Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

02/06/2011

Every Day I have the Blues

 

 

 

Commentaires

Si je comprends bien l'expression en anglais, cela veut dire: chaque jour, j'ai le cafard!
Le remède, c'est de reprendre l'expédition vers les hautes mers! Seulement, chacun doit se être accompagner de sa moitié, histoire de créer un véritable carambollage. On va se méler tellement les pinceaux, qu'on n'aurait le temps, ni de respirer, ni d'avoir le cafard. Le résultat serait: les yeux au beurre de cacao!
Alors, qui dit mieux?

Écrit par : bizak | 02/06/2011

Well, well, well.. Si l'expression en soi par traduction veut dire ce que tu dis , moi, je ne l'entends pas de cette oreille!
Pour moi, c'est porteur d'espoir et surtout c'est les tripes qui parlent!
Blues or not?
Blue et tout t'ouvre à la vie, tel es le blues, yé!

Écrit par : helenablue | 03/06/2011

Ah! là je suis d'accord avec toi, je ne l'entends pas aussi de cette oreille, surtout avec la chanson de ferré qui m'a bercé dans ma jeunesse et qui d'jazze, d'jazze dans le noir:
Un moody blues qui chante la nuit
Comme un satin de blanc d'marié
Et dans le port de cette nuit
Une fille qui tangue et vient mouiller
C'est extra c'est extra
C'est extra c'est extra
Des cheveux qui tombent comme le soir
Et d'la musique en bas des reins
Ce jazz qui d'jazze dans le noir
Et ce mal qui nous fait du bien
C'est extra
Ces mains qui jouent de l'arc-en-ciel
Sur la guitare de la vie
Et puis ces cris qui montent au ciel
Comme une cigarette qui brille
C'est extra c'est extra
C'est extra c'est extra

Écrit par : bizak | 03/06/2011

Dear blue
On dit souvent qu'il est difficile de donner une définition exacte de la connerie.
Eureka! Tu viens de m'en inspirer une, par ta phrase: la connerie c'est le fait de ne pas avoir le blues, chaque jour.

Écrit par : Mokhtar EL Amraoui | 03/06/2011

Hum! Je n'irais pas jusque là, quand même!

Écrit par : helenablue | 03/06/2011

@Héléna
Vois-tu de la discussion, jaillit la lumère, le mot blues qui, à l'origine exprimait, le mal être, c'est un style où le (la) chanteur(euse) exprime sa tristesse et ses coups durs, pareillement pour le reggae en Jamaiques, comme pour le rai, en Algerie, non pas le rai d'aujourd'hui occidentalisé, porté par les médias, mais celui des années 70 et 80, le rai traditionnel, où les gens se passaient les cassettes sous cape, comme de l'héroine, car dans leur contenu, ça parlait de sexe, d'alcool (comme par ex. derna l'amour fi l'beraka: c.a.d on a fait l'amour dans une barraque de fortune) ce qui était inimaginable à dire, dans une socété puritaine. Les chanteurs étaient obligés d'inventer un langage codé leur permettant d'aborder des sujets difficiles, les plaisirs de la chair, ils exprimaient une complainte populaire pour leurs propres malheurs sans vouloir accuser personne et dans une musique endiablée, avec des percussions traditionnelles comme la darbouka ou le bendir.
Mais pour nous,Héléna, comme tu l'as dit plus haut: Ce sont nos tripes qui parlent, quand on écoute le blues or not!

Écrit par : bizak | 03/06/2011

Hm... Bizak & Hélène bluesant par les tripes... C'est siamois ou à la mode de Caen ?

Écrit par : giulio | 03/06/2011

:-)

Écrit par : helenablue | 03/06/2011

Les commentaires sont fermés.