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15/11/2009

c'est arrivé prés de chez moi ...

 Glauque,

une odeur âcre de sperme de tabac froid plutôt cigare de sueurs de parfums capiteux females et de vétiver mâle de rance de cramoisi de feu dans l'âtre de sordide. On l'a retrouvé dans la semaine à deux pas d'ici derriére une façade 17éme enchainée étranglée, le cordon de soie brune trop serré, un eyes wide shut gore petits jeux entre amis sexuels raffinés et violents d'un groupe de notables s'adonnant aux extrêmes sans avoir pu s'arrêter à temps, on parle même de jalousie de maîtresse qui aurait dérapé, n'empêche, elle, belle de ses vingt quatre printemps morte en pleine jouissance peut-être, mais à quel prix, puis abandonnée, là.

Là, tout prés de chez moi.

 

 

 

 

12/11/2009

2012

 

autour du monde.jpg

 

Discussion endiablée et riche hier soir tard avec mon cadet et le benjamin. Sortie du film 2012 en salle, la prophétie Maya, la fin du monde.  Prendre le parti d'en rire ou celui d'être sérieusement affecté, manifestement celà ne les laissaient pas indifférents.

"Maman, et si c'était vrai..."

 

 

 

07/11/2009

cours de poésie!

 

 

02/11/2009

Poésie, plaisir et panache!

 

 

31/10/2009

Un jour un film m'a marqué ...

 Dans la même veine que la note du livre qui un jour nous a aidé, il y a pour les amateurs d'images que nous sommes aussi un ou plusieurs films qui nous ont marqués plus que d'autres, qui nous ont bouleversés émus interpellés, qu'on peut revoir plusieurs fois en boucle même sans lassitude et qui sont fondateurs pour nous, certains plus que d'autres, le Photon dans son commentaire laissé sur les livres le suggère en filigrane et nous parle de deux films qui ont comptés pour lui, le crabe tambour et les ailes du désir, et pour vous lequel ou lesquels ont cette importance?

 

Cette question a été posée à Bacon par Franck Maubert, auteur de plusieurs livres consacrés à la peinture et qui vient de sortir celui-ci, " L'odeur du sang humain ne me quitte pas des yeux", conversations avec Francis Bacon, la réponse est celle-ci:

" J'aime le cinéma comme celui de Bunuel des débuts ou dans un autre genre celui d'Antonioni dont je me sens proche, celui du Désert rouge, de La Notte... En France, celui de jean-Luc Godart; il a divisé, lui. Mais j'oublie les titres: Alphaville? Pierrot le fou? Certaines choses que je sais d'elle? je n'ai pas vu tous ses films mais j'aime ses images brutales et l'atmosphére de ses films. Il y a quelque chose d'émouvant dans le visage d'Anna Karina. Il est qussi l'auteur d'une histoire du cinéma qui se déroule comme une histoire de suites d'images. Les cinéastes sont de grands inventeurs d'images... Un film qui m'a plus récemment marqué, ce film d'un cinéaste hongrois, Istvan Szabo, Colonel Redl, avec ce merveilleux acteur Klaus Maria Brandauer, dans la peau d'un homosexuel contrarié. Il y a le magie des noirs, des rouges et des éclairages mordorés... Je crois que c'est en grande partie inspiré d'une histoire vraie. "

 

Dites moi tout...

 

 

 

 

29/10/2009

une minute une de pur plaisir

24/10/2009

Hamburger story ...

 

 

Oh! Je lui pique c'est trop savoureux!

 

 

merci

thank-you.jpg Dire merci c'est comme dire je t'aime point trop n'en faut et pourtant pourquoi ne pas le faire quand le besoin s'en ressent. Sans compte rendu  sans compte à rendre, j'avoue être sensible à cette liberté qui m'est permise de remercier, comme de vivre ou d'aimer. J'ai ce besoin comme aussi celui d'en vouloir plus fugace, ou d'en tenir rigueur tenace mais pas démollissable, je préfère sans aucun doute l'assimilation et la compréhension du monde de l'autre sans pour autant m'effacer, alors voilà j'ai un grand besoin de dire merci pour des raisons multiples et variées pourquoi ne le ferais-je pas, je suis une femme de passage dans cette vie, j'essaie de partager mais plus encore d'émettre de restaurer d'apprendre d'appréhender de voir en face de véhiculer, passeuse pas passive j'en ai une envie profonde dire merci à la vie qui m'est donnée, aux rencontres que je fais, à l'amitié possible même au travers de ce qui semble pour la plupart virtuel mais loin d'en être en tout cas pour moi, et puis à un partage plus spécifique plus intense formateur et structurant qui m'a ouverte à moi-même plus encore, à vous tous, votre fidélité vos avis vos réactions vos délicatesses aussi, votre présence précieuse, votre existence votre sensibilité et vos indulgences aussi.

Thank you.

 

 

 

22/10/2009

rassérénée

 

 

Merci Black Angel!

 

 

08/10/2009

histoire de survie

Parce que Roman, parce que Mistral, parce que Mac, et parce qu'il est de ces choses qui m'atteignent...

05/10/2009

avec les gants ...

 

le_poing_de_joe_louis_boxeur_par_richard.jpg

Ce matin tôt je visionne ce film que Christian Mistral a mis en lien "Le Steak" de Pierre Falardeau et Manon Leriche, puissant sobre et interpellant. Se battre pour gagner son steak, pour bouffer exister vivre faire valoir sa vision du monde, cela peut paraître paradoxal et pourtant c'est un combat quotidien sur ce qu'on veut nous faire croire ce comment il faudrait que l'on vive sur cette façon qui serait plus acceptable qu'une autre de mener son existence. Belle leçon d'humanité et de courage mais aussi de lucidité que le témoignage de cet homme buriné par les combats menés oui gladiateur des temps modernes Jedi de l'instant présent, là à ce qu'il fait dense. Je ne me suis pas beaucoup permise sans doute par retenue par éducation d'exprimer la rage qui m'anime parfois, à écouter ce boxeur dire qu'il n'a plus peur après les mastodontes qu'il a combattu et que finalement il atteint cette sorte de sagesse de celui qui a expérimenté, j'ai ressenti une profonde tendresse comme en écho et j'ai pensé je n'ai rien à perdre et rien à prouver, me suis sentie d'un coup plus libre plus vivante. Autre chose aussi, l'humilité, pas celle qu'on m'a enseigné chez les bonnes soeurs genre tend la joue droite quand on te frappe sur la gauche, non l'humilité de la connaissance de soi de ce que l'on vaut et de ses limites, l'humilité face à l'autre au sens respect et ouverture, pas infériorité, l'humilité de l'empathie à commencer envers soi-même, le droit à l'erreur au découragement à la colère et à l'exploration du monde autrement que par la rentabilité et l'efficacité et l'apparence. Je pense possible de s'améliorer, j'y travaille du poing.


podcast

 

 

 

03/10/2009

"chetemi"

 






 

07/09/2009

leçon de choses ...


Moi, cette confiance, c'est pas à mon père que j'la dois!

 

 

 

06/08/2009

Tout chavire dans la nature ...

 

et naturellement, surtout les bateaux....

Mais, pas les îles, non pas les îles!




 

 

 

 

 

21/07/2009

Hervé

 

Bronson_1973.jpg

Je ne peux pas voir l'homme à l'harmonica sans penser à lui impossible tant il lui ressemble cette intériorisation ce physique ce regard aussi cette détermination parfois si difficile à vivre d'être lui-même son objectif conscient ou non, Hervé c'est du Bronson à l'état pur avec ou sans instrument, un vieil ami depuis plus de vingt ans inchangé toujours égal à lui-même dense et avec cette légèreté propre à ceux qui suivent leur voie coûte que coûte, rien à perdre probable que tout à gagner dans le temps au delà même. L'allure de l'acteur au prénom de mon frère, secret et plus encore, attachant attentif et sans doute dérouté par la matière qu'il apprivoise à son actif, il travaille le bois le fait parler l'expérimente et puis enfant du Maroc porte dans ses veines le souffle chaud et controversé, jamais vraiment à sa place et toujours là à celle qu'il lui est donné ou qu'il se permet, un homme attachant riche et incertain qui doute et ne doute de rien, un Zorro à sa manière ... C'est un ami de longue date, je l'aime d'une amitié profonde et une forme de respect indéfinissable, un homme qui défend ce en croit il croit, n'est pas prêt à s'en détourner, a le courage de ses opinions et de sa vision et en paye le prix, reste enfermé dans des schémas qui le conforte tout en ayant l'intelligence de s'y confronter! Mon cher et plus qu'ami, toujours tellement de bonheur à partager avec toi et Pascaline, ta femme et ma grande amie également, surtout mère de tes enfants, la famille est pour vous la valeur au dessus, moi je suis plus insolente n'est ce pas... Ces amitiés que le temps n'altère pas et qui ont toujours ce sens qui donne un sens, ça me bouleverse. Ne jamais craindre de défendre ses valeurs, ne jamais craindre non plus d'exprimer son amour et son amitié et son plaisir, rien à craindre de rien, vivre!

 

 

 

Garance

Pour Rainette, et puis tous les amoureux du cinéma, Les enfants du paradis Les visiteurs du soir Hôtel du Nord Quai des Brumes avec le fameux "t'as de beaux yeux tu sais", Marcel Carné du grand art ...


12/07/2009

regards de femmes


 

 

22:59 Publié dans art | Lien permanent | Commentaires (3) | Tags : femme, cinema, art, rencontre

01/07/2009

Du Gabin pur jus aussi ...

Dans la lignée de Christian et Gaétan, avec plus de mots et moins de gestes ...


"-Ca court les rues les grands cons !"

"-Oui mais celui-là c'est un gabarit exceptionnel, si la connerie se mesurait il servirait de mètre étalon."

 

 

27/06/2009

à couper le souffle ...

 Trio de Schubert , images de Kubrick, esthétisme et passion .

 

21/06/2009

à ta santé, l'ami!

Particulièrement pour Hoplite et puis pour vous tous aussi ...


Un film que j'adore, une brochettes d'acteurs hors pairs, des dialogues ciselés et cette scène mythique de la cuisine ! Alors en ce jour tout spécialement, je m'en jetterai bien un petit aussi! Comme un goût de pomme ou de betterave, peut-être bien aussi, mon grand-père avec son acolyte de frère, donc mon grand-oncle en fabriquait avec un vieil alambic à base de cette grosse racine blanche, habituellement utilisée pour le sucre, tout cela à cause des anglais qui avait coupé la voie de la canne, m'enfin, à la tienne l'ami !