31/05/2009
mon pays c'est la vie ...
Quand j'y pense , mon coeur bat si fort ...
J'ai pas fini ! J'ai encore du pain ... Je veux parler jusqu'à la fin de ma voix...
22:50 | Lien permanent | Commentaires (8) | Tags : vie, humain, état d'âme, poésie
30/05/2009
vivre, what else?
"J'dis que je vis sur l'amour et qj'espère de vivre vieux" ... Non, j'espère pas, je vais vivre" le" plus vieille possible. J'ai roulé ma bosse, comme tout à chacun, j'en ai traîné des casseroles, encore quelques poêles à régler mais une chose m'apparaît comme indubitable, rien ne vaut la vie, rien ne vaut l'amour, et de vivre assez pour qu'on se le dise encore!
La vie est notre bien le plus précieux.
22:37 Publié dans art de vivre | Lien permanent | Commentaires (10) | Tags : drôle de semaine qui s'annonce ...
just "danse" ...
" J'ai tendu des cordes de clocher à clocher, des guirlandes de fenêtres à fenêtres, des chaînes d'or d'étoile à étoile, et je danse."
- Arthur Rimbaud -
06:55 Publié dans Musique | Lien permanent | Commentaires (6) | Tags : art de vivre, rencontre, musique
29/05/2009
la peur au ventre
La peur au ventre, le doute de soi, ces maux qui ne sortent pas et qui tournent et me retournent à l'intérieur, ce matin la boule était une fois de plus là, transperçant de même la bas de mon dos fragilisé par des semaines de travail et de mise à vif. Juste besoin d'une main sur ce ventre, une main apaisante et aimante, pour le faire taire ou le faire parler, peut-être... La peur est utile et galvanise, parfois elle terrasse et inhibe. C'est pourtant la même peur, n'est ce pas, seul l'effet sur mon mental change, et sur mon état d'être.
Mais il faut avoir peur quand il y a lieu d'avoir peur, quand il y a danger. Sécuriser le périmètre, trouver une solution, agir. Notre corps nous parle, l'écouter, il nous indique, entendre et nous porte, avancer. Ventre ventriloque.
10:03 | Lien permanent | Commentaires (19) | Tags : maux, mots, état d'âme, humain
28/05/2009
Divine intervention
21:12 Publié dans art de vivre | Lien permanent | Commentaires (3)
27/05/2009
suis pas fréquentable ...
You have to know ...
23:45 | Lien permanent | Commentaires (20) | Tags : musique, état d'âme, humain
Erich Fromm
Erich Fromm, né à Francfort le 23 mars 1900 et mort à Locarno le 18 mars 1980 est un psychanalyste humaniste américain d'origine juive allemande. Il a fait ses études à l'université de Heidelberg puis à celle de Munich et enfin à l'Institut de psychanalyse de Berlin. Il est avec Adorno, Herbert Marcuse et d'autres, un des premiers représentants de l'école de Francfort. Il a greffé, d'une façon critique et originale qui lui est propre, la thèse freudienne sur la réalité sociale qui s'est faite jour dans l'après-guerrejusqu'à l'époque contemporaine aux États-Unis où il a vécu à partir de 1934. Là il a enseigné au Bennington College, à laColumbia University, puis celle du Michigan et à Yale, et aussi auprès de l'Université nationale du Mexique.
J'ai lu plusieurs livres de ce psychanalyste qui m'ont interpellée et j'y reviens régulièrement, notamment :
L'art d'aimer , édition Desclée de Brouwer,
" l'amour n'est possible que si deux personnes communiquent entre elles à partir du centre de leur existence... Qu'il y ait harmonie ou conflit, joie ou tristesse, c'est secondaire par rapport au fait fondamental que deux personnes se rejoignent à partit des profondeurs de leur existence, qu'elles ne font qu'un l'un avec l'autre en ne faisant qu'un avec elles-mêmes, sans fuir leur propre réalité. Il n'y a qu'une seules preuve de la présence de l'amour: la profondeur de le relation, la rivalité et la force de chaque personne. "
La révolution de l'amour est, pour Erich Fromm l'unique alternative à la destruction de l'humanité. C'est le propos de son Art d'aimer : un art, l'art même qui fait l'homme libre.
L'art d'être , édition Desclée de Brouwer,
ce traité des progrès que tout homme est capable de faire suir lui-même pour apprendre l'art de vivre, l'art d'être, dans une société aspirant plutôt à avoir et à posséder, réunit en un volume quelques chapitres ôtés en 1976 par Erich Fromm du manuscrit Avoir ou être.
Erich Fromm ne voulait pas en effet que le lecteur pût confondre la recherche de l'art d'être, telle qu'il la concevait, avec le salut de l'âme que se proposaient d'offrir, dans "la réalisation intérieure" et "l'épanouissement de la personnalité", un grand nombre de nouvelles techniques proliférant à l'époque. Ces dernières contribuaient en effet à ses yeux à accentuer le narcissisme, beaucoup plus qu'à stimuler en l'homme l'authentique élan de vie.
L'art d'écouter , édition Desclée de Brouwer,
les textes inédits de ce volume témoignent de son expérience d'analyste. Ils ne forment pas un traité, sont encore moins révélateurs d'une " technique psychanalytique ", mais renseigne sur le thérapeute Fromm et sur son rapport avec l'homme souffrant. Un rapport vivant où le seul souci de l'analyste est de percevoir en profondeur les problèmes de l'être humain qui lui fait face.On y retrouve, sur un mode très vivant, les grands axes de la pensée de Fromm, nourrie aussi bien du bouddhisme et de toute une tradition humaniste.
" Nous sommes en rêve, il est vrai, plus intègres qu'à l'état d'éveil. Rien d'extérieur n'incline notre sommeil."
" Quoi que nous fassions, tout entraîne un changement."
" Mieux vaut n'être pas allé loin mais dans la bonne direction que d'avoir beaucoup avancé dans la mauvaise."
" La pratique, avec patience de l'auto-analyse déclenche un processus d'accroissement de son autonomie. On est plus libre parce que l'on ne ressent plus aussitôt le besoin de libérer son coeur auprès de quelqu'un. L'on développe une certaine aptitude à retenir les choses en soi au lieu de constamment les divulguer"
- L'art d'écouter - Erich Fromm -
" L'intérêt, c'est de plonger, de se mouiller, non pas de rester en marge, un observateur, un être séparé de ce qu'il voit. Une personne qui a la volonté de "faire le mur" de la prison de son narcissisme et de son égoïsme, et qui y est déterminée, qui a le courage de tolérer l'angoisse intermittente, vit les premières visions de la joie et de la force restant à atteindre. "
" Nul ne doit d'explication à quiconque, nul n'a de comptes à rendre à qui que ce soit, tant que ses actions ne blessent pas autrui et n'empiètent pas sur sa liberté. Un homme libre ne doit d'explication qu'à lui-même, à sa raison, à sa conscience."
" Se voir sans illusions ne serait pas si calé si l'homme n'était pas constamment exposé à des mises en condition voilant son acuité d'esprit. Il est exhorté à penser et à sentir des choses qu'il ne sentirait ou ne penserait pas sans l'influence de suggestions permanentes et de méthodes élaborées de conditionnement. Incapable de se percevoir tel qu'il est, à moins de percer le sens caché des propos ambigus et de voir la vérité derrière les illusions, il se perçoit pas substitution comme celui qu'il devrait être."
- L'art d'être - Erich Fromm -
" La faculté de penser objectivement est la raison; l'attitude affective qui sous-tend la raison est l'humilité. Si je veux apprendre l'art d'aimer, je dois tendre à l'objectivité dans chaque situation et devenir sensible aux situations où l'objectivité me fait défaut."
- L'art d'aimer - Erich Fromm -
07:13 Publié dans psycho | Lien permanent | Commentaires (8) | Tags : psychologie, art de vivre, humain
25/05/2009
Roger Planchon
Quand il évoquait sa mort, Roger Planchon disait : "Le jour où je crèverai." Il préférait ce mot qu'on employait - le même pour les bêtes et les gens - dans cette Ardèche pauvre, dure et paysanne où il avait passé son enfance. Le metteur en scène, acteur, cinéaste et grand animateur, au sens où Jean Vilar l'entendait, a donc "crevé" mardi 12 mai, à Paris. Il était chez lui et lisait une pièce de théâtre. Il s'est senti fatigué. Il s'est alité. Son coeur l'a lâché. C'était fini. Son fils Stéphane a annoncé la nouvelle en disant : "Il est parti en travaillant."
Un grand Monsieur vient de nous quitter. Alex en parle très bien, là.
08:24 Publié dans pensée du moment | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : théâtre, passion, art de vivre
24/05/2009
tell me more ...
14:30 | Lien permanent | Commentaires (6) | Tags : musique, amour, et cetera ...
je transpire...
10:28 | Lien permanent | Commentaires (7) | Tags : état d'âme, expression, photo
23/05/2009
chapeau bas
22:25 Publié dans Musique | Lien permanent | Commentaires (4) | Tags : musique, état d'âme, poésie
Jedi !
Là, cette émotion qui m'étreint, mes fils, hommes en devenir, leurs grands corps, leurs esprits alertes et bondissants, attentifs et réactifs, trois coeurs d'or, d'airain, avec cet humour bien à eux, décapant, sans concession, jeunes et libres, avec des doutes et des convictions, et cette soif de vivre, d'éprouver, et d'exprimer.
Un déjeuner animé, comme je les aime, ça fuse de partout, ça rebondit, ça extrapole, ça crie, jure et raisonne.
" Maman, t'es un Jedi! "
Unanimes. J'en suis toute retournée.
13:32 | Lien permanent | Commentaires (17) | Tags : état d'âme, pensée du moment, famille, amour, vie
22/05/2009
Van Gogh
Van Gogh, né le 30 mars 1853 à Groot-Zundert, dans le Brabant septentrional, était le fils d'un pasteur protestant. Dès l'enfance, il fit preuve d'un tempérament lunatique et agité qui devait, tout au long de sa vie, contrarier ses projets. À partir de 1869, il devint commis dans une galerie d'art mais, passionné par la lecture de la Bible, il négligea son travail et dut finalement l'abandonner en 1876. Après avoir été prédicateur dans un faubourg ouvrier de Londres, il entreprit des études de théologie à Amsterdam, mais consacrait néanmoins beaucoup de temps à dessiner. En 1878, il s'installa dans la région minière du Borinage où il décida d'évangéliser les pauvres dont il partageait les conditions de vie extrêmement précaires. C'est là, au début des années 1880, que Van Gogh peignit ses premières toiles. Elles représentent des natures mortes ou, comme les célèbres Mangeurs de pommes de terre (1885, Rijksmuseum Vincent Van Gogh, Amsterdam), les paysans et les gens simples qu'il rencontrait. Sombres et presque monochromes, ces oeuvres expriment avec rudesse la pauvreté et la misère de ces mineurs auxquels Van Gogh s'attacha avec une ferveur et une exaltation exacerbées. En 1886, Van Gogh s'installa à Paris et vécut avec son frère Théo qui dirigeait une petite galerie de tableaux. Il fit rapidement connaissance des jeunes peintres qui animaient les mouvements artistiques les plus innovants. Influencé par l'oeuvre des impressionnistes et par celui d'artistes japonais tels Hiroshige et Hokusai, le style de Van Gogh évolua sensiblement à cette époque. Les couleurs s'éclaircirent, les touches de pinceau, qui furent apposées suivant une technique plus étudiée, suivaient souvent la forme de l'objet représenté. Dès 1888, il adopta des teintes franches et brillantes, présentes dans les tableaux de ses amis français. En février 1888, Van Gogh quitta Paris pour le Sud de la France où, sous le soleil de Provence, il peignit des paysages et des scènes de genre de la vie méridionale. L'artiste, installé à Arles, commença à employer des touches courbes, tourbillonnantes et des couleurs pures : le jaune, le vert et le bleu en particulier. Cette technique, si spécifique à l'oeuvre de Van Gogh, apparaît dans les célèbres toiles représentant sa Chambre à coucher (1888, Rijksmuseum Vincent Van Gogh, Amsterdam), et la Nuit étoilée (1889, musée d'Art moderne, New York). Tout phénomène visible, peint ou dessiné par Van Gogh, semble être doté d'une vitalité physique et spirituelle. Dans son enthousiasme, il persuada Paul Gauguin, qu'il avait rencontré à Paris, de le rejoindre. Après moins de deux mois de travail commun, leur relation se détériora gravement et s'acheva par une dispute célèbre au cours de laquelle Van Gogh menaça Gauguin avec un rasoir. La même nuit, Van Gogh se trancha une oreille. Quelques mois plus tard, il entra de plein gré à l'asile de Saint-Rémy-de-Provence où il peignit avec acharnement. De cette période date un grand nombre de chefs-d'oeuvre, dont les Blés jaunes (1889, National Gallery, Londres). En mai 1890, l'artiste quitta le Midi et rejoignit son frère Théo à Paris. Il s'installa non loin de là, à Auvers-sur-Oise, près de la maison du docteur Gachet qui admirait et soutenait déjà plusieurs peintres impressionnistes, et dont Van Gogh fit le portrait. L'artiste travaillait avec ardeur. Pourtant, le 27 juillet 1890, il se tira un coup de revolver et décéda deux jours plus tard. Les sept cents lettres que Van Gogh écrivit à son frère Théo (publiées en 1911, traduites en français en 1960) constituent un témoignage unique de la vie d'un artiste, et une précieuse documentation concernant une uvre particulièrement fertile : environ sept cent cinquante tableaux et mille six cents dessins. Le peintre français Chaïm Soutine, ainsi que les peintres allemands Oskar Kokoschka, Ernst Ludwig Kirchner et Emil Nolde, doivent plus à Van Gogh qu'à aucune autre source d'inspiration. En 1973, le Rijksmuseum Vincent Van Gogh, conservant plus de mille tableaux, esquisses et lettres, a été ouvert à Amsterdam.
«N'oublions pas que les petites émotions sont les grands capitaines de nos vies et qu'à celles-là nous y obéissons sans le savoir.»
En plus de son oeuvre de peintre, et sa grande générosité, il laisse avec les lettres à son frère Théo, un témoignage humain et sensible de grande beauté. personnellement j'ai vraiment été touchée par ces écrits , différemment mais presque autant que par sa peinture, son bleu, sa lumière ... «Il faut commencer par éprouver ce qu'on veut exprimer.» - Vincent Van Gogh -
" L'orageuse lumière de la peinture de Van Gogh commence ses récitations sombres à l'heure même où on a cessé de la voir. Rien que peintre, Van Gogh, et pas plus, pas de philosophie, de mystique, de rite, de physcurgie, ou de liturgie, pas d'histoire, de littérature ou de poésie, ces tournesls d'or bronzés sont peints: ils sont peints comme des tournesols et rien de plus, mais pour comprendre un tournesol en nature, il faut maintenant en revenir à Van Gogh, de même que pour comprendre un orage en nature, en plaine nature, on ne pourra plus ne pas en revenir à Van Gogh. Je crois que Gauguin pensait que l'artiste doit rechercher le symbole, le mythe, agrandir les choses de la vie jusqu'au mythe, alors que Van Gogh pensait qu'il faut savoir déduire le mythe des choses les plus terre-à-terre de la vie. En quoi je pense , moi, qu'il avait foutrement raison. Car la réalité est terriblement supérieure à toute histoire, à toute fable, à toute divinité, à toute surréalité." - Antonin Artaud -
| |
18:15 Publié dans art | Lien permanent | Commentaires (12) | Tags : peinture, art, art de vivre
vivre
" Vivre signifie, être conscient, joyeusement jusqu'à l'ébriété."
- Henry Miller -
04:52 Publié dans pensée du moment | Lien permanent | Commentaires (6)
20/05/2009
libres
" La liberté ne se possède pas. Ce n'est pas un objet, mais un attribut de notre personnalité. Nous sommes libres de résister à la pression extérieure, libres de faire ce que nous voulons, libres d'être nous-mêmes. Parfois plus, parfois moins. La liberté, c'est accroître, ou faire décroître peu à peu la liberté de départ ."
- Erich Fromm - L'art d'écouter -
21:07 Publié dans pensée du moment | Lien permanent | Commentaires (10) | Tags : cinema, pensée du moment, psychologie, état d'ame
19/05/2009
Jack Kerouac
-Jack Kerouac, lettre à John Clellon Holmes, 27 mai 1956-
17:37 Publié dans Livre | Lien permanent | Commentaires (10) | Tags : littérature, correspondance, état d'âme
for a long time
10:01 Publié dans Musique | Lien permanent | Commentaires (2) | Tags : blues, musique, état d'âme, émotion
18/05/2009
sucettes ...
Alors , parfois le hasard provoque des étonnantes connexions. Il y a peu je parlais de ma petite soeur et quand j'entends cette chanson, je la revois sur scène chantant habillée en petite fille modèle genre comtesse de Ségur cette chanson en playback et toute la famille réunie pour l'applaudir, père et grand-père confondus, c'est étrange je me souviens de mon malaise face à sa robe à carreaux bleu et blanc, façon petite maison dans la prairie, et puis les rires plutôt gras dans la salle et aussi ce sourire si fier de ma mère, sa petite fille suçant ainsi devant tous et avec tant de candeur. Je n'ai jamais pu oublier, elle non plus avec le recul, nous n'étions pas dupes, et si jeunes. Elle est clown, aujourd'hui, et met en scène en one woman show, les monologues du vagin, pièce étonnante, parlant du sexe de la femme dans toutes les sortes de situations de sa vie. Je repense à tout ça et je suis si étonnée, elle le sait, de notre soif de vivre, et de vivre le sexe avec enthousiasme et fantaisie. Nous avons elle et moi un parcours si chaotique, et semé d'embûches et pourtant , je dois dire que nous avons, réussi à préserver une sorte de complicité au delà des mots, des non-dits et aussi des horreurs. Je t'aime petite soeur, je sais que tu le sais, et je sais aussi que je suis un peu trop souffre pour toi, trop directe du gauche, trop Rocky du langage et de l'image aussi.
Tu sais, p'tite soeur, il est des choses que l'on nous a apprises toute petite, se tenir droite, manger avec des couverts, ne pas dire de gros mots, mettre les mains sur la table, ne pas péter, ni se gratter le nez, ne pas passer la langue, prier la sainte vierge avec ferveur, dire ses péchés pour se faire pardonner, baisser les yeux, être brillante, instruite, et toujours donner raison à sa maman, ne jamais se regarder le sexe, éviter les miroirs, le maquillage, et autres fantaisies si joyeusement féminines, avoir de l'endurance, le goût de l'effort et du travail bien fait, et se taire.
Comme de bien entendu, on ne parle pas la bouche pleine.
Maintenant, toi et moi avons fait un sacré bout de chemin, je sais que cela t'a été pénible et difficile quand je suis venue te chercher et te parler et t'instruire de toute cette histoire lourde et loin d'être sans suite et sans conséquence. Mais, on s'en est pas mal sorti tu sais! On est pas devenu ni toi, ni moi, bonnes soeurs, frigides ou folles.
Je t'aime soeurette, même si tout à toujours été organisé de telle manière que cela soit difficile, tu sais le fameux diviser pour mieux régner.Et je suis si fière de tout ton parcours si courageux et âpre.
Annie aime les sucettes, toi aussi et moi, c'est pas un secret, quoique je les préfère ... D'autres parfums ... Hum, là je risque bien d'être censurée!!
Pas facile de sourire de tout, pas facile de mettre de la légèreté dans la souffrance mais pas impossible non plus. Au contraire. Il y a toujours un moyen de voir le verre à moitié plein, et de le boire avec délice.
Ne nous perdons pas de vue, ni de voix, ni de rien, OK! Love. Hélèna.
22:11 Publié dans érotisme | Lien permanent | Commentaires (15) | Tags : âme sensible ou esprit étriqué s'abstenir...
le regard
" Ce qui est important, c'est le regard... Le regard qui perce ..."
" Je me sens toujours prisonnier évadé."
Merci Katch, belle rencontre ...
16:21 | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : blog, rencontre, pensée du moment
Oyé, oyé!
Je me fais le relais de Stéphane Ranger suite à son billet , lui même suite à celui de Christian Mistral au sujet de ce disciplinaire filtre Blogger, imposé sur son espace, le relais de ce propos de Sandra Gordon en commentaire : "Contenu scandaleux mon cul ouais. Unisono. C’est pas sorcier c’est à cause d’un oligophrène. Un abruti, un gnochon. Tribaux, tribales, ribauds, ribaudes et tribades, pensez-vous qu’un bébête j’ai-pris-connaissance-de-l’avertissement-et-je-souhaite-continuer va changer la donne? " Car enfin, cela dépasse l'entendement, je trouve et aussi anodin que cela puisse paraître sans doute pour certains, qui évidemment n'ont aucun mal à passer la barrière, je rejoins Stéphane sur la nature de ce voile qui donne une connotation qui n'est pas celle voulu par l'artiste, et comment quelqu'un peut-il s'arroger le droit de savoir mieux qu'un autre si le contenu d'un texte ou d'une image ou de l'association des deux est ou n'est pas dangereux pour le lecteur, et à quel titre ! Sans parler de cette piètre excuse de la protection des enfants qui sont sollicités de manière bien plus sauvage par ailleurs; c'est une atteinte à la liberté d'expression et en cela, rien qu'en cela même c'est inadmissible, plus encore sans doute dans un cadre comme celui-ci où cela n'a aucune raison d'être si ce n'est alors peut-être une forme de méchanceté gratuite ou d'envie de nuire, du moins d'essayer.M'enfin! Je crois que c'est tout de même plus grave qu'il n'y parait, on est donc tous soumis à ce que cela puisse arriver, quelqu'un qui décide à notre place de ce que l'on peut écrire ou pas, montrer ou pas, dire ou ne pas dire.
Ca fait peur, tout de même, je trouve. C'est grave et attérrant. Et comme le dit si bien d'ailleurs Stéphane Ranger lui-même:"La moindre petite ombre d'une censure insensée est inacceptable et je crois qu'il faut le répéter et le crier même de la façon la plus menaçante possible."
La liberté d'expression, n'est-elle pas fondamentale?
12:31 Publié dans Blog | Lien permanent | Commentaires (10) | Tags : blog, pensée du moment, interférences