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01/08/2012

topo

Quatre jours de rêverie, de soleil, de vie de famille agrandie. Retour au bercail et aux problèmes inhérents au commerce de proximité. Besoin de changer d'air et peur de quitter le navire. C'est dificile d'être son propre chef et de devoir penser à tout, porter toute seule la resposnsabilité de ce qui se passe et de ce qui va se passer. Je pars Vendredi, une amie m'offre un voyage que je n'aurais pas fait spontanément, c'est une expérience étonnante de partir sans savoir vraiment où, ni comment, une expérience étonnante de devoir faire confiance et de ne pas décider, de ne pas maîtriser, de se laisser faire et de lâcher du même coup tout ce pour quoi on s'est fabriqué. Je me plaignais il y a peu à mon osthéopathe, lui disant aspirer à une vie plus zen, moins stressante, avec plus de temps pour moi. "Que faîtes-vous pour ça?" m'a-t-il demandé. Qu'est-ce que je fais, c'est vrai, pour concrétement lâcher prise, pour trouver le temps d'écrire et de penser? Je vais pouvoir y réfléchir, là-bas, sur des airs de samba et prendre les décisions qui s'imposent. Au fond, ce noeud que j'ai au fond du ventre vient peut-être de ce besoin de changement qui s'impose à moi et que je n'ose appréhender plus encore que l'inconnu vers lequel je vais m'envoler ou mes récurents problèmes financiers? Difficile de s'extirper du piège dans lequel on s'est soi-même enfermé, mais je compte bien y arriver d'une manière ou d'une autre. Je préférerais juste le faire en toute conscience plutôt que ça ne s'impose à moi comme j'ai déjà eu à le vivre. Car alors, à quoi aura servi tout ce chemin que j'ai parcouru déjà s'il ne m'engage pas vers les bonnes décisions pour moi et pour mieux vivre?

 

31/07/2012

régression

 

la vie en rose et blue

musique,jazz,melody gardot,émotion,poésie,partage,humain

 

 

" Là, tout n'est qu'ordre et beauté,
Luxe, calme et volupté."

- Charles Baudelaire -


26/07/2012

Une grande famille

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- Black Angel et Vieux G. -

 

 Ici, là et là et plus loin encore, on forme une grande famille, une sorte de tribu orchestrée de main de maître par notre Mistral à nous, un grand vent québécois qui réchauffe, interpelle et veille au grain, toujours. Christian m'a écrit suite à cette surprise faite à notre Vieux G., ce cher vieux jeune de 28 printemps qui enchante nos esprits et nos coeurs par son intelligence et son talent et cette qualité rare qui est la délicatesse des sentiments. Je reconnais bien là mon ange noir, toujours à l'affût de nouvelles perles et toujours désireux de les mettre en avant. Cette image que j'ai découvert ce matin chez Guillaume Lajeunesse en salve d'étoiles m'a emplie le coeur d'allégresse. J'ai regretté un instant d'être si loin et n'avoir pas pu partager avec lui, sa douce et mon grand ami, cette poutine brillantissime mais en même temps je sais que d'une certaine manière j'y étais, par cette amitié profonde et particulière qui nous lie Christian et moi et par cette relation filiale qui s'établit entre Vieux G. et nous. Une sorte de fils spirituel, en quelque sorte... Voilà encore une des magies qui s'opère par les blogs, une de plus. Cette possibilité de se rencontrer au-delà des frontières, des distances et cette capacité de se découvrir et de s'entendre au travers les mots qu'on écrit et les goûts qu'on partage. Bon anniversaire, Guillaume! Et puisque tu comptes vivre jusqu'à cent ans, au moins, je pense qu'on aura l'occasion un jour de croiser nos prunelles pour de vrai et avoir comme tu le dis si bien, une discussion légère et lumineuse de vive voix...

 

 

22/07/2012

La nuit je peins

 

 

 

Les rides de la ville

Fusion à la Havane de deux artistes du street art: JR et José Parla. Etourdissante découverte que j'ai faite au hasard de mes recherches artistiques cubaines via Internet. J'espère pouvoir voir ces oeuvres époustouflantes, criantes de vérité pour de vrai sur les murs de la ville. Je ne sais dire celle que je préfère, la quatrième peut-être. Chacune de ses images me raconte une histoire et fait travailler mon imaginaire. Le streeet art a cela de puissant, il nous submerge.

 

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21/07/2012

Heureusement il y a les blogs...

"Helenablue" a aujourd'hui quatre ans et un mois, jour pour jour. Et il s'en est passé des choses pendant tout ce temps là. Des choses importantes pour moi. Cet endroit a changé ma vie, oui, et je pense qu'il a changé celle de quelques autres aussi, en bien je l'espère, en ouverture d'esprit et de coeur, en toute sympathie, en résonnance. Ici, je me confie, je réfléchis, je partage mes découvertes, mon goût pour l'art pictural, la musique, l'écriture et mon intérêt puissant pour les choses de la vie. Je me découvre aussi, j'avance, je me mesure à la pensée d'autrui et j'en ressens un immense bienfait. C'est un jour perdu que celui où je n'ai pas blogué ou que n'y ai pas pensé. Depuis le 21 Juin 2008, ça n'est presque pas arrivé. J'ai très vite trouvé un moyen d'expression qui me correspondait, un moyen d'expression en accord avec ma sensibilité, avec mon besoin de rencontres, de réactivités et avec cette particularité que j'ai de m'ouvrir aux autres sans me sentir dépossédée. J'aime ce lieu, il me ressemble. J'aime vous y retrouver. J'aime ce qu'on y fait ensemble. Je ne pourrais concevoir le reste de ma vie sans. J'y puise une telle inspiration, une telle énergie, tant d'affections, tant de plaisirs et tant d'étonnements, comment pourrais-je m'en passer? Merci d'être là. Merci de me lire, merci à vous d'interagir, merci d'exister et de me faire vibrer, merci à vous de m'aimer, merci de votre douce fidélité. Quand je me lève le matin, ma première pensée vient ici. Tout comme dormir, manger, boire, respirer, écrire et échanger sont vitaux pour moi, pour ma santé psychique et pour faire battre mon coeur toujours sur le qui-vive. Alors, tant que j'en ai la possibilité, tant que je peux offrir et recevoir, tant que je suis en vie, je nous souhaite le plus long et le plus inspirant des voyages via ce navire chaleureux déjà bien plein de souvenirs merveilleux, de rencontres improbables, de passion, d'amour, de ciel bleu, d'aventures cérébrales et d'audacieux échanges. Heureusement et pour mon plus grand bonheur, il y a les blogs, et il y a ... celui-là!

 

Obsesion Cuba hip hop

 

 

Plus que treize jours d'attente avant ce nouveau périple au-delà des océans...

 

Ma petite soeur

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Ma petite soeur est clown, clown-thérapeute. Nous nous aimons mais nous n'en parlons pas. Nous avons du mal à communiquer elle et moi, pas sur le fond mais sur la forme. Elle se grime, porte le nez rouge, et avance dans la vie, rebelle. J'ai tenté à l'inverse de me démaquiller, de faire tomber les masques et de vivre le plus possible en congruence, ce qui m'a obligé à parcourir un chemin compliqué et douloureux. Les histoires de famille quand elles sont lourdes et pénibles demandent une certaine endurance et une sorte de bonté pour s'en extirper. On se voit peu, tellement peu que ça en devient plus mais nous savons l'une et l'autre que chacune existe et que dans le pire des cas, chacune peut compter sur l'autre. L'inceste fait des dégâts, le déni en fait davantage encore. C'est son anniversaire, je ne peux aller à la grande fête qu'elle organise dans son trou perdu du monde avec tous ses amis près à réinventer une forme de vie sur terre. Nous n'avons jamais eu les mêmes façons de faire, ni les mêmes visions, ni les mêmes passions si ce n'est celle de se tirer d'affaire et d'offrir à nos enfants une vie autrement différente que celle qu'on a vécu petites. Elle me manque. Sa folie douce me manque. Ses coups de gueule aussi. Vais lui faire suivre ce petit texte pour qu'elle sache que même si on n'est pas d'accord, pas raccord et pas solidaire sur tout, on l'est sur l'essentiel: l'amour de la vie et de l'humain. Bon anniversaire, Laetitia. Je t'aime.

 

20/07/2012

voluptueuse transe, douce errance, déchirure

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- Le chaos dans l'indéfinissable - Sylvie Lobato -



19/07/2012

Aimer

Toujours dangereux d'avoir une idée sur ce sujet! Mais je ne peux m'en empêcher, il me brûle les méninges et je ne peux l'esquiver d'un coup de collier. Pourtant. Aimer. C'est si simple quand on se le permet et quand on permet de recevoir l'amour qu'on nous porte. Faut arrêter de déconner, c'est la seule voie possible, aimer et être aimé, c'est notre essence, ce qui nous fait vibrer. On boit, on dîne, on fume, on sexe, on s'extasie reste qu'aimer est le plus précieux don à notre portée et qu'on piétine, sans raison, ou juste parce qu'on a trop besoin de l'être et qu'on sait pas ou plus comment s'y prendre. Parler d'amour, parler de ce besoin qu'on a tous d'être aimé, reconnu, entendu peut paraître une manipulation. Soit. Sauf que je sais en conscience que toute communication est une manipulation, et que l'amour est ailleurs. Il est là parfois où on ne l'attend pas. Le véritable amour est en nous. Il est dans la capacité qu'on a à donner et dans celle de recevoir ce que l'autre nous donne. C'est un dialogue amélioré, une synergie, une osmose. Pour moi il est source de rétablissement de la justesse des choses. Après en avoir été sevrée et l'avoir vécu, longtemps comme vue de l'esprit, construction romantique que je ne peux reniée, je le vis pleinement comme j'y aspirais et j'en découvre les méandres et bienfaits, loin de toute complexité. L'amour évoqué par les poètes, transfiguré, embelli, magnifié ou anéanti n'est autre que le carburant de notre énergie et la source de notre vie sur terre...

Au commencement était l'amour.

 

15/07/2012

multiple

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" Dans chaque être humain vit une colonnie entière."

- Pablo Picasso -

 

 

14/07/2012

Née un 14 Juillet

Pivoines et Abbey en ce jour particulier.

Douce et belle journée.

Bon anniversaire, Emcée...

 

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podcast

- Street of dream - Abbey Lincoln -

 

13/07/2012

Rêver, construire, écrire, façonner,

écriture,cinéma,art de vivre,pensée du moment,rêve,réalité,passage,vivant,partage,humain

- Cadavre Exquis - Valentine Hugo -

 

inventer, établir des plans sur la comète. Non seulement j'aime ça mais j'en ai besoin. Entreprendre, réaliser, transmettre, changer le cours des choses. C'est là où je me sens vivante, c'est là où je me sens être. Je sais m'arrêter, profiter du moment présent, et même méditer mais c'est toujours dans l'idée d'aller de l'avant. Stagner, macérer dans mon jus, ne pas avoir d'expectatives, ne pas avoir d'ouvertures, ça me tue. Explorer, deviner, créer, insufler me donnent des ailes alors que me ratatiner, me plaindre, m'auto-flageller me restreignent et me cuisent à petit feu. J'aime tendre vers, j'aime avancer, construire, m'aventurer, sonder, tâter, fureter même si les doutes et les entraves qui vont de pairs sont forts et puissants. A quoi bon être sur cette planète et attendre! A quoi bon être là et rester les bras croisés à penser que d'autres vont nous prendre en charge. Je suis pour l'action, je suis pour la pensée, je suis pour la traversée la plus riche possible, de détours, de chemins, de voyages, d'apprentissages et d'amitiés. J'aime la vie, on the road. J'en suis et compte bien exister jusqu'à mon dernier souffle, idéaliste apaisée et sage foldingue. Sortir du bois et des fossés, être unique, décalée, et pleine d'exentricités et de bonté. Blue jusqu'au bout des ongles! Hé, hé. Donner à inventer, à partager, à visiter, à comprendre et à aimer! Une destinée, une écriture, une volonté, une façon d'être au monde en beauté! Fabriquer sa réalité et s'adapter à celle qui est. Positiver. Générer. Accoucher. Alchimiser. Espérer. Et relativiser. On n'a pas forcément la vie qu'on s'était imaginé.  On n'est parfois loin du compte. Pourtant, toujours reprendre son bâton de pélerin est toujours plus jouissif que de laisser tomber. On a en soi des ressources sans limites pourvu qu'on veuille bien s'y abreuver. Yeah!

 

 

12/07/2012

La part des anges

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J'ignorais totalement que "la part des anges" était la partie du volume d'un alcool qui s'évapore pendant son vieillissement en fût. Ces vapeurs qui enivrent le ciel, plus présentes dans les chais d'élixirs forts comme le cognac, l'armagnac, le whisky. D'après Wiki, l'expression aurait pour origine l'alchimie qui désignait par anges les substances volatiles, belle poèsie. Hier soir, je n'avais pas trop envie de rentrer chez moi retrouver ma smala, je voulais être un peu seule et quand on a chez soi enfants et beaux-enfants à demeure, ça n'est pas possible. La vie de famille implique un don de soi, être mère demande certains "sacrifices" qui ne sont rien comparés aux sources de joie que ça procure et parfois j'ai besoin de ne penser qu'à moi. Suis donc allée au cinéma. J'ai beaucoup aimé ce film, sensible, drôle, émouvant, inventif et humain. Il m'a rengaillardie. Il y a toujours un moyen de s'en sortir, s'instruire et être créatif semble en être un de taille, c'est un des enseignements de ce prix du jury de Cannes mais aussi que l'amour donne des ailes, là le titre prend alors une toute autre saveur que celle du malt ou de n'importe quel grain! A voir...

 

10/07/2012

8:00

" Mais qui sans amour Existe? "

- Serge Gainsbourg -

 

 

été 2013

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Aujourd'hui encore, je vais voir des choses et prendre des décisions. Même si c'est un exercice que je pratique maintenant deux fois par an depuis presque dix ans, il reste difficile. Anticiper, créer, construire un style et savoir un an avant ce que les femmes vont avoir envie de se mettre sur le dos l'année prochaine, ça n'est pas simple. Et puis quel sera le climat, quelle sera l'ambiance dans laquelle on évoluera, où en sera le monde? Tout influe tellement sur tout, tout est si interactif, tout va si vite. Cette année, on avait tous plus ou moins parier sur la couleur et finalement c'est le confort des matières qui l'a emporté, une grande partie dû au temps maussade et à l'économie peu rassurante qui a encouragé à se protéger plus qu'à se faire remarquer. Mais l'année prochaine? Qu'est-ce qu'il va se passer? Il y aurait bien entendu toujours les mariages et les cérémonies qui socialement invitent à s'habiller et faire un effort de toilettes, il y a toujours les aficionados à la recherche du vêtement improbable qu'elles n'ont pas encore vu et surtout pas encore dans leur garde-robe, il y a le quotidien qui use ce qu'on porte et qui incite à changer d'une année sur l'autre, il y a les valises perdues, les divorces, les dépressions de toute sorte, les besoins de changement, le mal-être, l'envie de plaire, de paraître dans le coup, l'amour de l'art aussi. N"empêche qu'il faut savoir voir ce qui va se passer et que pour ça il faut être inspiré, pas toujours aisé, sur commande!

 

08/07/2012

la haine

J'ai repensé fortement à elle aujourd'hui en revoyant un film porté sur ce sujet qui m'anime toujours autant: la vengeance. J'ai repensé à elle sans délectation et sans ressentiment, pourtant, elle a fortement encombré ma vie et de l'appréhender sans prévenir fulgurante m'a chamboulée, à jamais. J'étais si jeune et si peu préparée. La haine! J'aurais préféré ne jamais avoir à la ressentir vivace dans ma chair et si fulgurante dans mon coeur. J'ai haï mon père, j'ai haï ma mère. Peut-être même davantage encore ma mère l'espace de quelques mois. La violence de ce sentiment m'a terrassée et surprise. Je ne pouvais pas en amoindrir la portée, j'étais comme possédée par elle, une sorte de tsunami qui emporte tout sur son passage et n'est en rien raisonnable. Impressionnant à quel point même elle se nourrit de tout et de rien et étreint celui ou celle qui la vit. J'ai souffert d'haïr. J'ai eu peur d'haïr, j'en ai tremblé de tous mes menbres. J'eus préféré n'avoir jamais à la vivre. Mais de l'avoir vécu de force m'a permise de concevoir l'horreur, le ressentiment, la guerre, le crime, la torture, le désir de mort d'autrui. J'ai eu cette rage de voir souffrir et mourir les protagonistes de mon enfance déchirée, j'ai rêvé maintes et maintes fois qu'ils périssent écartelés par leurs mensonges et leurs non vouloir-voir, leurs non vouloir-entendre, leur déni. Je me la suis prise de plein fouet et j'en reste marquée. Elle m'effraie, cette haine. Je n'en voulais pas. Mais elle est pourtant là, scarifiant à jamais ma relation au monde, tatouée au creux de ma cervelle chercheuse, tentante encore parfois, diablerie, m'obligeant à me méfier de cette part d'obscurcit que je traîne dans mon voyage. Je n'aime pas quand elle m'envoie encore ses signes, intermittente habile, mais je fais avec et comme un chevalier qui combat ses démons pour honorer sa cause, je me bagarre avec elle et je tente d'élaborer l'antidote à son poison. Quel remède à ce fléau? Je me le demande encore, pourtant le temps et l'eau ont couler sous mes ponts. Seul le fait de l'accueillir et de l'accepter ont permis d'éteindre son feu, mais il ne me fut pas facile de ne plus avoir honte d'haïr, honte parce que j'en ai pris un certain plaisir, malgré tout, une certaine sorte de plaisir étrange, disgracieux, cruel et peu avare de limites. Oublier, pardonner, effacer? Il n'y a que comprendre qui m'a aidée à la disqualifier dans ma carte du tendre et à pouvoir maintenant en parler avec ce recul propre aux sages que je suis bien loin encore d'égaler!

 

tellement vrai

Bacon Francis Autoportrait 1976.JPG

- Toile de Françis Bacon -


" Le désordre des êtres est dans l'ordre des choses."

- Jacques Prévert -



Plume Latraverse, la ballade des caisses

Merci Vieux G.