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23/07/2009

Comme un doute...

 

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Je ne suis plus une jeune fille, mais pas une vieille carne non plus, j'ai découvert internet et le monde des blogs il y a une année et ça m'a transportée, the right thing at the right moment, et là j'ai comme un doute. Je n'ai jamais menti, jamais truandé ma réalité , me suis servie de cet espace pour parler de moi sans détour et sans panache sans arrière pensée sans entrave et là à ce moment là précis je m'interroge, est-ce que tout cela a une réalité vraie pour tout ceux qui interviennent, partagent parfois confient et souvent interagissent, suis je perçue comme une réalité ou comme une chose comme cela éphémère genre papillon, légère ou insignifiante. 

Il y a toujours un danger à être sincère, et puis l'est-on vraiment vraiment, j'y tends mais est-ce l'endroit approprié puisqu'ici tous les coups sont permis, on peut se fabriquer, se nourrir de l'autre et tout cela avec une immense impunité. Je doute et cela me fait peur aussi, je n'aime pas le mensonge, moins encore l'hypocrisie mais au-delà de ça j'ai un tel respect pour l'autre que je m'attend au même traitement sans doute.

Voilà c'est tout.

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Ô


 

 

Je lui pique, en espérant qu'il ne m'en voudra pas, subtil et subliminal, oui, à savourer sans le son, c'est encore meilleur!

 

 


 

22/07/2009

Juan Gris

 

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gris_juan.jpgNé à Madrid, José Victoriano Carmelo Carlos González-Pérez, dit Juan Gris, y entame des études d’ingénieur, qu’il abandonne en 1904 pour se consacrer à la peinture. Il se détourne rapidement du style Art nouveau qui prévaut alors pour se tourner vers celui de son compatriote Pablo Picasso, qu’il rejoint à Paris, dans la colonie d’artistes du Bateau-Lavoir, dans le quartier de Montmartre. Il devient l’ami de Georges Braque, Henri Matisse, Amedeo Modigliani et Fernand Léger.

Il réalise alors des dessins satiriques pour les journaux 
L’Assiette au beurre et Charivari, et ne se consacre pleinement à la peinture qu’en 1912. Il expose cette même année au Salon des Indépendants l’Hommage à Picasso, qui le révèle au public par son interprétation très personnelle du cubisme.

Grâce à un contrat d’exclusivité signé avec le marchand d’art Daniel-Henry Kahnweiler, Gris obtient un statut confortable et peut se consacrer librement à ses recherches. Ainsi incorpore-t-il des bandes de papier ou des morceaux de miroir collés sur ses toiles. Puis il passe à partir du 1914 à un cubisme plus synthétique, donnant une vision simultanée des différents aspects des objets. Il réalise en 1922 des costumes et des décors pour les Ballets russes de Sergueï Diaghilev.

Dès 1920 son état de santé se dégrade, mais il parvient à mettre en ordre ses théories artistiques dans plusieurs conférences et articles, notamment dans 
Des Possibilités de la peinture (1924), conférence donnée à la Sorbonne. Il meurt en 1927 à l’âge de quarante ans. 

 

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Le Cubisme est sans doute le mouvement le plus décisif de l’histoire de l’art moderne. Héritant des recherches de Cézanne sur la création d’un espace pictural qui ne soit plus une simple imitation du réel, et des arts primitifs qui remettent en cause la tradition occidentale, le Cubisme bouleverse la notion de représentation dans l’art. Comme le dit John Golding, historien de l’art et spécialiste de ce mouvement, « le cubisme est un langage pictural absolument original, une façon d’aborder le monde totalement neuve, et une théorie esthétique conceptualisée. On comprend qu’il ait pu imprimer une nouvelle direction à toute la peinture moderne ».

Le Cubisme comprend plusieurs étapes. Les protagonistes du mouvement conduisent d’abord une recherche qui pose la question de l’unité de la toile et du traitement des volumes en deux dimensions. Cette première phase du Cubisme, nommée Cubisme cézannien, se situe entre 1908 et 1910. Une fois conquise l’autonomie du tableau, la question de l’espace se précise, pour devenir une sorte de déconstruction du processus perceptif. Cette étape appelée Cubisme analytique se poursuit jusqu’en 1912. Enfin, après avoir frôlé l’abstraction et l’hermétisme, les artistes réintroduisent des signes de lisibilité dans l’espace de la toile, des éléments issus du quotidien, des papiers et objets collés, orientant ainsi le Cubisme vers une réflexion esthétique sur les différents niveaux de référence au réel. Cette dernière étape a été baptisée Cubisme synthétique.

Les deux premières phases sont menées par Georges Braque et Pablo Picasso qui, voisins à Montmartre dans les ateliers du Bateau-Lavoir, travaillent en étroite collaboration. Ils sont rejoints par Juan Gris en 1911 et le sculpteur Henri Laurens en 1915.

Le Cubisme influence aussi la jeune génération de peintres des années dix. Robert Delaunay, Fernand Léger, Albert Gleizes, les frères Duchamp (Raymond Duchamp-Villon, Jacques Villon, Marcel Duchamp) y prennent une impulsion qui les conduira à de grandes découvertes.

Enfin l’influence du Cubisme se fait sentir dans toute l’Europe, débouchant aussi bien sur les ready-made que sur la peinture abstraite. L’abstraction de Piet Mondrian, le Constructivisme russe, le Suprématisme de Kasimir Malevitch, et même le Futurisme, qui sera en rivalité avec leCubisme, tous sont redevables des innovations originairement mises en place par Braque et Picasso.

Une façon neuve d'aborder le monde.

 

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21:48 Publié dans art | Lien permanent | Commentaires (4) | Tags : peinture, art, cubisme, humain

rêve d'homme ...

 

Pour Christian, et pour rire ... Ca suffira?
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21/07/2009

pensée de la nuit ...

 

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" Il n'y a qu'une chose qui puisse rendre un rêve impossible, c'est la peur d'échouer."


- Paulo Coelho -

 

 


Hervé

 

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Je ne peux pas voir l'homme à l'harmonica sans penser à lui impossible tant il lui ressemble cette intériorisation ce physique ce regard aussi cette détermination parfois si difficile à vivre d'être lui-même son objectif conscient ou non, Hervé c'est du Bronson à l'état pur avec ou sans instrument, un vieil ami depuis plus de vingt ans inchangé toujours égal à lui-même dense et avec cette légèreté propre à ceux qui suivent leur voie coûte que coûte, rien à perdre probable que tout à gagner dans le temps au delà même. L'allure de l'acteur au prénom de mon frère, secret et plus encore, attachant attentif et sans doute dérouté par la matière qu'il apprivoise à son actif, il travaille le bois le fait parler l'expérimente et puis enfant du Maroc porte dans ses veines le souffle chaud et controversé, jamais vraiment à sa place et toujours là à celle qu'il lui est donné ou qu'il se permet, un homme attachant riche et incertain qui doute et ne doute de rien, un Zorro à sa manière ... C'est un ami de longue date, je l'aime d'une amitié profonde et une forme de respect indéfinissable, un homme qui défend ce en croit il croit, n'est pas prêt à s'en détourner, a le courage de ses opinions et de sa vision et en paye le prix, reste enfermé dans des schémas qui le conforte tout en ayant l'intelligence de s'y confronter! Mon cher et plus qu'ami, toujours tellement de bonheur à partager avec toi et Pascaline, ta femme et ma grande amie également, surtout mère de tes enfants, la famille est pour vous la valeur au dessus, moi je suis plus insolente n'est ce pas... Ces amitiés que le temps n'altère pas et qui ont toujours ce sens qui donne un sens, ça me bouleverse. Ne jamais craindre de défendre ses valeurs, ne jamais craindre non plus d'exprimer son amour et son amitié et son plaisir, rien à craindre de rien, vivre!

 

 

 

Garance

Pour Rainette, et puis tous les amoureux du cinéma, Les enfants du paradis Les visiteurs du soir Hôtel du Nord Quai des Brumes avec le fameux "t'as de beaux yeux tu sais", Marcel Carné du grand art ...


20/07/2009

the look of love


22:56 Publié dans Musique | Lien permanent | Commentaires (7) | Tags : musique, jazz, rencontre, humain

autrement

 

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" Il y a des moments où l'on reste sans voix. C'est là que commence la danse."

- Pina Bausch -

 

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16:45 Publié dans art | Lien permanent | Commentaires (12) | Tags : art, danse, expression, humain

18/07/2009

animale


06:38 Publié dans danse | Lien permanent | Commentaires (9) | Tags : art, danse, humain

17/07/2009

en aparté

 

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Pas une journée ordinaire, l'ambiance latente à la jouissance, même l'air caresse les sens dans le sens du poil ...Toute pores ouverts toute à fleur de peau toute offerte je t'attends.Tu entres je ne sais comment mes narines avalent de suite ton odeur de mâle désirant, tu me pénétres derechef glissante huile amandée de t'avoir attendue, lubrifiée déja joui deux fois trois peut-être par la grâce du fantasme et la pression de mes doigts amis et fidèles fin limiers de mon intimité. "- Je te sens comme ta chatte est douce profonde ma belle ma douce cruelle et fière mon fourreau ma grotte mes ténébres ma lumière mienne. - Encore, prends moi encore plus fort astre je veux me fondre en toi goûter à ma perte à mon abandon." Deux jours et deux nuits davantage peut-être je ne sais plus, plus le souvenir du temps juste le tempo et l'extase."- Je t'aime.- Chutt!"

Son corps d'homme noué à mon corps femelle nous étions dans ce lien qui sublime la relation d'amour que les mots ne peuvent dessiner que par la poésie celle du ventre forgée au coeur et poncée aux frottements des âmes mêlant chairs et sueurs sexes et soupirs secrétions cris et pensées.

 

 

16/07/2009

s'élancer !

 

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15/07/2009

sur le fil ...

 

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Suis plutôt d'un naturel optimisant, j'essaie toujours de voir le verre à moitié plein. Mais parfois juste un détail ou un mot un souffle même peuvent me faire passer comme on dit l'arme à gauche, et je vais alors inéluctablement au sens du courant qui s'offre à moi, comme si je l'attendais le gouffre du néant cafard de mon coeur en recherche. Coup de calgon, là, pour moi juste quelques mots posés et puis d'autres entendus et puis et puis la vie et son lot et encore celui-là qui ne veut pas m'entendre, je sais que c'est dans l'ordre des choses ces hauts et ces bas, mais en bas c'est moins facile de l'accepter, tout devient plus lourd et plus triste plus laid aussi, alors que porté et emmené vers l'espace et l'amour et j'en passe tout devient si beau. Pfuitt sur le fil , intérêt à développer ses talents d'acrobate, d'humain, d'artiste, de funambule de coeur, de mime de la raison et de scribe, je me sens comme égarée et présente, insignifiante et validée, en quête, permanente frustrée mais confiante, un paradoxe écartelant et épuisant et riche, suis pas dans une forme olympique pour le faire en raccourci. Sigh.

 

14/07/2009

en avant la musique ...

 

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Léopold, mon cousin du côté de ma mère et de mon père aussi, oui c'est le fils du frère de maman qui a épousé la soeur de papa, quelle famille j'vous jure, ou en étais-je, oui Léopold a beaucoup travaillé hier jusque tard dans la nuit et ce soir à nouveau, fête nationale oblige, il est artificier. Quel métier étonnant, faire vibrer les prunelles des petits, les coeurs des grands et l'âme des anciens, c'est un passionné de la lumière du feu de la fête des pétards effets de flamme et autres scintillements, il a toujours été ainsi, dans sa galaxie... Pendant que je me plongeais dans la poésie et la philosophie à l'époque lui ne parlais que de belle bleue ou de poudre noire, je parlais épices lui nitrate de potassium, de parfum plutôt que de soufre et quand plus tard je me suis franchement passionné pour le cerveau, il avait complètement la tête dans l'air et l'électronique, tout un monde pour le plus grand bonheur de tous. Nous avions par contre en commun l'amour de la musique et un réel intérêt pour le monde du spectacle. Il a fait des prestations superbes, véritable magicien de lumières.

En avant la musique, que la fête commence, lâchez nous les étoiles ...

Bon 14 Juillet à vous tous!

 

 

 

13/07/2009

La carte de L'île

 

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"La jambette, Favorite, Trou-au-chat, Pointe La Rose, Sémaphore de la Démarche, Pointe du Diable, Brin d'Amour, Passe du Sans-Souci, Piton Crève-Coeur, Ile du Loup-Garou, Fénelon, Espérance, Anse Marine, Grand'-Rivière, Rivière Capot, Rivière Salée, Rivière Lézard, Rivière Blanche, Rivière La Mare, Rivière Madame, les Abîmes, Ajoupa-Bouillon, Mont de la Plaine, Morne des Pétrifications, Morne d'Orange, Morne Mirail, Morne Rouge, Morne Folie, Morne Labelle, Morne Fumée."

- André Breton -


podcast

 

 

 

black or white ?

 

 

 

14:15 Publié dans Blog | Lien permanent | Commentaires (21)

12/07/2009

regards de femmes


 

 

22:59 Publié dans art | Lien permanent | Commentaires (3) | Tags : femme, cinema, art, rencontre

Jusqu'au bout des ongles ...

 

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Jeanne a dit:

en réponse à la question d'un journaliste insistant,

quel est le point commun entre tous les hommes qui vous ont aimé et que vous avez aimé ?

 

- MOI !

 

 

(Voir ou revoir la pétulante Pétula là, et l'ardente Fanny ici ...)

 

 

 

11/07/2009

fermer les yeux, juste fermer les yeux...

 

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podcast

 

 

la tête dans les nuages

 

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- par Richard Vantielke -