16/06/2015
Samsara
19:28 Publié dans rencontre | Lien permanent | Commentaires (2) | Tags : rencontre, film, art, partage, échange, humain
13/02/2015
No Thing
23:16 Publié dans art | Lien permanent | Commentaires (5) | Tags : art, film, laure kalangel, écriture, partage, humain
19/12/2014
Ceci est mon corps
Dimanche 21, c'est la journée mondiale de l'orgasme, alors une petite révision ne fait pas de mal !! :-)
12/12/2014
Les moulins de mon coeur
22:35 Publié dans état d'âme | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : état d'âme, chanson, musique, émotion, film, partage, humain
29/11/2013
Lettre au metteur en scène de "La Vénus à la fourrure"
Cher Monsieur Polanski,
C’est une grande première pour moi que d’écrire ainsi à un metteur en scène à propos de son film. Je me suis d’abord dit, il va me prendre pour une idiote et puis, je vous ai entendu affirmer à la fin de la présentation du film à Cannes : « On peut penser ce qu’on veut de moi, ça m’est égal ! », je me suis alors ravisée et j’ai pensé : « Moi aussi ! »
D’autant que ce que j’ai à vous dire à propos de votre « Vénus à la fourrure « ne sont que des choses agréables qui risquent même de vous paraître un peu dithyrambiques.
Admirable, formidable, génial ! Tout, j’ai tout aimé, tout m’a transportée.
Le cadre d’abord, ce vieux théâtre, ce lieu ambivalent, clos et ouvert à la fois. Un écrin, une caisse de résonance. Cette sorte de bricolage qui invite à l’imagination est une idée magnifique qui fonctionne, on est là dans ce qui se joue devant nous, on a l’impression presque d’y participer.
Emmanuelle, superbe actrice, superbe femme, vôtre dans la vie, m’a littéralement subjuguée. Elle est percutante, hypnotique, drôle, remuante, elle crève l’écran et pourtant elle semble si proche et si familière. On se retrouve en elle, dans chacune des différentes facettes qu’elle exprime à merveille, dans sa capacité à passer de l’une à l’autre, dans son art abouti de la manipulation et du jeu. C’est un grand bonheur que de passer ces 96 minutes en sa compagnie.
Vous disiez être surpris et flatté que votre film plaise aux femmes. Comment pourrait-il ne pas leur plaire ? Comment ne partageraient-elles pas cette jubilation qui a été la vôtre d’ainsi voir un machiste aux idées préconçues se faire complètement démonter par une femme qu’il prend au premier abord pour une grue ?
Dans un des nombreux entretiens donnés à la sortie du film à Cannes, Emmanuelle Seigner parle de ce bonheur qu’elle a eu de jouer la femme qui domine en opposition à la femme qui est encore trop souvent au cinéma comme dans la vie utilisée comme objet.
Mais ce n’est pas tout. Mathieu Almaric, votre Thomas, le metteur en scène en quête de sa Wanda, l’actrice principale de sa pièce, à la fois masculin et féminin, prodigieux et sensible est absolument épatant dans cette joute quasi surréaliste.
Emmanuelle-Vanda et Mathieu-Thomas, se croisant, se cherchant, se découvrant dans un jeu multiple de questionnements et de retournements...
Magistral !
Ce film, cette Vénus à la fourrure qui explore les arcanes du pouvoir sexuel, de la domination, de la séduction, de la manipulation que Sacher-Masoch avait expérimentée dans sa vie, d’abord avec Fanny Pastor dont il s’était engagé à exécuter tous les ordres et désirs pendant 6 mois et puis ensuite avec Aurora Rûmelin qu’il voyait comme l’incarnation de sa Wanda de Dunajew mais qui ne lui donna pas entière satisfaction m’a vraiment, comment vous dire, énergisée. C’est jouissif.
Pardon d’être aussi directe mais c’est un pur bonheur pour l’esprit d’avoir à appréhender une chose si aboutie. Il s’en dégage une telle joie, un tel amour du jeu, une telle drôlerie, une telle intelligence qu’on ressort de la projection de ce film heureux. Heureux et conquis. Avec une furieuse envie d’aimer, d’aimer la vie.
Merci.
Bien à vous.
Blue
14:55 Publié dans Film | Lien permanent | Commentaires (2) | Tags : film, polanski, vénus à la fourrure, écriture, partage, humain
La Vénus à la fourrure
14:51 Publié dans Film | Lien permanent | Commentaires (2) | Tags : film, réflexion, art de vivre, amour, relation, partage, humain
31/03/2013
L'artiste et son modèle
15/03/2013
une journée pas ordinaire
On en parle depuis, quoi, deux ou trois ans. Les projets fusent chaque fois que l'on se voit et puis finissent dans un tiroir. Bon, j'allais pas fort ce jour là, des vieilles remontées que je ne peux pas gérer tant elles me submergent, mais je m'y fais, on se fait au meilleur comme au pire, on se fait à la vie, on se façonne avec. Elle m'est rentré dedans avec ses mots et puis a débarqué, caméra au poing.
- Tu sais, je te vois en haut d'un terril!
- Un terril, t'es sûre?
- Ouais! Même que tu cries, que tu as les bras en croix, que t'es rageuse à mort!
- Ah! Oh! Ouch! Et je fais quoi au juste en plus d'éructer?
- Ben... tu ES!
- Ben, OK!
La journée, celle qui vient de se passer fut juste comme un rêve... Une séquence troublante et particulièrement émouvante avec ma tasse de thé, une autre, juste incroyable les deux mains dans la terre noire et une troisième séquence digne d'un Tarkovski en mode Anna près de Carvin dans le Pas de Calais où là, je suis montée, j'ai grimpé le bazar et j'ai hurlé au sommet comme je le faisais ado, tout ma rage d'enfant blessé.
22:42 Publié dans Blog, écriture | Lien permanent | Commentaires (15) | Tags : écriture, blog, laure kalangel, film, partage, humain
ce que j'ai vu en rêve
18:35 Publié dans amitié, art, photographie | Lien permanent | Commentaires (7) | Tags : photographie, écriture, film, laure kalangel, émotion, partage, humain
13/01/2013
La délicatesse
" La délicatesse des gestes révèle celle des sentiments."
- Proverbe africain -
19:40 Publié dans Film, pensée du moment | Lien permanent | Commentaires (9) | Tags : film, pensée du moment, émotion, écriture, partage, humain
18/11/2012
Longtemps après
On pense en avoir fini avec ça quand on a oeuvré pour s'en défaire. Et puis ça revient au hasard d'une expérience dans notre vie. Je dis "on", je devrais dire "je". Parce que la charge était trop forte et le déni le seul moyen de continuer à vivre, mon cerveau a enfoui au fond de ses labyrinthes ma vérité si difficile. Mon corps s'est organisé avec cette cruauté indicible, mon esprit aussi, toute ma vie en fait. J'ai déblayé petit à petit toute cette construction protectrice et suis allée au devant de ce que je n'aurais jamais du voir et savoir. Je pensais avoir tout compris tant les insights furent longs, profonds, douloureux et délivrance. Je pensais tout savoir de ce qui m'était arrivé si petite, j'avais le sentiment d'avoir rééprouvé le pire. Je sais que je ne vais qu'au-devant de ce que je peux assimiler, accepter. Je sais que ce rythme éloigne la folie meutrière. La haine, la colère, l'injustice, la culpabilité, la honte, tout ce qu'il a fallu ressentir pour m'en sortir. Les longs moments d'accalmie, l'impression de tenir le bon bout, le goût de vivre qui l'emporte, l'élan, l'avenir, les rêves qui s'adoucissent. Et puis, un jour sans crier gare, au détour d'une épreuve du genre tomber du grenier à la cave: PAF! Je retombe sur un os, je renoue avec ce passé fantômatique, l'étau se resserre une fois de plus, et les vieux réflexes corporels reviennent avec leur taux d'insupportabilité. Reprendre son bâton de berger, de nouveau innover, de nouveau faire face, de nouveau contourner l'obstacle et de nouveau voir d'autres horreurs ou les mêmes sous un autre jour. De nouveau comprendre, à quel point et où, tout ça a fait mal, où sont les dégâts collatéraux, où s'est infiltré le poison, décrypter, défaire, déjouer, se faire confiance. Je n'aurais pas assez d'une vie pour sortir de moi ce pus et pour être ce à quoi j'aspire. Fière, humaine et congruente. Je n'ai pas peur de souffrir, pas plus que de devoir voir ce qui m'a été fait. Je n'ai plus peur de comprendre à quel point celà m'a détournée de moi-même et de mes idéaux, de mes vertus. Pas plus que je n'ai peur de m'être fourvoyée, de m'être laissée entraînée, et d'avoir à ce point manquer d'intelligence. Je n'ai pas peur, mais je m'en veux. Je sais que c'est idiot, qu'au fond je devrais renvoyer la faute en amont, mais je suis une adulte maintenant, responsable de ses actes et je ne peux plus réagir comme l'enfant que je n'ai jamais pu être. Longtemps après, j'ai encore à faire et je me demande si cela va s'arrêter un jour, si je vais pouvoir déposer les armes et juste être là au monde sereine et sage, le corps apaisé et libéré, et le coeur ébloui.
12:41 Publié dans art de vivre, psychologie | Lien permanent | Commentaires (9) | Tags : film, brigitte lemaine, témoignages, art de vivre, psychologie, inceste, agression, témoignage, avancée, partage, humain
26/10/2012
La source des femmes
La source des femmes, un conte oriental plein de lumière, d'émotion, de courage et d'élégance. Un très beau film de Radu Mihaileanu. Son "Va, vis et deviens" qui se passait entre l'Ethiopie et Israel interrogant les racines de l'immigration en Israel m'avait remuée jusqu'au fond des tripes. Son "Concert" sur le monde baroque des musiciens slaves confronté à la décrépitude post-communiste m'avait touchée aux larmes. Beaucoup d'humour et de grâce dans ce cinéma engagé qui ne peut laisser indiférent. Cette fresque sur la condition des femmes dans le monde de l'islam est stupéfiante de délicatesse et devient même universelle invitant à réfléchir sur ce regard que peuvent porter les hommes sur l'autre moitié de l'humanité. "La source des femmes" invite sans forcer à y penser et peut-être à faire doucement bouger certaines choses encore malheureusement trop figées et trop archaïques.
10:59 Publié dans art de vivre, Cinéma | Lien permanent | Commentaires (11) | Tags : cinéma, art de vivre, femme, radu mihaileanu, art, film, réflexion, émotion, partage, humain
31/07/2012
régression
22:53 Publié dans art de vivre, Film, société | Lien permanent | Commentaires (9) | Tags : art de vivre, film, expérience, machisme, femme, évolution, partage, humain
12/06/2012
le gamin au vélo
J'aime le cinéma des frères Dardenne, cette réalité de la vie qu'ils filment de façon romanesque. J'aime le message que leur vision du monde délivre comme celui dans ce film, le Gamin au vélo où comment un enfant dont le père ne veut plus s'occuper peut en découvrant l'amour d'une femme sortir de la violence et de la peine qui le submerge. Forcément! L'amour qui guérit et qui sauve, voilà un message qui ne peut que me plaire... Au-delà de ça, et suite à la discussion entre les trois drôles de dames que nous formons, Laurence, Laure et moi, je réfléchissais ce matin à pourquoi le cinéma, pourquoi tel film nous parle plus qu'un autre, qu'est-ce que chacun d'entre nous vient chercher et trouve dans le septième art?
12:16 Publié dans art, art de vivre, Cinéma, Film | Lien permanent | Commentaires (8) | Tags : cinéma, film, sens, histoire, art, image, réflexion, partage, humain
01/11/2011
Polisse
Synopsis:
Le quotidien des policiers de la BPM (Brigade de Protection des Mineurs) ce sont les gardes à vue de pédophiles, les arrestations de pickpockets mineurs mais aussi la pause déjeuner où l’on se raconte ses problèmes de couple ; ce sont les auditions de parents maltraitants, les dépositions des enfants, les dérives de la sexualité chez les adolescents, mais aussi la solidarité entre collègues et les fous rires incontrôlables dans les moments les plus impensables ; c’est savoir que le pire existe, et tenter de faire avec… Comment ces policiers parviennent-ils à trouver l’équilibre entre leurs vies privées et la réalité à laquelle ils sont confrontés, tous les jours ? Fred, l’écorché du groupe, aura du mal à supporter le regard de Melissa, mandatée par le ministère de l’intérieur pour réaliser un livre de photos sur cette brigade.
Je voulais voir ce film de Maïwenn. Son premier film m'avait touchée au coeur. Je l'ai vu hier en fin de journée dans une salle comble. Mon voisin, un monsieur d'un âge avancé tenait sur sa cuisse la main de sa douce moitié. Il s'est endormi de suite et s'est mis à ronfler. Une sonnerie de téléphone au milieu du film l'a brusquement réveillé, un coup de fil que reçoit la brigade des mineurs annonçant qu'une maman toxico vient de kidnapper son bébé. A partir de là, j'ai franchement regretté qu'il se réveille, il n'a pas cessé de parler, donnant son avis, réagissant à toutes les scènes, commentant les propos des enfants de manière outrancière, manifestement dérangé par ce qu'il était obligé de regarder. C'est sans doute l'aspect le plus positif de ce film, alerter les consciences sur des réalités qu'on ne veut pas voir: la maltraitance, la pédophilie, toutes les formes d'abus sur les enfants, le dénuement aussi de certains parents et la violence à tous les étages si je puis m'exprimer ainsi. Sigh! Je n'ai pas aimé ce film. Plutôt, je n'ai pas été émue. Pourtant, j'aurais pu l'être. Mon cadet a adoré et craignait que j'aille le visionner, il avait peur que cela me remue trop et m'avait dit: "Maman, t'es sûre, c'est pas une bonne idée!", je l'avais tout de suite rassuré, ça ne pouvait pas être pire que je l'imaginais. Au fond, si ça l'était. En sortant je me suis demandé si c'était vraiment comme cela que ça se passait. Je repense par exemple à cette scène de la petite fille avec son grand-père. Ah! Est-ce vraiment ainsi que cela se déroule, le pépé peut comme cela l'interpeller et s'adresser à elle directement en lui demandant de dire sa vérité à lui? Et ces interrogatoires!? La victime parait revictimisée tellement ça se passe au milieu d'une bande de potaches. Il y a un sacré manque d'intimité, de retenue, d'introspection, de réflexion même. Sans doute n'est-ce pas la volonté du film qui veut juste montrer façon coup de poing plutôt que d'amener à éprouver, à comprendre en profondeur la détresse et l'incapacité qu'on a face à elle. Cette notion de groupe en permanence m'a dérangée, j'ai décroché et n'ai pas su rentrer dans l'histoire de ces membres de la brigade face à leurs propres démons et leurs propres difficultés. J'ai tellement le sentiment qu'il faut être bigrement bien cadré pour faire ce genre de métier! Alors malgré de belles prestations d'acteurs, j'ai trouvé pour ma part Kiberlain particulièrement juste et celui jouant son mari brillament pervers, je ne me suis pas investie dans les différentes histoires des uns et des autres et moins encore dans celle de la réalisatrice avec son personnage principal. Aborder ces sujets est audacieux et important mais je ne sais pas si finalement en l'occurrence ça ne les dessert pas. Est-ce qu'on comprend vraiment l'insoutenable dans la vie de ces enfants? Non, désolée, je ne fais pas partie de ces nombreux français qui trouve que c'est le meilleur film de l'année.
10:45 Publié dans Film | Lien permanent | Commentaires (6) | Tags : film, polisse, maïwenn, cinéma, maltraitance, brigade des mineurs, partage, humain
09/08/2011
Sororal
J'ai aimé ce film, il m'a personnellement beaucoup touchée. Merci Black Angel.
" Les âmes soeurs finissent par se trouver quand elles savent s'attendre."
20:43 Publié dans Film, pensée du moment | Lien permanent | Commentaires (6) | Tags : pensée du moment, film, fratrie, soeur, amour, amitié, christian mistral, échange, partage, humain
07/08/2011
Paroles d'auteurs
25/06/2011
Peter Falk
Décédé il y a deux jours après avoir enduré Alzheimer, Peter Falk n'a toujours été pour moi que Columbo, ce policier de la brigade criminelle à l'imperméable beige et la vieille Peugeot 403 décapotable et délabrée, toujours le cigare au bec et l'oeil plissé. J'ignorais qu'il était borgne depuis l'âge de trois ans, c'est sans doute de là que lui vient ce regard qui en dit long mine de rien. "Columbo mène la danse" est la dernière de cette longue série qui a bercée mon enfance, mon adolescence et ma vie de jeune adulte... J'adore ce personnage ne portant jamais d'arme, obsédé par les détails les plus insignifiants et aimant ébaucher les idées avec sa femme. Il ne s'énervait jamais et arrivait toujours à ses fins, quelle dégaine! Une pensée pour celui qui l'a si brillamment incarné, qu'il repose en paix.
09:23 Publié dans Film | Lien permanent | Commentaires (19) | Tags : film, cinéma, série, personnage, policier, acteur, humain
19/04/2011
L'abécédaire YSL par Pierre Bergé
13:09 Publié dans Film, rencontre | Lien permanent | Commentaires (5) | Tags : laure kalangel, pierre bergé, yves saint laurent, film, hommage, rencontre, mode, humain
10/04/2011
Parce que nous l'avons vu, revu, et tant partagé*
Et toujours avec le même plaisir et la même espérance en l'avenir et en l'humain, et le possible, et la force en nous, et j'en passe.
Et parce que je vous aime, sans concession, et avec tant de fierté!
A vous, les hommes de ma vie, chair de ma chair, mes fils.
* Au moins cent cinquante visionements pour celui-là, Ah! Excalibur! Presque notre marque de fabrique. Cent pour la Guerre des étoiles, vous étiez unanimes "maman , t'es un Jedi ", une vingtaine pour le Seigneur des anneaux, un peu moins pour les Harry Potter, et je passe les Mac Gyver à la télè et les Robocop au ciné avec les pop corn, et la cerise sur le gâteau, hein les gars, les James que j'affectionne tant! Oh, j'oubliais, ça c'est vraiment dommage nos chers Indiana Jones et puis Barry Lindon qu'on a vu et revu et puis le Soldat Ryan dont je ne pouvais même pas accepter les premières images, vous me disiez à chaque fois : "ça n'est que du cinéma!", pouah, et, Le jour le plus long, Zorro, Les trois mousquetaires, sans parler des Tex Avery et des Goldorak, et des Batman. Je crois qu'il n'y a qu'avec votre père que vous avez ri avec Benny Hill parce que tout le reste lui passait au-dessus, mais nous on en profitait un max, agglutinés comme des sardines en boîte dans le canapé, se serrant les uns contre les autres, pétris d'émotions similaires.
00:04 Publié dans art de vivre, Cinéma, état d'âme, Film | Lien permanent | Commentaires (18) | Tags : cinéma, film, partage, enfance, amour, humain