Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

11/09/2012

De l'art...

Ce matin, vu chez Laure, un petit film sur J.Pollock en pleine création artistique...

 

article_Pollock.jpg

- Photo Massaki Nakajima - Exposition J. Pollock -


 

" C'est le propre des oeuvres vraiment artistiques d'être une source inépuisable de suggestions."

- Charles Baudelaire -

 

 

05/09/2012

Mots pour maux

IMG_0404.jpg

 

Ok! Ben le pense et l'écrit en façade mais je ne pense pas comme lui, même que je pense le contraire enfin pas tout à fait, disons un entre-deux. Les mots peuvent être aussi assassins que libérateurs, ils peuvent faire rire comme faire pleurer, faire mal et faire en sorte de devenir meilleur. Dans une société d'images et de passage, les mots ancrent et posent et fortifient.

Le mot, les mots peuvent trahir autant qu'ils subjuguent. Les mots sont l'avenir mais pas dans n'importe quelles mains. Les mots mis au service de nobles desseins libèrent, tempérent, créent. Et, permettent à certains et certaines d'être et d'exprimer. Maux à mots, mots pour maux, les mots sont inépuisables et toujours là, prêts à bondir pour panser et construire. Ayo!! Peut-être que, je les aime trop!

 

  

02/09/2012

Bénédicte Dubart

06e47c1755d1a62e541adccd3a5d35ab3c7c6eaf.jpg

- Sculpture Bénédicte Dubard -


En faisant le petit tour du pâté de maisons, hier, pour dire de prendre la température de l'ambiance de la braderie de cette année, j'ai été littéralement scotchée par une sculpture sur le trottoir au milieu des tablées de bradeux venus festoyer. La petite galerie d'art à quelques mètres de chez moi présentait une artiste du Nord que je ne connaissais pas, Bénédicte Dubard. Si je devais faire une rencontre ce jour là, c'était celle-là. Suis restée une bonne dizaine de minutes face à cette pièce immense de force et de grâce et puis j'ai replongé mon nez dans mes petites affaires, déjà plus tout à fait la même...

 

01/09/2012

Pas de deux...

 

Ecrire, c'est danser...

 

 

26/08/2012

quand le hasard fait de l'art sans le savoir

quand le hasard fait de l'art sans le savoir.jpg

 

24/08/2012

galerie d'art, à Trinidad...

galerie 1.jpg

galerie 2.jpg

galerie 3.jpg

galerie 4.jpg

galerie 5.jpg

galerie 6.jpg

galerie 7.jpg

galerie 9.jpg

 

 

21/08/2012

passage à Blue...

blue 2.jpg

blue 1.jpg

- Trinidad, Août 2012 - Photos Blue -

 

22/07/2012

La nuit je peins

 

 

 

Les rides de la ville

Fusion à la Havane de deux artistes du street art: JR et José Parla. Etourdissante découverte que j'ai faite au hasard de mes recherches artistiques cubaines via Internet. J'espère pouvoir voir ces oeuvres époustouflantes, criantes de vérité pour de vrai sur les murs de la ville. Je ne sais dire celle que je préfère, la quatrième peut-être. Chacune de ses images me raconte une histoire et fait travailler mon imaginaire. Le streeet art a cela de puissant, il nous submerge.

 

11.jpg

parla_jr3.jpg

21.jpg

JR-Jose-Parla-Street-Urban-Art-Havana-Cuba2.jpg

61.jpg

4.jpg

parla_jr2.jpg

71.jpg

parla_jr6.jpg

parla_jr8.jpg

20/07/2012

voluptueuse transe, douce errance, déchirure

555746_412108195501796_440258390_n.jpg

554229_412108052168477_823607873_n.jpg

sylvie lobato.jpg

- Le chaos dans l'indéfinissable - Sylvie Lobato -



19/07/2012

Et re-hop!

Pour l'amour de l'art!

 

 

07/07/2012

de la mode

art,art de vivre,réflexion,mode,poésie,baudelaire,dona karan,femme,patrtage,humain

564139_441700349203361_247810408_n.jpg

320302_441700395870023_1719042905_n.jpg

- Urban Zen- Dona Karan -


" La mode doit être considérée comme un symptôme du goût de l'idéal surnageant dans le cerveau humain au-dessus de tout ce que la vie naturelle y accumule de grossier, de terrestre et d'immonde, comme une déformation sublime de la nature, ou plutôt comme un essai permanent et successif de réformation de la nature. Aussi a-t-on sensément fait observer (sans en découvrir la raison) que toutes les modes sont charmantes, c'est-à-dire relativement charmantes, chacune étant un effort nouveau, plus ou moin heureux, vers le beau, une approximation quelconque d'un idéal dont le désir titille sans cesse l'esprit humain non satisfait (...)

La femme est bien dans son droit, et même elle accomplit une espèce de devoir en s'appliquant à paraître magique et surnaturelle; il faut qu'elle étonne, qu'elle charme; idole, elle doit se dorer pour être adorée. Elle doit donc emprunter à tous les arts les moyens de s'élever au-dessus de la nature pour mieux subjuguer les coeurs et frapper les esprits. Il importe peu que la ruse et l'artifice soient connus de tous, si le succés en est certain et l'effet toujours irrésistible. C'est dans ces considérations que l'artiste philosophe trouvera facilement la légitimation de toutes les pratiques employées dans tous les temps par les femmes pour consolider et diviniser, pour ainsi dire, leur fragile beauté."

- Charles Baudelaire - Eloge du maquillage -



06/07/2012

Agnès Thurnauer

Y a-t-il un art « féminin » ?

6_dsc017511.gif

- Toile Agnès Thurnauer -

 

La vertu des noms est d'enseigner ", dit le Cratyle de Platon. L'importance du language chez Agnès Thurnauer et de la nomination dans cette appropriation féminisante (comme Cézanne parlait des sensations colorisantes) de la peinture est ainsi à considérer comme l'armature de ses signes, comme "le châssis" sur lequel se fonde son tissu artistique, à la peinture émaillée ou pas, indifférent à sa facture.

- Elisabeth Lebovici -

 

Olympia 2006, agnes thurnauer.jpg

- Toile Agnès Thurnauer -


«Il est probable que dans la vie comme dans l’art les valeurs ne sont pas pour une femme ce qu’elles sont pour un homme. Quand une femme se met à écrire un roman, elle constate sans cesse qu’elle a envie de changer les valeurs établies – rendre sérieux ce qui semble insignifiant à un homme, rendre quelconque ce qui lui paraît important. Et naturellement, le critique l’en blâmera ; car le critique du sexe opposé sera sincèrement étonné, embarrassé devant cette tentative pour changer l’échelle courante des valeurs ; il verra là non simplement une vue différente, mais une vue faible ou banale ou sentimentale parce qu’elle diffère de la sienne.»

- Virginia Woolf -

 

medium_at-immigration-jph-hd_ca4c5.jpg

agnc3a8s-thurnauer-31.jpg

biotope_tre_artiste_2006_agn_s_thurnauer.jpg

- Toiles d'Agnès Thurnauer -

 

autoportrait 2010, agnes thurnauer.jpg

- Auto-portrait agnès Thurnauer -

 

 



04/07/2012

open your mind

541774_3858277987906_1280904503_n.jpg

 

29/06/2012

Galerie Naclil

428454_430404613659150_806256161_n.jpg

 

" L'art et rien que l'art, nous avons l'art pour ne point mourir de la vérité."

- Fiedrich Nietzsche -

 

27/06/2012

émotion

 

Je ne comprends pas un mot de portugais et pourtant je me sens proche de la musique de Pessoa. La poésie est sans frontières, elle est universelle, comme tout langage qui vient du coeur, comme cette main dans ses cheveux et la voix profonde de Maria.

 

escape

249127_10151003042825255_2137174366_n.jpg

podcast

- Seila - Chet Baker -

 

 

Il faut sans doute être dans le commerce pour bien comprendre l'horreur que peut-être le premier jour des soldes. C'est aujourd"hui, c'est tout à l'heure. Prise en tenailles entre l'indispensable besoin pour l'équilibre de l'entreprise de déstocker après une saison difficile et compliquée et le rejet que j'ai de cette ambiance de foire où plus rien ni personne n'est repecté, je me prépare une nouvelle fois à affronter cette journée de consommation à outrance. Pour certains et certaines, qui ont moins les moyens que d'autres, c'est une journée qui leur ouvre des horizons et leur permet de se faire plaisir à moindre coût mais, pour beaucoup d'autres, c'est du n'importe quoi comme s'il fallait absolument acheter parce que la bonne affaire est à faire et peu importe le besoin, l'envie ou même la qualité de ce qu'on achète puisque on ne s'intéresse alors qu'au prix. Il faut être sur le terrain pour voir comment alors on nous parle et dans quelles conditions on doit faire son métier, comme si on devait soi-même aussi se solder. Pour ma part j'y renonce et reste moi-même, continuant à défendre ce pourquoi je crois et à conseiller. Je n'arrive pas à brader ma façon de faire sous prétexte que le climat le permet et même l'encourage, mais j'appréhende, je sais que je vais en baver, qu'il va falloir gérer les mouvements de foule et les sautes d'humeur, voire même certaines tensions entre clientes désirant le même objet! Je n'ai qu'une envie, méchapper... Par chance, on peut être là et penser à un autre endroit, je pars avec cette image et vais tenter au cours de cette journée de ne pas trop me laisser entraîner et prendre de la hauteur pour ne pas être ce soir, définitivement entamée.

 

 

21/06/2012

jan garbarek

 

17/06/2012

Denis Rival

rival 1.jpg

 

Marc et Sophie sont de vieux amis, nous avons en commun une manière de vivre, l'appétit du beau et de l'authentique et un certain regard sur l'art contemporain. Ensemble nous avons eu le même attrait et le même irrésistible penchant pour l'art africain, nous partageons une sorte de philosophie commune quant à notre avenir et notre aptitude à le faire nôtre, sachant les uns et les autres que nous avons entre nos mains notre destin. Conviés à une garden party pas ordinaire, nous ne pouvions Pat et moi absolument louper cela d'autant que par la plus grande des chances ils eurent pour eux un ciel clément et une température douce. Marc a toujours aimé la peinture et faire découvrir ses coups de coeur. Denis Rival n'est pas nouveau dans sa carte du monde, voilà plus de vingt ans qu'il nous en parle et qu'il défend son art. Le re-découvrir ainsi, au milieu de la verdure, a été source de joie et d'enthousiasme. Les touches de couleurs vibrantes de Rival résonnent on ne peut mieux avec l'environnement et sa peinture captant l'instant et toute sa magie a trouvé magistralement sa place dans ce cadre comme agencé pour elle.

 

rival2.jpg

rival3.jpg

rival4.jpg

 

" Regarde la lumière et admire sa beauté. Ferme l'oeil et regarde; ce que tu as vu d'abord n'est plus; et ce que tu verras ensuite n'est pas encore."

- Léonard de Vinci -

 

rival5.jpg

- Denis Rival et son épouse -

rival6.jpg

rival7.jpg

 

" Comment regarder un tableau pour le comprendre? m'a-t-on innocemment demandé. Come si je pouvais révéler la formule magique ou mathématique ui ouvre les yeux à la beauté, à la vérité objective ou sublective! Comme si je pouvais réduire, entre les peintres et les amateurs d'art dont William Blake affirme qu'elles rendent les hommes égaux- une égalité idéale n'ayant d'autre fin, par ailleurs, que d'aider chacun à déterminer sa propre personnalité. A la mesure des régles humaines, les régles de l'art sont profondément variables. Les vérités s'entrecroisent, les lumières s'éteignent et se rallument, la confiance et l'inquiétude, l'habileté et la naïveté, la connaissance et l'intuition concourent à un même but: la vérité de la beauté et la beauté de la vérité, pour le plus grand plaisir de la raison."

- Paul Eluard -

 

rival8.jpg

rival9.jpg

 

" Comment pourrais-je indiquer un itinéraire quand je vais moi-même au long d'une multitude de sentiers imprévus? Je me fie à mon sens de l'orientation, à l'attraction qui me mène aux autres pour me ramener à moi-même. Je guette le miroir où, au détour d'une phrase, d'un regard semblable, en un éclair, se reflétera mon image, la phrase que j'ai envie de contresigner ou qui, du moins, éveille en moi un écho.

Je ne me promène pas parmi les livres et dans les musées coùùe dans un jardin rassurant, je risque l'aventure, même en des lieux que je croyais familiers. J'expore mon royaume ambitieux qui est celui de l'infini de l'homme, de sa volonté de cohésion. Je ne poursuis pas un mirage, j'essaie de gagner ma place au soleil, dans le choeur de l'invisible avenir. Je suis certain de n'en jamais finir avec l'ilumination sociale, fraternelle, pas plus qu'avec moi-même."

- Paul Eluard -

 

rival10.jpg

rival11.jpg

 

" Chez Denis Rival, dont je connais de l'homme, la modestie, l'estrême courtoisie, le sens inné du contact humain comme du partage, daonc la vive sensibilité; il y a aussi ce qui culmine de façon systématique dans son oeuvre, la générosité, le côté chaleureux, ardent, l'instinct spontané du beau sans académisme dans dans sa plus totale liberté."

- Pierre Noël Roy -

 

rival12.jpg

rival13.jpg

rival14.jpg

 

J'aime cette façon de découvrir un peintre, au milieu des plantes, au milieu de la vie, d'un quotidien, d'un lieu. Je trouve que ça donne une vivance de plus à la peinture, elle semble participer à la vie et paraît plus en possible symbiose avec l'humain. C'est une dimension charnelle qui me touche et qui exarcerbe les émotions que je peux ressentir; ça ouvre, je trouve. Inspirant et inspiré, javais le sentiment de participer, de faire corps avec l'exposition qui m'est apparue plus comme un art de vivre l'art qu'une manière de le vivre intelectualisée.

 

rival15.jpg

 

Marc trouve qu'il y a du Velazquez, du Lanskoy, du De Kooning dans la palette et le coup de pinceau de Denis, je ne saurais dire. Je réagis tellement toujours en néophyte devant n'imoorte quelle toile, neuve, naïve comme tentant de sonder le coeur de mon ressenti. Si je devais écrire ce que m'inspire les toiles de Rival, c'est le mot "joie lumineuse communicante" qui me vient à l'esprit. Sa vision du monde est musicale et énergétique me semble-t-il, en tout cas pour avoir deviser quelques minutes avec lui, elle n'est pas sombre du tout mais ouverte et sympathique, ça fait du bien.

 

rival16.jpg

rival17.jpg

rival18.jpg

 

 

 

 

15/06/2012

"le choix" de Laure K.

 

 

 

"C'est la liberté de tyranniser, qui est le contraire de la liberté."

- Fernando Pessoa -