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17/05/2010

cinéma

 

 

"Le cinéma, c'est l'écriture moderne dont l'encre est la lumière."

- Jean Cocteau -

 

 

17/04/2010

Good Morning England


Le genre qui fait du bien quand on veut croire à ses rêves...
Rock!

05/04/2010

4 minutes

Renversant bouleversant interpellant...

 

 

23/02/2010

régal

Merci Christian...

 

 

 

 

07/02/2010

Gérard

 

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Hum, j'aime le bonhomme, j'aime la gueule et plus encore l'artiste, quel acteur. Je sais qu'il fâche certains qui le trouvent "trop" moi je le trouve grandiose et puis si tonitruant, un vrai cyclone. Une de mes amies a été sa voisine de palier pendant un temps, ça ne l'a pas franchement réconciliée avec le personnage qu'elle ne portait pas dans son coeur, faut dire aussi que les excès c'est pas trop son truc, tous y compris ceux de langage. Ce matin, pourtant j'en menais pas large et suis tombée sur un entretien dans la presse avec lui pour la sortie du film " L'autre Dumas" avec le non moins talentueux Benoît Poelvoorde, reboostant, même au travers des mots rapportés par un journaliste il crève l'écran, le papier disons en l'état, cette fureur de vivre cet appétit et cette sorte d'expression de soi, il est lui où qu'il soit quoi qu'il joue quoi qu'il dise, j'aime pas mal ça j'avoue, j'envie aussi, ce côté être soi-même quoi qu'il arrive et quoi que la vie réserve. Il cite dans cette interview St Augustin plusieurs fois dont je n'ai pas lu les " confessions" et puis ce géant Balzac, il parle de son fils avec émotion et retenue et surtout ce qui m'a frappé il est dans la vie, pas d'ampoulé pas de surfait, un seul homme, l'entretien coupé de ses coups de fils amicaux et de sa réalité sans artifice, semblable à l'idée que je me fais de cette force de la nature qu'il me semble être. J'aimerai le rencontrer, dommage il a déménagé...

Vu la bande annonce, et j'ai bien envie d'en voir davantage, je reprends du poil de la bête!



 

12/11/2009

2012

 

autour du monde.jpg

 

Discussion endiablée et riche hier soir tard avec mon cadet et le benjamin. Sortie du film 2012 en salle, la prophétie Maya, la fin du monde.  Prendre le parti d'en rire ou celui d'être sérieusement affecté, manifestement celà ne les laissaient pas indifférents.

"Maman, et si c'était vrai..."

 

 

 

07/11/2009

cours de poésie!

 

 

02/11/2009

Poésie, plaisir et panache!

 

 

31/10/2009

Un jour un film m'a marqué ...

 Dans la même veine que la note du livre qui un jour nous a aidé, il y a pour les amateurs d'images que nous sommes aussi un ou plusieurs films qui nous ont marqués plus que d'autres, qui nous ont bouleversés émus interpellés, qu'on peut revoir plusieurs fois en boucle même sans lassitude et qui sont fondateurs pour nous, certains plus que d'autres, le Photon dans son commentaire laissé sur les livres le suggère en filigrane et nous parle de deux films qui ont comptés pour lui, le crabe tambour et les ailes du désir, et pour vous lequel ou lesquels ont cette importance?

 

Cette question a été posée à Bacon par Franck Maubert, auteur de plusieurs livres consacrés à la peinture et qui vient de sortir celui-ci, " L'odeur du sang humain ne me quitte pas des yeux", conversations avec Francis Bacon, la réponse est celle-ci:

" J'aime le cinéma comme celui de Bunuel des débuts ou dans un autre genre celui d'Antonioni dont je me sens proche, celui du Désert rouge, de La Notte... En France, celui de jean-Luc Godart; il a divisé, lui. Mais j'oublie les titres: Alphaville? Pierrot le fou? Certaines choses que je sais d'elle? je n'ai pas vu tous ses films mais j'aime ses images brutales et l'atmosphére de ses films. Il y a quelque chose d'émouvant dans le visage d'Anna Karina. Il est qussi l'auteur d'une histoire du cinéma qui se déroule comme une histoire de suites d'images. Les cinéastes sont de grands inventeurs d'images... Un film qui m'a plus récemment marqué, ce film d'un cinéaste hongrois, Istvan Szabo, Colonel Redl, avec ce merveilleux acteur Klaus Maria Brandauer, dans la peau d'un homosexuel contrarié. Il y a le magie des noirs, des rouges et des éclairages mordorés... Je crois que c'est en grande partie inspiré d'une histoire vraie. "

 

Dites moi tout...

 

 

 

 

29/10/2009

une minute une de pur plaisir

24/10/2009

Hamburger story ...

 

 

Oh! Je lui pique c'est trop savoureux!

 

 

22/10/2009

rassérénée

 

 

Merci Black Angel!

 

 

23/09/2009

La maman de Victor, La Crise...

 

 

08:41 Publié dans Cinéma | Lien permanent | Commentaires (17)

07/09/2009

leçon de choses ...


Moi, cette confiance, c'est pas à mon père que j'la dois!

 

 

 

21/07/2009

Garance

Pour Rainette, et puis tous les amoureux du cinéma, Les enfants du paradis Les visiteurs du soir Hôtel du Nord Quai des Brumes avec le fameux "t'as de beaux yeux tu sais", Marcel Carné du grand art ...


06/07/2009

trois minutes et cinq secondes de plaisir ...



01/07/2009

Du Gabin pur jus aussi ...

Dans la lignée de Christian et Gaétan, avec plus de mots et moins de gestes ...


"-Ca court les rues les grands cons !"

"-Oui mais celui-là c'est un gabarit exceptionnel, si la connerie se mesurait il servirait de mètre étalon."

 

 

28/04/2009

Entre les murs

entre_les_murs02.jpg" Entre les murs "  Film de Laurent Cantet d'aprés le livre et avec François Bégaudeau.Beaucoup d'émotions au visionnement de ce film , d'abord cet amour de la langue défendu par ce prof de français confronté à une classe dîte difficile, et puis la spontanéité des élèves et de leurs échanges. Les questions plus profondes quant aux difficultés de communication et aussi une réflexion sur l'importance de l'apprentissage,de ses subtilités et des différents obstacles. Je me suis régalée.Et j'ai trouvé F. Bégaudeau très convaincant. Et puis ce côté trés vivant, toujours en alerte, ces dialogues "ping-pong" et toute cette vie qu'on partage ainsi entre les murs.

Me reste à lire le livre...

Vous encourage à aller lire aussi la critique de Venise sur le film, dans Voir, .

 

 

 

 

07/02/2009

Jaoui et Bacri

En écho à la note d'Inukshuk sur Bacri :



 

Deux acteurs que j'apprécient beaucoup , Agnes Jaoui  et Jean-Pierre Bacri ...

J'aiment leur maniére d'appréhender les individus dans leurs failles , leurs attentes , leurs désirs et ce naturel à les jouer , à interpréter toutes ces facettes de l'humain . Leurs textes sont souvent incisifs et justes , avec une tendresse en même temps , vraiment un cinéma qui me plait !

20:08 Publié dans Cinéma | Lien permanent | Commentaires (10) | Tags : cinéma, acteurs, film

04/11/2008

Anna Magnani



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( portrait de Richard Avedon )

 

 

Magnifique actrice , un grand charisme et beaucoup d'humanité , voilà ce qui caractérise Anna Magnani

 

née le 7 mars 1908 à Rome, province du Latium, Italie, décédée le 26 septembre 1973 à Rome à l'âge de 65 ans.

Fille naturelle, abandonnée par sa mère, elle est élevée chichement par sa grand-mère maternelle à Rome, et fit son éducation dans un couvent.


Elle commence sa carrière artistique en chantant dans des cabarets et des night-clubs avant d'intégrer l'Académie d'art dramatique de Rome. Commencent ensuite des tournées à travers le pays avec des compagnies théâtrales à répertoire minimal.

Ses débuts au cinéma ont lieu en 1927 avec un petit rôle dans un film muet, Scampolo, suivi d'un rôle de premier plan dans La Prisonnière des ténèbres (La Cieca di Sorrento) de Nunzio Malasomma en 1934.
En 1935, elle épouse Goffredo Alessandrini qui la fit jouer dans La Cavalerie héroïque (Cavalleria) en 1936. Leur union dura peu de temps et le mariage fut annulé en 1950.

Elle devint une actrice connue avec le rôle qu'elle eut en 1941 dans Mademoiselle Vendredi (Teresa Venerdi), réalisé par Vittorio De Sica. Sa véritable percée et sa réputation mondiale se firent avec Roberto Rossellini dans le film Rome, ville ouverte (Roma, città aperta) en 1945, généralement considéré comme le premier film néoréaliste commercial de l'après-guerre.

Dès lors, elle ne cessa de travailler pour le cinéma et la télévision, recevant un Oscar de la meilleur actrice pour sa performance dans la version cinématographique de La Rose tatouée (The Rose Tattoo) de Daniel Mann d'après la pièce de Tennessee Williams (Williams et elle étaient des amis proches), et travaillant avec les plus importants réalisateurs italiens durant les années 1950, 1960 et 1970.

Elle était réputée pour ses rôles de femme plébéienne, rude et passionnée. Elle eut une liaison avec Roberto Rossellini entre la réalisation de Rome, ville ouverte et sa rencontre à scandale avec Ingrid Bergman. Anna eut un enfant naturel avec un acteur italien, un garçon qui fut victime de la poliomyélite, et elle consacra sa vie à prendre soin de lui.

Le dernier film dans lequel elle joua fut Fellini Roma, en 1972. Elle mourut l'année suivante, à Rome, d'un cancer du pancréas. 


06:22 Publié dans Cinéma | Lien permanent | Commentaires (37)