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24/10/2009

merci

thank-you.jpg Dire merci c'est comme dire je t'aime point trop n'en faut et pourtant pourquoi ne pas le faire quand le besoin s'en ressent. Sans compte rendu  sans compte à rendre, j'avoue être sensible à cette liberté qui m'est permise de remercier, comme de vivre ou d'aimer. J'ai ce besoin comme aussi celui d'en vouloir plus fugace, ou d'en tenir rigueur tenace mais pas démollissable, je préfère sans aucun doute l'assimilation et la compréhension du monde de l'autre sans pour autant m'effacer, alors voilà j'ai un grand besoin de dire merci pour des raisons multiples et variées pourquoi ne le ferais-je pas, je suis une femme de passage dans cette vie, j'essaie de partager mais plus encore d'émettre de restaurer d'apprendre d'appréhender de voir en face de véhiculer, passeuse pas passive j'en ai une envie profonde dire merci à la vie qui m'est donnée, aux rencontres que je fais, à l'amitié possible même au travers de ce qui semble pour la plupart virtuel mais loin d'en être en tout cas pour moi, et puis à un partage plus spécifique plus intense formateur et structurant qui m'a ouverte à moi-même plus encore, à vous tous, votre fidélité vos avis vos réactions vos délicatesses aussi, votre présence précieuse, votre existence votre sensibilité et vos indulgences aussi.

Thank you.

 

 

 

23/10/2009

Ernest

 

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Hemingway disait: " L'alcool conserve les fruits et la fumée les viandes."

 

 

«J’ai appris à ne jamais tarir le puits de mon inspiration, à toujours m’arrêter quand il restait un peu d’eau au fond et à laisser sa source le remplir pendant la nuit.»

- Ernest Hemingway -

 



Lire aussi les dix conseils de cet écrivain hors pair chez Christophe Bohren, Ernest Hemingway ou la littérature au poing:

Soyez amoureux, crevez vous à écrire, fréquentez les écrivains "du bâtiment", ne perdez pas votre temps, écoutez la musique, regardez la peinture, lisez sans cesse, ne cherchez pas à vous expliquer, écoutez votre bon plaisir, taisez-vous.

 


22/10/2009

13

 

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Bon, résultat des courses un treize sur vingt avec annotations intempestives, genre ne parlez pas ce que vous n'avez pas lu, comment connaissez vous Sénéque petit prétentieux, pour qui vous prenez vous et j'en passe... Bah! Il n'a pas cité ses sources internes, genre! Mais quand même je m'interroge, un p'tit gars qui fait la démarche de s'ouvrir de parler à sa mère de son sujet de philo parce que ça lui tient à coeur, parce que ça lui parle à lui et que cela devrait être partageable voir de facto, qui a fait de son côté les recherches, a lu les réactions des uns et des autres franchement il y croyait pas et qui fabrique élabore sa pensée la construit et se construit au travers elle avec toutes ses sources vives, lui il s'attarde au diable de où vous sortez ça, genre, on sait bien qu'on se sert les uns les autres et que c'est bien là tout l'enjeu, je ne sais quoi opposer comme réflexion par rapport à ce genre de réaction, j'avoue...

Une fois de plus, mais pour moi cette fois-ci je vous sollicite...

 

 

rassérénée

 

 

Merci Black Angel!

 

 

21/10/2009

valse de melody

Le soleil est rare
Et le bonheur aussi
L'amour s'égare
Au long de la vie

Le soleil est rare
Et le bonheur aussi
Mais tout bouge
Au bras de Melody

Les murs d'enceinte
Du labyrinthe
S'entrouvent sur
L'infini

- Serge Gainsbourg -

20/10/2009

jeux de masques

" Le monde est un grand bal où chacun est masqué."

- Vauvenargues -

 

19/10/2009

une journée particulière

Parfois et c'est pourtant rare je ne me fixe pas d'objectif et j'erre, enfin plutôt je me laisse porter au gré de la fantaisie des choses qui m'arrivent parce qu'il arrive toujours quelque chose au fond finalement il ne peut pas ne rien se passer. J'avais dans l'idée de m'offrir un livre bien particulier, " L'odeur du sang humain ne me quitte pas des yeux. Conversations avec Francis Bacon" de Frank Maubert, et bien sûr comme de coutume il n'était pas disponible, j'ai du le commander et en m'égarant dans la librairie, je suis ressortie avec la biographie de Diane Arbus et un autre petit ouvrage sympathique, Pensées provocs et autres volutes de Serge Gainsbourg, drôle de choix pour un Lundi d'Octobre bien maussade et irrégulièrement ensoleillé.

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podcast

" A dire vrai

Je suis un faussaire de compagnie

Un preneur de large

Un joueur de courant d'air

Un repris de justesse

Un éternel évadé

Un faiseur de trous

Et un casseur de verrous

Un sauteur de murs

Et un forceur de serrures"

 

- Serge Gainsbourg -

 

Pas le programme prévu, du moins le peu de prévu prévu préférant l'imprévisible et puis j'ai gambadé à travers cette ville que je connais bien croisé quelques têtes connues d'autres qui me connaissent, pour finalement échouer à une terrasse de café Grand Place leur chocolat chaud est à mourir et me suis laissée faire... C'est immense d'y arriver, plus rien n'avait d'importance mon esprit voguait d'âme en âme, j'observais flirtais légèreté de l'instant, c'est un vieil ami qui m'a ramené à la réalité, ne manquant pas d'humour il s'est assis là devant moi toujours rêveuse ne le voyant pas vraiment il s'est d'un coup mis à rire quand j'ai commencé à chantonner, complètement surréaliste et incongru mais délicieux de fraîcheur, nous sommes partis dans des confidences chaudes et intimes ne relevant pas du tout encore une fois du prévisible vu l'heure, l'endroit le contexte mais la chimie a ses mystères et pour transformer le plomb en or il n'est pas besoin de faire trop de manières, juste être à ce que l'on est et à l'autre, un moment de grâce infinie et badaboum le rappel à l'ordre le portable qui sonne de part et d'autre la logique l'efficacité le pragmatisme qui reprend ses droits à coup de vibreur intempestif. Délicieux moment en réalité mieux qu'en rêve, pour l'heure je l'aurais bien embrassé goulûment par gourmandise mais me suis retenue, suis repartie avec mes livres et le chocolat aux lèvres mais le coeur avec des petites ailes et Gainsbarre dans la tête!

 

" Nous nous sommes dit tu

Nous nous sommes dit tout

Nous nous sommes dit vous

Puis nous nous sommes tus."

 

- Serge Gainsbourg -

 

 

 

 

aller de l'avant

Découvert chez Lyse, sa superbe note "femme nouvelle", lui pique pour démarrer la semaine, pour tous et pour toutes, de l'allant de la rage de vivre d'être de dire d'agir.

 

18/10/2009

j'aime

 

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J'aime regarder écouter m'étendre apprendre comprendre aussi, j'aime la couleur la musique le bruit du vent dans les feuilles et celui du ressac, la poésie le piano la guitare les chansons à texte le poulet à la noix de coco le soleil sur ma peau les bains brûlants et parfumés la conversation le partage les rencontres le sourire les yeux qui pétillent qui expriment qui couvrent, les caresses les caresses les douces et les profondes, l'odeur de la terre du café le matin de l'encens le soir du papier d'arménie du chili con carne du vin chaud à la cannelle du N°, j'aime écrire lire deviner rêver imaginer projeter créer construire faire l'amour pendant des heures et ne rien faire du tout aussi réfléchir assise dans un fauteuil moelleux regarder un bon film dans des bras enveloppants m'inventer des histoires dans le creux de mon oreiller rayé danser danser à en perdre la tête grandir, j'aime mes fils leurs voix leurs délicates manières de me prendre dans leurs bras leurs présences leurs taquineries, j'aime le silence le repos la patience et presqu'autant la fébrilité le mouvement l'excitation, j'aime mon homme mon ange mes amis et amies mon frère ma petite soeur l'inconnu les nuits étoilées le noir l'espoir le bon bordeaux de préférence rouge les belles matières la cuisine la faire la déguster l'inventer le sexe les délires folies et autres fantaisies l'improbable l'impossible l'aventure, l'art la mode la beauté les mots l'extravagant les paysages d'Afrique noire les grands espaces l'horizon l'intimité la confiance la tendresse l'inaliénable le caractère le talent l'audace l'océan le désert les plats épicés la langue me désaltérer m'éprendre mettre au monde découvrir rugir rire à gorge déployée de bon coeur jouer entrer en contact respirer, j'aime être étonnée surprise conquise repue, j'aime aimer et l'être...

 

 

 

poétique de la rêverie

René Letourneur 1898-1990, L'Aube, musée de l'Ile de France Sceaux

- René Letourneur - Découvert chez Femme Femme Femme -

 

 

 

" Les grandes passions se préparent en de grandes rêveries."

- Gaston Bachelard -

 

 

17/10/2009

causerie entre amis


"Je vous entends rêver
Douce comme rivière
Je vous entends claquer
Comme voile du large
Je vous entends gronder
Comme chute en montagne
Je vous entends rouler
Comme baril de poudre
Je vous entends monter
Comme grain de quatre heures
Je vous entends cogner
Comme mer en falaise
Je vous entends passer
Comme glace en débâcle
Je vous entends demain
Parler de liberté"

 

- Les gens de mon pays Paroles et musique de Gilles Vigneault -

 

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A Paris, sur la scène mythique de l'Olympia, le 26 Octobre, veille de son anniversaire, Gilles Vigneault un grand Monsieur de 81 ans, parolier et musicien joueur de mots épris de la langue française et de la liberté de son pays  le Québec, troubadour et poète, l'auteur de mon pays et de je n'ai jamais cessé de t'aimer, à rencontrer et à entendre...

 

 

16/10/2009

Christian Mistral, Vacuum

" Puisque vie m'est jusqu'ici prêtée, je m'efforcerai encore d'inventer mon avenir, de retranscrire mon passé, et de demeurer maître de ma propre existence à mesure qu'elle s'écoule impitoyablement."

- Christian Mistral - Vacuum -

 

 

VACUUM | livres: CHRISTIAN MISTRAL | ISBN: 9782764604373

 

J'ai fini il y a quelques temps déjà le dernier livre de Christian Mistral en ma possession, Vacuum journal romancé sous forme de blog, j'y ai retrouvé avec plaisir celui que j'ai appris à connaître au travers de son écriture et de nos échanges, de son cahier spicilège et de ses réactions impulsions transpirations et émotions, l'avoir entendu chez Christiane Charette m'a donné envie d'écrire à nouveau sur, pour, par aussi sans doute cet homme et cet écrivain qui compte beaucoup pour moi. En quatrième de couverture on peut lire ce propos de Sylvain Trudel " On voit vivre de près l'enfant terrible, au coeur d'un monde  où se dévoilent tour à tour la prescience d'un vaste désenchantement, la déchirante nostalgie des amis en allés et des instants de grâces perdus, l'impétuosité des assauts d'un homme libre et joliment têtu, les tournures d'un écrivain fulgurant" et oui, il y a une sorte de magnétisme non seulement dans son écriture mais dans l'être tout entier, une exigence une violence et une tendresse aussi le tout donnant cette matière vivante en fusion, une colère sous-jacente qui force à s'exprimer à sortir du bois de nos endormissements qui incite à réfléchir et un enveloppement parallèle une fidélité à toute épreuve, imprévisible impossible sincère attachant sensible poète, l'écrivain de Vamp, Valium, Vacuum n'est pas dîfférent de l'homme devenu plus qu'un ami. Il est de cette sorte de plume météore qui remue, retourne, cherche, triture, enfante aussi. Une quête une soif une énergie rompue à toute épreuve et cet écorchement ce à vif qui sonde et percute, cette écriture quotidienne fouillée recherchée pointue, vivant et douloureux à la fois bourré d'humour et de bourrasques Vacuum a l'image de son auteur n'est pas de tout repos, entraînant.

 

 

 

14/10/2009

hélène bis

Pour Yvan le Terrible, et pour vous tous...

Adoucir, effleurer, toucher du bout des doigts du bord de l'âme, les notes égrainées suaves sensuelles profondes, Hélène virtuose du coeur, aprés Bach, Chopin...

 

 

la chaîne rose

 

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Découverte chez Oldcola, je transmets à mon tour cette belle initiative soutenant la lutte contre le cancer du sein. Il suffit de cliquer sur la petite vignette rose, laisser quelques mots et de cette manière contribuer à ce mouvement solidaire.

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J'ai appris hier conjointement la guérison en bonne voie de mon amie Joëlle et la condamnation à l'inverse de la maman d'une de mes collaboratrices à qui on vient de retirer un sein en lui donnant six mois à vivre, cruauté de l'instant entre la joie et le soulagement pour l'une, la détresse et la douleur pour l'autre, tout ce qui peut être fait pour avancer dans cette recherche doit l'être, à nous d'y contribuer tous hommes et femmes confondus, la chaîne rose, à faire tourner...

 

 

 

 

13/10/2009

jsb par hélène

 

 

23:01 Publié dans Musique | Lien permanent | Commentaires (7) | Tags : no comment

12/10/2009

Genre humain

 

Le 6 Novembre, au Splendid, Lille.

Ca résonne en moi, ce film de Cocteau, extrait chez Laurence.

 

 

22:29 Publié dans Musique | Lien permanent | Commentaires (14) | Tags : musique, rock, humain, lille

Gérard Garouste

 

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Je l'avais rencontré lors d'une exposition de mobilier crée conjointement avec sa femme Elisabeth mais ne savait rien de lui si ce n'est qu'il se dégageait de sa personne une sorte de force étonnante. Plus tard j'ai pu voir quelques unes de ses toiles puissantes, un livre qui retrace son auto-portrait, et bientôt une rétrospective dans le cadre de la FIAC, un homme attachant et un artiste remuant, c'est ainsi que je le perçois, le ressens.

images.jpegEtudiant à l’Ecole nationale supérieure des Beaux-Arts de Paris de 1965 à 1972, Gérard Garouste expose pour la première fois ses Dessins monumentaux en 1969, tout en pratiquant la scénographie avec son ami le metteur en scène Jean-Michel Ribes. Dès la fin des années 1960, l’artiste prétend peindre délibérément les thèmes de la peinture les plus traditionnels, le nu, le paysage et la nature morte. Ayant assimilé les avant-gardes, il veut faire face à l’histoire de l’art et se confronte sans cesses aux maîtres et aux textes anciens, par la représentation de scènes bibliques ou mythologiques, ou, depuis 1985, en s’inspirant de la Divine Comédie de Dante, de Don Quichotte ou de la Haggadah juive. Garouste associe parfois des sculptures à ses monumentales huiles sur toile, ou peint au pinceau noir sur des « indiennes » (toiles écrues). Ses figures sont tourmentées, fuyantes, déséquilibrées. Il a été sollicité de nombreuses fois pour des décors, notamment à l’Elysée, à la cathédrale d’Evry, à la Bibliothèque nationale ou pour le rideau de scène du Théâtre du Châtelet. En 1991 l’artiste fonde l’association La Source, dont le but est d’aider des jeunes issus de milieux défavorisés à se revaloriser par la création artistique. Gérard Garouste vit et travaille à Marcilly-sur-Eure dans l'Eure, depuis 1979, et est représenté en France par la galerie Daniel Templon, Paris. 

 

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Interrogeant sans cesse les grands textes comme la Bible bien sûr, Dante, Rabelais, Cervantès dont s'inspire beaucoup sa peinture, Gérard Garouste est aussi un coloriste de talent glacis blancs bleus profonds rouge sang ou théâtre avec toujours ces personnages déformés à la Gréco, en souffrance comme la sienne sans doute lui qui lutte et vit avec ce diagnostic depuis toujours de maniaco-dépressif bipolaire. Pierre Assouline en a fait une note lors de la sortie de son livre " L'intranquille" qui me laisse assez perplexe, j'avoue.

 

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"Pour moi, la peinture, c'est la pensée qui passe par la main. Je ne sais combien de fois on a annoncé sa mort. Je n'y crois pas. La peinture sera toujours recommencée, quelque part, dans un hôpital psychiatrique ou le cahier d'un enfant." 

"La chose la plus difficile du monde, c'est la simplicité. C'est trouver le geste exact, comme celui de Matisse ou de Picasso. Je ne pense pas que l'art soit un festival d'idées. Il faut laisser sa place au désir."

- Gérard Garouste -

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11:46 Publié dans art | Lien permanent | Commentaires (10) | Tags : art, peinture, humain, biographie

11/10/2009

loser or not loser

Je ne pense pas qu'il y ait des gagnants ou des perdants ne crois pas non plus que la vie soit un long fleuve tranquille suis pas sûre en fait le suis que la collection de timbres de l'un le cruciverbisme de l'autre la passion du cinéma ou la dépendance aux jeux de hasard l'alcool destructeur la drogue meurtrière le sport à outrance la fuite le kamikaze le soumis l'assoiffé le brillant intellectuel reconnu ou la plus belle femme du monde dans les sondages fashion people la quête de plus de monnaie ou plus de reconnaissance la réussite sociale le port du voile l'entrée dans les ordres l'altruisme l'égoïsme l'image la non consommation soient des signes de réussite ou de non réussite, ça ne se présente pas comme ça pour moi comme l'amour pas forcément binaire, le bien le mal ou le cela doit être ainsi, la vie est une expérimentation lente et  fulgurante pour d'autres, du moins c'est ainsi que je le perçois et j'ai appris avec le temps à déjuger et à m'ouvrir apprendre de l'autre en effet miroir de moi-même. On ne soupçonne pas ce de quoi on est capable en tant qu'être nos ressources nos travers nos égarements et nos désillusions, le tout étant de rester vigilant et aware, l'empathie me parait une des voies la plus adaptée pour s'humaniser, et l'humilité aussi et ne pas perdre dans tous les tumultes de la vie et manipulations de tous ordres le fil...

 

 

liens

 

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" Tandis que nous agissons avec bonté, avec indifférence ou peut-être avec hostilité à l'égard de ceux que nous croisons dans notre existence, nous faisons trembler la grande toile d'araignée du monde. L'être que je touche, en bien ou en mal, touchera un autre être, qui à son tour en touchera un autre; qui peut dire quand cesseront les tremblements de l'immense toile, et jusqu'en quel lieu distant se feront sentir les répercussions de mon geste? "

 

- Frederick Buechner -

 

 

 

10/10/2009

madame