25/03/2009
comme dans un songe
"Je n'ai jamais rien compris à ce qui m'arrivait , il flotte dans ma caboche une espéce de brouillard . Quand je pense à ma vie, il me semble que je n'y ai fait que changer de costume ."
On partirait loin d'ici, loin de tous ces cloportes, et toute cette pourriture ...
" Autrefois tu m'as expliqué que c'était trés agréable de dormir dans l'herbe, j'en doutais un peu mais maintenant je suis tout à fait convaincu ."
18:35 Publié dans pensée du moment | Lien permanent | Commentaires (8) | Tags : louis jouvet, jean gabin, amour, voyage
Commentaires
ô que c'est beau, que c'est beau ! Merci chère Héléna, merci....
Écrit par : Christiane | 25/03/2009
Toujours ce désir d'herbe et de nature, symbole de liberté, dont vous avez déjà parlé...
Écrit par : Feuilly | 25/03/2009
mille fois oui ... terre de grâce ...ici, Helenagreen
Écrit par : kalor | 26/03/2009
"d'avoir vécu
le cul
dans l'herbe tendre
et d'avoir su m'étendre
quand j'étais amoureux
j'aurai vécu
obscu'
r et sans esclandre
en gardant la coeur tendre
le long des jours heureux"
byebye!
Écrit par : oAo | 26/03/2009
@ Christiane : oui , oui , c'est beau . Avec toute mon amitié . Hélèna
Écrit par : helenablue | 26/03/2009
@ Feuilly : Et oui , une constante ...
Écrit par : helenablue | 26/03/2009
@ kalor : welcome !
Écrit par : helenablue | 26/03/2009
En ce qui concerne la première partie, j'ai ce meme sentiment, mais j'en sors peu à peu en me parant enfin de plus beaux effets...
Merci.
Écrit par : Meconnaissance | 26/03/2009
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