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08/01/2010

françis enfonce le clou...

Après une première réaction à ma note mise au monde, la femme vue par Jacques, il récidive avec l'avis de Léo...

 

 

 

 

pensée matinale

 

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" La délicatesse des gestes révèle celle des sentiments."

 

 

 

 

 

 

06/01/2010

mise au monde

En lisant Valvoline, la nouvelle de Sandra Gordon dans le Moebius n° 123 Filiation & Transmission que je vous recommande chaudement et vivement m'est venue furieusement l'envie d'écrire:

 

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A mes fils.

 

 

Pour toi mon ventre ne s'est pas arrondi comme de coutume quand une femme est enceinte quand se passe en elle le miracle de la création si étonnamment magnifique et magique. Chacun de tes mouvements se voyait à l'œil nu même au travers de mes vêtements pas de jus amniotique pour conjurer tes coups de pieds intempestifs pas de sas liquide entre ta peau et la mienne ce qui donnait un spectacle réjouissant et insolite comme habitée de l'intérieur ce que j'étais finalement. A l'accouchement mon corps à ton service tu es venu au monde dans les cris et rouges sang d'usage moi en larmes si émue et si fière je me demandais comment j'avais bien pu faire pour en arriver à un tel degré de bonheur et de félicité, le baby blues lui est venu plus tard deux trois jours après. Je t'ai nourris au sein autre lien puissant et révélateur plaisir insoupçonné et fécond moments privilèges à jamais imprimés en moi intimité étrange et naturelle, sorte de grâce aussi.

Je repensais alors souvent à ma mère qui avait refusé de m'offrir son lait et s'était fait bander les seins pour éviter la montée. Elle m'a ainsi sevré de ce que j'ai voulu plus que tout t'offrir, faire perdurer ce lien entre nous et pouvoir te donner le meilleur de moi-même. Tu es devenu ce que tu es un grand beau jeune homme généreux et tendre que j'admire et avec qui j'ai encore tant à partager.

Pour toi par contre mon ventre fut rond et la peau bien tendue sans se rompre autre de ces magies de dame nature. Tous ces neuf mois en ta compagnie intérieure furent laborieux pour nous deux je vaquais à l'époque à l'élaboration d'un projet une grossesse en parallèle en quelque sorte qui a vu le jour le jour de ta naissance cela fait partie de ton histoire et de la mienne. Je suis arrivée bien tard à la maternité j'avais des contractions déchirantes depuis plusieurs heures déjà et à peine allongée tu t'es engagé. Sentir la tête de son enfant dans le plus profond et le plus intime de soi est une expérience unique douloureuse et euphorique tout à fait stupéfiante de beauté. Ton tour de tête était bien au dessus de la moyenne d'ailleurs ce qui a affolé le corps médical mais pas ta mère et dans l'obscurité de la nuit sur la table de travail c'est avec un amour insensé que je t'ai mis au sein pour que tu goûtes toi aussi au bienfait du lait s'écoulant de mes veines chargé de toutes les pensées douces et enveloppantes qui t'étaient adressées au goutte à goutte.

Ma mère, elle, ne m'a pas prise dans ses bras ni même regardée ou alors d'un œil rapide pour de toute façon me trouver laide née avec la tête toute molle en forme de poire à force d'avoir eu à lutter pour prendre l'air du dehors. J'en porte encore la trace finalement...

Pour toi, mon dernier lascar les choses se déroulèrent à l'emporte pièce autant d'histoires que d'enfants c'est de bonne guerre. Quand j'ai senti l'heure venue je suis allée à l'hôpital c'est un grand noir en blouse blanche qui m'a reçue je me souviens bien en me disant après m'avoir auscultée cavalièrement : » - Mais non Madame, ce n'est pas pour maintenant ! - Si, vous dis-je croyez moi sur parole, il veut sortir je le sais. - Dîtes donc, c'est vous peut-être la professionnelle ? - Pardonnez cher Monsieur mais combien d'enfants avez vous mis au monde ?- Hum, bien plus d'une centaine. - Moui, je vois, ce n'est que mon troisième c'est peu en comparaison mais à la différence prés c'est que c'est de MON ventre qu'ils sortent, croyez-moi it's time ! » Deux heures après je t'avais contre moi la même émotion intacte le même délicieux délire la même impulsion nourricière le même élan le même enivrant vertige. Quand tu me prends dans tes bras maintenant et que tu viens cueillir un câlin rassérénant je tremble de plaisir à l'intérieur comme l'onde d'une harpe et je frémis des fibres, mon ventre se souvient mes glandes mammaires aussi.

Maman n'a pas pu nourrir ce lien fort entre elle et moi, elle n'a pas pu pas voulu pas su et parce que c'était pour moi peut-être une occasion unique de faire autrement une chance inégalable aussi de retrouver la trace du manque, je vous ai donné jusqu'à plus soif, ce que je vous ai transmis vous me l'avez rendu au centuple et tous les jours qui passent encore, je suis née à chaque fois à chacune de vos naissances, mise au monde, merci.

 

 

 

 

 

 

ma préférence

 

 

05/01/2010

pin quotidien

 

Deux fois l'an, au moins, toute la famille descendait au fin fond de la Haute-Loire dans une ferme isolée en ruine à plus de mille mètres d'altitude, l'air y est soi-disant plus pur, j'en suis pas si sûre... Là-haut on vivait comme des ermites repliés sur nous-mêmes, ça avait aussi du bon, parfois, des heures devant la flamme du foyer ou à errer dans la campagne boisée et sauvage, écouter le ruisseau derrière égrener ses notes cristallines ou embrasser la vaste terre seule au monde.

Chaque départ était une véritable expédition, un déménagement presque, on partait avec au moins de quoi vivre pour la semaine ou le mois, poules poulets légumes victuailles en tout genre et puis aussi tous les matériaux nécessaires à la rénovation du bâtiment qui nous hébergeait, tout ça s'entassait vaille que vaille dans un van que mon padre avait acquis pour transporter occasionellement le cheval de mon frère, un ancien artiste de cirque sauvé in extremis de l'abattoir, pas un pote à moi en tout cas, il ne m'aimait guère il faut dire que notre première rencontre ne s'était pas franchement bien passée, suis tout de suite tombée et il m'a trainée le pied coincé dans l'étrier au milieu des herbes et des orties pendant quelques mètres assez inoubliables...

J'y avais un ami, pas tout jeune mais je crois qu'il y vit encore, je ne l'ai pas revu depuis plus de vingt ans, un ami sincère à qui je confiais volontiers mes états d'âme, je m'asseyais contre lui à bavasser, pleurer, rire, parfois je gesticulais endiablée lui toujours impassible et serein et je vociférais des mots atroces, j'hurlais ma colère, ma douleur, mon désarroi pour finir contre lui enlacé à sa puissance et à sa force rassénérante. Il m'a toujours été fidéle, n'a jamais bronché à mes excés et ne m'a jamais abandonnée même quand j'ai espacé mes visites. Une fois, la plus torride de notre histoire, désemparée par un cauchemar récurent, je suis arrivée nue en pleine nuit l'enserrant de toutes mes forces pour m'imprégner de sa séve, frottant ma peau fragile et blanche à sa couenne grise endurcie, me donnant à lui jusqu'à l'orgasme, la lune était belle et lui majestueux et noble, mon corps en tressaille encore d'aise quand je repense à son tronc vigoureux. Il a été pendant toutes ces années adolescentes mon pin quotidien, et est à jamais engrammé dans ma mémoire, sa présence tranquille et son silence apaisant me manque aujourd'hui ...

 

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04/01/2010

Lhasa

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Je viens d'apprendre son décès, injuste, après avoir combattu pendant plus de vingt mois un cancer du sein, chienne de vie parfois crisse, sa voix m'était si familière et si touchante...


podcast
- Where do you go - Lhasa de Sela -

 

 

 

 

 

Georges de la Tour

" Un grand artiste se sert de tout ce que lui offre son temps. Mais il n'en est jamais l'esclave. L'esprit a besoin d'un choc extérieur qui mette en mouvement la sensibilité, l'imagination, les facultés créatrices. Peu importe, ou presque, d'où vient ce choc. Son rôle est, si j'ose dire, purement mécanique. Du frottement de deux silex jaillit une étincelle. Il n'y a que l'étincelle qui nous intéresse. Elle n'existerait pas sans les silex, mais elle ne leur ressemble pas."

- Paul Jamot -

 

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Georges de La Tour est le héros le plus mystérieux de l'histoire de l'art. Peintre à succès sous Louis XIII, il tomba dans l'oubli pour renaître au XXè siècle. Né à Vic-sur-Seille le 14 mars 1593, fils de boulanger, Jean de la Tour dit "l'architecte", et de Sibylle de Crospeaux, issue également d'une famille de boulangers. Peintre débutant, il fit la rencontre des maîtres hollandais Honhorst et Terbrugghen lors d'un voyage en 1616, son mariage avec Diane de Nerf, membre d'une grande famille de Lunéville, à Vic-sur-Seille en 1617, lui permet d'entrer toute la noblesse lunévilloise. Il s'installe à Lunéville en 1620, afin d'y exercer ses activités artistiques. 

A cette époque, la guerre de 30 ans vient de débuter. De la Tour est soupçonné de spéculation sur le grain. Il devient, en tout cas, l'un des bourgeois les plus riches de la ville, et déménage à Paris en 1639, par prudence, lorsque les combats se font plus violents. A son retour à Lunéville, il se présente sous le titre de "peintre particulier du Roi". Dans les faits, il a rencontré Louis XIII lors de son séjour à Paris, et lui a donné le "Saint Sébastien dans une nuit", lequel sera exposé dans la chambre du Roi. A plusieurs reprises, le Duc de la Ferté, gouverneur français de la Lorraine, exigea des peintures de Georges de la Tour, lequel demandait en échange des impôts prélevés sur une population très pauvre. 

Georges de la Tour meurt le 30 janvier 1652, et tombe alors dans l'oubli. A tel point que nombre de ses oeuvres sont attribuées à d'autres artistes, tels le Nain, des Caravagesques, ou même Maurice Quentin de Latour, né plus d'un siècle plus tard. Dans les musées qui avaient le privilège d'en posséder, l'étiquette disait indifféremment Guido Reni, Saraceni, Gentileschi, pour les musées proches de l'Italie, Terbrugghen, Honthorst, pour les musées près du Nord, Zurbaran, Velasquez, pour les musées près du sud. Autrement dit, son oeuvre était complètement répandue aux azimuts de l'histoire de l'art. C'est véritablement un cas extraordinaire d'exil total, absolu. 
Jusqu'à ce qu'un érudit allemand le ressuscite en 1905 en rapprochant trois toiles mystérieuses. Le feuilleton de la résurrection commence alors, doublé d'une chasse au trésor alléchante, car, peu à peu, on trouve des La Tour dans les lieux les plus fous, et aujourd'hui, on ne connaît encore qu'une quarantaine de tableaux sur les trois cents probables. 
En 1915, l'historien Hermann Voss attribue deux toiles du musée de Nantes à Georges du Mesnil de La Tour.
En 1922, un historien d'art de génie, Louis Demonts, est frappé de voir dans les musées de la province française, à Nantes, Epinal et Rennes surtout, des tableaux qui, très visiblement, appartiennent à la même main. 
En 1926, un collectionneur, Pierre Landry, achète Le tricheur. En le nettoyant, il trouve la signature !
En 1934 treize oeuvres de Georges de La Tour à l'Orangerie à Paris. Il est enfin reconnu et la recherche de ses œuvres perdues commence ...

 

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" Les silhouettes sont nettes, les schémas perceptibles; La Tour les voit avec acuité et il les exagère volontiers. Il y a du géomètre en lui pour la composition, les formes et aussi l'éclairage... ces jeux lumineux , toujours arbitraires, qu'ils aient pour origine un projecteur extérieur à la scène ou un luminaire, visible ou non dans la composition, ont une fonction plastique et surtout ont pour but de mettre en valeur des détails lourds de sens...

 

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Il peut être sonore, contrasté. Il est aussi discret, modeste, monotone, pauvre même mais harmonieux, car la Tour sent les valeurs, il aime faire chanter des tons rapprochés et les séparer par des nuances presque imperceptibles. Sa palette se réduit à quelques dominantes, qui contribuent à l'unité de production; jaune, brun, rouge et une gamme de gris et de mauves ou de violets qui servent de transition..."

- François Georges Pariset -

 

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02/01/2010

virturéalité

Il est de tradition de faire un bilan de l'année qui vient de s'écouler, dans le monde des affaires c'est une obligation, on jauge ainsi le passif et l'actif les faiblesses et les points forts de l'entreprise et on projette alors sans mal l'année à venir, voir les trois suivantes, les chiffres s'expriment d'eux-mêmes, froids et distants ils me glacent mais sont souvent cruellement parlant et augure de ce qui va se passer. Avec les affects, c'est si différent beaucoup plus ténu fluctuant exaltant, ils me passionnent pour le coup davantage.

Deux Mille Neuf a été une année charnière pour moi, ici et là; ici d'abord j'ai fait des rencontres marquantes et inspirantes, une qui a changé à jamais le cours de ma vie, et d'autres qui la nourissent chaque jour par leurs richesses, leurs variétés leurs excentricités aussi, leurs authenticités surtout; je n'ai jamais ressenti aucune virtualité dans toutes ces relations entretenues au travers des mots vers proses images chansons et musiques sensibilités et réactions touchantes pour moi comme peuvent l'être celles que j'entretiens par ailleurs corps et âme dans mon journalier. La plus importante la cruciale celle de cette année et des années à venir, je le souhaite, m'a forgée m'a révélée et m'a redonnée confiance énergie espoir et goût de l'effort, une amitié profonde sincère, unique et précieuse, une vraie rencontre. Merci Black Angel. Et puis tous ces rires partagés, ces émotions interactives, ces découvertes chez les uns et les autres, tous ces liens qui se tissent et qui me donnent une viscérale envie d'en faire plus, de rencontrer converser et d'approfondir ce qui se construit au fil des notes, au fil du temps, la décennie à venir m'en donnera peut-être l'opportunité, la volonté, je l'espère. Là, dans mon quotidien beaucoup de bousculades de remises en question, de souffrances aussi dissolvées au fur et à mesure car j'ai depuis petite cette capacité à renaitre des épreuves, d'imaginaire et de rêve aussi qui sont des réalités dans lesquelles je me refugie souvent, m'engoufre, m'imprégne.

Toute cette matière ici et là m'est nécessaire me cimente me vibre, alors à défaut de bilan, il y a conscience, conscience de vivre une aventure formidable vivante créative, en cela vous m'êtes tous "chairs". Merci à vous tous et toutes. Et longue vie à nous!

 

 

lumineux

 

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Boue

qui s'écoule

s'éclaircit

 

- Taneda Santôka -

 

 

 

 

01/01/2010

La Deux Mille Dix

 

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Je vous souhaite à tous et à toutes une année 2010 fructueuse riche merveilleuse sensuelle endiablée et tonique, rêveuse tonitruante rare précieuse aimante, amoureuse aussi, créative surtout, artistique poétique musicale enivrante foisonnante et festoyante, réelle présente amicale riante rageuse gourmande flambante étourdissante neuve humaine chaleureuse et vivante!

Et je vous embrasse. Blue

 

 

 

31/12/2009

Nuit de la Saint Sylvestre

 

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 Excellent réveillon de la Saint -Sylvestre à vous toutes et tous, bon lunch aux fêteux,  joyeuse et chaleureuse fin de décennie!

 

 

 

 

30/12/2009

Little Axe live

 

 

21:45 Publié dans Musique | Lien permanent | Commentaires (4) | Tags : miel et fouet...

évocations...

 

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- Man Ray -

 

 

 

" Plus que la poésie, la chanson est une formidable machine à errer dans le temps. Associé à un événement marquant, premier baiser ou accident de voiture, telle ou telle chanson prendra une signification privée pour chaque personne qui l'entend, et cela, pour toujours. Seules certaines odeurs possèdent un semblable pouvoir d'évocation, aussi puissant et immédiat. Mais écrire les parfums, cela relève du poème..."

- Christian Mistral - Fontes -

 

 

 

 

29/12/2009

tournée de tounes

Après avoir posté ma note toute encore babadabada, le monde a bien changé et pleine d'autres dans la tête, Ferré, Vigneault, Desjardins, je me suis recouchée, me suis accrochée en cuillère à son grand corps irradiant, les pieds gelés, ça l'a réveillé.

- Dis-moi, c'est quoi ta chanson d'amour préférée?

- Tu sais, moi, les chansons d'amour... ... Ne me quitte pas.

- ... ... Je suis là. Chantée par Sting (j'adore, les malentendous et le temps perdou) ou par Jacques lui-même?

- L'île de Ré, j'aime beaucoup celle-là.

Dans l'île de Ré, ma belle adorée, je t'emmènerai...


podcast

 

J'ai pleuré, moins légère mais toute chose, et lovée me suis rendormie, les pieds recroquevillés dans ses plantes à lui.

 

 

 

la chaîne d'amour en chanson...

 

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Insufflée ici, instiguée , réitérée de ce côté, et de celui-ci aussi, celui là encore et pis aussi... ma toune pour la chaîne d'amour en chantant... légère...légère... babadabada...

 

 

 


 

 

 

27/12/2009

pose

Conseil d'Yvan sur le "dyvan"...

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- Nathalie Picoulet -

 

... reprendre des forces entre Noël et l'An!

 

26/12/2009

samedi 26 décembre 2009, 22h46

 

Parfois on se retrouve là seul face à son écran son miroir sa page blanche sa fatigue son désespoir ou ses rêves va savoir, c'est quand même seul qu'on se retrouve, comme un orchestre à soi livré à la baguette de notre imaginaire, de nos doutes nos angoisses et nos espoirs notre tel besoin d'amour et de reconnaissance et celui d'être celui ou celle qu'on aspire à être, ça paraît si simple sur le papier ou sur le clavier de nos compromis quotidiens, mais si difficile en réalité.

 

 

 

 

Mohandas Karamchand Gandhi

" Nous devons incarner le changement que nous espérons en ce monde."

 

 

25/12/2009

22e souffle

 

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-  Kandinski -

 

 

" Redevenir devenu

Tout plutôt qu'avoir été

Puiser encore

A la force des images

Connaître encore

Le don d'évoquer en puissance

Le sel du monde."

 

- Christian Mistral, Fontes -

 

 

 

doux réveil

 

 

 

 

À quoi penses-tu

Je pense au premier baiser que je te donnerai.

- Paul Eluard -