29/06/2011
Mise en train
10:47 Publié dans art de vivre, Cinéma, humour | Lien permanent | Commentaires (7) | Tags : mise en train, art de vivre, cinéma, humour, joie, bonne humeur, partage, humain
Trois jours à Paris
10:22 Publié dans art de vivre, mode, Voyage | Lien permanent | Commentaires (4) | Tags : paris, expo, mode, voyage, photographie, amitié, échange, découverte, humain
28/06/2011
Bloguer
Penser, frémir, réaliser, ressentir, finaliser, mettre en mots, désirer, s'épanouir.
Rencontrer, partager, apprendre les uns des autres, se mesurer, s'exprimer, se polir, s'affiner, s'éprendre.
Ravir et l'être. Courir et discourir, montrer, dévoiler, cacher, avancer masqué ou en pleine lumière.
Intervenir, appréhender, assumer, apprendre, comprendre, échanger, être.
Bloguer n'est pas une vue de l'esprit, n'est pas non plus une gourmandise ni un effet, c'est un acte qui engage, qui permet de grandir et surtout qui époustoufle. Une source qui donne à son jardin une disposition nouvelle, libre, ludique et universelle! Sans frontières.
Blue est mon moi, ce que je suis, ce que j'aurais dû être, mon expression artistique, ma réalité. Chacun en pense ce qu'il veut ou ce qu'il désire. Je suis.
J'ai vraiment tant appris de ce monde "parallèle", paraît-il, que je reste septique. On nous dit que ça n'est pas la vraie vie, que si par malheur tu y mets le doigt, tout ton bras y passe! Non mais, vous rigolez! Que tout ça fasse peur, Ok, que ça soit subversif, pas dans les clous, pas gérable, pas toujours de bon goût, Ok. Mais que ça soit peanuts, sans valeur et sans conséquences, nada!
J'ai avancé ici bien plus qu'en quinze longues années de thérapie et je vais vous dire pourquoi ce genre est si précieux: vous pouvez être ce que vous avez le besoin et l'impulsion d'être, pour le meilleur comme pour le pire, n'est-on pas fait des deux?
Trois années sur la toile m'ont plus apporté que toutes mes tentatives psychologiques. Hum, je ne suis pas vraiment juste, après ce que j'ai vu, compris, ingéré et progressivement digéré ailleurs, j'ai trouvé là un moyen singulier d'exister et de voir enfin quelqu'une dans le miroir derrière ce regard jamais tellement généreux à mon égard, le mien. Mes yeux ont changé de couleur, ma vue s'est apaisée.
Bloguer est tout un art.
Vivre l'est tout autant.
Aimer, le carburant.
Être, le stimulant.
Doit-on sous des prétextes idiots de "parce que ça n'est pas dans l'ordre des choses" et que "tu ferais mieux de faire un jogging quotidien que t'adonner à ces bizarreries" ne pas bloguer... Quid des neurones, sont pas dans les jambes que je sache?
- Jeanne Moreau- Le nombril -
22:37 Publié dans Blog, écriture | Lien permanent | Commentaires (9) | Tags : blog, écriture, partage, réflexion, échange, puissance, interaction, avancée, humain
27/06/2011
réminiscence
23:32 Publié dans Musique | Lien permanent | Commentaires (5) | Tags : musique, fauré, souvenir, émotion, partage, amour, humain
Conseils à un écrivain
On en a parlé il y a un bail avec Sandy.
Tchekhov était avant tout médecin, métier qui ne devait pas l'enrichir puisqu'il soignait les pauvres et les paysans gratuitement. Au début, l'écriture de nouvelles était seulement un moyen de gagner quelques kopecks supplémentaires. Mais il abordait l'écriture de manière quasi scientifique, n'écrivant que sur ce qu'il connaissait et ne se basant que sur ses expériences, pour que ses pièces et récits soient toujours sincères et réalistes. Pour lui, les meilleurs écrivains « dépeignent la vie telle qu'elle est », mais de telle façon qu'en les lisant on sente aussi « comment elle devrait être et c'est cela qui séduit », car « l'homme deviendra meilleur quand nous lui aurons montré comment il est ».
18:38 Publié dans écriture, Livre | Lien permanent | Commentaires (6) | Tags : livre, écriture, tchekov, pensée, partage, humain
26/06/2011
Du Daguerréotype à l'Art Nu au XIX ème
J'aime apprendre des mots, en voici un nouveau pour moi, j'en ignorais jusqu'à hier son existence, merci Christian: Daguerréotype ! En plus du plaisir pur que cela m'apporte, cette sorte de jouissance littéraire, un nouveau mot ouvre un nouvel horizon et après être passée par l'étape dictionnaire, un peu vieille école, mais qui souvent entraîne en chaîne d'inédites découvertes de même nature, j'ai cherché sur Google et d'une étape l'autre je suis arrivée jusqu' aux prémices de la photographie de nus. J'ai longtemps collectionné des cartes postales de cette nature, j'adorais ça, je l'avais oublié et là je retrouve avec la même tendresse la nature de la sensation que ces images me provoquent: une sorte de connivence, une joyeuseté.
"Alors que depuis l'époque de la Renaissance, les peintres avaient peint des multitudes de nus ou des scènes mythologiques mettant en scène des déesses dénudées sans trop encourir les foudres des censeurs, les premiers photographes qui cherchèrent à les imiter furent rapidement poursuivis et sanctionnés par les autorités.
En fait, ce que les peintres pouvaient montrer à travers leurs tableaux n'était plus possible par le biais de la photographie laquelle représentait le corps humain dans toute sa réalité.
La nuance fut de taille et confina donc la photographie de nus dans le domaine de l'interdit durant des décennies. Le réel, montré par la photographie, était inadmissible aux yeux des représentants de la société pudibonde du Second Empire tandis que le suggéré en peinture passait sans trop de problème la rampe des interdits. La photographie resta donc réservée aux voyeurs tandis que la peinture faisait la joie des esthètes.
Les photographes ne faisaient pas que du nu, ils produisaient aussi des portraits aujourd'hui émouvants car ils montrent la femme des années 1850-1860 dans toute sa réalité.
De nombreux modèles posaient non seulement devant l'objectif mais aussi dans des ateliers de peintres, d'autres étaient probablement des femmes légères issues de bordels mais qu'importe puisque ces filles prirent part à une sorte de révolution qui devait bouleverser la société d'alors. La photographie devint populaire à travers le portrait mais elle servit aussi au travail de grands artistes qui ne rechignérent pas à l'utiliser tels Delacroix et Courbet ou plus tard Rodin. Du Daguerréotype on passa au calotype puis au papier salé et à la photographie sur verre avant de parvenir au tirage albuminé et les nus se multipliérent au singulier comme au pluriel, au féminin comme au masculin, de la simple pose à l'écartement des cuisses, du beau au vulgaire, de l'érotique à la pornographie.
Au fil des ans, les femmes devinrent plus sveltes, puis sportives, plus modernes jusqu'à l'invention du cinéma qui laissa alors la photographie s'enfoncer dans la banalité du moins jusqu'à l'apparition de Man Ray ou d'autres artistes de la pellicule qui heureusement font aujourd'hui de la photo un art.
Les pionniers des années 1850, qui étaient tous des artistes, eurent le mérite de composer avec la réalité et de montrer la femme de leur époque d'une manière émouvante. Il est vrai qu'une telle imagerie pouvait être choquante aux yeux des bourgeois dont les représentants du sexe fort ne s'encanaillaient qu'en catimini dans de discrets lupanars.
Les photographies libertines avaient aussi le tort d'être de dimensions réduites et de circuler facilement avec le risque d'être vues par d'innocents enfants ou des femmes de la bonne société qui pouvaient alors se poser des questions embarrassantes au sujet de leur condition et de ces filles sans pudeur qui semblaient appartenir à un autre monde. Ces clichés extraordinaires, qui montrent qu'il n'y a vraiment pas de différences notables entre les femmes du XIXe siècle et celles d'aujourd'hui, tant au plan des formes et des attitudes, révélaient une vérité insupportable et exposaient leurs auteurs à subir les foudres de la justice. Ils sont à présent de fabuleux documents de l'histoire de l'art et reflètent une image nette de leur époque sans pour autant que l'imagination de ceux qui les contemplent puisse être restreinte.
On peut donc laisser errer avec plaisir nos regards sur ces photos des années 1850 qui nous invitent à rêver à propos de ces femmes qui eurent le courage de se montrer nues devant l'objectif et de révéler enfin leur érotisme en pleine lumière."
- Adrian Darmon -
" Le nu est la sincérité du corps: une honnêteté que tout le monde ne peut avoir."
- Jacinto Benavente - Philosophie de la mode -
- Félix-Jacques Antoine Moulin -
Chaque daguerréotype était une oeuvre originale, tout comme peut l'être une toile. Stupéfiant de croiser d'ailleurs chez certains d'entre eux une filiation évidente avec le travail d'un peintre ou d'un aquarelliste. Comme celle-ci de Félix-Jacques Antoine Moulin qui est d'une sensibilité exemplaire. On comprend aisément que ce procédé et ses résultats inspirèrent par la suite de nombreux artistes et non des moindres. Ma journée commence bien!
11:02 Publié dans art, photographie | Lien permanent | Commentaires (16) | Tags : nudité, art, photographie, découverte, mot, échange, humain
25/06/2011
Peter Falk
Décédé il y a deux jours après avoir enduré Alzheimer, Peter Falk n'a toujours été pour moi que Columbo, ce policier de la brigade criminelle à l'imperméable beige et la vieille Peugeot 403 décapotable et délabrée, toujours le cigare au bec et l'oeil plissé. J'ignorais qu'il était borgne depuis l'âge de trois ans, c'est sans doute de là que lui vient ce regard qui en dit long mine de rien. "Columbo mène la danse" est la dernière de cette longue série qui a bercée mon enfance, mon adolescence et ma vie de jeune adulte... J'adore ce personnage ne portant jamais d'arme, obsédé par les détails les plus insignifiants et aimant ébaucher les idées avec sa femme. Il ne s'énervait jamais et arrivait toujours à ses fins, quelle dégaine! Une pensée pour celui qui l'a si brillamment incarné, qu'il repose en paix.
09:23 Publié dans Film | Lien permanent | Commentaires (19) | Tags : film, cinéma, série, personnage, policier, acteur, humain
24/06/2011
Bonne Saint-Jean!
Je ne peux pas ne pas penser à mes amis québécois aujourd'hui, fête de la Saint-Jean! Et tout mon coeur est là-bas, avec eux, en cette belle journée. Mon blog a maintenant trois ans, c'est une date anniversaire à un ou deux jours près, je l'avais ouvert le jour de l'étè 2008, fête de la musique chez nous. Depuis je n'ai jamais loupé d'y être dans la tête. J'aime l'idée d'associer les deux, au fond, le Québec est devenu par l'entremise de cet outil magique qu'est l'internet ma deuxième patrie et j'y ai de nombreux amis, des êtres importants qui comptent beaucoup pour moi.
Alors voilà, je fais une pierre deux coups! Enjoy à tous and Love. Blue
14:52 Publié dans amitié, art de vivre, Blog | Lien permanent | Commentaires (37) | Tags : st-jean, québec, blog, anniversaire, amitié, partage, humain
Jean-Paul à Montréal
«Au‐delà de la virtuosité technique résultant de l’exceptionnel savoir‐faire des différents métiers de la haute couture, d'une imagination débridée et de collaborations artistiques historiques, il offre une vision ouverte de la société, un monde de folie, de sensibilité, de drôlerie et d'impertinence où chacun peut s’affirmer comme il est, un monde sans discrimination, une "couture fusion" unique. Il y a chez Jean Paul Gaultier une vraie générosité et un message social très fort, sous couvert d'humour et de légèreté. C’est une esthétique humaniste qui me touche beaucoup.»
- Nathalie Bondil, conservatrice du musée des Beaux-Arts de Montréal -
05:52 Publié dans art, mode | Lien permanent | Commentaires (9) | Tags : art, mode, exposition, jean-paul gaultier, québec, échange, découverte, univers, humain
23/06/2011
Et si tu n'existais pas
22/06/2011
Gueuloir de boudoir
Pas trop mon genre! De crier fort!
Tony, ce brave Tony, le meilleur ami de mon petit dernier me disait tout à l'heure au dîner: " Vous ai jamais entendu gueuler, vous ai jamais vu vous énerver!", c'est vrai, c'est rare, voire rarissime, c'est pas ma tasse de thé! (Il me connaît depuis presque quinze ans). Pourtant je suis pas une molle des neurones et il y a bien des choses qui me mettent en roupette, voire m'atteignent grave, mais j'emmagasine, j'encaisse, je distille, (j'ai l'impression de parler comme dans les "Tontons flingueurs"), et puis je sers la sauce. Elle est jamais bien aigre, ni violente, ni même vraiment féroce pourtant, quand même il y a des limites, mais dans quel monde vit-on? C'est quoi ce binz? Heureusement, j'ai de la chance, je vis avec des gars qui ont les pieds sur terre et puis le coeur chevillé au ventre, on arrive à rire de tout et entre l'évocation de tirades des "Visiteurs", en se rejouant les scènes du "Dîner de cons", en versant une larme pour "Toy Story" et en savourant le plaisir partagé de "Jumanji", de "Shrek" et je ne parle même pas de la puissance de la force, on essaie de comprendre le monde dans lequel on vit, on en discute. Ce qui se passe par exemple en Syrie, ou ces femmes qui tentent de prendre le volant en Arabie, ou encore cette famille noyée dans les fondations d'une terrasse par le patriarche en cavale, ou enfin cette femme qu'on retrouve à moitié calcinée au milieu de son jogging, sans oublier de parler de leur pote qui, en rébellion parentale embrasse une religion aux antipodes de celle de son père et de cet autre perdu qui ne sait que faire d'une mère intrusive et castratrice qui a démonté la porte de sa chambre pour l'empêcher de fumer et entendre ce qu'il pouvait dire à ses copains. Vrai! C'est pas mon genre de m'emporter, Tony. Et pourtant parfois tu sais ça bout et ça peste et ça carbure grave à l'intérieur de moi. M'a demandé tout à l'heure: " Mais comment vous faîtes?". "Au mieux! " je lui ai dit, "au mieux, mon petit Tony, mais je peux pas tout faire, va falloir vous y mettre, l'avenir vous appartient autant qu'à nous, on a tous sa carte à jouer!". Il m'a touchée le bougre.
La veille ils avaient, avec mes deux fistons, fait la vaisselle, et en sorte que je sois contente de leur travail à mon réveil. Vrai! J'étais surprise, c'était presque parfait! En tout cas, mieux qu'à l'ordinaire. Il m'en a parlé, m'a demandé une note, genre "Vous nous mettez 18, là, hein?". Ah! Tony, il n'y a pas de note à te mettre, je ne fonctionne pas à la carotte et au bâton, ni au système des cotations. Si tu l'a fais par plaisir, par amour et par générosité, allez, je te mets volontiers un vingt et un sur vint, mais si tu attends un référencement, et si le dix-huit te convient, va pour cette note là et quand tu seras à vingt sur vingt, je t'offre avec grâce une coupe de champ en espérant, my God, que tu m'épates et que tu ne va pas te contenter de çà!
23:55 Publié dans pensée du moment | Lien permanent | Commentaires (6) | Tags : tsé, juste envie de dire...
La grâce
- Photo Alex Wilson -
" La grâce, plus belle encore que la beauté."
- Jean de La Fontaine -
09:48 Publié dans art, pensée du moment, photographie | Lien permanent | Commentaires (12) | Tags : mouvement, grâce, beauté, photographie, art, échange, humain
21/06/2011
Transparences
- Photo prise par moi-même dans une galerie d'art à Montréal -
" Une robe est une confidence. Les secrets de la femme se lisent dans la façon de s'habiller."
- Gilbert Brévart -
06:21 Publié dans art, mode | Lien permanent | Commentaires (14) | Tags : art, mode, pensée du moment, écriture, réflexion, échange, femme, humain
20/06/2011
A ne pas manquer!
"Le regard est celui de nos sens qui nous fournit le plus d'informations. Il demande une chorégraphie précise dans ses déplacements et son acuité. Bien souvent il se trouble et donne une image imparfaite de l'espace qui nous entoure.
En miroir, il modifie notre silhouette.
La photographie, est le reflet d'un regard, un éprouvé du sentiment amoureux que le photographe pose sur le monde.
Bien des regards tournent court...
Retourne toi... Regarde moi... Vois ce que tu fais de moi..."
- Laurence Guez -
09:40 Publié dans art, photographie | Lien permanent | Commentaires (10) | Tags : art, exposition, photographie, laurence guez, rencontre, regard, échange, amitié, humain
19/06/2011
Papa
Papa,
Normalement, par le calendrier, c’est ta fête today. Pourtant, pour moi, sigh, ça n’est pas si simple! Pour ce qui est du père de mes enfants, c’est sans problème. Là, quel ravissement!
Non, c'est entre toi et moi que c'est plus compliqué, tu devines bien pourquoi même si t'as oublié. Tu as été mon père longtemps, tant que je n'avais pas accès à ma mémoire, tu l'es toujours pourtant maintenant que je l'ai retrouvée, mais je ne sais qu'en faire! Je veux pas faire dans le pathos, de ton côté, tu l'as bien éprouvé. Mais je ne peux non plus pas m'enfouir dans le non-vouloir voir, dans le non-vouloir être et dans le non vouloir-dire, père!
Le déjeuner entre hommes fut drôle, généreux, magnifique. Tu sais, papa, j'avais autour de moi mon homme, mes fils, et puis un petit gars que je porte dans mon coeur depuis longtemps. C'est le meilleur ami de ton petit-fils que tu ne connais pas par la force des choses et par sans doute ton incapacité à les voir comme elles sont, je ne t'en veux pas, comment pourrais-tu les appréhender alors qu'elles n'ont jamais été à ta portée? Lui, son père lui a mis une beigne et l'a foutu dehors. Il doit s'en mordre les doigts, l'enfoiré de papa, comme toi quand tu m'as dit que je ne faisais plus partie de la famille si je disais vrai. Dis-moi, aurais-je pris le risque de mentir à ce prix? Tu verrais ce p'tit gars, papa, que t'en serais le premier étonné tel que je t'imagine. Tel que je voudrais que tu sois.
N'empêche, je suis bien emmerdée. Je ne sais pas quoi faire, c'est la fête des pères, je devrais avec joie te la souhaiter, au pire sans grand plaisir. Mais je n'y arrive pas. Pourquoi? Pourquoi papa, fuck, pourquoi?
19:11 Publié dans état d'âme | Lien permanent | Commentaires (13) | Tags : questionnement, être, papa, enfant, filiation, échange, souffrance, humain
Fête des pères
Ben oui! C'est aujourd'hui... Bonne fête à tous les papas!
09:36 Publié dans art de vivre, humour | Lien permanent | Commentaires (9) | Tags : humour, québec, yvon deschamps, paternité, découverte, humain
18/06/2011
J'ai du Zorba en moi, c'est pas un scoop, c'est pas nouveau
01:34 Publié dans art de vivre, Film | Lien permanent | Commentaires (7) | Tags : nous vivons trop à la surface de notre être...
17/06/2011
Laurence G.
Pendant que de manière récurente, chaque blogueur et blogueuse se demande au fond de lui l'aboutissement et l'intérêt d'un tel média, il y a des réponses qui s'imposent d'elle-même comme ma rencontre avec Laurence, qui aurait été improbable sans cette incroyable technologie. Impossible de vous parler d'elle en deux mots dans sa totalité tant ce petit bout de femme renferme de richesses, mais possible de faire une esquisse en demi-teinte d'une personnalité attachante, généreuse, et d'une rare fine intelligence. Jamais elle ne s'impose, c'est pas son truc faut bien le dire et a toujours une attention tendre et bienveillante à l'égard de ceux qu'elle aime, je suis bien fière d'en faire partie! Ellle qui est devenue une de mes L.! Le regard qu'elle porte sur les choses, les êtres, les âmes est à son image au fond: humour, tendresse, finesse, connaissance, sensibilité et puis un je ne sais quoi d'innocence, d'éternel renouvellement, de non à-priori, d'ouverture d'esprit. Quand son angoisse existensielle cessera de lui consommer trop de son énergie, elle nous fera des étincelles, d'ailleurs je crois qu'on est pas au bout de nos surprises tant elle a à dire et à exprimer. Elle a arrêté d'alimenter son espace, pour le moment, se concentrant sur d'autres projets, elle me manque, j'aimais bien passer chez elle me nourrir de sa fantaisie et de son amour de la danse. Elle m'a fait découvrir l'opéra Garnier et puis c'est elle qui m'a emmenée à la Comédie Française pour la première fois de ma vie, c'est une passionnée cette lumière là et tout ce qui tourne autour des mots, des gestes et des respirations l'inspire, on parle le même langage au fond. Un petit clin d'oeil à celle qui porte d'habitude plutôt le sien sur moi et un élan de gratitude envers celle qui est devenue une véritable amie.
13:13 Publié dans amitié, Blog, photographie | Lien permanent | Commentaires (10) | Tags : amitié, blog, laurence guez, photographie, laure kalangel, femme, art, écriture, humain
Intermède
06:30 Publié dans état d'âme, Musique | Lien permanent | Commentaires (9) | Tags : musique, cat power, état d'âme, femme, pause, évasion, glisse, envie d'ailleurs, rêve, humain
16/06/2011
Pleine lune
Avec l'accord de l'auteur, Christian Mistral, sur une mélodie de Mario Peluso, interprétée par Isabelle Boulay, cette magnifique chanson: La lune. Pas tous les jours qu'on a une éclipse totale de ce bel astre de plus d'une centaine de minutes. Je me disais aussi que c'était bien calme pour un lendemain de pleine lune. Tout s'explique!
- La lune - Isabelle Boulay -
Les rues vont lentement se dépeupler
J'entends les vampires
Qui poussent des soupirs
Le soir est mauve et la froide lune est ronde
Je suis une fauve libre et seule au monde
La ville a une voix
Qui me parle de toi
La lune
Est la complice douce
De ce qui nous arrive
La lune
Comprend ce qui nous pousse
À vivre à la dérive
Elle nageait parmi les anges noirs
Rien n'est plus pareil
T'as choisi le soleil
La lune
Est la complice douce
De ce qui nous arrive
La lune
Comprend ce qui nous pousse
À vivre à la dérive
Et je danse jusqu'au matin
Dans l'absence de tes reins
En transe entre mes mains
La lune
Est la complice douce
De ce qui nous arrive
La lune
Comprend ce qui nous pousse
À vivre à la dérive
17:05 Publié dans art de vivre, écriture, Musique, photographie | Lien permanent | Commentaires (7) | Tags : pleine lune, éclipse, christian mistral, paroles, chanson, échange, amitié, amour, humain