06/02/2010
lumière
" La conscience n'est dans le chaos du monde qu'une petite lumière, précieuse mais fragile."
- Louis-Ferdinand Céline -
08:06 Publié dans pensée du moment | Lien permanent | Commentaires (4) | Tags : mots, littérature, céline, pensée, lumière, conscience, humain
05/02/2010
...
23:42 Publié dans Musique | Lien permanent | Commentaires (4) | Tags : tout ce que je crains, toujours et toujours et encore...
les mots
غير الخبز اليومي
Le ciel,
Moi je ne vénère rien
J’ai vécu malheureux
Mais je mourrais heureux
Si mes mots pouvaient rendre
Heureuses quelques personnes
Si dans l’avenir
Un enfant
Pouvait les lire
Sur son cahier
09:04 Publié dans poésie | Lien permanent | Commentaires (4) | Tags : poésie, amour, mots, échange, amitié, jalel el gharbi
04/02/2010
Impromptu
21:47 Publié dans Musique | Lien permanent | Commentaires (4) | Tags : piano, schubert, impromptu, musique, émotion
grande petite Isa...
"... Tout me crible alors que je ne suis que ce maigre rien
Et plus je ravine, plus mon coeur s’innove et s’élève,
Dans les fentes de ma chair,
Dans les ourlets de mon être
Dans les lacis de mon ignorance…"
- IsaBercée -
14:37 Publié dans poésie | Lien permanent | Commentaires (6) | Tags : poésie, rencontre, amitié, art, peinture, recherche, humain
03/02/2010
17:10
Au gré de ma lecture du moment, un ouvrage parlant de l'empathie, plus exactement du pouvoir de l'empathie, cette phrase savoureuse d'Oscar Wilde dont j'apprécie toujours beaucoup l'humour, la profondeur dans la légéreté :
" Chaque fois que vous tombez, profitez-en donc pour ramasser quelque chose."
17:10 Publié dans pensée du moment | Lien permanent | Commentaires (10) | Tags : pensée, réflexion, lecture, empathie, espoir, humain, littérature
Giorgio Morandi
Un des rares paysages peint par Morandi qui avait une prédilection sans faille pour les natures mortes, ce qui en fait un peintre à part tout à fait étonnant et dans la démarche et dans l'aboutissement.
"Ce qui m’intéresse le plus, c’est d’exprimer ce qui se trouve dans la nature, j’entends dans le monde visible."
- Giorgio Morandi -
Né à Bologne à la fin du XIXe siècle, Giorgio Morandi étudie à l’Ecole des Beaux-Arts de sa ville natale. Dès 1910, l’artiste a défini son style. La découverte de l’œuvre de Cézanne, puis celle des fresques des peintres du Quattrocento (Giotto, Piero della Francesca, Uccello, Masaccio) sont déterminantes. Peu après Morandi fait la connaissance des peintres futuristes italiens et se joint à eux lors de plusieurs expositions. Il est enrôlé dans l’armée d’Italie et, rapidement blessé, subit alors une crise profonde.
Après la guerre, Morandi découvre la « peinture métaphysique » de Giorgio de Chirico et Carlo Carrà : il développe leur concept, en y ajoutant une forte dose de poésie. Les natures mortes qu’il peint alors révèlent une « intégrité impénétrable comme un corps céleste » (Brandi).
Dans les années 1920, Morandi semble s’éloigner des courants picturaux d’avant-garde auxquels il s’était associé plus jeune, et se renferme sur lui-même, pour ne peindre plus que les éléments de son intérieur physique et mental. Peu d’événements, en dehors de son professorat à l’Ecole des Beaux-Arts de Bologne et de diverses expositions internationales, ponctueront désormais la vie de l’artiste, qui se retranche dans la peinture.
Morandi ne peut être clairement identifié à une école de peinture spécifique. L’œuvre deCézanne représente son influence majeure : il lui emprunte la monumentalité des formes et les zones denses de couleur. L’artiste développe une approche intime de l’art qui, guidé par une sensibilité formelle d’un grand raffinement, donne à ses paysages et à ses natures mortes une subtile délicatesse de ton et de dessin, suscitant chez le spectateur un mode contemplatif, réminiscence de l’œuvre de Piero della Francesca et de divers artistes de la Renaissance italienne.
Exerçant une grande influence sur les artistes italiens de la seconde moitié du XXe siècle, Giorgio Morandi meurt à Bologne en 1964, à l’âge de 74 ans.
L'œuvre de Morandi, longtemps isolée au sein de la culture figurative italienne du XXe siècle, trouve aujourd'hui sa place grâce à l'analyse historique. Cependant, la valeur qu'on lui attache tient moins à la démarche rassurante de l'optique historiciste qu'au pouvoir presque obsessionnel des signes que crée l'artiste tout au long d'un parcours formel d'une rigueur exemplaire. L'émotion froide que les objets suscitent, depuis les compositions de l'année 1916 jusqu'aux dernières toiles, témoigne de l'unicité presque irritante de sa vision. En effet, son œuvre passe sans se compromettre à travers les expériences cubiste, futuriste et métaphysique. Vers 1920, elle atteint une stabilité que seul un isolement fécond, presque une ascèse, explique et épure. À partir de cette période, l'artiste reste seul face à un champ visuel réduit qu'il explore jusqu'à ses limites les plus extrêmes. La peinture de Morandi tend à contredire l'approche historique et à dénoncer ses insuffisances. Au-delà des signes qui cernent le réel et le contestent, il existe une volonté de remise en question des formes qu'aucune analyse traditionnelle ne peut éclairer.
Moi qui ne suis plutôt pas attirée par les natures mortes, je trouve celles-ci tout à fait étonnantes et pleines de poésie, une sorte de quête de l'essentiel, une recherche de pureté aussi, c'est troublant...
16:18 Publié dans art | Lien permanent | Commentaires (3) | Tags : art, peinture, italie, nature morte, émotion, partage
02/02/2010
humm...
09:19 Publié dans art de vivre | Lien permanent | Commentaires (15) | Tags : art de vivre, déco, repos, maroc, voyage, espace, rêve, parfum
01/02/2010
fugace...
... mais tenace, rien ne vaut la vie et vivre jusqu'à plus soif, boire le vin jusqu'à la lie et toujours s'ouvrir aux lendemains qui chantent...
22:19 Publié dans pensée du moment | Lien permanent | Commentaires (5) | Tags : je suis juste de passage
soir de scotch
J'ai oublié ce que tu sais
J'ai emmêlé mes confidences
Je sais plus trop ce qui est vrai
J'ai des accidents de conscience
Qu'est-ce donc que la vérité
Seras-tu sûr de ta passion
Quand tu auras pu me calculer
Quand je serai ton équation
Les soirs de scotch m'enchantent
Je sais pas si je te l'ai dit
Moi et la nuit mourante
Enlacées, grises et engourdies
Passons la nuit à nous mentir
Honnêtement comme les anges
Meublons le rêve qui s'étire
Buvons le rêve qui nous mange
Tu fais le fou, je fais la foire
On plonge au fond de la bouteille
Tout est vrai tant qu'il reste à boire
Et qu'on éclipse le sommeil
Les soirs de scotch m'enchantent
Je sais pas si je te l'ai dit
L'ivresse est caressante
Suave et chaude comme un nid
Les soirs de scotch m'enchantent
Je sais pas si je te l'ai dit
Sur mes douceurs prudentes
Ils coulent et mouillent mon ennui
Les soirs de scotch m'enchantent ...
- Christian Mistral - Fontes -
Cadeau
Une petite douceur coloriée déposée près de ma tasse du petit déjeuner, une fleur d'orchidée et une douce pensée, voilà le début de ma journée que je viens partager et participer de ce fait au défi bi-mensuel initié par Barbara et sa bande de photographes de coeur... Chez LP, toute le bonheur et l'émerveillement du petit cadeau qui grossit magiquement chez Sophie, infiniment petit sous l'oeil de Didier devenant rivière mais non de diamant chez nono...
Quoi de meilleur que ces partages de mots, de pensées, de notes et d'images, quel plus beau cadeau que l'amitié et l'amour qui se dégage de toutes ces inventions et interventions de chacun, et s'il faut un défifoto pour se le dire davantage, je réitère, j'en suis...
- Marie-Claude Pietregalla -
09:49 Publié dans défifoto | Lien permanent | Commentaires (11) | Tags : défifoto, blog, rencontre, photo, humain, amitié, partage, art de vivre