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24/03/2011

L'uomo

 

L'uomo

 
Le piante, da quelle di seta fino alle più arruffate
gli animali, da quelli a pelo fino a quelli a scaglie
le case, dalle tende di crine fino al cemento armato
le macchine, dagli aeroplani al rasoio elettrico
 
e poi gli oceani e poi l'acqua nel bicchiere
e poi le stelle
e poi il sonno delle montagne
e poi dappertutto mescolato a tutto l'uomo
 
ossia il sudore della fronte
ossia la luce nei libri
ossia la verità e la menzogna
ossia l'amico e il nemico
ossia la nostalgia la gioia il dolore
 
sono passato attraverso la folla
insieme alla folla che passa.

 

 - Nazim Hikmet -

 

 

L’Homme

 

Les plantes, les plus soyeuses comme les plus ébouriffées,

Les animaux à fourrure tout comme ceux à écailles,

Les maisons, depuis les tentes en crin jusqu’au béton armé,

Les machines, qu’elle soient avions ou rasoir électrique,

 

Et aussi les océans, ainsi que l’eau dans le verre

Et ensuite les étoiles,

Et puis le sommeil des montagnes,

Et partout mélangé à tout cela : l’homme,

 

À savoir la sueur au front,

À savoir la lumière dans les livres,

À savoir la vérité et le mensonge,

À savoir l’ami et l’ennemi,

Partant, la nostalgie, la joie et la douleur

 

Je suis passé à travers la foule

Ensemble avec la foule qui passe.

 

- Nazim Hikmet - Traduction Giulio Pisani -

 



06/04/2010

sale engeance

Elle arrive ce matin au boulot blême exsangue même. Je n'ose lui demander d'emblée ce qui a bien pu se passer pour elle hier et avant-hier pendant que je me rejouissais de l'arrivée du printemps.

En pleine rupture, elle fuit un homme aimé sous terreur pendant plus de quatre ans, bons ou mauvais les liens se créent, mais qui a trop fréquemment pété les plombs ces derniers mois, qui sans vergogne et avec diablerie la battait, la réveillait la nuit la harcelait le jour, un enfer, une tragédie, une sale engeance. Et quand aprés plusieurs tentatives échouées une perte de poids terrible et de cheveux par poignées elle le quitte enfin dans des conditions dramatiques rocambolesques et inimaginables, elle se pense en paix et se retricote un semblant de vie partie de chez elle presqu'aussi nue qu'un nouveau-né, restaurée avec l'aide d'amis chers qui lui remonte un petit univers pour pouvoir souffler réfléchir à l'avenir du moins l'entrapercevoir à 30 ans y'a moyen, elle arrive ce matin blême exsangue muette d'angoisse choquée. Ici dans son cadre  travail, elle est en sûreté, elle s'y sent protégée et respectée, alors je l'encourage.

- Que s'est-il passé Cath ce week-end de Pâques?

- L'horreur, je suis toute chamboulée, il est venu et il a tout détruit.

- Comment ça tout détruit?

- Quelqu'un de l'immeuble l'a laissé entrer, et puis il est passé à l'extérieur par la fenêtre, sur le palier, au 7éme étage, au 7éme, il était là sur la corniche de quarante centimètres à toquer à mon carreau de cuisine, j'ai ouvert, tu penses, au 7éme étage! Et là, bon sang, il a recommencé ses insultes, que j'avais massacré sa vie, que j'étais une salope une putain une traînée, que j'allais payer qu'il ne me laisserait aucun répis qu'il allait me faire la peau. J'ai eu si peur, j'ai dévalé l'escalier quatre à quatre appelé les flics qui sont arrivés une heure après, là nous sommes montés et il avait tout bousillé, fracassé la télé que je venais d'acheter, lacéré mes bottes au couteau de cuisine, piqué mon ordi, et il avait disparu, qu'est ce que je peux faire, je n'ose plus rentrer chez moi, j'ai porté plainte et squatté chez des potes, c'est un cauchemar...

Ouch! Suis restée sans voix quelques secondes, j'aurais bien laissé ma colère sortir mais je ne voulais pas l'accabler, je ne voulais pas non plus lui redire de penser à elle et de se protéger c'était entendu, je me disais en mon for intérieur, que faire face à un tel flot irrationnel de violence incontrolée et insensée, comment pouvait-il encore penser que c'était la voie à suivre pour regagner ce qu'il avait perdu, sa chose, son bien, sa femme et elle au milieu de tout ça comment peut-elle trouver la force de lutter et de croire en des jours meilleurs, de croire en la vie et de continuer à se battre...


08/01/2010

françis enfonce le clou...

Après une première réaction à ma note mise au monde, la femme vue par Jacques, il récidive avec l'avis de Léo...

 

 

 

 

13/09/2009

à suivre ...


 

21:31 Publié dans humour | Lien permanent | Commentaires (4) | Tags : foresti, humain, humour, homme, femme

25/08/2009

Un homme! C'est beau...


 

Hum, quand j'ai mis cette toune en ligne, je n'avais pas idée de se qui se cachait derrière tout ça, de plus je n'ai pas fait ce qu'il fallait alors que j'aurais pu pour m'éviter ce genre de boulette. Je ne voulais en aucun cas offusquer mes amis québécois et québécoises qui me sont chers... Merci Christian pour ce rappel à l'ordre, dans ce vaste monde du web et sa pléthore d'offres, les impairs sont parfois de mise, et cela ne devrait pas. Et surtout j'aurais pu l'éviter.

C'était de plus pour moi plutôt à prendre au second degré ayant personnellement une vision tout à fait différente de ce qu'est un homme ou une femme d'ailleurs, disons élargi à l'humain, ce qui se reflète dans les commentaires qui suivent.

 

 

 

 

21/09/2008

Marcello

 

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En réponse à Inukshuk sur "L'homme qui vous fait fantasmer complétement " , à choisir dans les "People" ; il y a Marcello Mastroiani ...

Une virilité teintée de tendresse , beaucoup d'humour , une confiance en soi avec l'ombre du doute ... un bel homme plein de charme, du moins à mes yeux et un artiste plein de talent ...