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02/05/2013

Good day for (the) Blue(s)

 

23/01/2013

le blues indolent

 

Vous savez quelle est la question qu'on m'a le plus posée ? 'Quel effet cela vous fait-il de vieillir ?'" La réponse de Jeanne Moreau, dans un grand éclat de rire ? "Je vous emmerde !"

 

13/03/2012

black blue

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Voilà, je retraverse une noire période de découragement et de fatigue, je n'arrive plus à voir que le verre à moitié vide. Pourtant je suis aimée, je suis entourée, j'ai devant moi des projets, mais ça me submerge, ça me prend comme une nuit quand on rêvasse trop au bord de la rivière. Cette main en moins me tracasse et me fait souffrir et puis je crois que j'aspire tellement à plus d'harmonie et de temps qu'alors le blues l'emporte au-delà de tout raisonnement. C'est stupide, stérile sans doute mais bien là, on est pas surhumain non plus. Vais aller me coucher avec mon état d'âme en boulet en espérant passer une nuit moins dark que mes idées et mon état d'être. C'est si bête. Il y aurait tellement de bonnes raisons pour ne pas aller bien, et là, sans en avoir tellement je dépose les armes et je sombre comme pour rire dans ces puits sans fonds ni fondements. Etrange qu'il faillle goûter à nos propres ténébres pour de nouveau avoir accès à sa lumière. J'aspire au printemps...

 

11/01/2012

Le Blues indolent

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podcast

- Le Blues indolent- Jeanne Moreau -

 

 

03/01/2012

L'acte d'attendre

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-Photo Laurence Guez -

 

Elle errait muette et cruelle entre les ponts

Belle et blonde et mûrie par la nuit

Comme si l'eau qui roulait sous la coque paresseuse

Lui était un tapis de mystères et de sons

Déroulé sous l'empire de ses talons

Par un dieu voyeur et de moeurs douteuses

J'ai trébuché dans le chemin de son regrad

Au royaume de la soif et des jeux de hasard

Je me jetais sur les jetons, je décidais les dés

A rouler avec l'eau pour noyer ma malchance

Et je restais hors de la danse

Je me rinçais l'oeil automatiquement

Avec toute la flotte du Saint-laurent

Je sais qu'elle aimait les feux d'artifice

Comme tout le monde mais autrement

Comme si un très ancien serment

Comme si un très vieux noeud qui glisse

La liait à ce ciel qui épouse la fête

Et dans l'acte de boire elle fondait aussi

Tout un théâtre de fantasmes liquides

Et dans l'acte d'attendre elle arrêtait le temps

Pour laisser aux aiguilles des horloges stupides

Le loisir de la rejoindre ici

Le plaisir de rattraper l'instant

Et ce fut le silence incongru des bâteaux

Des marins impromptus, des moteurs et des disques

Le moment religieux qui précède les feux

Quand les coeurs sautent un battement

Dans l'impatience pyrotechnique

Et désirent et appellent le risque

Que le ciel enfin s'embrase

Et profère enfin des menaces esthétiques...

 

Et dans l'acte d'attendre elle arrêtait le temps

Pour laisser aux aiguilles des horloges stupides

Le loisir de la rejoindre ici

Le plaisir de rattraper l'instant...

 

- Christian Mistral - Fontes -

 

02/06/2011

Every Day I have the Blues

 

 

 

17/04/2011

Little Axe

 

27/01/2011

histoire de réchauffer :-)

v

 

 

02/10/2010

fin de soirée...

 

28/07/2010

Desert Blues

 

 

25/07/2010

en passant...

Je vis, je respire, je souffre, je danse aussi et je jouis. Je suis, tant bien que mal, tantôt j'apparais forte et maîtresse, tantôt faible et soumise. Tantôt je m'aime, d'autres fois nombreuses et trop souvent je me déteste et je m'inflige les pires mots alors que je ne devrais que porter un regard d'une indulgence extrême sur ce que je suis devenue, celle-ci, cet être en devenir que je devine au travers de ses différents prismes, ce moi-même auquel il m'est si difficile d'appartenir!

Dieu!! Que c'est inhumain d'avoir été rendue folle, d'avoir été éloignée de soi, d'avoir à s'en rendre compte...

Dieu!! Que c'est une chance de vivre et que c'est heureux d'espérer d'aimer et de goûter...

Et la musique, et la poésie et l'amour et et et... et que dire de plus?

 

 

16/12/2009

blue nude

 

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Voilà que ça me reprend, je le sens poindre le bout de son museau inévitable et insondable vague à l'âme, récurent aussi toujours à l'approche des fêtes un syndrome anniversaire me dirait le psy, quelque chose qui se répète comme ça lancinant et prévisible et pas moyen d'en réchapper, pourtant je le sais, j'ai la connaissance du pourquoi du comment, je sais l'expliquer lui donner un sens mais pas l'empêcher de faire son travail de sape sur mon moral mon appétit ma combativité. Bientôt je serais nue face à cette angoisse ce désespoir envahissant et stérilisant ces idées noires plus noires que la noirceur d'un passé que j'ai épluché et ménagé de fond en comble. Mais il est de ces émotions poison qui s'accrochent de ces résistances au changement tenaces de ces réminiscences assassines qui me vampirisent et m'enlèvent ma force vive l'inépuisable énergie que j'ai de vivre trouve là un obstacle à sa mesure.

Je relisais un article tantôt sur ce fameux concept de résilience, à priori possible pour les individus ayant reçu beaucoup d'amour dans leur enfance, ça m'a déroutée, l'amour peut-il prendre des visages d'horreur et de négation de l'autre, l'amour peut-il naître d'une perversité d'un mensonge et s'en nourrir, l'enfant que j'étais a-t-elle malgré tout pu avoir accès à cette quote-part nécessaire à sa survivance, toujours cette volonté insatiable de séparer le bon grain de l'ivraie qui prend parfois le dessus comme là présentement, je sens le fiel du manque de l'abandon de la dénégation du supplice de l'équation infernale revenir incidemment, que puis-je donc alors faire face à tous ces sentiments dfficiles et parfois encore haineux qui se bousculent au portillon de mon coeur, et toujours comme par enchantement ou maléfice à quelques jours de la fête de Noël! Mais je progresse, mon corps lui est relativement laissé en paix, il y a encore quelques années cela me mettait dans des états de fébrilité tellement intenses que je montais jusqu'à des degrés de fièvres enfantines et des maux de dos à s'arracher la colonne, c'est plus soft aujourd'hui, juste l'esprit qui s'alourdit et la joie qui disparait, les boyaux qui se tordent et le temps de sommeil qui s'allège les rêves laissant soudain leurs places de premier choix à des visions cauchemardesques, toujours les mêmes.

C'est difficile de se sentir nue vulnérable et à la merci de vieux démons pas encore complètement anéantis, ces ombres du passé qui viennent obstruer le présent généreux et la vision vivante et créative de la vie, difficile et douloureux.

 

 

27/11/2009

"absoblu"

 

 

06/10/2009

blues


podcast

18:15 Publié dans Musique | Lien permanent | Commentaires (8) | Tags : musique, blues, buddy guy

19/05/2009

for a long time