais ce qui est sûr , c'est qu'il va y avoir une fiesta où bizakarium et momokh , anne-aux creux de la vague, bluek d'or et laurquette seront les plus heureux du monde !

Écrit par : bizak | 08/05/2011

Suite au conte:
Le bucheron sorcier a laisser dire aussi que Bizakarium qui se trouvait sur la pirogue des flibustières, n'était pas le vrai et que c'etait seulement une partie de son esprit, avec un corp d'adam emprunté par les esprits de l'île et le vrai bizakarium doit immédiatement les rejoindre.

Écrit par : bizak | 08/05/2011

"mais comment puis-je les rejoindre ?", demand-t-il alors au bûcheron-sorcier ?
" je vais t'aider ! bois ceci", dit-il à Bizakarium en lui tendant une fiole, c'est une potion de télépotus instantanus, qui te transportera en un clin d'oeil sur la pirogue !!!"

Bizakarium prit la fiole et but, et avant même d'avoir cligné de l'oeil, il fut sur la pirogue où son arrivée fit sensation.

On s'écria de tout côtés, et il dut tout expliquer. On se saisit du faux Bizakarium, qui fut illico lesté d'un poids et jeté aux requins.

Anne Borgen, cependant, en retournant guetter sa ligne, s'avisa qu'elle avait ferré une prise, et pas une petite apparemment. Tous unirent leurs efforts pour ramener la ligne sans la faire casser, et ils tirèrent hors de l'eau un de ces crocodealers, qui pour une fois n'avait pas sniffé la bonne ligne. Bien fait ! Le monstre était très gros, et l'installer à cheval en travers de la pirogue ne fut pas simple. Ils l'éventrèrent pour le vider, et c'est alors qu'en lui ouvrant la tripaille, ils firent une découverte qui les fit crier de stupeur !

A l'intérieur du bestiau; Momokh reposait, endormi par les gaz gastriques, mais vivant, ah que le destin est puissant ! Ce fut grande liesse sur la pirogue, où tout le monde s'étreignait joyeux, en pleurant de bonheur de ces retrouvailles inespérées.
Ce qui gâcha un peu la fête fut le retour inopiné de la carpette volante, dont tout le monde s'était cru à jamais débarrassé, mais bon, on va pas chipoter pour une carpette, quoi, merde !

Écrit par : anne des ocreries | 08/05/2011

Momokho, se croyant encore dans le ventre du crocodealer, se dit qu'il ressemblait à une île puis se ravisa et cria: "Mais parbleu! Je suis bien vivant, il se palpait, touchait pinçait de partout! Mais je ne suis pas mort! Oh! Quel miracle!"
Il touchait les arbres et les pierres . A ce moment- là, il plut, ça le lava des résidus du crocodealer.
En apprenant la nouvelles , les trois naïades et le marin furent on ne peut plus heureux. Et comme un bonheur ne vient jamais seul, ils attrapèrent grâce à la futée Maya une anguille si lourde qu'elle faillit faire chavir la pirogue. Anne la chevaucha quelques mètres tout en la calmant définitivement avec une plante soporifique. Cette guerrière si discrète et efficace lança un cri de victoire et prépara le barbecue, une fois arrivés sur le rivage enchanteur!

Écrit par : Mokhtar EL Amraoui | 08/05/2011

" Il touchait les arbres et les pierres " - des arbres et des pierres dans une pirogue ? Momokh hallucine ? ☺☺☺ doit pas être bien réveillé, le pauvret....:)))))))))

Écrit par : anne des ocreries | 08/05/2011

et mais non ! c'est MOI qui me plante ! il peut pas à la fois avoir échoué sur l'île Kiwi après avoir été recraché, et être récupéré dans le ventre du crocdealer ! faut arranger ça !

Écrit par : anne des ocreries | 08/05/2011

Bon, on dirait que Anne Borgen a pêché le crocodealer, qu'ils l'ont tous chargé sur la pirogue, ont mis le cap sur l'île Kiwi, que Maya en route a pêché une grosse anguille, et que c'est en accostant qu'ils ont ouvert le crocodealer et trouvé Momokh ! comme ça ça relie le tout !

Écrit par : anne des ocreries | 08/05/2011

Maudite précipitation! j'ai voulu écrire "faire CHAVIRER la pirogue"
L'anguille tournoyait au-dessus des braises; c'était Bizakarium qui s'en chargeait. Anne alignait les herbes qui lui restaient et songeait à mettre à jour son affaire d'apothicaire. La Maya tressait les longs cheveux de la princesse, tout en chantonnant un air plutôt romantique en donnant l'impression de rêver. Splendide visage si angélique! La douce mélopée laissait couler son miel sur la nuit qui leur offrait sa nappe argentée!

Écrit par : Mokhtar EL Amraoui | 08/05/2011

Bleucle eu une soudaine envie de faire une big fiesta sur de la musique brésilienne, elle chargea Jean-Baptiste Grenouille de lui trouver un groupe digne de ce nom, demanda Momokho et Bizakarium de préparer un énorme couscous au poisson et une moquequa de crevettes et s'attendit à ce que ce soit la plus belle fête jamais donnée de mémoire de princesse!

Écrit par : helenablue | 08/05/2011

Sitôt dit sitôt fait, le couscous digne d'un guiness book a été préparé selon les indications précises de Momokho le revenant bien revenu: la si tendre Anne se chargea des crevettes et Maya la rêveuse était si contente et dansait au rythme de la samba qui fusait des couscousmen l'orchestre formé par les neveux de Momokho!
Tous dansaient et mangeaient sans penser aux lendemains!
Ils ne savaient pas qu'on les épiait, derrière les imposants baobas millénaires!

Écrit par : Mokhtar EL Amraoui | 08/05/2011

Bizakarium, étant dans l'euphorie totale, il jouissait tellement d'un moment aussi agréable, aprés une aventure des plus burlesques et il s'était mis à danser la tcha tcha, invitant l'une aprés l'autre à danser: Lauretterose, Bluecote d'or et Anneblanche. C'était un moment fabuleux de voir les adorables et gentilles flibustières s'éclataient avec autant d'entrain, quand brusqument un oiseau passa rapidement en rase mote et lancer aux occupants de la pirogue: Attention, attention, derrière les baobabs, derrière les baobabs! Momokh qui tenait le gouvernail fixait la troupe joyeuse avec un regard plein de frayeur, les yeux ecarquillés, n'arrivant pas à prononcer un son, comme s'il était devenu subitement muet; un cri glaça tout le monde, tellement il était strident, ressemblant à celui ...

Écrit par : bizak | 08/05/2011

@Amigos
"barre de rire" puissance 10 ! j'adore !

Écrit par : laure K. | 08/05/2011

...d'un Rhinocasirius, sorte de mastodonte de l'âge préhistorique, ayant échappé à son extermination par on ne sait quel miracle. Il était tellement grand qu'il couvrait le ciel avec son ombre. Il jacassait sans arrêt croyant trouver dans les passagers de la pirogue, un bon coupe faim. Le premier qui attira l'attention de l'animal, c'était Momokh, en raison des odeurs laissées sur lui par le crocodiledundyleure et qui lui donnaient envie de lui lécher ses babilles et de le tâter. L'animal avant de dévorer sa proie devait l'arroser d'un peu d'urine pour se fixer définitivement sur son sort et pour ne pas tromper ses petis rhinosarius qui le suivaient, et c'est pour cette raison que Momokh qui a senti le contact de cette urine sur sa peau a été glacé de peur. Putain, il n'a vraiment pas de chance ce Momokh, à peine était-il dégurgité par le crocodelear et pas dundy du tout, qu'il allait être reingurgiter de nouveau. On croirait que le sortilège jété par la sorcière lui collait encore à la peau, parole d'Anneblanche da la Mancha!

Écrit par : bizak | 09/05/2011

C'était sans compter sur Maya la belle, qui avait décider qu 'il suffisait ainsi, de vomir et tiédir Momokh sans qui, elle le savait désormais, l'aventure ne pourrait continuer. Oui, ça s' appelle un retournement de situation.
D'un seul coup, elle s' interposa entre Momokh et la bête en bombant le torse devant le Rhinocasirius, qui en resta quasi bouche bée car les seins-mangues avaient le pouvoir du foutre, elle dégaina son coutelas qui s' enfonça dans la poitrine verdâtre, une grand gerbe de puanterie jaune en gîclat et Maya taillada fermement une plaie à la verticale jusqu' à la gorge jusqu' à ce que le bestiau chavire pardessus bord dans un râlement effroyable. Sa chute aspergea de pieds en cap les aventuriers de la nef qui restèrent bras ballants et humidifiés.
Tous regardèrent Maya avec stupeur et considération.
Surtout Anne Brogen qui resta sciée et ne comprenait pas bien l'acte de bravoure dont sa co-capitaine venait de faire preuve. Maya s' essuya le visage de l'immondice bavure du vertébré et croisa le regard de Momokh rayonnant à terre.
L' air de rien elle lança un regard à Anne signifiant un " je t 'expliquerai" et enlaça les boucles de Bluecd'or, échangeant au passage un sourire immortel de reconnaissance. Et La mouzica repris de plus belle !

Écrit par : laure K. | 09/05/2011

Suite au conte
Dans un accés de fièvre de cheval et de folie bergère, Momokh, subitement s'était mis à trembler de tout de son corps, avec une vibration au point de penser à un Moteur Diesel, d'une 404 bachée. Il se leva, commença à tourner, tourner telle une toupie, et il se mit à crier à tue tête: alalou! bombinou!,zikaouaka! alalou! bombinou!,zikaouaka! , en levant ses bras au ciel et invoquant les esprits de lui pardonner ses erreurs du passé, avec son épouse qu'il avait abandonné. Brusquement il s'arrêta de tournoyer et de trembler et s'adressa à tous ses compagneros, Laurqette, Anneblanche, Bluek d'or, Bizakarium et lança son cri de felin: je vous aiiiiiiiiiiiiime, à boire, à boire! et tomba sec comme une figue sèche dans un sommeil profond.

Écrit par : bizak | 09/05/2011

En se réveillant, Momokh alla remercier Maya la belle rebelle . Ils se regardèrent si intensément qu'ils crurent se voir pour la première fois de leur vie. La lune tout argentée leur offrit sa bénédiction. Le revenant miraculeusement sauvé proposa à sa sauveuse un bon bain de minuit trois en un: pour que la vaillante héroïne se lave, se relaxe et goûte enfin librement aux enchantements d'une bonne baignade à deux et ce qu'elle offrait comme découvertes et surprises! La Maya se sentait revivre auprès de cet être pour lequel elle faillit mourir en martyre. Pourtant, sa modestie s'offusquait quand on la remerciait. "Ce n'est rien, voyons, ce n'est absolument rien!"De loin , on ne voyait plus qu'un seul baigneur , tantôt aux formes féminines, tantôt masculines flotter au gré de l'espièglerie complice des vagues . Ce baigneur à quatre pieds resta dans l'eau jusqu'à l'aube puis se divisa en deux somnolences repues qui se laissèrent choir sur l'herbe amicale qui les accueillit.

Écrit par : Mokhtar EL Amraoui | 09/05/2011

Pendant ce temps, sachant sa chère Maya en plein extase et Momokh en vie, Anne on ne sait où et Bizakariam en alerte, Bluecle d'or toujours enivrée des rythmes suaves et sensuels de la musique brésilienne fit au marin d'eau douce qu'elle aimait tant la plus agréable et la plus délicieuse des surprises. Sans qu'il ne s'y attende, ronflant au milieu des fougères et des feuilles de palmier dont il avait fait une couche confortable à la belle étoile, elle se faufila entre les feuillages et lui fit de sa bouche volupteuse stellairement maquillée la plus profonde et longue des douceurs, il n'osait pas se reveiller pensant rêver et laissa faire la langue joueuse et les lèvres gourmandes! Pourtant d'un coup, n'y tenant plus il ouvrit grand les yeux et vit tout ébahi les boucles de sa bien aimé en étoile sur son ventre, il y plongea la main, tendre et caressante et lui répréta sans s'arrêter: "Oh, mon ange blond, que c'est bon, que c'est bon!"...

Écrit par : helenablue | 09/05/2011

Suite au conte:
Alors que personne ne s'attendait- C'était la belle étoile- la pluie, brusquement , se mit à pleuvoir, arrosant tout l'équipage de sa flotte mouillée(??). Blueck d'or,se mit debout, en sursaut, et haletante, laissant apparaître, dans sa petite lingette, collée sur son corps, une poitrine des plus généreuses, dont les tétines dégoulinaient de goutelettes de rosée , car venant d'atteindre, avec son compagnon, le marin, le nirvana, au dessus du point G. Blueck d'or, son visage tellement épanouie, exprimait un bonheur éperdue et se mit à tourner sur elle même, la bouche ouverte, happant les giclées de pluie dans sa bouche, et ses mains ouvertes, levées au ciel....

Écrit par : bizak | 09/05/2011

Elle se sentait comme lady Chatterley, enivrée et transcendée! C'était un spectacle d'une rare beauté tant elle resplendissait, les gouttes de pluies sur sa chevelure se transformait en diamants scintillant de mille feux, sa bouche semblait être le plus mûr des fruits, tout son corps respirait l'amour, appelait l'amour! Magique! Etourdissant, on aurait dit qu'elle devenait sous cette pluie fine une autre, plus femme encore, plus déesse, l'amour incarné, sublime!

Écrit par : helenablue | 09/05/2011

"BLUUUUUUUUUUUUECLE! Je me sens BLUE, blue, blue!!!" criait-elle de sa voix profonde! Tous, autour étaient médusés et se sentaient légers comme la caresse de l'eau sur leur joue qui se mêlait à leurs larmes de joie et d'allégresse; Un pur moment de bonheur!

mais tout danger n'était pas écarté, la sorcière n'avait pas dit son dernier mot, et le Rhinocasirius au pouvoir du phénix se remit à se faire entendre...

Écrit par : helenablue | 09/05/2011

On entendait un assourdissant bruit de montage mécanique. C'était le rhinocasirius qui se recomposait une revenance sous les révérences répétées et monomaniaques de la terrible sorcière devant les yeux de laquelle le plus rouge des feux rouges bolchévique apparaissait comme une fade bille! La bête avait une option de plus: des ailes si fermes et si véloces touchant à la quasi-ubiquité!
C'était oublier la fée Anne ducorpsquirit et ses infaillibles concoctions!
On entendit miauler! c'était le "terrible" rinochat! Oui , la grande Anne a transformé l'horrible monstre en chat doux docile qui obéissait au doigt et à l'oeil à cette impératrice des herbes!

Écrit par : Mokhtar EL Amraoui | 09/05/2011

Plus de danger de ce côté, entre Anne ducorpsquirit et Maya la belle, Bluecle d'or et ses compagnons de voyage n'avaiant plus rien à craindre. Mais maintenant il fallait rentrer au pays, passer prendre chez les ch'tis l'Ara bleu et continuer la route pour proclamer les noces du marin et de sa belle!
Chacun tout de même en son for intérieur se demandait comment la reine allait-elle prendre toute ces histoires, sûrement pas à son goût, mais pour le moment cap sur bonne-espérance et vogue au vent, la pirogue semblait glisser sur l'eau tel un hors-bord à fond et poursuivait son chemin vers d'autres aventures. Maya ne put s'empêcher de jeter un oeill mouillé vers l'île des délices et Momokh poussa un si long soupir qu'il fut entendu de l'autre côté du globe par une princesse d'ébène qui tissait une toile d'or en vue de faire la plus belle des robes à Bluecle, sa grande amie.

Écrit par : helenablue | 09/05/2011

Anne, complètement déboussolée, explosa: "Mais c'est quoi, ces narrateurs? Ils font grève ou quoi? Secoue -les donc, la Blue! On ne va pas rester là à regarder mes compagnons complètement immobilisés. Il n'y a pas de problèmes d'encre avec les claviers autant que je sache? Se seraient-ils débinés parce que nous autres personnages sommes devenus plus vrais que le vrai. Oui, nous avons dépassé les rivages du rassurant vraisemblable! Oui, nous vous traquerons, croyant vous débarrasser de nous dans vos soldes fictifs! Ha!Ha!Ha! Nous hanterons vos nuits; tout ce que vous avez écrit seront des cris dans vos cauchemars! Et puis NOUS sommes en train de vous écrire!!!" Elle caressait, en même temps, le rhinochat qui rêvait de ses anciennes gloires." La Blue, je te cause, c'est un ultimatum! Appelle-les au boulot de la scripture, sinon, on les personnagera grave un par un , une par une!" Les autres compagnons ne comprenaient rien à ces paroles ésotériques.Anne, l'apothicaire, pestait tant qu'elle en avait les écumes de milliards d'escargots furieux!

Écrit par : Mokhtar EL Amraoui | 09/05/2011

Bonjour à tous les claviers phsychédéliques de ce conte, qui est loin d'être au bout du compte. Je pratiquais ces jours-ci l'observance de la Pâques juive question d'aller combattre un jour de "l'intérieur" la pratique de la circoncision. Hors il n'y avait pas de lien Internet à la synagogue, synagogue étant un peu fort pour décrire le lieu, plutôt genre hangar désaffecté planté au beau milieu d'une pastorale plaine de sol lunaire.

Y a-t-il quelqu'un, quelque'une, quelconque, parmi-vous, dont la gentillesse, voir la charité ferait en sorte que l'on me fasse un court résumé d'une vingtaine de pages sur l'état de la nation, plus précisément en matière de conte et autres histoires à dormir debout?

Écrit par : MakesmewonderHum! le juif errant. | 09/05/2011

Ciboulot à la ciboulette je prends un "ploc ! pschiiiiiiiiiiiiiiiitttt" dans ma Volvic. J'ai mal au crâne.

Écrit par : le bourdon masqué | 10/05/2011

Merci, le Bourdon M, je vois l'portrait dans les bulles, ça me suffit.
poursuite du conte,

_J'ai mal au crâne! Où est mon corps?
Lorsque je t'ai proposé ce rôle de figurant devant cette avion il fallait comprendre que c'était ni plus ni moins qu'un "Catch 22". Tu en avais marre de bourlinguer les 7 mers de tes fantasmes, inasouvables et inasouvis, à la recherche de cette chimère que tu t'étais modelée au fil des ans. Là tu te la boucles d'un silence d'or ta moulinette à sornettes de Bobinette! Je t'ai réduit à ta plus simple expression, une tirelire à souvenirs, terminé pour toi les étages inférieurs de bas étages des raz-le- ponpon de nullités nubiles souvent nuvites, à galipoter au pas de course fistules et chancres mous comme autant d'armoiries glanées en faisant erreur sur la personne.

Ce que tu cherches, tu l'as déjà trouvé et ce que tu as trouvé tu le chercheras encore! Tu es maintenant une tête sans queue.

Écrit par : MakesmewonderHum! | 10/05/2011

Anneducorpsquirit saurait te retrouver les petits pas qui menaient désormais nos lumineux héros de l'amer jusqu' au grand océan.
La flibustière se révèlait être une parfaite cuisinière et avec l' aide de sa co-capitaine Maya de la manga, elles dévissaient à l' arrière du bateau à voile et à vapeur sur le meilleurs manière d' harponner la poisscaille. On les entendaient hurler de rire à gorge déployée quand Anne s' emberlificota la chevelure dans le fil et que Maya fit mine de la jeter par dessus bord en guise de vers de terre... c'était comme ça à l' arrière du boat, il s 'y passait toujours des trucs. Mais aussi à l' avant il se passait des trucs, et au milieu il y avait un mât.

Écrit par : laure K. | 10/05/2011

Cet après-midi-là, le ciel était bouseux et hémorroïdal, pourtant ce n'était pas encore le crépuscule. Peut-être dans les têtes des personnages qui semblaient fatigués. Maya s'approcha du mat et en le scrutant, elle vit des personnes sans têtes
qui y étaient gravées! Elle tressaillit et eut un mouvement de recul! Anne et Bluecle d'or la rejoignirent et la saisirent avant qu'elle ne s'évanouît. Momokho le revenant apporta de l'eau et l'en aspergea. Elle reprit connaissance et les remercia. Le marin arriva, prit la main de la princesse qui la refusa en lui lançant un "après le mariage!" bien sec et tranchant. Il s'écrasa sans mot dire ni maudire et maudit l'amour qui l'a transformé en loques ambulantes. Son soupir réveilla un hippopotame qui bâilla, regarda s'il n'y avait pas une femelle aux alentours puis replongea dans la boue de ses rêves érotiques. Faute de mieux,rêvons, devait-il se dire. Son mât formait la perpendiculaire avec celui du bateau. Cette idée fit rire le marin et son fou-rire fit penser la princesse à la fourrure qu'elle exigerait de lui la nuit des noces! Revenant à elle, Maya leur parla des gravures sur le mât.

Écrit par : Mokhtar EL Amraoui | 10/05/2011

Suite au conte:" Réponse à Héléna pour son dernier commentaire"-
Chere Blueck d'or, la rincesse d'ébène aurait dû être du voyage, elle aurait aussi épargné aux aventuriers, bien des déboires. car, rien qu'avec son sourire profond, charmeur et magique,elle aurait, comme si , tenant une pique en bois et un crucifix, fait éloigner tous les maléfices et fait trembler les sorcières et les vampirettes et vampires de tout bord, épargnant sûrement à Momokh d'être avalé par les crocodealers.Heureusement, qu'il fallait compter sur la lauriette d'or ( elle merite bien ses nouveaux galons d'or et autres galants), qui a réussi à déchiquté le monstre fabuleux.
Pendant ce temps là sue le bateau:
Personne ne remarqua la disparition de bizakarium! Un oiseau enchanteur n'arrêtait pas de roucouler en tournoyant dans le ciel, éssayant d'avertir l'équipage que bizakarium avait piqué d'une tête dans la mer, quand il avait remarqué que personne ne daignait s'interessait à lui, tellement tout le monde était occupé avec sa petite fleurette ,comme si, lui était peut être asexué, ayant du sang verdatre.qui circule dans les veines.... La suite de l'histoire est longue, elle va arriver....( on raconte que bizakarium a poursuivi des sirenes bleues qui lui faisait les yeux doux pendant que tout le monde était entrain de chanter, de danser,car selon la légende', c'était un endroit infesté de sirenes aux voix envoutantes et ensorcelantes....

Écrit par : bizak | 10/05/2011

Suite au conte:
les sirènes avant de parsuader Bizakarium de les suivre,lui envoyaient des sons tellement vibrant, qu'il était énivré. Elles lui disait dans sa pensée: viens avec nous , viens avec nous, nous appartenons à un prince qui te ressemble terriblement ( d'aprés une légende aussi, on raconte, qu'il y'a le monde terrestre et le monde de la mer, c'est à dire, toutes les personnes vivantes sur terre ont leur semblables dans les fonds marins). Celle qui supplia en premier, bizakarium a des yeux bleux, une belle tignasse d'or, ressemblant drôlement à celle qu'on nomme Blueck d'or sur terre.C'est extraordinaire, se disait Bizakarium: si celle, sur terre est déjà prise, pourquoi ne pas essayer de connaître cette semblable dans les fonds marins, on ne sait jamais aprés tout! Avant de piquer de la tête, il questionna les sirenes, comment allait-il tenir sous l'eau sans oxygène? Le sosie de la blueck d'or qu'on nomme:la perle-Blueck-bleue-marine, toute joyeuse lui répondit, mais tu as des herbes qui emmagasinent l'air dans les poumons pendant longtemps et quand tu en manqueras on t'en insufflura suffisamment avec notre bouche juteuse et il piqua de la tête sans refléchir une seconde; Il cria avant de s'immerger: à moi ma blueck , ma perle-marine....Un cortège de sirenes accompagna sous l'eau bizakarium , elles lui chantaient des mélodies sous marine avant d'atteindre leur habitation....

Écrit par : bizak | 10/05/2011

Suite au conte:
Bizakarium, pendant sa navigation sous marine se rememorrait ses compagnons, flibustiers et flibustières. Subitement, l'image d'Anneblanche, lui revint à sa pensée, il se demanda, ce qu'elle était devenue, il ne l'avait pas pas particulèrement remarqué sur le bateau; Etait-elle entrain de préparer des lotions magiques? Avait-elle un soupirant à qui elle pensait? mais seulement, elle n'avait rien dit, pour ce dernier cas. Elle pensait peut être à ses chatons qu'elle a laissé tout seuls, sans surveillance. Bizakarium se rappella la discussion qu'ils avaient eue ensemble: sur leurs occupations! leurs hobies! etc . Bizakarium lui avait toujours parlé d'un projet de construction d'un aquarium pour l'élevage de poissons d'eau douce et puis plus rien......tout était vague!

Écrit par : bizak | 10/05/2011

Suite au conte:
Bizakarium, pendant son avancée sous l'eau était de temps en temps piqué et chatouillé par la queued'une sirène, à n'en pas douter, elle ressemblait, u peu de loin, à la laurquette de terre, la chère maya lorc ( j'ai falli écrire orque), celle qui a brisé les côtes à un monstre pour sauver son compagnon d'infortune. Bizakarium se disait intérieurement: oh! mon dieu, comme c'est merveilleux, d'$être entourré par des semblables à mes amies que j'aime et il sombra encore dans un sommeil lourd; les sirènes le faisait endormir pour ne pas, qu'il se rappelle le chemin, si éventuellement l'idée le prend...

Écrit par : bizak | 10/05/2011

suite au conte
Pendant que Bizakarium rentrait méchamment en apoplexie sous marine et que personne ne semblait le voir, Maya à peu prêt remise de son effroi, scrupta plus attentivement les personnages sans têtes, gravés dans la bois du mât. Cet effroi
qu'elle avait ressenti était certainement dû à sa méconnaissance et à son âge, et ses interprétations ne devaient jamais être entendu à la même hauteur que ses compagnons d' équipage. Néanmoins, Maya connaissait un peu la parole de l'oracle, s' ayant frotté plusieurs fois aux visions des poètes et autres magiciens, magiciennes en tout genre, et son intuition la trompait rarement. Mais plus exactement, elles discerna les visages vieillis de ses compagnons de route et le sien; pas un seul ne manquait. Tel le Totem d'une ancienne tribu. Un mât mémorial.
Quelques bulles remontant de la surface leurs fît prendre conscience de la disparition de Bizak, et Momokh sauvé des eaux, plongea la tête la première pour repêcher le disparu.

Écrit par : laure K. | 11/05/2011

Suite au conte:
Il fallait seulement pour Momokh de prendre une bonne dose de racines d'herbe, avant de plonger et risquer de se taper une bonne gourde d'eau vaseuse et piquer une apoplexie et de ne pas remonter le disparu, mais malheuresement de disparaître. C'était au moment de plonger qu'il y avait pensé, mais...

Écrit par : bizak | 11/05/2011

Momokh plongeait puis replongeait sans cesse , affolé de perdre un compagnon de route si indispensable au groupe par son humour et les services qu'il pouvait rendre à tous ses amis. N'oublions pas que les épreuves endurées les avaient tous soudés sous le libellé du Bluecle d'or's fan club! Bluecle d'or croyait qu'ils en étaient venus à bout de toutes les difficultés et qu'elle allait convoler en justes noces, que nenni!
Rêveuse, mais aussi pragmatique, elle décida de rassurer la bande. Cependant, elle préféra patienter un peu, en leur promettant de vaincre les sirènes.Au fond, elle faisait confiance à la patience de Bizarkium et son sens de la négociation. Elle savait, par ailleurs, que s'il le fallait, elle payerait la rançon qu'exigeraient les sirènes. Entre-temps, Momokho entrevit un faux-filet de lumière bien saignante; il s'arrêta net et vit toute une armée de zombies sous-marins qui s'entraînaient
dans une immense vallée corallienne. Cette armée était commandée par une sirène restituée par les pompiers qui n'existaient qu'embryonnairement et ne savaient qu'éteindre les feux de la crampe!

Écrit par : Mokhtar EL Amraoui | 11/05/2011

Suite au conte:
Bizakarium, ayant entendu un plouf! au dessus de la mer, avait tout de suite compris, que quelqu'un de l'équipage voulait venir à son secours, mais il savait que se serait trop dur, si le sauveur, ne s'était pas goinfré de racine. Par un mouvement digne de celui des acrobates du ciel et non de la mer (ceux de la mer n'éxistait pas encore) Bizakarium parvint à glisser à Momokh, une bonne pincée de racines ameres à mer. Et la musique commença, car les sirènes ayant compris le manège, s'étaient mises à chanter, à siffler, à emprunter même un repertoire de musique à la lorca-sirène des fonds des mers, qui accompagnait le cortège nuptialo-funabulesque et c'est là où, Momokh et bizakarium, s'étaient pris de fièvre de danse de samedi soir. C'était vraiment délirant, Momokh et Bizakarium entrain de danser la main dans la main et les sirènes entrain de taper des mains et des queux. Momokh pris par l'euphorie de l'ambiance, m'a même suggéré à l'oreille d'appeler les autres compagnes pour faire exploser l'atmosphère maritime et vive la Republique sous-marine! Oh! Mon Dieu, j'ai compris que peut être la sorcière des mères, celle qui est la sosie terrestre a encore fait des siennes..

Écrit par : bizak | 11/05/2011

Suite au conte:
Bizakarium, ayant remarqué, pendant un bon bout de temps déjà, qu'il n'y a plus signe de vie en haut, sur la surface de la terre , chez les amis terrestres. Cela fait déjà 24 heures, on dirait que le monde s'est arrêté de tourner, répondit Momokh à son partenaire de danse. Les blueck d'or, les laureandblus et les Annedecrierie se sont peut être fait la belle et ont levé les voiles sans nous, gémirent les Momokh et Bizakarium seuls et abandonnés au fin fond des océans, entre les mains et les queux des sirenes aux algues dormantes.

Écrit par : bizak | 11/05/2011

La tension était à son extrême à bord de l'embarcation. "On a deux compagnons de perdus", répétaient les trois amis.Le marin, voulant se marier le plus tôt possible,dit à sa bien-aimée :"Levons l'ancre!" "Mais il y en a pas, stupide! Abandonner deux compagnons aussi fidèles, jamais! Par mille millions de sirènes sans queues ni chants!" A cet instant précis, des milliers de queues jaillirent de sous les eaux et des centaines de juke-box aussi! les trois sans avoir bu de cidre étaient sidérés!
Le juron de Bluecle d'or s'exauça. Ayant perdu leur charme ou pseudo, s'avérant de simples juke-box. Voix de sirènes ulyssait cet Homère! un "ha ha ha" d'opéra fusa, cristallin de la succulente voix de soprano de Bluecle d'or. Les deux compères montrèrent leurs deux têtes hébétées parmi les myriades de queues qui jaillissaient de partout "que de queues!" Puis vinrent aussi flotter tous les mi-corps des sirènes ; c'était un spectacle horrible. Malgré leur méchanceté, les compagnons éprouvèrent de la pitié pour elles!

Écrit par : Mokhtar EL Amraoui | 11/05/2011

Débarrassés des méchantes sirènes, les compagnons se décidèrent de faire bombance à bord du bateau. Anne des heures qui rient pleura de joie en revoyant Momokh et Bizmarcircus ( c'est comme cela que le surnommaient ses compagnons de route et même de croûte car il était un sacré gai luron!)
Il n'y avait que le marin qui s'était fait tout petit car ayant voulu les abandonner sous les scies tranchantes des sirènes. Bluecle d'or était devant un dilemme plus que cornélien car elle pensait aussi à la promesse faite à son roi de père qui aimait beaucoup le marin pour avoir sauvé le royaume. Elle prit une algue encrée et commença à rédiger "Que faire?" et décida de le signer avec le pseudo d'un certain Vladimir. Maya explosa de rire en voyant ce pseudo. Momokho était tout content car elle était radieuse et si épanouie. Elle avait déjà prit tant de poissons qu'Anne l'appela pour l'aider à préparer toutes sortes de salades plus succulentes les unes que les autres. Les deux garçons qui n'avaient aucunce once ni ronce de rancune pardonnèrent au marin qui regrandit à sa taille normale!

Écrit par : Mokhtar EL Amraoui | 11/05/2011

Suite au conte:
Ce jour là, au soir, une fois, avoir fait bombance, il commençait à faire chaud, le bateau vaguait tout doucement à vaux l'eau et on commençait à sentir un temps bizarre, humide et un silence trop assourdissant; c'était à vous donner des frissons de fièvre. L'équipage était silencieux, personne ne parlait à l'autre, bref un temps à couper aux ciseaux! Momokh se leva brusquement et annonça: la terre! la terre! A quelques mètres de là, la terre apparaissait dans toute sa splendeur , la nuit était déjà entamée et le ciel était étoilé; on voyait des arbres aux rivages, genre de cocotiers. L'équipage accosta, on fit descendre tout le monde et on se pressa à trouver un endroit pour bivouaquer et construire rapidement une cabane de fortune, d'ailleurs Momokh est connaisseur en la matière. La cabane terminée, on prépara un petit repas avec le reste des poissons de la journée et tout le monde était content de gouter à un moment de répis aprés toutes ces dernières journées mouvementées; Bizakarium s'éloigna un instant du groupe pour des besoins plus que naturels. Une heure, deux heures, trois heures, point de Bizakarium! Où est-il passé? s'inquiéta La reine Blue Bluek d'or; oui c'est vrai, répondit Anne des criardises, pourquoi n'est-il pas encore là, parmi nous? Laurequid'or avait l'air angoissé et Momokh et le marin s'entretenaient ensemble de cette situation nouvelle.
Bizakarium, quand il s'était éloigné de la cabane, ne pensait pas rester aussi longtemps mais il était curieux car, quand il a fini de pisser, il voulut visiter les alentours, quand, tout d'un coup il apperçut un animal ressemblant plus à un mulet qu'à un cheval; Il s'approcha tout doucement de la bête en lui disant: tout doux l'animal, tout doux brave bête et en un quart de tour il se retrouva sur le dos du mulet, car il était maintenant sûr que c'était un mulet, un beau mulet. Il voulut le ramener dans la direction de la cabane, mais l'animal, pendant qu'il trotinait, prit une autre direction, et Bizakarium était entrainé malgré lui dans la direction que voulait l'animal. Aprés s'être débattu pour obliger la bête à revenir sur la bonne voie, cette dernière, au fur et à mesure qu'elle avançait, grandissait, grandissait, à n'y rien comprendre. Nom de Dieu! cria Bizakarium, mais c'est un démon ou un génie de cette terre inconnue. Bizakarium, a eu l'idée subite de prononcer une incantation ou une formule, ou un verset...

Écrit par : bizak | 11/05/2011

"Terre, terre" avait effectivement crié Momokho, mais terre de quoi ? encore une île perdue au milieu de nulle part, un marin gisant qui n' avançait pas d'un iota...avait-il vraiment le pied marin ce phénomène là d'ailleurs? parce que tout ce beau monde pouvait chavirer d'un instant à l'autre, tomber dans la pétole, subir tempêtes et orages, il leurs manquaient un peu de clairvoyance et d'expérience à la navigation au long cours. Tant pis pour eux.
Maya était à deux doigts de faire sa valise et de quitter le navire.

Écrit par : laure K. | 12/05/2011

Quiter le navire, quiter le navire? Encore aurait-il fallu qu'on m'y embarque. N'y a t'il plus de respect pour de légers handicaps comme le mien. Est-ce là si effrayant que de n'avoir qu'une seule tête en guise de corps?

__M'dame, oui vous là, avant de descendre et plier bagages, auriez-vous l'amabilité de votre beauté de me rouler du pied jusque sur le pont du rafiot?
__Merci! Trop de charité de votre personne et de belles chevilles que vois-je à chaque rotation de mon corps roulant.Quelle vue imprenable d'ici!
__Vous savez ce qu'il y a au menu, non? J'ai la faim qui me tenaille, qui me tenaille quoi au juste? Me tenaille les souvenirs!

Écrit par : makesmewonderHum! | 12/05/2011

"Reste, donc, ma Maya! Cela va te passer; ne te fais pas de soucis, va!
Même si on n'a pas de grande expérience dans la marine, il ne faut pas dire qu'y en a marre in!" Le calembour de Bluecle d'or fit sourire la Maya qui se débarrassa de sa valise et alla se jeter dans les bras de la ravissante princesse qui fit pleuvoir sur elle baisers sur baisers. Maya lui rendit la pareille! Quel formidable tableau! Quant à Momokho, il essuya les larmes de tendresse qui lui coulaient sur les joues ,en voyant ce sublime tableau de ses deux amies. Chacune, à sa façon, l'inspirait intensément, malgré leurs différences, elles se complétaient tant. Ah! si elles étaient une seule personne! Quelle stupide utopie que celle qui lui passait souvent par la tête! Toutes deux étaient ses muses et il les aimait toutes les deux! Ce n'était vraiment que folie de poète! Ne dit-on pas pourtant qu'ils ont toujours raison et leur sensibilité et leur amour du beau là où il se trouve leur fait perdre la tête! Ah! Ces poètes! De vrais fous! "Pardonnons-leur" dit Bizak, pourvu qu'ils nous composent de beaux poèmes! Il parvint à calmer ce sentiment d'amertume qui brûlait les tréfonds de Mokhokho, face à ton d'incompréhension et lui fit une confidence:"Tu sais, je t'entends même crier la nuit, dans tes rêves, MAIS CE SONT MES DEUX MUSES! C'EST PLUS FORT QUE MOI! EST-CE DONC UN CRIME? JE N'AI PAS A CHOISIR ENTRE LE SOLEIL ET LA LUNE! ILS FUSIONNENT BIEN DANS LE FEU DE MES VEINES ET DE MON ÂME!"
Mokhokho demanda à son ami: "Est-ce vraiment vrai ce que tu me racontes là?"Mais ne sais-tu donc pas que le rêve est la voie royale de l'inconscient?"l'interrogea son ami.
"Je crois avoir ouï cela dans l'un de mes voyages dans le futur! En entendant le
mot "royale", la princesse leur demanda : "Plaît-il, m'auriez-vous appelée?
"J'expliquai plutôt une grande théorie du futur à Mokhokho" Maya demanda à son tour "Qui est cette Lise dont vous parlez?" Bizak lui répondit: " Il s'agit de psychanalyse et je lui expliquais que le conte dans lequel on vit peut lui être une belle catharsis!" "Ah! D'accord" Rétorqua la muse-guerrière.
Alors qu'elle parlait encore, ils virent surgir du fond des eaux un serpent dragon à dix têtes! Au premier jet de feu, quelques habitants de l'autre rive allumèrent qui sa cigarette, qui sa cheminée, qui sa pipe.
Anne préparait ses ingrédients en les alignant sur le pont et disait des incantations chamaniques apprises depuis son enfance. Le serpent-dragon se transforma subitement en un petit lézard-chanteur doré

Écrit par : Mokhtar EL Amraoui | 12/05/2011

Cui cui ! Il faudra qu'on m'explique comment Bizakarium peut se trouver en même temps sur le dos d'une mule g"ante, et sur le bateau, et comment tout le monde peut se trouver en même temps sur l'île, et sur le bateau. Je suis cette histoire de près, même si pour l'instant je n'ai pas trouvé "d'entrée" - et je suis terriblement prise ; mais je suis là, les caupains, vous en faites pas !

Écrit par : anne des ocreries | 12/05/2011

@Anne des ocreries:
Oui Anne, je crois qu'il faut remettre le carillon de l'angelus à l'heure. Effectivement, j'avais omis de préciser quelques faits: Quand Maya de Laurcad'or en avait rien à sciller,de l'ambiance , elle venait d'apprendre par un phénomène de telepathie que sa terre natale du nom de Lorca au sud est de l'Espagne venait de trembler, un seisme de magnitude de 5,6 sur l'echelle richter,(le mercredi 11 mai de l'an jesus christ). Maya de lorca d'or née à Lorca en Espagne était dans un état second et Anneblanchelaitière, lui a versé dans son verre un mélange de barbiturique avec un soupson de racines de Bizakarium. Donc pour pour résumer, depuis ce moment, Maya délirait et divagait, jusque même sur l'île inconnue . Par contre, Momokhococorico, lui,Il avait bien vu quand l'équipage a gagné les rivages , d'ailleurs c'était lui qui avait crié: Terre! terre!, mais pendant la disparition de Bizakarium, il était lui et le marin d'eau douce, le supplétif heureux de Blueck d'or, entrain de raconter les souvenirs et Momokodelaserra, racontait les dernirs évenemnts survenus sur le bateau.
Donc pour la suite du conte, Bizakarium était toujours porté disparu mais l'équipge ne savait pas encore comment?...

Écrit par : bizak | 12/05/2011

Suite au conte:
...Au nom de Dieu le clément et miséricordieux! Telle était la formule incantatoire que Bizakarium lança et brusquement, le mulet géant disparut, volatilisé, non sans avoir éjecter le monteur de la bête magique , dans un buisson plein de ronces et d'épines. Bizakarium perdit conscience durant toute la nuit, jusqu'à l'aube, quand par un heureux hasard, une bérgère qui menait son bétail brouter l'herbe des environs, entendit des gémissements à peine audibles. Elle s'approcha du buisson d'où venaient ces voix et demanda: y'a-t-il quelqu'un?...

Écrit par : bizak | 12/05/2011

Suite au conte:
Y'a t-il quelqu'un, répéta-t-elle, une deuxième fois. L'autre répondit avec une voix trés diminuée: s'il vous plait, aidez- moi, je vous en prie! Mais que faites vous là, lui dit la jeune fille, éplorée, ne sachant quoi faire! Moi-même je ne comprends pas ce qui m'arrive, répondit Bizakarium, j'ai monté un mulet qui n'arrêtait pas de grandir et je suis là, maintenant dans ce buisson épineux et pleins de ronces; je vous prie de m'aider, gentille fille. La fille perplexe, ne s'attendant pas à cette rencontre, reflchissait vite à trouver une solution et dégager le malheureux de ce piège infernal dans lequel il se trouve et il doit être blessé. Connaissant parfaitement les lieux, la jeune fille du nom de Louise, s'est rappelé un petit sentier qui mène directement à ce buisson trés touffue et dont il est impossible d'y pénétrer directement. Grâce donc à cette trouvaille, elle reussit à faire sortir le malheureux de ce lieu. Elle l'aida à se lever, car il paraissait trés mal au point et elle l'emmena à l'endroit où elle vivait avec son père, non loin de là.
Gaspard, de loin, voyait le troupeau qui rentrait avant l'heure habituelle, il se demandait ce que Louise soutenait par l'épaule et connaissant Louise pour son coeur tendre, il se disait que ça devait être quelque malheureux enfant abandonné ou ayant perdu sa route et surtout n'ayant rien à se mêttre sous la dent; il faut dire que les temps sont durs dans ces contrées, loin de tout vie humaine. Louise pépara la literie pour le blessé , l'aida à enlever ses vetements déchiquetés, lui donna à boire et le laissa se reposer....
Cocoriiico! Cocoriiico! chantait le coq des lieux. C'est lheure de se lever se disait Louise en pensant au malheureux qui devait avoir mal dormi, mais je vais m'occupé de lui se disait-elle, en soi-même. Il est blessé, certes, mais il va vite se remettre, il a l'air d'un bon gaillard et bien musclé, et puis il est tellement bronzé et beau, qu'on dirait qu'il n'a pas arrêté de pavaner sous le soleil..

Écrit par : bizak | 12/05/2011

@Suite au conte:
Ce matin, Bizakarium avait le regard médusé, quand Louise était venu le voir dans sa couche. Bonjour! Avez vous bien dormi, demanda Louise? Bizakarium semblait lointain et ne lui répondit pas . Elle remarqua son attitude, un peu bizarre, comme s'il voulait parler, mais, n'y arrivant pas! Monsieur, avez vous mal, ajouta-t-elle? Mais toujours, point de réponse de la part de Bizakarium. Louise commençait à s'inquiéter et alla appeler son père, Gaspard. Le père de Louise avait perdu son épouse, Jeanne, il y'avait bien longtemps et c'était lui qui s'occupait de sa petite Louise, il était son père et sa mère à la fois. Il était grand, la quarantaine et il aimait particulièrement sa fille comme la prunelle de ses yeux. Voyant, Louise, déjà levée, s'approchant avec un air inquiet...

Écrit par : bizak | 13/05/2011

@Suite au conte:
Pendant ce temps là, dans la cabane des compagnons flibus-taire, c'était le motus...

Écrit par : bizak | 13/05/2011

suite au conte:
Le volatil cessait de tourner, la cuisson à froid pouvait commencer. L'expression de centaines de citrons était stockée dans une immense baignoire où l'oeuvre serait immergée en plusieurs étapes pour éviter de trop grande séances d'apnée acidulée. En effet un trou disposé harmonieusement avait été réalisé pour une ventilation salvatrice, en cours d'immersion celui-ci serait obstrué à l'aide d'un bouchon de cire. La manipulation pouvait commencer...
Plouf et replouf Eugêne trempait l'objet avec une délicatesse mêlée de fermeté, à ce rythme l'opération serait vite terminée, mais dans sa précipitation le potier oublia un détail. Oh! Pas grand chose...

Écrit par : le bourdon masqué | 13/05/2011

Mokhokho regardait le chef d'oeuvre D'Eugêne Potier et tout d'un coup, il vit clairement une sorte de film se dérouler!C'était son ami Bizakarium souffreteux, alité,près d'une paysanne et de son père. Il demanda au maître-potier de lui prêter le décodeur afin de pouvoir décrypter les séquences précédentes. C'était ce petit détail qui manquait! De mémoire, le potier essaya d'activer la formule magique .Cela marcha miraculeusement. Ainsi, Momokho put revoir , dans le détail, le périple de son ami et comment il se retrouva chez ces paysans.Il ne put supporter ce spectacle de son ami entrain de "répondre" par force borborygmes à ces deux gentilles personnes si attentionnées. Seraient-ils de sa famille?
Après moult négociations, le vieux potier lui octroya les semelles d'argile qui combinaient temps et espace pour rejoindre le plus vite possible son ami qu'il voulait sauver! Il les chaussa et cria, aussi léger qu'un oiseau pris dans une tornade:"Tiens bon, Bizakarium, j'arrive, mon petit bonhomme!"

Écrit par : Mokhtar EL Amraoui | 19/05/2011

Suite au conte:
Tout est bien et qui finit bien.....Gaspard, le père de Louise, comprenant qu'il s'agissait certainement du nouveau venu à la maison et que sa Louise avait des penchants pour lui, prit toutes les dispositions pour aider le blessé à se remettre sur ses pieds. Bizakarium réapprenant à vivre, avait recouvré toutes ses facultés; Louise qui était toute heureuse, accompagnait Bizakarium là où il allait. Ils finirent par tomber amoureux, se marièrent, eurent beaucoup d'enfants. Quand Momokh était arrivé, chez Bizakarium, déguisé comme Ulysse à son retour à Itaque, il constatait que son compagnon, bizakarium vivait heureux et ne voulant pas le troubler dans sa nouvelle vie, il retourna vers ses autres compagnons pour les informer de cette belle aventure qui prenait fin et les informa aussi, que seul le beau père de Bizakarium, Gaspard, était au courant de sa visite et de toute l'histoire du naufrage et de leur besoin de retourner chez eux, la bàs en outre mer, et qui leur offrit son voilier, à lui, pour reprendre la mer...Quelques années plus tard, les anciens compagnons de Bizakarium, repartirent en touriste vers cette terre où un jour....

Ainsi prend fin, cette belle aventure, initiée par la déesse blue d'or , ses amis(es) fidèles, Lorca de la rochas de Lorca, Anne des ocrettes aux recettes magiques, Momokh le nénuphar( il est constamment à fleur d'eau), Bizakarium aux herbes folles et d'autres qui ont été de prés ou de loin leur accompagnateur..

Écrit par : bizak | 20/05/2011

Bluecle d'or restait néanmoins sur sa faim, elle rêvait d'une belle fête aux bras de son marin poète avec tous ses amis et son père et sa mère et que tous chantent à l'amour!
L'amour était son fer de lance, sa bannière et elle comptait bien une fois de plus le déployer, haut et fort!

Écrit par : helenablue | 20/05/2011

@Hélénablue: Quelques précisions sur le conte...
Il est vrai, qu'une partie de l'histoire qui se déroulait, dans l'île où avaient échouché l'équipage, devait être rapporté par les présents sur l'île, et d'aprés, certains écrits, avant de rejoindre leur patrie, que d'eau a coulé sous les ponts sur la suite de l'aventure des flibustiers...Bien entendu, Bizakarium était loin de se douter de la suite vécue par ces compatriotes...

Écrit par : bizak | 20/05/2011

...suite au conte:
La fuite il n'y avait pas songé un instant. Eugène plongeait replongeait son œuvre et le bleu zozieau avec. Le séchage sera de courte durée, l'endroit est bien ventilé car la poterie est équipée du système Eol pour la climatisation et chacun sait « avec  Eol on a les cheveux qui se décollent »(attention le déviant sinon je te téléphone : « Allo, déviant »).
La cuisson à froid c'est comme la pyrogravure cryogènique c'est « bath! ». A propos de bath juste à la sotie du bain attendaient ch'tis piaffant devant le récipient au bel oiseau et pressés(comme les agrumes précédemment cités) de rendre à la ducasse au castel du papa de Boucle d'Or et de son navigateur, un de ses fidèles compagnons d'aventure était d'un calme légendaire, le mataf Olpa car c'était son nom diffusait son flegme et son sang froid. Il revendiquait d'ailleurs la paternité du fameux: « Les femmes et les enfants d'abord! »(Comme ça les requins seront rassasiés) Bref (n'attendez rien avec les pépins des citrons non non).
Donc les ch'tis party (ouh!) en mettant leurs cous aux jambes arrivèrent en vitesse supraluminique au home des heaumes et de sa loi d'Ohm.
Les uns vit thé de c'est lent serre sur le buffet qui en avait vu d'Annabelle car le raout s'auto allumait
les coqs tels décrétés par la loi citée plus haut de la démarche ici rambardée n'était point alcoolisés ce qui enchantait les convives car ils été souvent nommés les « pompettes de l'art aux nommés » suite à des réceptions d'auto congratulations si chères et moniales.
Un ch'ti se pointe avec l'allure d'un fakir royal qui aurait roulé sur un cassis(ou dos d'âne, pas sa sœur qui bat le... non pas l'âne, le beurre).Si ta Cathy t'a quittée c'est sans ticket qu'il attaqua la dernière ligne droite sans tiquer. Dans ses paumes tapit (kolosal poilade) l'œuf de terre cuite à froid.
L'œil du roi étincelait plus que le Hope enchassé dans sa crown Hambourg et même si il savait que se sbire s'bourre au bar le cadeau était là à quelques décamètres, quand arriva en perpendiculaire le...

Écrit par : le bourdon m'a s'coué | 20/05/2011

Qu'est-ce donc que cette fin si injuste pour Bluecle d'or? Elle devait, comme tous les autres, avoir ses rasades de jouissances jusqu'aux transports les plus vertigineux, les plus explosifs!
C'est ainsi qu'on lui organisa, à son grand honneur, à son grand bonheur et sa sublime beauté, la plus splendide des fêtes de tous les royaumes.
Ses boucles rayonnaient tel un soleil terrestre de mille feux! Aèdes, poètes et chansonniers l'immortalisaient dans leurs chants passionnés.Les plus souples et les plus zélées des danseuses de toutes les contrées lui mimaient intelligemment ce qu'elle avait à faire avec son promis qui se débarrassa de toute timidité , en lui déclamant des vers qui lui plaisaient, inspirés du grand et inimitable "Kantiltekamasotera" .Les plus habiles des pyrotechniciens retracèrent toutes les péripéties du conte avec leurs extraordinaires feux d'artifice. Tout le monde était ivre de joie puis on laissa les deux tourtereaux regagner leurs appartements, assoiffés qu'ils étaient l'un de l'autre. Ordre fut donné par le roi de ne pas les déranger. Un page apporta la dernière page et écrivit dessus ces trois lettres de clôture pour tout conte: "FIN".

Écrit par : Mokhtar EL Amraoui | 20/05/2011

Dear Blue et Bizak, vous m'avez induit en erreur. Pourquoi avoir parlé de situation finale?
Bon , je peux dire dans ce cas-là que la fin que j'avais proposée ne le fut , en fait, que pour assouvir la faim de Bluecle d'or !
Disons, après tout, que ce n'était là qu'une fin possible.
Dear Blue et Bizak, vous êtes convoqués au Haut Commissariat des Contes pour expliquer ce coup d'état narratif que vous avez fomenté!

Écrit par : Mokhtar EL Amraoui | 20/05/2011

deux zones non négociables pour un conte (Isaac de Cambrai c'est dans ma famille)le début:" Il était une fois..." poum! et la conclusion visant à l'accroissement démographique que je citerai de mémoire: "Et ils eurent beaucoup d'enfants." Où je rejoins Mokhtar c'est l'aspect technique qu'il aborde dans son dernier commentaire, mais peut-on, je vous le demande, passer sous silence les périodes de gestation nécessaires et incontournables à la lignée royale? Et bien non. Si quelque comité ou association de mères porteuses pouvait se manifester cela nous démêlerait sérieusement ce sac de noeuds. Voilà en deux mots ma position, enfin l'une d"elles.

Écrit par : le bourdon masqué | 20/05/2011

@Mokhtar
Tu oublies que laissant végéter bizakarium, sans que personne n'eut daigné, le chercher, il s'était pris, dans la langoureuse évasion, chaude et tendre avec la belle Louise, fille de Gaspard le métèque et en plus ayant perdu la mémoire, il ne pouvait imaginer qu'il avait laisser des amis sur une terre hostile. Mais il est vrai, aussi, que souvent, lui venait à ses souvenirs, l'histoire d'une reine aux yeux d'or (il faisait la confusion avec les boucles...) , Alors, Mokhtar aux nénuphars bleux, avant de nous convoquer au commissariat des contes, Moi et la chère, la gentille, l'amoureuse, Bue d'or, sache que les bons contes (ou comptes..), font les bons amis!

Écrit par : bizak | 20/05/2011

Je feuillette le livre des règlements et là page 14, paragraphe deuxième, il est stipulé:
"Lorsque les propositions de la fin d'un conte se retrouve dans une impasse telque que tous se bousculent à l'unique portillon comme un troupeau de chameaux à travers le chas d'une aiguille, il faut immédiatement tirer à la courte paille"
Qui aura le flegme et la main ferme nécessaire pour piloter à bon port cette frégate percée par ces nombreux boulets tirés parfois à bout portant. Voici les résultats:

Bizak, 10cm
Mokhtar,11cm
Le Bourdon Masqué,8 cm
MakesmewonderHum! 5,5 cm
Laure,22 cm (la direction s'excuse mais que voulez-vous des fois...)
Hélénablue,9 cm
Anne, 5,5 cm

Étant donné que le résultat donne Ex Aequo deux finalistes, la loi du masculin l'emportant sur le féminin s'applique dans toute sa grandeur et sa magnificience, surtout qu'en matière de flibusterie on n'a jamais vu corsaire et jambe de bois s'accorder avec corsage et jambes de belles pour un dernier abordage qui deviendrait rapidement un réel sabordage.

Il était une fin...

Écrit par : MakesmewonderHum! | 20/05/2011

@Le bourdon masqué
ta lecture de la Krisis narrative qui a implosé ici-même est plus que pertinente car salvatrice ,ayant mis les points sur les i et cela dépasse de loin les oripeaux d'un quelconque formalisme; un minimum de discipline, disons de balises, est nécessaire, comme l'a toujours rappelé le cambrésien susnommé!
Suite du conte:
La guilde des potiers convoqua d'urgence Eugène le Potier afin qu'il apportât sa gangue diseuse et l'ara qui rit le voyant. Il lui expliquèrent que le royaume avait besoin d'une "armée" de réserve d'enfants afin d'assurer toute vacance possible du ventre de succession.Ce n'était que supputation car Blucled'or avait des hanches à donner de la vie! Des vies!Néanmoins,c'était la nouvelle loi que celle du ventre vacant!
L'ara qui rit fut chargé par l'ingénieux Eugène de localiser les meilleures porteuses ou transporteuses selon les usages langagiers des cantons.Notons que la transporteuse vendait plus cher l'enfant car l'ayant acheté elle-même et versant dans les trafics les plus interlopes!
Il focalisa, statistiques et intégrales à l'appui sur les vachetées. C'étaient de très belles et fortes paysannes qui se servaient de leurs hommes comme d'un cure-dent. La guilde envoya une émissaire au roi si des fois l'envie lui venait de l'épouser. En plus, elle n'attirerait pas les soupçons, chemin faisant. Nulle crainte pour elle. Elle était entraînée à tous les arts de combat!

Écrit par : Mokhtar EL Amraoui | 20/05/2011

@ Mokhtar:

Ben!! où-ai-je donc parlé de fin? Il me semble que je n'ai parlé que d'appétit!
:-)

Écrit par : helenablue | 20/05/2011

@Le Bizak
Je n'en disconviens guère!Bon, bon , l'amnésie plaide en ta faveur mais Bluecle d'or ne devait pas rester sur sa faim!
@MakesmewonderHum!
J'ai bien aimé cette paille démocratique; reste la boisson!

Écrit par : Mokhtar EL Amraoui | 20/05/2011

Dear Blue,
ce qui m'a induit en erreur c'est ton "néanmoins" concessif qui faisait écho à la fin de Bizak, semblant montrer que tu te résignais à cette conclusion hâtive de ce dernier, tout en laissant la princesse sur sa faim.
En tout cas, les mises au point sont toujours nécessaires et le "making off" du récit ne l'en rend que plus pimenté.

Écrit par : Mokhtar EL Amraoui | 20/05/2011

Dear Blue,
ce qui m'a induit en erreur c'est ton "néanmoins" concessif qui faisait écho à la fin de Bizak, semblant montrer que tu te résignais à cette conclusion hâtive de ce dernier, tout en laissant la princesse sur sa faim.
En tout cas, les mises au point sont toujours nécessaires et le "making off" du récit ne l'en rend que plus pimenté.

Écrit par : Mokhtar EL Amraoui | 20/05/2011

@: MakesmewonderHum!
Non, mon cher makes, même si tu fais appel au reglement concocté par les hommes pour les hommes, tu dois respecter l'égalité des sexes. Je veux savoir comment tu as pris les mesures?

Écrit par : bizak | 20/05/2011

@Mokhtar
Jusqu'à preuve du contraire, Mokhtar, j'existe toujours! Quand tu dis à Dear Blue, je cite: ... qui faisait écho à la fin de Bizak, je te rappelle, qu'il faut pas prendre la proie pour l'ombre ( quoique pour les deux, c'est du pareil au même), enfin je voulais dire que si tu me tues, il y'aurait plus personne pour signer mes commentaires.Je crois que t'as encore besoin d'un peu d'herbe de l'île...

Écrit par : bizak | 20/05/2011

@bizak Bien que je partage que très rarement mes secrets, j'ai pris la mesure avec une bande élastique, donnant un très léger handicap aux flibustières en l'étirant à peine et resserrant un peu pour ceux de notre "fort faible" sexe, pour le reste c'est l'histoire normale des gagnants dans l'humilité la plus anonyme qui ne saurait s'accommoder d'infernales et bruyantes congratulations de la plèbe comme tant de tartuffes nous y ont habitués, prêtant l'oreille mesquine à la commotion et au tumulte de tant de dévotions devant l'infinie grandeur, comme la simple victoire à la courte paille!

Écrit par : MakesmewonderHum! | 20/05/2011

@Bizak
J'ai parlé de ta fin de récit! Tu sais très bien que la tienne ne m'effleure même pas un cheveu! Je ne peux même pas la supposer et que dire l'imaginer! Et ce n'est pas du tout pour l'herbe; tu sais pertinemment que je ne suis pas accro, depuis le temps que tu es mon compère dans le conte!

Écrit par : Mokhtar EL Amraoui | 20/05/2011

Et une pause musicale offerte par le velu z'ailé et le vuvuzela (non).
http://youtu.be/anp4zcjFrAE

Écrit par : le bourdon masqué | 20/05/2011

Suite au conte:

Il était une fin... ( j'aime bien ça, MmwH!, toute fin qui devient un début!)

Chacun tentait de la faire sienne mais au fond nul ne tenait à ce qu'elle vienne. Pas de fin possible avec un conte pareil, tout n'étant que recommencement. Boucle d'or se triturait les neurones, pensait à tous ces enfants à venir, pensait à ses compagnons d'armes et à ses douces amies, se délectait généreusement des faveurs du marin son époux et pensait déjà à de nouveaux voyages. Pour elle, la fin est toujours un début et n'existe qu'avec un " a " interposé, c'est une insatiable, elle ne s'arrête jamais, c'est d'ailleurs ce qui donne à ses boucles blondes un parfum d'éternité...

Écrit par : helenablue | 21/05/2011

Donner une fin pour un conte ne signifie nullement qu'il n'y a pas eu de péripéties palpitantes, quand l'équipage, séparé entre Bizakarium et le reste du groupe, se démenait, qui pour Bizakarium avec sa nouvelle vie dans le camp où règne une vie pastorale et l'autre groupe resté dans l'île de yamoussoucalédoniènne (ainsi baptisé par un poète, à ce qu'il parait), avec ses propres péripéties...
Donc, il suffit pour tous les conteurs de se mettre au travail et chacun irait de ce de sa version, pour décortiquer, tout ce méli-mélo.
Il était un début de la fin...

Écrit par : bizak | 21/05/2011

Je tiens , avant toute chose, à remercier le bourdon pour cette sublime pause musicale qu'il nous a offerte en présence de la grande Zazie dont "Le Totem"est devenu ma chanson d'achevé, pardon , de chevet depuis un certain jour.
Je te remercie, le bourdon , d'avoir inspiré une compagne à Momokh en la personne de Zazille, lui qui se sentait effroyablement seul et injustement incompris. Oui, comme Bluecle d'or, il restait sur sa faim, consommant un effroyable hiatus d'abandon, écrivant mécaniquement, partout "Emait'ej!","Emait'ej!"
Comme, depuis longtemps, il était surnommé, le sage fou, aucun ne chercha à déchiffrer ces étranges signes solaires qu'il dessinait partout! Dans les délires de ses rêves, il ne cessait de répéter "Je la veux une échappée belle pour tout le monde!"
On se contentait de lui adresser un sourire compatissant. Seule Zazille, la chanteuse qui était venue égayer les soirées du mariage de Bluecle d'or crut être parvenue à coller les morceaux de ce puzzle tout chagriné de Momokho, telle une spécialiste de balistique artistiquement mobilisée. Aurait-elle vécu la même épreuve pour avoir tant d'empathie avec lui? Elle s'approcha de l'inconsolable endormi et lui tâta le front; il était aussi brûlant qu'un barbecue de coiffeur chauve! Elle regarda à droite et à gauche , tout le monde était affairé: Bluecle d'or, fort appétissante initiait son mari de marin à sa cartographie intime, entre monts et vaux. Ce dernier demandait à légender, de ses doigts, toutes les nouvelles zones encore inexplorées; Bizak et Anne apprenaient à se connaître de plus en plus, en se la jouant seulement doctes botanistes , mais bien d'autres herbes et plantes germaient dans leurs deux coeurs fébriles!
Zazille en profita pour dévêtir complètement Momokho et commença ses "x-o", "x-o" de soprano profonde. Momokho délirait de plus belle en lançant, lorgnant l'or de ses doigts experts, des mercis de plus en plus galopants!

Écrit par : Mokhtar EL Amraoui | 21/05/2011

Lorsqu'il se réveilla, il vit Zazille en train de se tatouer le sein gauche , en dessinant
une gazelle qui sautillait. Il s'approcha d'elle. Elle lui tendit, en lui caressant les cheveux, son sein droit et lui cria, de tout son être:" Amuse-toi , tète-moi, à souhait; je suis de celles qui vont jusqu'au bout! Je ne t'abandonnerai jamais à mi-chemin!"
Il remplit sa bouche de cette offrande si généreuse et en but un lait magique qui blanchissait l'aréole rose comme une mûre s'offrant en grande canicule.Il la mordilla pour qu'elle oubliât quelque peu son tatoo. "T'as tout, mon ami, mon amour; sers-toi!Je sais que tu es si gourmand et je te satisferai comme il se doit! Viens me remplir, mon chéri."
Il lui répondit par un oui chaleureux et plein de gratitude; il voyait les nuages aller et venir dans les yeux de la sublime zazille !

Écrit par : Mokhtar EL Amraoui | 25/05/2011

Ils devinrent inséparables. S'ils ne s'amusaient pas au sublime jeu que leur offrait leurs corps, ils se racontaient des tas d'histoires. Elle lui chantait toujours des chansons dont , parfois, il lui écrivait les paroles. Elle essayait tant bien que mal de l'aider à faire le deuil de cet abandon auquel il ne trouvait aucune justification plausible. Il explosa de rire, en pensant à la chanson"Escargot Berlingot". Il pensait qu'elle résumait bien ce dont il a été injustement victime.Puis il sombra dans un profond silence mélancolique. Elle lui apporta le pantalon et la veste qu'elle lui avait cousu et insista pour les lui mettre; cela adué deux heures tant ils s'arrêtaient à chaque centimètre d'enfilé pour s'entrecâliner!
Ce n'est qu'au crépuscule qu'il finit d'enfiler la chemise soyeuse. Zazille était aux anges. Il lui dit de façon intempestive:" Tu sais, ma zazillon, tu as les seins de Scarlett Johansson l'abandonnée!" Un orage gronda de ses lèvres grand'ouvertes:"Mais pourquoi ces comparaisons? Je veux être moi-mêêêêême!"bêla-telle.
"Je t'assure que c'est à cause de cette malheureuse Scarlett Johansson qui a été abandonnée dans le film ; cela m'a aidé à comprendre beaucoup de choses, ma Zazillon!"
"Ce n'est pas nouveau; tu délires, tout le temps;je n'en ferai pas une maladie; après tout , ça m'honore d'être comparée à une grande actrice et chanteuse.Mlle Scarlett Zazillon! Pourquoi pas?" Lui dit-elle, en touillant le bouillon de cobra qu'elle préparait.
La rivière charriait tant de cadavres d'animaux qu'elle leur rappela l'amère loi de la jungle. Ils décidèrent d'aller rejoindre leurs compagnons qui festoyaient encore.

Écrit par : Mokhtar EL Amraoui | 25/05/2011

Suite au conte:
L'histoire, romantico-pastorale, que vivait bizakarium avec sa belle pastourelle, dans une certaine routine, ne comblait pas sa soif d'aventure, il n'arrêtait pas de penser à -Notre Boucle d'or- (qui a troqué son titre de princesse, pendant le temps de l'aventure, contre celui de femme libérée, aimant la vie sans limite, refusant d'être un faire valoir mais une femme fatale sans user de mensonge ni de contrainte mais de son charme), et tous les autres compagnons: Maya de lorca, Anne des jardins exotiques, Momokho, et le marin.
Au germinal, Septième mois du calendrier républicain, il apprit par un heureux hasard et par un peintre qui voulait s'isoler du monde moderne et parcourir les vastes territoires des îles condor des Amériques, l'histoire du retour d'un groupe d'amis qui avaient traversé, parcouru, tous les océans, vécu des naufrages et finalement rentré au bercail, mais sans un des leurs qui était resté dans une contrée sauvage. Bizakarium n'en revenait pas de ce qu'il venait d'apprendre de la bouche de ce nouvel aventurier, ses amis sont bien rentrés sains et saufs. Il pria le peintre de lui raconter toute l'histoire, et ce dernier commença son récit:
Quand le voilier offert par gaspard, le père de la pastourelle, à Momokho, eut accosté sur la plage de l'île où se trouvaient ses autres compagnons, Boucle d'or s'était éloignée avec son amoureux le marin, et le reste du groupe était entrain de les attendre, pour prendre la mer et rentrer au bercail. Boucle d'or et son marin pendant ce temps, bras dessus, bras dessous, vivaient leur nuit sous les étoiles des tropiques et s'embrassaient tout en se murmurant des mots doux. Je sens profondément que tu es ma vraie épouse, dit en soupirant le marin. Je ne pourrais vivre, ni rayonner, sans toi sur cette terre, lui répondit Boucle d'or; on dirait que les battements de mon coeur voudraient hâter les pulsations de la pendule pour nous retrouver dans notre lit, ajouta le fougueux marin. Et c'était ainsi qu'ils passèrent la nuit dehors, l'un contre l'autre, ils avaient dormi, rêvé, pleuré de bonheur et la mer les avait bercés de ses flux et reflux. Quand le matin, ils sétaient éveillés, c'était comme s'ils venaient au monde, dans son premier jour de sa création; Avec l'apparition du soleil qui dardait de ses rayons leurs beaux visages, ils s'étaient pris la main et s'étaient jetés dans l'eau comme deux fous, deux anges endiablés et c'était ainsi qu'ils vivaient leur liberté, leur idylle, leur amour , leur romance. Ils s'étaient jurés de s'aimer pour la vie, rien que pour la vie, pour le meilleur et toujours le meilleur et le pire, on s'en charge quand même.
Boucle... d'ooor! Boucle...d'ooor! n'arrêtait pas d'appeler Momokho, qui était parti à la recherche des louveteaux, pendant toute la nuit, avec ses autres compagnons.....(et la suite pour celui ou celle..........

Écrit par : bizak | 30/05/2011

@Héléna, Lorca, Anne, c'était ma façon de terminer pour ma part cette longue saga merveilleuse avec et grâce à vous, en vous souhaitant bonne fête les mamans.

Écrit par : bizak | 30/05/2011

Merci Bizak
Ainsi, il en va des mots comme des coupes franches ou bien de longues symphonies.
Une bien riche expérience d' écriture multiples en tout cas. On s'est bien amusé et pas seulement.
Maya vous salue, elle a reprit son cap tout azimut.
Hasta la proxima !

Écrit par : laure K. | 30/05/2011

@Lorca
Merci Laure à toi aussi, tu débordais d'imagination tout azimut et à la prochaine aventure!

Écrit par : bizak | 30/05/2011

...et ils se sont tous marriés ensemble et eurent de, nombreux, nombreux nombreux enfants qui ne manqueraient jamais, jamais,jamais de bons et fidèles parents! Des p'tits blonds bouclés, p'tites noironnes aux yeux verts, des p'tits roux frisotés, les yeux légèrement bridés de la petite brune, jumelle du petit café au lait qui regarde Alice, la dernière, la bouche pendue aux mamelles du plus merveilleux destin.

__Tiens,tiens "Alice au pays des merguez"

Chépas pour vous autres mais j'ai comme une petite faim, Anne il est bientôt prêt eul'potager?

Écrit par : MakesmewonderHum! | 30/05/2011

@ MakesmewonderHum!
Depuis que tu t'es englué dans la mesure des sexes, avec le tirage à la courte paille, et tu t'étais déclaré vainqueur, malgré l'égalité avec le sexe opposé, tu as lâché la proie pour l'ombre! Au pays du merguez, il est dit que ce n'est pas le tout de disposer d'un avantage quelconque, encore fallait-il connaitre le mode d'emploi et ce qui fait que tu sois resté sans héritier! Hé, hé!

Écrit par : bizak | 30/05/2011

@Bizak Faut bien que le vieux taureau prenne le chemin le plus court pour arriver à peu près en même temps que les jeunes fringants comme toi et ce, juste pour préparer la fête. Tu sais à mon âge on regarde ses p'tits enfants aux bras de ses fils et filles (c'est selon), leur laissant toute la place pour s'épanouir, librement et surtout avec les enseignements de la plus totale égalité entres femmes et hommes, ,ici, comme pour partout ailleur. Mais je sais qu' avec la même amicale ironie, que je fais souvent mienne, ça tu l'avais bien compris entre les lignes de ton propos.

Côté bouquetin, agneau, couscous, menthe, cumin et feu de bois je me débrouille assez bien. Sauras-tu un jour bien maîtriser le pâté chinois?


Anne, j'entend les p'tits pois craquer!

Écrit par : MakesmewonderHum! | 30/05/2011

Suite au conte:
quand arriva en perpendiculaire le... père Manganate et la mère Kurocrom apothicaires royaux de 1ère classe. Ils ne virent pas le porteur de l'argileux oeuf mais vire le jeux d'Henri le hallebardier qui exécutait des gestes désespérés à leur attention afin d'éviter l'accident, aussi sec qu'une rondelle de Ramses II les corps entrechoquèrent et la surprise pris une trajectoire incontrôlée en direction du trône. Au contact du sol la gangue de terre cuite se fragmenta en un instant, Kiri quitta sa fine geôle dans un cri si aigu que les morceaux de terre cuite se cristallisèrent en diamants. Oh! Firent les invités en voyant le tapis constellé de multiples joyaux, l'ara tatouille aveuglé par cette luminosité soudaine et se pose à coté de Boucle d'Or, re-Oh! fit l'assitance médusé par le spectacle de ce volatil décoloré par le jus des citrons utilisés pour cette cuisson à froid (Th 0 pas plus).
Piteux le papegai fut enlacé par Boucle d'Or pour le consoler de cette frayeur, attendrie elle embrassa la tête de Kiri qui à la stupéfaction générale redevint entièrement bleu, s'etouffait-il ? Non car la princesse découvrit son don, celui de colorer en bleu et du bout des lèvres, selon ses désirs tout ce qu'elle voudrait, elle venait de le découvrir. Elle fut heureuse avec son homme et ils eurent beaucoup de schtroumphs. Le bel oiseau de sa magie recouvrée conversait avec cet Eugêne potier qui depuis c'était reconverti dans la chanson, serait-il inspiré, mystère et c'est une autre histoire.

Écrit par : le bourdon masqué | 30/05/2011

@ au bourdon masqué. M'suis toujours demandé si finalement la procrastination n'était pas plutôt une qualité, celle de retarder à souhait le fruit de son imagination pour qu'il soit mûr, juste à point!

Écrit par : MakesmewonderHum! | 30/05/2011

@ MakesmewonderHum!
J'ai trés bien compris, mon ami, que tu as plus d'un tour dans ton sac et que le taureau qui en toi doit se moquer de mes petites banderilles. En tout cas, tu es pour moi un véritable compagnon de route, j'admire ton humour et ton respect des choses!
Pour le paté chinois, Christian m'a envoyé la recette, mais il m'a précisé que c'est le maïs en crème qui est un problème. Alors je me remets au Merguez!

Écrit par : bizak | 30/05/2011

311 commentaires, vous rigolez. Record Guinness.
Vous lirai peut-être en roman, une fois à la retraite.
Et encore,ça a intérêt à être bien tassé.

Écrit par : Yvan L. | 30/05/2011

Foutraille, les gars, comment voulez-vous que je vous torche un repas décent si y en a tout le temps un pour réclamer du potage ou des p'tits pois ! y s'écossent, les p'tits pois, c'est juste que je fais gaffe à pas leur froisser le kilt, hahahahahahaha !

Zut, v'là l'orage, adieu le web....:(
......pour ce soir seulement !

Écrit par : anne des ocreries | 30/05/2011

@Yvan L
Il existe dans nos contes kabyles, des defis à relever pour gagner l'amour de sa princesse; alors on soumettait les prétendants à des travaux les plus herculiens: tels que traverser les sept mers, où battre l'ogre gardien d'une grotte magique qui recelle la bague aux mille miracles! Qu'est qu'on ne ferait pas pour notre chère adorée princesse Blue d'or, pour battre tous les records guiness avec S ou sans S.

Écrit par : bizak | 30/05/2011

@suite au conte
La p'tite à la grande paille ayant perdu de sa superbe... (makesmewonderHum ne pourra le nier) s'était retranchée telle une murène depuis le chapitre ... (?)en attendant les accalmies fantasques de cette traversée à 7 têtes, 70 doigts, et autant de phalanges...
Elle avait embarquée en douce une nuit, aidée par la flibustière sur un canot de sauvetage, après avoir salué son amie Bluec' d'or, une larme à l'oeil, sourire en coin, sachant qu'elles se retrouveraient sur d'autres chaloupes, sur un océan parallèle, sous les mêmes cieux noircis d'ancre bleues et de promesses éclatantes.
Rêvant de pluies abondantes pour tracer la route et noyer ses larmes, Maya savait que se levait le voile d'un genre nouveau. Elle eut une pensée silencieuse pour l' homme de la caverne, si enfouit qu'il était dans son divin totem, qu'il en devint sourd.Des amis de bord Bizakarium délirant pied marin entre sirène et bergère, le potier dont elle ne saisira jamais le fond de cuve... mais dont elle enviait la rigueur à l'effort.
Maya était aussi libre que les vents porteurs et elle songeait plutôt au prochain tête à tête avec sa Bluec 'dor, sans cordages, ni marin, ni volatiles à deux têtes, et plutôt en hauteur qu' en eaux troubles. Car non, le conte ne finirait pas en boucle.

Écrit par : laure K. | 30/05/2011

@Suite au conte
Sans toutes les contorsions de lorca la rochas, la gymnastique de Momokho, la sagesse de Anne de la sauge, il était impossible de persuader les louveteaux de quitter l'île. Anne avec sa recette magique, reussit à faire avaler une petite potion aux herbes aux deux amoureux qui permit de les faire dormir.Ils chancellèrent comme deux tourteraux sans leus ailes et Momokho aidé de Lorca ainsi que de Anne, purent les tansporter jusqu'au voilier.
Le voilier poussé par le vent venant des triangles des bermudes, se dirigeait tout droit le long des côtes des caraibes, sous un soleil de plomb. L'équipage, réduit à seulement Momokho, Lorca de la roca et de Anne des algues marines, se demandait comment allait se dérouler la traversée de l'océan, pendant que les deux heureux élus étaient endormis dans la cale du voilier. Pendant le voyage, le voilier longe l'île des Sirènes, qui attirent les voyageurs sur les rochers grâce à leur chant merveilleux. Le bateau arrivait en vue d'une île inconnue , après cinq jours de traversée d’une mer houleuse, mais sans tempête. Les trois combattants étaient regroupés à l’avant du navire, pas vraiment pour parler mais appréciant leur présence mutuelle.

Écrit par : bizak | 30/05/2011

La fête battait son plein. Tous les présents dansaient. Bluecle d'or était avec son marin de mari et rêvait maintenant de sa nouvelle vie qu'elle voulait stable.
Une vie où ses nouvelles charges de reine lui prendraient tout son temps; Elle savait que son choix allait faire des malheureux , cela veut dire des malheureuses aussi qui auraient donné leur tête à couper pour arracher d'elle un simple sourire.
Mais la future reine pensait que ce n'était que gâchis que de se sacrifier pour elle alors qu'elle avait déjà choisi sa façon de vivre,son marin d'époux!
En tout cas, elle a toujours incité tout ce beau monde à se réaliser et à ne pas la sanctifier au point d'en faire un autel d'enfer où on viendrait sacrifier son bonheur pour lui prouver qu'on l'aimait alors que la diva a toujours voulu que chacun aimât à sa façon et fût heureux, surtout celles et ceux qui n'avaient qu'à oser un petit pas pour se libérer. Elle ne voulait pas être la cause de tant de gâchis.C'est pour cela qu'elle décida la grande escapade en compagnie de son futur roi , le marin afin qu'on ne se méprît pas sur des renoncements illusoires à ses choix tout décidés et tranchés.Elle opta pour le grand sevrage. Jusqu'à l'heure, plusieurs exégètes se penchent encore sur cette option de Bluecle d'or; Le hic c'était de chercher qui , précisément elle voulait sevrer.
Zazille savait que Bluecle d'or allait fuir avec son mari , la nuit-même toutes les nuits dans lesquelles elle ne voulait plus s'engager; elle était tellement éreintée car ne pouvant plus répondre à toutes les asphyxiantes sollicitations.

Écrit par : Mokhtar EL Amraoui | 31/05/2011

Bluec' d'or avait finalement permis de rendre à chacun ce qui appartenait à chacun.
Et c'est ainsi que les choses s' envisageait sereinement. Pas de piédestal. Rencontre d'égal à égal. Peut être que la boucle serait bouclé, finalement... ce 1er juin 2011.

Écrit par : laure K. | 31/05/2011

AH! Le ducon, j'ai complètement loupé Manouche, Laurence et les autres à la courte paille, alors si un jour vous apercevez @LaureK assise à une terrasse occupée à brasser son mojito avec une paille de 22cm, faudra lui expliquer qu' il y en pour vous tous ...de ce mojito et que l'addition...eh bien! Faites comme à l'habitude, partez sans payer!

@Bizak
Je me souviens maintenant que "Alice au pays des merguez" appartient à l'univers débridé de San Antonio alias Frédéric Dard, donc pour l'adaptation de roman Fleuve Noir à conte "fleuve", faudra laisser couler un peu d'eau sous les ponts!

@Anne, ma soeur Anne, ne fais-tu rien cuire?
@Mokhtar, cher Mokhtar, n'eût été de toi, nous n'en serions pas à plus de 300 commentaires, "té dur à suivre en sacrament", il a fallu abreuver nos claviers comme on abreuve les chameaux pour la course de Tamanrasset juste pour te suivre de loin et encore leur apprendre à surnager sur toutes les mers.
@au Bourdon masqué, tu nous a roulé le plus beau et recherché des colombins (cuit à TH 0,hé,hé!) pour nous le livrer avec la constance et la patience des beaux ouvrages, et avec juste ce qu'Il faut de magie pour les enfants que nous sommes.
@Bizak, mais qu'est-ce que tu en poses des questions! C'est sûrement ce qu'il te reste de jeunesse pour enquiquiner nos vieux sabots, pour certains, comme les miens, ou talons aiguille, bottes de moto et vestes de cuir (pour nos vlimeuses et méconnaissables princesses, qui, sous des dehors frêles et féminins et disons-le parfois un tantinet précieuses..., nous cachaient leurs redoutables dessous de félines aux desseins inimaginables pour un seul homme, Dieu merci nous étions quatre!) et bien mon Bizak à toutes tes questions je répondrai ceci:Il y a dans chaque question une partie de la réponse, et dans celle-ci une nouvelle question. As-tu vraiment envie de nous posez d'autres questions?

Encore une fois et un peu plus, pour toutes celles (et surtout celle sur qui repose le tord de briller par son absence, imaginez princesse invitée par une princesse pour fêter ou confirmer dans ses nouvelles fonctions, quoi, une nouvelle princesse!) qui nous ont menés, par le bout...du nez, en bateau, naviguant dangeureusement sous sa ligne de flottaison, nous vous disons bravo!!! mais de grâce confirmer votre itinéraire, la prochaine fois, à l'agence de voyage la plus près de chez-vous. Nous sommes en surprime depuis le tout début.

Écrit par : MakesmewonderHum! | 31/05/2011

@Tous mes chers amis
Vraiment merci de m'avoir suivi dans cette belle aventure du conte qui a libéré et les bosses de chameaux de nos claviers comme le dit si bien MakesmewonderHum!
C'est une expérience qui a bien délié les langues et les imaginaires, en montrant chez toutes celles et ceux qui y ont participé de grandes capacités d'écriture qui n'est , en dernière analyse, l'apanage de personne et que sérieusement et sincèrement, sans narcissisme aucun, il y a en chacun(e) de nous un(e) écrivain(e)qui roupille et qu'il suffit de réveiller avec un peu d'audace. Il fallait tout simplement plonger! Bravo, je pense que nous avons tous prouvé que nous savions nager sur les flots même les plus tempétueux .
Ceci n'est , à mon sens, qu'un bilan provisoire ; il nous reste encore quelques heures , avant la remise des copies!

Écrit par : Mokhtar EL Amraoui | 31/05/2011

@ MakesmewonderHum! :

Promis, au prochain voyage on bordera davantage!
Je sens comme une petite pointe de reproche dans ton qui brille par son absence, me semble plutôt que c'est la brillance de sa présence qui inspire tous ces mots dans tous les sens! Dans tous les sens, c'est peu dire!

Écrit par : helenablue | 31/05/2011

@ Laure K:

Rencontre d'égal à égal, jamais Bluecle d'or n'avait pensé à autre chose, le pouvoir n'est pas sa tasse de thé, ce qu'elle aime c'est l'échange et la diversité, l'enrichissement de part et d'autre, la liberté pour chacun, et l'amour pour tous!
Elle n'a jamais eu le désir d'être reine, juste vivre sa vie de manière créative et pour cela ne jamais craindre de prendre la mer et de traverser les océans!
C'est une guerrière, à sa manière, derrière ses airs de douce blonde évanescente et sensuelle, jamais la boucle ne se boucle puisque d'aventure en aventure la vie continue et la croisière s'amuse!
Ce conte là ouvre à d'autres contes, les uns les autres qui se racontent et se trouvent au travers de leurs mots dépassant parfois certains rivages difficiles et flirtant avec des profondeurs dangereuses!
"La vie ne cesse jamais de m'étonner" se dit Boucle avant de s'endormir et chaque matin est une nouvelle surprise! Avanti!

Écrit par : helenablue | 31/05/2011

320 comms pour un seul billet, putain, comme tu y vas! Et si t'en avais mille? Chte jure, c'est beau, la littérature.

Écrit par : Christian Mistral | 31/05/2011

@ Mokhtar:

Encore quelques heures loin d'être négligeables et tout à fait opportunes à mettre à profit comme une dernière salve! A nos jus!

Écrit par : helenablue | 31/05/2011

@ Christian Mistral:

Ah! Comme j'aimerais ça...
1000 ! Comme les mille et une nuits!
C'est beau, oui, la littérature.

Écrit par : helenablue | 31/05/2011

C'est beau, mais c'est pas ça.

Écrit par : Christian Mistral | 31/05/2011

Right!

Ca c'est tout autre chose...

Écrit par : helenablue | 31/05/2011

Je saurais pas trop quoi lui donner comme nom... Je me tâtes...
:-)

Écrit par : helenablue | 31/05/2011

Un exercice de style? Un gloubiboulga entre amis, une piste thérapeutique, un cadavre exquis, un truc bidule machin chose?
Une fois imprimé, ça fait tout bizarre, on dirait que ça n'a pas de sens et ça fini quand même par en trouver un!

Écrit par : helenablue | 31/05/2011

Tâte-toi, moi je me casse.

Les Bizak, Bourdon, Mokhtar et Wonder de ce monde sont plus qualifiés que moi pour jaser de ces choses.

Écrit par : Christian Mistral | 31/05/2011

Au vu de "l'épaisseur" des commentaires pour Boucle d'or, le chiffre de 1000 est atteint si on prend comme mesure moyenne, les épaisseurs de tous les commentaires habituels. Je me demande si MakesmewonderHum!, expert en mesure, ne verrait pas d'inconvenient à prendre la courte paille et nous indiquer le résultat le plus probant!

Écrit par : bizak | 31/05/2011

N'empêche que si d'ici minuit ce soir on arrivait à écrire 369 autres petites aventures qui pourraient arriver à Buecle d'or sachant qu'il faut bien quelques minutes pour trouver ce qui pourrait lui arriver à elle ainsi qu'à ses amis, en s'y mettant tous on peut arriver à 1000! Ce serait le délire!!
Pour ça il faut faire preuve d'imagination, d'endurance et d'interactivité, tous plus ou moins être au bout de son clavier et que chacun stimule l'autre provoquant ainsi une sorte d'effervescence. Ce serait un sacré feu d'artifice pour les noces d'or de la Bluecle!
:-)

Écrit par : helenablue | 31/05/2011

@helenablue Que je suis bête d'avoir oublié d'installer des mongolfières en guise de points sur les "i" concernant ton absence de ces jours-ci, pas de ces jours là, car ceux-là, vous y étiez belles et bien à doublement briller pour vos absences à venir et à largement compenser pour les miennes, mes absences et manques de lumière. Heureusement que mes compagnons ramaient et soukaient contre les cabestans pendant que je m'amusais à choisir la plus petite paille pour me nettoyer les ongles, tu le sais, je le sais et maintenant eux le savent je suis paresseux comme un corse en sabatique.
Quelle croisière loufoque dans la mince marge annotée de la littérature, celle un peu brouillon des petits calepins noirs où se cachent certains trésors comme "Ne pas froisser le kilt des p'tits pois qu'on écosse" que nous a servi, Anne, totalement défublée de la carriole, celle-là.

Écrit par : MakesmewonderHum! | 31/05/2011

@MakesmewonderHum!:

Oui, je dois bien reconnaître qu'il y a des morceaux d'antologie dans tout ça et que cette croisière loufoque et insensée nous a emmené les uns et les autres dans des tas de diableries en tout genre, une régalade parfois drôle parfois plus acide mais en tout cas pas sans effet pour tous les protagonistes! Fort à parier qu'on reprendra la mer un de ces quatres après avoir digérer celui-là!!
Anne! Oui, quele pièce celle-là!!
Laure n'était pas en reste non plus, soit dit entre nous...
:-)

Écrit par : helenablue | 31/05/2011

Même en lisant en diagonale on risque "d'échouer" sur les hauts-fonds où s'accumule perles parfois rugueuses ou bien nacrées, comme tu le soulignes, et où toutes tentatives de faire marche arrière nous enlisent un peu plus sur des récifs en forme de sourires.

Écrit par : MakesmewonderHum! | 31/05/2011

N'est-ce pas l'apanage et l'avantage de ce genre de voyage?

Écrit par : helenablue | 31/05/2011

Suggestion d'un prochain slam semantique*, ecriture sous anonymat, chacun lance ses
Persos, situations, etc... Les meilleurs qui retiendront l'attention devront
Etre suivi et dautres mis a pied. La regulation de telles ou telles situations
Ou de tel ou tel personnage reviendra a Blue car il faut un maitre de jeu, et ici
C'est qd même toi qui tiend la barre, dear
Nous nous plieront ou contorsionneront selon les directives...

Blue c'est toi qui lance le La et le titre.
-Des demain ?
-Oui.
;-)

Écrit par : laure k | 31/05/2011

@ Laure K.:

Ok, je retiens l'idée!
Bon, peut-être pas demain parce qu'avec vous tous pour tenir la barre et réguler le bazar, faut être concentrée sur l'ouvrage, hé,hé!

Écrit par : helenablue | 31/05/2011

Il est temps de faire un bilan de cette grande expédition, où, au départ, il était question à chacun de raconter un conte, selon son inspiration, sans respect obligatoire de la trame narrative. Ce qui, quand même aujourd'hui, à la lumière de notre expérience, parait irréalisable est sans intêret pour une tres grande expedition où une cohérence est necessaire en vue de constituer aprés un triturage, un beau conte avec une tête et une queue.
Pour mon experience, il y'a plus d'inpiration, quand le conte a une suite logique ( même s'il faut l'habiller d'extravagance et de rêve insolite, pour laisser libre cours à notre imagination et sans, surtout, une quelconque autocensure), et nous donne une envie de le rendre plus extraordinaire. Il m'est apparu aussi, qu'en raison de la nouveauté de cette idée de conte mais aussi, pour ma part , d'un manque de connaissance de ce qui peut blesser ou être mal compris par les chers blogueurs et blogueuses, je m'astreignais à une grande vigilance dans le choix des mots, ce qui forcément, enlevait une certaine spontanéité pour une plus grande richesse du conte. Il est vrai, aussi , qu'en fonction, d'une meilleure connaissance du terrain, par certains conteurs (euses), quelques séquences libinales ont pu être intoduites, ce qui a donné un peu de sel à la vie des personnages, car aprés tout , les hommes n'étaient pas des ennuques et les femmes des vierges Marie (auquel cas ce serait un conte sur les anges sans sexe).
Je suis extrêmement content et je reste admiratif devant cette équipe de fous avec comme chef d'ochestre la"Blue d'or", qui a fait un travail qui n'a rien à envier à n'importe quel blog, par sa sympathie, sa fraternité, sa beauté , sa liberté, sa retenue. L'image qu'a donné ce blog en matière d'intelligence dans le regard des uns envers les autres, démontre que le monde peut être sans frontière, sans racisme, sans différence sur la base de la peau, des origines, de la langue , de la religion. Maintenant, je sais que tout est possible et je vous dis un grand merci à toutes et à tous.

Écrit par : bizak | 31/05/2011

Bilan pour bilan, je trouve qu'il est plutôt positif dans la mesure où ça nous a embarqués ensemble dans une aventure dont les tenants et aboutissants peuvent être analysés sous différents éclairages dont le sociologique, le psychologique ou psychanalytique et j'en passe.Il faut , tout de même pas trop forcer sur les grilles de psychodrames! Cela demeure aussi un jeu( sérieux?) avec tous les fantasmes que cela a induits et qui chargeaient la narration de leurs ressorts. Mais là peut-être où le bât a un peu désorienté c'est lorsque Bizak, tu as utilisé des prénoms ressemblant énormément à ceux des personnes réelles; cela a été frustrant et a peut-être prêté à confusion interprétative et/ou d'implication. On ne prétend pas avoir fait de grande littérature mais, dès le début, nous avions été clairs; on a bien dit qu'il ne s'agissait que d'un cadavre exquis. C'était plein d'inattendus de toutes sortes. Il y a eu de belles trouvailles sémantiques, je trouve. Par ailleurs , je pense qu'en terme d'expressivité, chacun(e), a trouvé son conte/compte, en se défonçant avec, toutefois, les freins de la sublimation romanesque faisant la part belle au suggéré, suc de toute narration qui se voudrait imaginative.
Merci, Dear Blue, de nous avoir permis ce bivouac transculturel qui a quand même duré tout un mois! Chapeau bas à toutes et à tous!

Écrit par : Mokhtar EL Amraoui | 31/05/2011

@Mokhtar
Au départ aucune règle n'a été arrêté, hormis celle de dire , chacun y va de son inspiration et sans même suivre la trame narrative. C'est vrai que les noms pouvaient prêter à confusion, mais le vin était tiré, il fallait le boire. A vrai dire, la question ne se posait pas pour les noms des personnage, cela ne me génait nullement, mais plutôt, c'était ce que je signalais dans mon précédent commentaire à savoir, y aller ou pas à fond. Il faut reconnaitre aussi, que c'était un début, et que la reine aurait pu nous mettre un peu d'eau dans nos vins mais ç'aurait été imbuvable (il faut respecter le millésime!). Bref, le bilan est trés positif et je m'en réjouis pour toute l'équipe.

Écrit par : bizak | 31/05/2011

@Bizak
Tu as tout à fait raison; c'était une première expérience et elle sera millesimée, gravée de manière indélébile: mai 2011 , belle cuvée bue jusqu'à la lie par nous autres! Ces légers griefs ne peuvent qu'être bénéfiques. Merci pour toutes tes inoubliables bizakeries!

Écrit par : Mokhtar EL Amraoui | 31/05/2011

@Mokhtar
A propos, y'a t-il un moyen de dérouler le film ou la bobine ou la trame , que sais-je, revenir en arrière sur l'océan, quand tu as été avalé par le requin, enfin, bref: est-ce que tu n'aurais pas apperçu dans l'estomac du carnassier, une bague que j'aurais égarée ?
Pour le déroulement du film, si le conte est adapté au cinéma, tu demanderais l'aide de la Lorca de la Rochas, qui je n'en doute pas, a filmé des séquences. Je l'avais apperçu sur le raffiot quand elle faisait le visionnage avec la reine Blue d'or avant l'arrivée intempestive de Anne de la cordillère des andes et des ondes, et qui avait abandonné le cher marin sur une île.

Écrit par : bizak | 31/05/2011

@Mokhtar
....Sinon, demandes à la reine si il y'a un moyen ou une mission, dont elle nous chargerait pour retourner sur les lieux des bermudes, ou vivent les requins blancs, je commence à avoir la nostalgie de ces lieux! Si elle refuse, tu lui proposes le millesime que nous avaient offert les indiens de l'île au bois dormant; La reine savoure le bon vin, surtout, quand des fois des bigots à la sortie de l'église l'enquiquinent et elle est en colère comme un merlan. Tu le fais en cachette du marin, on ne sait jamais, il peut se faire des idées...

Écrit par : bizak | 31/05/2011

@Mokhtar
Cela reste entre nous, mokhtar: Bizakarium a chargé ( selon des échos que j'ai eus), le peintre qui s'était aventuré dans les contrées, quand il retournerait dans son pays des hommes blonds, qu'il invite la reine Blue et tout l'équipage pour une grande fête qu'il organiserait le prochain germinal ( Selon, toujours, des échos, il paraitrait, que Bizakarium, demanderait à la reine sa benédiction pour retouner vivre parmi eux pour préparer une longue expédition prochaine...)

Écrit par : bizak | 31/05/2011

@Bizak
A propos de ta bague, je t'assure que je n'ai aucune information. Dans les entrailles du requin, tu imagines bien ce à quoi je pensais: une évasion , tout simplement.
Concernant la mémoire audio-visuelle de nos pérégrinations et tribulations c'est la grande apothicaire Anne des orgues qui rient qui s'en charge car elle est à court d'herbes. Or, elle est obligée d'enrouler et dérouler tout le temps!
Ne t'en fais pas, on t'enverra une copie!
Pour le millesime, La généreuse Bluecle d'or a accepté , sans problèmes, et elle t'offre un tonneau du tonnerre. Patiente un peu, il n'en sera que plus délicieux!

Écrit par : Mokhtar EL Amraoui | 31/05/2011

Selon toute vraisemblance, les relations entre bizakarium et Anne des cucurbutacés vont se renforcer, car une pepinière est en voie de réalisation pour faire pousser l'herbe aux mille vertus. Ce qui peut ouvrir la voie à des relations plus poussées pour d'autres considérations qui ne peuvent pas être devoilées pour l'instant, mais les premiers qui seront prévenus sont tous les rescapés de l'expedition menée tombour battant sur les océans, c'est à dire tout le monde!
Préparez vos claviers, vos stylos, vos caméras et le millésime du vignoble du roi Dagobert descendant d'Elle xiv (pas lui, ni Louis xiv).

Écrit par : bizak | 31/05/2011

ce 347 ieme commentaire passera peut-etre inaperçu...
gros kissous ma belle
Amélie

Écrit par : amelie | 31/05/2011

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