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16/11/2011

matière grise

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08:50 Publié dans pensée du moment | Lien permanent | Commentaires (21) | Tags : pensée du moment, réflexion, partage, matière, écriture, science, art, humain

Commentaires

Suprême commentaire littéraire.

Écrit par : TopFloorMan | 16/11/2011

J'aime bien ces citations qui évoquent la dualité ou le rapprochement entre simplicité et complexité.

Helena, n'était-ce pas toi qui, récemment, avait publié une citation de Da Vinci allant dans ce sens-là?

J'aime bien aussi celle-ci, quoique le sens diffère un peu par rapport à ta citation d'Einstein: « La simplicité n'a pas besoin d'être simple, mais du complexe resserré et synthétisé. » (Alfred Jarry)

Écrit par : Guillaume L. | 16/11/2011

C'est relatif!

Lyes.

Écrit par : Christian Mistral | 16/11/2011

Les choses compliquées étaient toutes simples à l'origines.

Écrit par : MakesmewonderHum! | 16/11/2011

Surtout, lorsque l'on ajoute toutes ces origines, qu'elles n'avaient pas!

Écrit par : MakesmewonderHum! | 16/11/2011

Oué. Comme le Big Bang, genre. Avant ces emmerdeurs d'Homo Sapiens, personne se posait de questions angoissantes.

Écrit par : Christian Mistral | 16/11/2011

Genre, d'autant que ces Homo Sapiens et leur descendance en auront bientôt terminé avec leurs angoisses. L'univers,lui, continura son expension peu dérangé par ce léger pet.

Écrit par : MakesmewonderHum! | 17/11/2011

Les paris sont ouverts. C'est kif kif. Homo Sapiens s'anéantit avant de se projeter ailleurs qu'ici, ou pas?

Keski te fait croire que l'univers est en expansion, by the way.

Écrit par : Christian Mistral | 17/11/2011

P.c.q c'est la plus plausible des explications lorsque l'on adhère à la théorie du Big Kaboum. L'homme fonctionne simultanément toujours sur deux espaces temps, l'un qu'il structure en fonction de son espèce, l'histoire qu'il en sait, comment il évolue sur terre tout au long de sa propre vie, le tout lui paressant signifiant sur le plan temporel alors qu'il évolue justement dans une autre dimension temps qui le déclasse totalement comme événement universel significatif. C'est sans prétention qu'il faut inscrire nos quelques centaines de milliers d'années d'existence aux cotés de ces milliards qui nous ont précédées et bien possiblement se prolongererons encore bien au delà. Toujours sans avoir effleuré le dimentionnement et l'usure de la carpette sur laquelle nous vivons et à l'extérieur de laquelle nos chances de survie sont assez minces même et surtout pour un clown milliardaire!

Écrit par : MakesmewonderHum! | 17/11/2011

Pas plus plausible que son contraire: le Big Crunch emporte l'adhésion de la moitié des astrophysiciens.

Nos chances de survie: as I said, c'est le rouge et le noir à la roulette, tête ou bitch. Tu paries contre, je parierais plutôt pour, mais la roulette n'a cure de nos motivations de joueurs.

Stie ki t'achale, hein, Laliberté? Pis PKP. Tous ces gars riches qui l'ont pas mérité plus que toi.

Sad, dude. T'en voudrais tellement pas, de leur vie.

Écrit par : Christian Mistral | 17/11/2011

Sûr que j'en voudrais pas, mais tellement pas et t'avais compris qu'il n'y avait aucun sauf-conduit possible, le ca$h n'a aucune valeur à l'extérieur de nos frontières, y flamberait tellement vite, hé,hé!

Écrit par : MakesmewonderHum! | 17/11/2011

Le big crunch ou l'expansion de l'Univers seuls les riches s'en préocupent...

Écrit par : Manouche | 17/11/2011

T'as remarqué, hein? Pas beaucoup de pauvres à Princeton pour suivre les cours d'Einstein.

Ça veut pas dire pour autant que ça les concerne en rien, les pauvres. Si l'univers crunche, il va cruncher pour tout le monde.

Écrit par : Christian Mistral | 17/11/2011

T'as peut-être raison, avec cette idée de Big Crunch. Après tout, depuis l'temps que l'on y prépare, les pauvres, en les "crunchant" toujours un peu plus à chaque jour, au moins ils en auront l'habitude que les riches n'auront pas. C'était pas ce que l'église leurs racontait?

Écrit par : MakesmewonderHum! | 17/11/2011

Me semble que l'Église n'aurait pu exister sans les pauvres, mais que les pauvres ont existé sans attendre l'invention de l'Église, et s'en passent toujours assez bien dans tous les lieux du monde où la religion n'est pas celle de l'ÉGLISE!

Y a deux ou trois endroits sur cette boule où l'on vit pas exactement comme au Québec, STIE!

Les pauvres accoutumés au Crunch. Intéressant: ça fait songer à ce que richesse et pauvreté peuvent signifier à part le fric. Les Japonais sont pas pauvres. Les Québécois sont pas riches. Minute. On a un territoire si vaste qu'on dispose de dizaines de kilomètres carrés per capita, de quoi tous vivre chacun seul sans jamais rencontrer le voisin. Les Japonais, per capita, ils disposent de la superficie d'un t-shirt d'Éric Lapointe. Qui c'est qui souffrira le moins des effets crunchisants?

Le milliard en Inde, le milliard en Chine, les 22 millions à Mexico, les quatre cents loustics littéraires empilés à Paris dans un nabotissime quadrilatère d'où ils traient une vache morte pour tondre les moutons, le milliard de partout qui ont coeur et cervelle forcés de supporter les six milliards de connards désespérants de partout, Crunch crisse, crunch hier au souère, crunch le souère d'avant, crunch encore à souère et pis crunch tout le temps.

Écrit par : Christian Mistral | 17/11/2011

«Traire une vache morte pour tondre les moutons» Coudonc, t'écoutais pas aux portes de Princeton dans une autre vie?

Écrit par : MakesmewonderHum! | 17/11/2011

@ Vieux G:

Un citation de Da Vinci allant dans ce sens là, je n'en ai pas le souvenir, j'ai la mémoire trouée en ce moment, alors c'est possible! Celle que tu cites d'Alfred Jarry est savoureuse aussi.
Les choses ne sont jamais aussi simples qu'elles en ont l'air... Et l'écriture a ce pouvoir de rendre simplement des réalités complexes, mais la vache que c'est difficile! C'est plus difficile de faire simple que de faire compliqué, faire simple implique qu'on maîtrise son sujet, hé, hé , mais là je paraphrase Einstein!
Tout comme toi, j'aime ces citations qui évoquent la dualité entre complexité et simplicité.

Écrit par : helenablue | 19/11/2011

@ Christian:

Mince, Le Big Crunch, je découvre.

Je repense en souriant à cette question de mon cadet quand il avait quatre ans et à laquelle je n'ai su quoi répondre:

- Dis-maman, y'a quoi après l'infini?

Écrit par : helenablue | 19/11/2011

Pardi ! Il a raison Albert ! encore un enfonceur de portes ouvertes ? :)

Écrit par : anne des ocreries | 19/11/2011

Ah! Vous dirai-je, mamans...

J'avais le même âge quand j'ai posé la même question à ma mère. Ça te déculpabilisera sûrement d'apprendre qu'elle aussi est toujours en processus de réflexion; ce ne devrait plus être très long, maintenant.

Écrit par : Christian Mistral | 22/11/2011

Hé, hé, merci!

Écrit par : helenablue | 24/11/2011

Les commentaires sont fermés.