03/03/2010
Léonard ...
Ce soir, au Zenith, rendez-vous pris avec ce grand artiste qu'est Monsieur Cohen, suis toute émue à l'idée de le voir sur scène!
17:47 Publié dans Musique | Lien permanent | Commentaires (5) | Tags : musiqe, concert, chanson, québec, humain
02/03/2010
l'étincelle dépose
- William Turner -
" J'admets que l'intuition raisonne et dicte des ordres dès l'instant que, porteuse de clefs, elle n'oublie pas de faire vibrer le trousseau des formes embryonnaires de la poésie en traversant les hautes cages où dorment les échos, les avant-prodiges élus qui, au passage, les trempent et les fécondent."
- René Char -
10:13 Publié dans poésie | Lien permanent | Commentaires (3) | Tags : poésie, peinture, rené char, william turner, intuition, vibration, passion, humain
01/03/2010
chemin
Hum, quand le thème du défifoto est tombé chez Barbara, j'ai tout de suite pensé à cette chanson chantée à tue-tête en boucle si souvent dans les descentes Nord-Sud pour les vacances d'été avec mes trois gaillards dans le char la valise bourrée de malles vélos et autres rêveries. Evidemment ça défie les règles du défi, je sais, à dire vrai j'ai toujours aimé transgresser un peu déformer mettre à ma sauce. Je suis allée visiter les uns, unes et autres, de biens belles images évocatrices et chargées de sens. Je n'ai pas pris de photo moi-même, j'avais en tête plus de mots que d'images quoique les mots puissent en être aussi, j'ai donc fouillé comme à mon ordinaire pour trouver l'évocation la plus proche de mon ressenti en lien avec chemin, chemin impliquant cheminement et traces aussi. Voilà celle qui s'approche le plus de ce que j'ai envie d'exprimer à ce sujet...
- photo de Richard Gonzales -
Tracer son chemin, une idée qui m'est chère d'autant que tant d'individus pensent qu'il est défini par avance, je ne le crois pas, je crois à l'instar de ce qu'exprime cette image on le dessine jour après jour avec tous nos gestes nos micro-décisions, toutes nos initiatives et paroles avancées, dans notre manière de penser de concevoir d'échanger. J'aurais pu aussi parler de ce chemin qu'est cet espace pour moi, cheminement serait plus juste, et puis cette notion de traces, l'importance de ce que l'on transmet de ce qu'on laisse en héritage des individus croisés sur la route qu'on marque, de la puissance d'agir et d'aimer, de l'histoire la grande et la plus petite qui nous sillonne elle aussi. Je vous livre tout ça en vrac, à réfléchir, la vie est un chemin et le chemin, ben c'est la vie...
12:02 Publié dans défifoto | Lien permanent | Commentaires (22) | Tags : photo, chanson, mots, chemin, rencontre, blog, humain
27/02/2010
Lendemain de fête d'un vieux maître soufi...
Mon ami et poète Jalel El Gharbi vient de sortir aux éditions du cygne le receuil de pensées de son vieux maître soufi maintes fois rencontré au cours de mes nombreuses et quotidiennes visites sur son blog, je vous invite d'ailleurs à lire ce qu'en écrit Guilio-Enrico Pisani dans Zeitung Lëtzebuerger Vollek, ma commande passée j'attend avec douce impatience de me délecter des inflexions mystiques et poètiques sorties de l'âme et du coeur de celui qui souvent m'enchante de sa délicatesse et de sa profonde humanité.
13:16 Publié dans Livre | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : livre, poésie, rencontre, blog, art, humain
26/02/2010
Fièvre
21:50 Publié dans poésie | Lien permanent | Commentaires (5) | Tags : christian mistral, poésie, fièvre et furie, amitié particulière, amour, vie, humain
La marche à l'amour
En écho à la note de GeeBee et parce que j'aime beaucoup...
Tu as les yeux pers des champs de rosées
tu as des yeux d'aventure et d'années-lumière
la douceur du fond des brises au mois de mai
dans les accompagnements de ma vie en friche
avec cette chaleur d'oiseau à ton corps craintif
moi qui suis charpente et beaucoup de fardoches
moi je fonce à vive allure et entêté d'avenir
la tête en bas comme un bison dans son destin
la blancheur des nénuphars s'élève jusqu'à ton cou
pour la conjuration de mes manitous maléfiques
moi qui ai des yeux où ciel et mer s'influencent
pour la réverbération de ta mort lointaine
avec cette tache errante de chevreuil que tu as
tu viendras tout ensoleillée d'existence
la bouche envahie par la fraîcheur des herbes
le corps mûri par les jardins oubliés
où tes seins sont devenus des envoûtements
tu te lèves, tu es l'aube dans mes bras
où tu changes comme les saisons
je te prendrai marcheur d'un pays d'haleine
à bout de misères et à bout de démesures
je veux te faire aimer la vie notre vie
t'aimer fou de racines à feuilles et grave
de jour en jour à travers nuits et gués
de moellons nos vertus silencieuses
je finirai bien par te rencontrer quelque part
bon dieu!
et contre tout ce qui me rend absent et douloureux
par le mince regard qui me reste au fond du froid
j'affirme ô mon amour que tu existes
je corrige notre vie
nous n'irons plus mourir de langueur
à des milles de distance dans nos rêves bourrasques
des filets de sang dans la soif craquelée de nos lèvres
les épaules baignées de vols de mouettes
non
j'irai te chercher nous vivrons sur la terre
la détresse n'est pas incurable qui fait de moi
une épave de dérision, un ballon d'indécence
un pitre aux larmes d'étincelles et de lésions profondes
frappe l'air et le feu de mes soifs
coule-moi dans tes mains de ciel de soie
la tête la première pour ne plus revenir
si ce n'est pour remonter debout à ton flanc
nouveau venu de l'amour du monde
constelle-moi de ton corps de voie lactée
même si j'ai fait de ma vie dans un plongeon
une sorte de marais, une espèce de rage noire
si je fus cabotin, concasseur de désespoir
j'ai quand même idée farouche
de t'aimer pour ta pureté
de t'aimer pour une tendresse que je n'ai pas connue
dans les giboulées d'étoiles de mon ciel
l'éclair s'épanouit dans ma chair
je passe les poings durs au vent
j'ai un coeur de mille chevaux-vapeur
j'ai un coeur comme la flamme d'une chandelle
toi tu as la tête d'abîme douce n'est-ce pas
la nuit de saule dans tes cheveux
un visage enneigé de hasards et de fruits
un regard entretenu de sources cachées
et mille chants d'insectes dans tes veines
et mille pluies de pétales dans tes caresses
tu es mon amour
ma clameur mon bramement
tu es mon amour ma ceinture fléchée d'univers
ma danse carrée des quatre coins d'horizon
le rouet des écheveaux de mon espoir
tu es ma réconciliation batailleuse
mon murmure de jours à mes cils d'abeille
mon eau bleue de fenêtre
dans les hauts vols de buildings
mon amour
de fontaines de haies de ronds-points de fleurs
tu es ma chance ouverte et mon encerclement
à cause de toi
mon courage est un sapin toujours vert
et j'ai du chiendent d'achigan plein l'âme
tu es belle de tout l'avenir épargné
d'une frêle beauté soleilleuse contre l'ombre
ouvre-moi tes bras que j'entre au port
et mon corps d'amoureux viendra rouler
sur les talus du mont Royal
orignal, quand tu brames orignal
coule-moi dans ta plainte osseuse
fais-moi passer tout cabré tout empanaché
dans ton appel et ta détermination
Montréal est grand comme un désordre universel
tu es assise quelque part avec l'ombre et ton coeur
ton regard vient luire sur le sommeil des colombes
fille dont le visage est ma route aux réverbères
quand je plonge dans les nuits de sources
si jamais je te rencontre fille
après les femmes de la soif glacée
je pleurerai te consolerai
de tes jours sans pluies et sans quenouilles
des circonstances de l'amour dénoué
j'allumerai chez toi les phares de la douceur
nous nous reposerons dans la lumière
de toutes les mers en fleurs de manne
puis je jetterai dans ton corps le vent de mon sang
tu seras heureuse fille heureuse
d'être la femme que tu es dans mes bras
le monde entier sera changé en toi et moi
la marche à l'amour s'ébruite en un voilier
de pas voletant par les lacs de portage
mes absolus poings
ah violence de délices et d'aval
j'aime
que j'aime
que tu t'avances
ma ravie
frileuse aux pieds nus sur les frimas de l'aube
par ce temps profus d'épilobes en beauté
sur ces grèves où l'été
pleuvent en longues flammèches les cris des pluviers
harmonica du monde lorsque tu passes et cèdes
ton corps tiède de pruche à mes bras pagayeurs
lorsque nous gisons fleurant la lumière incendiée
et qu'en tangage de moisson ourlée de brises
je me déploie sur ta fraîche chaleur de cigale
je roule en toi
tous les saguenays d'eau noire de ma vie
je fais naître en toi
les frénésies de frayères au fond du coeur d'outaouais
puis le cri de l'engoulevent vient s'abattre dans ta gorge
terre meuble de l'amour ton corps
se soulève en tiges pêle-mêle
je suis au centre du monde tel qu'il gronde en moi
avec la rumeur de mon âme dans tous les coins
je vais jusqu'au bout des comètes de mon sang
haletant
harcelé de néant
et dynamité
de petites apocalypses
les deux mains dans les furies dans les féeries
ô mains
ô poings
comme des cogneurs de folles tendresses
mais que tu m'aimes et si tu m'aimes
s'exhalera le froid natal de mes poumons
le sang tournera ô grand cirque
je sais que tout mon amour
sera retourné comme un jardin détruit
qu'importe je serai toujours si je suis seul
cet homme de lisière à bramer ton nom
éperdument malheureux parmi les pluies de trèfles
mon amour ô ma plainte
de merle-chat dans la nuit buissonneuse
ô fou feu froid de la neige
beau sexe léger ô ma neige
mon amour d'éclairs lapidée
morte
dans le froid des plus lointaines flammes
puis les années m'emportent sens dessus dessous
je m'en vais en délabre au bout de mon rouleau
des voix murmurent les récits de ton domaine
à part moi je me parle
que vais-je devenir dans ma force fracassée
ma force noire du bout de mes montagnes
pour te voir à jamais je déporte mon regard
je me tiens aux écoutes des sirènes
dans la longue nuit effilée du clocher de Saint-Jacques
et parmi ces bouts de temps qui halètent
me voici de nouveau campé dans ta légende
tes grands yeux qui voient beaucoup de cortèges
les chevaux de bois de tes rires
tes yeux de paille et d'or
seront toujours au fond de mon coeur
et ils traverseront les siècles
je marche à toi, je titube à toi, je meurs de toi
lentement je m'affale de tout mon long dans l'âme
je marche à toi, je titube à toi, je bois
à la gourde vide du sens de la vie
à ces pas semés dans les rues sans nord ni sud
à ces taloches de vent sans queue et sans tête
je n'ai plus de visage pour l'amour
je n'ai plus de visage pour rien de rien
parfois je m'assois par pitié de moi
j'ouvre mes bras à la croix des sommeils
mon corps est un dernier réseau de tics amoureux
avec à mes doigts les ficelles des souvenirs perdus
je n'attends pas à demain je t'attends
je n'attends pas la fin du monde je t'attends
dégagé de la fausse auréole de ma vie
- Gaston Miron (L'Homme Rapaillé, Montréal, l'Hexagone, 1994) -
16:48 Publié dans poésie | Lien permanent | Commentaires (7) | Tags : gaston miron, poésie, québec, montréal, art, mots, humain
25/02/2010
mon bel amour, navigateur...
21:34 Publié dans Musique | Lien permanent | Commentaires (2) | Tags : poésie, musique, échange, québec, blog, humain
Mon bel amour
Mon bel amour navigateur
mains ouvertes sur les songes
tu sais la carte de mon coeur
les jeux qui te prolongent
et la lumière chantée de ton âme
qui ne devine ensemble
tout le silence les yeux poreux
ce qu'il nous faut traverser le pied secret
ce qu'il nous faut écouter
l'oreille comme un coquillage
dans quel pays du son bleu
amour émoi dans l'octave du don
sur la jetée de la nuit
je saurai ma présence
d'un voeu à l'azur ton mystère
déchiré d'un espace rouge-gorge
- Gaston Miron -
16:02 Publié dans poésie | Lien permanent | Commentaires (5) | Tags : poésie, québec, francophonie, amour, rencontre, humain, art
24/02/2010
appétit
J'ai envie de rire à gorge déployée, envie de lumière d'insouciance envie de vivre de mordre d'éructer de jouir, envie de m'en mettre plein les mirettes plein les pavillons plein les ventricules plein la vulve, j'ai envie d'aérer mes cellules de leur faire prendre le large l'air, de leur donner du nouveau grain à moudre, envie de m'embraser de sentir chaque parcelle de ma chair vibrer, envie de chanter l'amour de le faire de le réinventer, envie de sauvage de déraisonnable d'audace d'ardeur de liqueur, j'ai envie d'intense et de brûlant, d'aventure de romanesque de sang de vigueur d'expressif d'afflux et d'affolement, j'ai envie d'aspirer d'ouvrir d'exprimer, envie de puissance de douceur aussi, j'ai envie de toi.
23:58 | Lien permanent | Commentaires (5) | Tags : pensée du moment, état d'âme, amour, passion, vie, autrement, air, espace, humain
le premier bonheur du jour
Pour Fanfan, et puis pour vous tous qui passez par ici...
Éloge de la caresse
" Mes mains m'étonnent. Sereines devant l'étoffe, le bois, le cuir, les voici gagnées d'une fièvre, d'une détresse de bête captive tirant sur son attache. Je les vois, devançant tout geste, voleter autour de cette femme, s'affoler de ce qui s'offre à elles et, de dépit, rêver de ravages.
Maints mouvements dans l'instant les traversent, se combattent, renoncent, renaissent - et tant de désordre et de désarroi me laissent interdit. Qu'est-ce qui les requiert ainsi? A quel invincible attraction cèdent-elles? Que signifie tant de hâte? Et pourquoi cet assombrissement de la pièce?
Mais si ces mains m'avaient seulement précédé en esprit? Si l'être entier s'engageait à leur suite, déjà s'inclinant comme l'arbre sous la cognée? Toucher, il faut toucher. Toucher rejoint, dans l'inéluctable, le fil des fleuves, la course des astres."
- François Solesmes -
09:34 Publié dans érotisme | Lien permanent | Commentaires (8) | Tags : littérature, humain, art, érotisme, sens, rencontre
23/02/2010
Sonnet 14
If thou must love me, let it be for nought
Except for love's sake only. Do not say
'I love her for her smile.. her look.. her way
Of speaking gently,.. for a trick of thought
That falls in well with mine, and certes brought
A sense of pleasant ease on such a day'-
For these things in themselves, Beloved, May
Be changed, or change for thee,-and love, so wrought,
May be unwrought so. Neither love me for
Thine own dear pity's wiping my cheeks dry-
A créature might forget to weep, who bore
Thy comfort long, and lose thy love thereby !
But love me for love's saké, that evermore
Thou may'st love on, though love's eternity.
Si tu dois m'aimer, que ce soit pour rien
Sinon pour l'amour en soi. Ne dis pas
" Je l'aime pour son sourire... son allure... sa façon
De parler si douce... sa finesse de pensée
Qui convient à la mienne, et suscita
Tel jour un bien-être fugitif et charmant " -
Car ces choses en elles-mêmes, Aimé, peuvent
Changer, ou changer pour toi - et l'amour
Ainsi construit peut-être ainsi détruit.
Ne m'aime pas par pitié pour mes larmes -
Qui jouit longtemps de ton soutien pourrait
Sécher ses pleurs, et perdre ton amour !
Mais aime-moi pour l'amour en soi, pour
Qu'à jamais tu m'aimes, d'un amour sans fin.
- Elisabeth Browning -
07:24 Publié dans poésie | Lien permanent | Commentaires (4) | Tags : elisabeth browning, poésie, photo, man ray, art sentiment, amour, humain
21/02/2010
Tabarnak!
Découvert chez Gomeux, grande prestation d'acteur sur ce seul mot typiquement québécois, scotchant et savoureux, voici là décliné pour vous les mille et une manières de tabarnaker, ché pas on doit bien avoir l'équivalent outre-océanique mais suis pas sûre qu'on trouve aussi percutant! Avis aux connaisseurs!
23:26 Publié dans humour | Lien permanent | Commentaires (22) | Tags : sacre québécois, acteur, théâtre, art, humour, humain
16:07
16:07 Publié dans art de vivre | Lien permanent | Commentaires (6) | Tags : philosophie, art de vivre, vie, ouverture, curiosité, échange, parcours, humain
douces vapeurs
Je suis un peu dans les nuages ce matin après une soirée animée tendre et riante comme je les affectionne tant, et plus particulière encore puisque j'en étais la reine. Déjà dans la journée j'avais été bien gâtée par des petits mots glissés sur mon portable, un petit colis joli et si attentionné de mon amie Venise qui a fait mouche à plus d'un titre avec son choix québécois connaissant mon tempérament passionné, un autre livré par un autre facteur direct d'Auvergne ma petite soeur m'envoyant les "broderies" de Marjane Satrapi, un paquet ficelé posé sur mon bureau par une de mes collaboratrices garni de nouvelles de Süskind et d'un petit trésor datant de 1931 qui aiguise déjà ma curiosité au plus haut point, un cadeau plus gustatif d'une autre caviar d'aubergine et bonne bouteille assortie, et quelques mails amis fort touchants et plein de tendresse... et puis cette soirée d'amour partagé avec ma garde rapprochée, là encore entrecoupée de chansons, rires, bonne mangeaille et baisers divers à nouveau un flot d'attentions tout à fait émouvantes et particulièrement inspirées: baume généreux pour les mains, N° odorifère auquel je suis fidèle depuis presque trente ans maintenant, petite bête blindée de toutes les musiques que j'aime pour moments harmonieux,"soldiers of love" de Sade un régal, dernier James Ellroy un genre aussi qui me passionne et transperçant poème de mon petit dernier, sentimental et qui m'a retourné le coeur tant de je t'aime qui en transpire, tant de plaisir de me connaître et de fierté d'être mon fils, j'en suis toute chose encore... Ils sont doux et précieux ces moments de grâce, nourrissants aussi, quoi de meilleur qu'aimer et être aimé en retour, quoi de plus merveilleux que ces chemins parcourus ensemble et que cette découverte mutuelle des uns et des autres, quoi de plus lestants et fascinants que ces partages et dons de soi et que ces pauses chaleur humaine où il n'est question que de joie et d'affection?
Douces vapeurs indeed et nombreux bonheurs en perspective...
13:31 Publié dans art de vivre | Lien permanent | Commentaires (4) | Tags : art de vivre, famille, amitiés, amour, plaisir, partage, humain
20/02/2010
inspirée
12:56 Publié dans art | Lien permanent | Commentaires (12) | Tags : pop art, karwein, rêve, symbole, peinture, humain, rencontre
19/02/2010
45
De sortie aujourd'hui, passage obligé, futur incertain mais présent en joue, birthday!
00:47 | Lien permanent | Commentaires (22) | Tags : état d'âme, anniversaire, temps qui passe, vieillir, jeunesse, vie, humain
18/02/2010
Le cri
Découverte chez Pier Paolo, cette photo de Pietro Masturzo vient de remporter le World Press photo. Elle a ce côté sublime et déchirant de l'espoir, une bien belle image chargée de sens et de poésie aussi, une lumière dans la nuit, un cri.
09:34 Publié dans art | Lien permanent | Commentaires (8) | Tags : photo, journalisme, regard, humain, monde, partage
17/02/2010
cocotte
Me sens un peu comme ça parfois, quelques minutes durant...
14:59 Publié dans pensée du moment | Lien permanent | Commentaires (12) | Tags : pensée, état d'âme, humeurs, humain, humour...
15/02/2010
Blonde!
Hum, aujourd'hui c'était le tour des blondes, j'ai aimé le petit texte pondu chez Didier et l'humour contagieux de Sophie, pour ma part même si je suis à l'instar de beaucoup d'entre elles tout à fait friande d'auto-dérision, je vais la jouer plus sérieuse, et voilà d'une blonde à l'autre un petit clin d'oeil à une actrice dont j'apprécie beaucoup le charisme et l'intelligence, afin de peut-être faire comprendre que la blonde à gros seins et petit pois dans la tête, hanches lascives et regard tombeur existe mais ne regroupe pas pour autant toutes les blondes de naissance! Les québécois, eux l'ont bien compris puisque leur chérie c'est leur blonde, bel exemple de savoir vivre...
Enjoy!
12:01 Publié dans défifoto | Lien permanent | Commentaires (18) | Tags : défifoto, barbara, regard, humain, expression, partage