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24/12/2013

Happy Birthday Laure !

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- Les trois grâces, au musée Bourdelle - Tendre souvenir -



23/12/2013

Tisser le texte, habiter l'habit

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- Photo Herb Ritts -

 

" Tout vêtement parle des normes, valeurs et représentations qui fondent l’existence des sociétés comme des individus. Il met en scène le jeu du désir, entre dit et interdit, entre montré et caché, autour duquel se structurent les formes culturelles individuelles et collectives. 
Il est une médiation privilégiée non seulement d’une parole sur le corps mais d’une parole du corps à travers laquelle les sociétés comme les individus signifient ce qu’ils ont de plus socialisé et de ce qui leur est le plus intime. 
Des premières enveloppes vestimentaires du petit d’homme au linceul, le vêtement parle du rapport premier et élémentaire entretenu et tissé avec les forces de vie et de mort.

En fait notre époque redécouvre que les enjeux du vêtement sont multiples et complexes. Il appelle des regards diversifiés qui en respectent les zones d’ombres et de lumière. Et il est nécessaire de penser la complexité qui se dévoile quand ses enjeux ne sont pas trop aseptisés par les seules logiques fonctionnelles ou économiques. Renvoyé au jeu de la mode et de son marché, à l’amusement des déguisements enfantins et aux diverses figures de l’insignifiance et de la superficialité, le vêtement résiste à ces réductions. 
En fait l’extension de ces enjeux appelle à une véritable Anthropologie du vêtement.
.."

 

 

C'est avec Laure, un sujet qui nous passionne l'une et l'autre. Cette importance du vêtement. Pour moi, il est un outil thérapeutique aussi, pour elle une démarche artistique. Nous  échangeons régulièrement sur cette "culture vestimentaire". Hier, elle me parle d'Aline Ribière dont je trouve les créations tout à fait passionnante. Au fond, j'ai le sentiment de faire de l'art appliqué avec mon métier au-delà de celui de commerçante. La mode est un outil de développement et un miroir socio-culturel de son époque. Le vêtement en est la matière première, c'est lui qui touche le corps, le cache, le met en valeur, lui donne un autre langage. On pourrait presque établir une philosophie du vêtement tant il donne parfois du sens, de la consistance ou à l'inverse tant il s'en éloigne... On dit que l'habit ne fait pas le moine, ça n'est pas toujours vrai, certains s'en servent pour exister. Mais dans tous les cas, la manière de s'habiller exprime une part de notre personnalité, qu'on le décide ou non...

 

22/12/2013

Offrande

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- Photo Heather Hansen -

 

My favorite things

 

Andrew Wyeth

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- Toiles d'Andrew Wyeth - 




podcast

- Gymnopédies - Satie -


 

" Hâte-toi de bien vivre, et songe que chaque jour est à lui seul une vie."

- Sénèque -



20/12/2013

Safar

 

19/12/2013

Dar Si Saïd

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Une nouvelle fois à Marrakech, une nouvelle fois l’émotion, une nouvelle fois l’énergie, l’emballement, la passion pour les beautés de ce pays. Là-bas, je me sens emportée. J’ai l’imaginaire en folie, et la douceur de vivre coule dans mes veines. J’aime. Le Dar Si Saïd, imposant riad du XIXème siècle a été bâti par le frère du grand vizir Ba Ahmed ben Moussah, fameux propriétaire du palais de la Bahia, superbe monument de style arabo-andalou. Un endroit magique. Surtout ce patio couvert de zelliges réservé aux concubines.

J’y suis restée à rêvasser une bonne heure, seule au milieu des mosaïques... J’ai pensé, en regardant le ciel encadré par une généreuse moulure en cèdre sculpté, à ce que devait être la vie des femmes d’alors, comment vivaient-elles, que ressentaient-elles, qu’elles étaient leurs désirs ? Et puis j’ai pensé à la mienne, à ma belle et riche vie, à tous les possibles qui me sont offerts, à ce que j’en faisais, à ce que je vais en faire. Nous sommes faits de la matière de nos songes, découvrait Shakespeare. Ne sommes-nous faits que de cela ?

 

 

En emportant ma liberté

 

13/12/2013

Je pars

 

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- Photo Laurence Guez -

 

 

11/12/2013

Erwin Blumenfeld

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Principalement connu pour ses photos de mannequins en une des magazines américains Vogue et Harper Bazar dans les années 40 et 50, le juif allemand Erwin Blumenfeld (1897-1969) a avant tout commencé sa carrière en Europe et loin du monde de la mode. Ce sont ces heures noires d'une Europe en guerre que le Jeu de Paume a voulu mettre en lumière. Le spectateur suit ses premiers pas dans le monde de l'art qui prennent la forme de dessins et collages en tout genre et dans lesquels la guerre et Charlie Chaplin ("Charlie", 1920) sont des thèmes récurrents. Puis, après cette période dada, arrive la photo. Des portraits en studios, majoritairement de femmes, des nus, du noir et blanc... C'est la naissance d'Erwin Blumenfeld le surréaliste. On y comprend qu'il aime transformer la réalité et jouer tantôt avec le sujet, en insérant des objets déformants dans le cadre (comme un miroir dans ce nu déroutant "M's torso in mirror"), tantôt avec les négatifs en chambre noire. La solarisation, la distorsion des visages, la superposition, surexposition et multiplication des négatifs deviennent sa marque de fabrique. On les retrouve tout au long de sa vie non seulement dans ses travaux de mode mais aussi dans ses œuvres plus personnelles et engagées ("Hitler, Graunfresses, Hollande", 1933, superposition de négatifs d'un portrait d'Hitler avec des radiologies d'un crâne). De salle en salle, on ne perd jamais ce fil conducteur qu'est l'art de la vraisemblance et on ne fait qu'apprécier de plus en plus cette parfaite technique photographique qui semble lui être innée. 

- Caroline Pomes -


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La courbe de tes yeux fait le tour de mon coeur,
Un rond de danse et de douceur,
Auréole du temps, berceau nocturne et sûr,
Et si je ne sais plus tout ce que j’ai vécu
C’est que tes yeux ne m’ont pas toujours vu.

Feuilles de jour et mousse de rosée,
Roseaux du vent, sourires parfumés,
Ailes couvrant le monde de lumière,
Bateaux chargés du ciel et de la mer,
Chasseurs des bruits et sources des couleurs,

Parfums éclos d’une couvée d’aurores
Qui gît toujours sur la paille des astres,
Comme le jour dépend de l’innocence
Le monde entier dépend de tes yeux purs
Et tout mon sang coule dans leurs regards.

- Paul Eluard -


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" Tant de mains pour transformer le monde, et si peu de regards pour le contempler."

- Julien Gracq -


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10/12/2013

Hakanaï

 

 

Hakanaï est une performance chorégraphique pour une danseuse évoluant dans un volume d’images en mouvement. Dans la langue japonaise, Hakanaï définit ce qui est impermanent, fragile, évanescent, transitoire, entre le rêve et la réalité. Mot très ancien, il évoque une matière insaisissable associée à la condition humaine et à sa précarité, mais associée aussi à la nature. Il s’écrit en conjuguant deux éléments, celui qui désigne l’homme et celui qui désigne le songe. Ce collage symbolique est le point de départ de cette partition pour une danseuse rencontrant des images, faisant naître un espace situé à la frange de l’imaginaire et du réel. Les images sont animées en direct, selon des modèles physiques de mouvement, au rythme d’une création sonore également interprétée en direct. 

 

09/12/2013

Petit éloge du désir -2-

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- Christian Schloe -

 

 

" L'incandescence ou rien."

- Belinda Cannone -

 

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" Tu parles ici comme femme, et mûre. Tu ne sais pas comment sentiront et se comporteront les femmes à venir, quand l'égalité aura plus sûrement progressé, quand les vieilles lunes de nos représentations des genres dans l'amour et le désir se seront transformées. Tu ne sais pas comment sentent les toutes jeunes filles, mais tu es persuadée que le désir est à jamais notre grande affaire, désir de vivre, désir d'aimer, désir d'étreindre - car il est la vie haute.

 Tu aimes cette citation de Bachelard, " l'homme est une création du désir, non pas une création du besoin", qui rencontre ta conviction que la vie érotique n'est pas bornée par la chair, la libido ou les hormones. Tu ne la crois soumise qu'au néocortex, c'est-à-dire, au principe même de notre liberté et de notre inventivité."

 

- Belinda Cannone -



Christian Schloe

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" Tout peut arriver dans un monde qui détient une telle beauté."

- Christian Schloe -




08/12/2013

La photo retrouvée

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Je n’ai plus de photos de moi enfant. Je sais qu’il en existe mais le peu que j’avais en ma possession ont fait les frais de ma thérapie. Un jour, j’ai pris une grande caisse de vin vide, je l’ai peinte en noir et j’y ai mis tout ce qui pouvait se rapprocher de près ou de loin de mon enfance : photos, souvenirs, lettres, médaille de baptême, croix en bois de ma première communion, pétales de fleurs séchés, cahiers d’écolier, j’ai tout mis dans un grand feu de cheminée et j’ai passé des heures à regarder la boîte se consumer.

Cette semaine, mon homme a décidé d’ajouter des étagères dans mon bureau plutôt en bordel pour que je puisse organiser un semblant d’ordre. En déplaçant des vieux dossiers, il a retrouvé derrière l’un deux cette photo et me l’a posée au milieu des différents papiers qui y traînaient. Hier soir, en rentrant pas mal fatiguée de la boutique, j’ai trouvé la photo. Mon petit cœur a retenu un sanglot, lointain, profond. Me revoir, là, dans l’allée où je faisais avec ferveur des heures durant de la trottinette, avec à mes côtés mon si gentil petit frère, m’a fait tout drôle.

Une flopée de souvenirs m’est revenue. Ne sommes-nous pas mignons tous les deux avec nos fleurs à la main, sans doute prévues en offrande à notre maman qui doit être avec l’appareil photo à la main au bout du chemin ? Les chaussures vernis noires et les bottines blanches, ainsi que la médaille autour de mon cou me font présumer que cette photo a été prise un Dimanche. La végétation et le bout de paysage entre les arbres, les dentelles de béton blanches et la nature des fleurs qu’on tient à la main me disent que nous sommes à la campagne chez papy et que c’est sans doute une fête de famille. Maman nous faisait beaux pour l'occasion !

Je suis frappée par nos bouilles sérieuses et surtout par nos regards inquiets, mais je ne suis pas surprise, nous avions tout lieu de l’être, inquiets…

Je décide de garder cette photo là. Je la scanne au cas où et la pose dans un petit coin devant moi. Je peux à présent rejoindre l’enfant que j’étais, je peux accepter cette petite fille qui en a soupé, je peux la voir, la regarder, je peux l'aimer…

 

 

 

07/12/2013

L'art de demander

 

 

 

* Découvert chez PatCaza


06/12/2013

Maux d'esprits

Le tiers livre et Scriptopolis sont à l’initiative d’un projet de « vases communicants » : le premier vendredi du mois, chacun écrit sur le blog d’un autre, à charge à chacun de préparer les mariages, les échanges, les invitations. Circulation horizontale pour produire des liens autrement…  Ne pas écrire pour, mais écrire chez l’autre.

La liste complète des participants est établie grâce à Brigitte Célérier.

Aujourd’hui, j’ai le grand plaisir d’accueillir ici Dominique Hasselmann, tandis qu’il me reçoit sur son blog Métronomiques .

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- Photo helenablue -


 

« Le désir est une conduite d’envoûtement. »

Jean-Paul Sartre, L’Être et le Néant (Gallimard 1943, édition 1964, page 463).

 

Je n’ai pas fait tourner les tables à Jersey, en 1853, sous la houlette de Victor Hugo : je préférais les guéridons de Saint-Germain-des-Prés.

C’est aux Deux Magots que je l’avais rencontrée. L’ombre de Sartre et de Simone de Beauvoir (qui jouissaient d’un écriteau à leurs noms sur la place) s’étendait encore ici ou là, surtout quand il y avait du soleil, c’est-à-dire assez rarement.

Cette jolie femme m’avait semblé énigmatique, proche et lointaine à la fois, comme si elle venait d’ailleurs, mais je ne connaissais pas son pays d’origine. Elle était de nationalité française (sinon elle aurait été expulsée depuis quelque temps déjà), mais parlait avec un léger accent allemand que venait renforcer celui, circonflexe, qui ornait sa lèvre supérieure de couleur purpurine.

Je crois qu’elle écrivait mais elle restait très discrète sur cette activité. C’était normal, d’ailleurs, car les « intellectuels » étaient désormais surveillés de très près par l’État : non pas qu’ils aient pu menacer l’ordre public – le temps de leur influence et des manifestes s’était perdu dans les méandres de l’Histoire du XXème siècle – mais ils pouvaient toujours publier une « tribune » dans un journal, même confidentiel, qui risquait de titiller l’esprit de quelques lecteurs et miner à force les principes de l’autorité en place.

Nous parlions donc de tout autre chose que de littérature : de l’augmentation du coût de la vie, de la difficulté de la population à « joindre les deux bouts », des éléments naturels qu’aucun pouvoir n’avait encore réussi à museler malgré les progrès des prévisions météo, de la musique, de moins en moins moderne et de plus en plus assourdissante, de la circulation parisienne qui était devenue un enfer quotidien (sauf pour quelque élue de l’ancienne UMP qui avait découvert il y a longtemps « les charmes » du métro parisien), de la mode, des derniers restaurants en vogue.

Quand nous nous retrouvions dans le quartier des quelques galeries de peinture encore existantes et des librairies disparues, nous évoquions aussi des vacances passées à l’étranger, des projets de voyages (l’idée de prendre l’avion nous faisait déjà décoller), ou le fantasme d’un simple week-end dans une ville comme Rome ou Amsterdam.

Finalement, nous parlions de (presque) tout et de rien : nos paroles s’enroulaient les unes aux autres, la petite musique de nos voix se mêlait au fond sonore des autres conversations, souvent émises bruyamment en anglais, en américain ou en japonais.

Je crois qu’elle m’avait envoûtée et j’étais donc hors-la-loi. Nos esprits faisaient l’amour avant même nos corps.

Le guéridon ne bougeait pas, le serveur en noir et blanc jouait le rôle qui avait été décrit une fois pour toutes dans L’Être et le Néant (et c’était comme si l’amoureux du Castor avait été metteur en scène de cinéma). Nous commandions des Mojitos, l’époque n’était plus guère au Cuba libre, et les heures coulaient impétueusement sous les ponts du temps.

Un jour, elle n’est pas venue au rendez-vous. Je suis resté assis bêtement à la terrasse du café, aucun taxi ne l’a déposée près des tables et des chaises cannées sagement alignées, j’ai attendu à peu près deux plombes et je n’ai reçu aucun message ou appel sur mon téléphone. Un seul être me manquait et tout était déraciné.

Le soir, rentré chez moi, en regardant les infos sur BFMTV, j’ai appris qu’une certaine Magdalena Auschenbach avait été arrêtée par la police. Sa photo anthropométrique en couleurs, de face et de profil, était affichée plein écran. Elle était dans le collimateur de la DPS (Direction de la Police secrète) depuis quelque temps déjà : sur elle, on avait retrouvé un long article, destiné à Mediapart, le brûlot toujours en ligne d’Edwy Plenel (900 000 abonnés maintenant), et intitulé : « La Nouvelle Résistance Populaire renaît de ses cendres ». Un certain nombre d’actions d’opposition à mettre en œuvre étaient listées dans ce texte qui sentait la poudre.

L’État avait failli en trembler sur ses bases : il était temps qu’un terme soit mis à ce genre d’appel à la rébellion ou à l’insurrection contre la droite qui avait repris les rênes du pouvoir en mai 2017. Je ne m’étais jamais douté de rien… J’aurais donné à Magdalena le bon Dieu sans confession, ou même après.

Soudain, l’interphone retentit :

– Monsieur Grimonpré ?

– Oui, c’est moi… Qui est-ce ?

– Ouvrez immédiatement, brigade anti-terroriste !

J’habitais au sixième étage d’un immeuble en cours de  ravalement : j’ouvris la fenêtre du séjour, enjambai le rebord et marchai sur les planches de l’échafaudage. J’aperçus en bas dans l’avenue trois voitures banalisées avec des gyrophares bleus dont les lueurs intermittentes dessinaient un étrange ballet sur les murs en face. Je grimpai à l’échelle et m’enfuis par les toits. 

Le panorama de Paris est toujours si beau, vu depuis une perspective plongeante, quand l’aube se lève précautionneusement sur la ville encore endormie.

 

- Dominique Hasselmann -

 

 


05/12/2013

L'origine du monde

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J’ai revu ce tableau, il y a peu.

J’ai été troublée.

J’en avais oublié la quintessence et la puissance…

 

 

04/12/2013

Le ciel est très silencieux

Les choses dans le monde sont absentes --- pas vraiment là ---
Je suis malheureux parce que ma vie est froide et étrange --- Mais elle
ne fait que paraître ainsi. En réalité, il n'y a pas le moindre fondement
sur lequel je puisse prétendre que je ne suis pas ce que j'ai pensé.
Tout est parti, absent. L'absence rend le cœur plus tendre.
On nous enseigne de mourir. La longue souffrance devient même
pire. Il n'y a absolument aucun espoir, et au nom de la même loi
il n'y a pas de péché. Réjouissez-vous de l'instant, régulateurs du
monde! Le Ciel est très silencieux.

- Jack Kerouac -

 

02/12/2013

Alberto

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- Sculpture Alberto Giacometti -

 

" La grande aventure, c'est de voir surgir quelque chose d'inconnu, chaque jour, dans le même visage. C'est plus grand que tous les voyages autour du monde."

- Alberto Giacometti -